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| issue132:labo_linux [2018/05/08 15:49]  –  auntiee | issue132:labo_linux [2018/05/10 14:37] (Version actuelle)  –  andre_domenech | 
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| **WARNING: This is not something to try on your daily driver or on any system with valuable data. Rather use a non-critical system or at least a spare hard drive.** | **WARNING: This is not something to try on your daily driver or on any system with valuable data. Rather use a non-critical system or at least a spare hard drive.** | 
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| AVERTISSEMENT : Ce n'est pas quelque chose à essayer sur l'appareil que vous utilisez au quotidien, ou sur tout système contenant des données précieuses. Utilisez plutôt un système non critique ou, au moins, un disque dur de rechange. | AVERTISSEMENT : Ce n'est pas une chose à essayer sur l'appareil que vous utilisez au quotidien, ou sur tout système contenant des données précieuses. Utilisez plutôt un système non critique ou, au moins, un disque dur de rechange. | 
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| **Don’t forget to first backup any files you might want to keep. Booting from a Live USB containing Ubuntu 17.10, I opened GParted and created a new partition table of type “gpt” on my hard drive, effectively wiping any data on the drive. I then proceeded to create 13 new partitions, all set by default as “Primary Partition”. The size of /dev/sda1 was set at 512 MiB and formatted as FAT32. The next 11 partitions (/dev/sda2 through /dev/sda12) were all sized at 20480 MiB (20 GiB), and formatted as ext4 with the exception of /dev/sda3. This was formatted as a swap partition. The remaining space on the hard drive (/dev/sda13) was set as ext4 and labelled as “common”. This was reserved for holding user files to be accessed from any of the 10 distros. After applying the changes, I went back to sda1 and changed the flag to esp, which deleted the previous msftdata flag and also added a boot flag.** | **Don’t forget to first backup any files you might want to keep. Booting from a Live USB containing Ubuntu 17.10, I opened GParted and created a new partition table of type “gpt” on my hard drive, effectively wiping any data on the drive. I then proceeded to create 13 new partitions, all set by default as “Primary Partition”. The size of /dev/sda1 was set at 512 MiB and formatted as FAT32. The next 11 partitions (/dev/sda2 through /dev/sda12) were all sized at 20480 MiB (20 GiB), and formatted as ext4 with the exception of /dev/sda3. This was formatted as a swap partition. The remaining space on the hard drive (/dev/sda13) was set as ext4 and labelled as “common”. This was reserved for holding user files to be accessed from any of the 10 distros. After applying the changes, I went back to sda1 and changed the flag to esp, which deleted the previous msftdata flag and also added a boot flag.** | 
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| N'oubliez pas de sauvegarder d'abord les fichiers que vous souhaitez conserver. En démarrant à partir d'un Live USB contenant Ubuntu 17.10, j'ai ouvert GParted et créé une nouvelle table de partitions de type « gpt » sur mon disque dur, effaçant toutes les données sur le disque. J'ai ensuite procédé à la création de 13 nouvelles partitions, toutes définies par défaut comme « Partition Primaire ». La taille de /dev/sda1 a été fixée à 512 Mio et formatée en FAT32. Les 11 partitions suivantes (/dev/sda2 à /dev/sda12) étaient toutes de 20480 Mio (20 Gio), et formatées en ext4 à l'exception de /dev/sda3. Celle-ci a été formatée comme une partition d'échange. L'espace restant sur le disque dur (/dev/sda13) a été défini en ext4 et étiqueté « Commun ». Cette dernière était réservée aux fichiers des utilisateurs, accessible depuis chacune des 10 distributions. Après avoir appliqué ces changements, je suis retourné sur sda1 et j'ai changé son drapeau en « esp », supprimant le drapeau « msftdata » précédent et ajoutant également un drapeau de boot (« démarrage »). | N'oubliez pas de sauvegarder d'abord les fichiers que vous souhaitez conserver. En démarrant à partir d'un Live USB contenant Ubuntu 17.10, j'ai ouvert GParted et créé une nouvelle table de partitions de type « gpt » sur mon disque dur, effaçant toutes les données sur le disque. J'ai ensuite procédé à la création de 13 nouvelles partitions, toutes définies par défaut comme « Partition primaire ». La taille de /dev/sda1 a été fixée à 512 Mio et formatée en FAT32. Les 11 partitions suivantes (/dev/sda2 à /dev/sda12) étaient toutes de 20 480 Mio (20 Gio), et formatées en ext4 à l'exception de /dev/sda3. Celle-ci a été formatée comme une partition d'échange. L'espace restant sur le disque dur (/dev/sda13) a été défini en ext4 et étiqueté « Commun ». Cette dernière était réservée aux fichiers des utilisateurs, accessible depuis chacune des 10 distributions. Après avoir appliqué ces changements, je suis retourné sur sda1 et j'ai changé son drapeau en « esp », supprimant le drapeau « msftdata » précédent et ajoutant également un drapeau de boot (« démarrage »). | 
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| **I chose 20 GiB as the partition size for each distro as this should be adequate to hold the base installations and allow for additional software to be installed. Remember user files are being stored on a separate partition. I know 20 GiB is probably overkill for a swap partition, but I didn’t know beforehand what the requirements of each of the 10 distros were. If they needed a swap partition, what size should I use? Some distros including Ubuntu now use a swap file by default (rather than a partition), but will use a swap partition if one already exists.. If I later needed to move partitions around, a swap partition of the same size as the distro partitions might also make things easier.** | **I chose 20 GiB as the partition size for each distro as this should be adequate to hold the base installations and allow for additional software to be installed. Remember user files are being stored on a separate partition. I know 20 GiB is probably overkill for a swap partition, but I didn’t know beforehand what the requirements of each of the 10 distros were. If they needed a swap partition, what size should I use? Some distros including Ubuntu now use a swap file by default (rather than a partition), but will use a swap partition if one already exists.. If I later needed to move partitions around, a swap partition of the same size as the distro partitions might also make things easier.** | 
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| J'ai choisi 20 Gio comme taille de partition pour chaque distribution, estimant cela suffisant pour contenir les installations de base et permettre l'installation de logiciels supplémentaires. Rappelez-vous que les fichiers utilisateurs sont stockés sur une partition séparée. Je sais que 20 Gio est probablement excessif pour une partition swap, mais je ne connaissais pas à l'avance les exigences de chacune des 10 distributions. Si elles avaient besoin d'une partition d'échange, quelle taille serait nécessaire ? Certaines distributions, dont Ubuntu, utilisent maintenant un fichier d'échange par défaut (plutôt qu'une partition), mais se serviront d'une partition d'échange si celle-ci existe déjà... Si, plus tard, j'avais besoin de déplacer des partitions, une partition d'échange de la même taille que les partitions de distribution saurait sans doute me faciliter la tâche. | J'ai choisi 20 Go comme taille de partition pour chaque distribution, estimant cela suffisant pour contenir les installations de base et permettre l'installation de logiciels supplémentaires. Rappelez-vous que les fichiers utilisateurs sont stockés sur une partition séparée. Je sais que 20 Go est probablement excessif pour une partition swap, mais je ne connaissais pas à l'avance les exigences de chacune des 10 distributions. Si elles avaient besoin d'une partition d'échange, quelle taille serait nécessaire ? Certaines distributions, dont Ubuntu, utilisent maintenant un fichier d'échange par défaut (plutôt qu'une partition), mais se serviront d'une partition d'échange si celle-ci existe déjà... Si, plus tard, j'avais besoin de déplacer des partitions, une partition d'échange de la même taille que les partitions de distribution saurait sans doute me faciliter la tâche. | 
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| **Make sure you boot each distro/installer in UEFI mode. Usually this can be achieved by pressing F8, F11 or F12 during the boot sequence to get a UEFI Boot Menu. Select the option for your live media that begins with UEFI. Start the installer, and when you reach the partitioning stage, select “Something else” or “Manual Partitioning”. Do not use automatic or guided installation. The EFI System Partition on sda1 should automatically be used without explicit selection. Make sure it will not be reformatted. Confirm sda3 as the swap partition. Check your reference list and mount the desired partition (sda2-sda12) for each distro as “/” (slash) – that is as the file system root.** | **Make sure you boot each distro/installer in UEFI mode. Usually this can be achieved by pressing F8, F11 or F12 during the boot sequence to get a UEFI Boot Menu. Select the option for your live media that begins with UEFI. Start the installer, and when you reach the partitioning stage, select “Something else” or “Manual Partitioning”. Do not use automatic or guided installation. The EFI System Partition on sda1 should automatically be used without explicit selection. Make sure it will not be reformatted. Confirm sda3 as the swap partition. Check your reference list and mount the desired partition (sda2-sda12) for each distro as “/” (slash) – that is as the file system root.** | 
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| Assurez-vous que vous démarrez chaque installeur/distribution en mode UEFI. Habituellement, il est possible de réaliser cela en appuyant sur F8, F11 ou F12 pendant la séquence de démarrage pour obtenir un menu de démarrage UEFI. Sélectionnez l'option UEFI pour votre média Live puis débuter l'installation. Lorsque vous arrivez à l'étape de partitionnement, sélectionnez « Autre » ou « Partitionnement manuel ». Ne pas utiliser l'installation automatique ou guidée. La partition en EFI sur sda1 devrait être utilisée automatiquement sans sélection explicite. Assurez-vous qu'elle ne sera pas reformatée. Confirmez sda3 comme partition d'échange (« swap »). Vérifiez votre liste de référence et montez les partitions souhaitées (de sda2 à sda12) pour chaque distribution, nommée « / »(slash) - autrement dit la racine du système de fichiers. | Assurez-vous que vous démarrez chaque installeur/distribution en mode UEFI. Habituellement, il est possible de réaliser cela en appuyant sur F8, F11 ou F12 pendant la séquence de démarrage pour obtenir un menu de démarrage UEFI. Sélectionnez l'option UEFI pour votre média Live puis débutez l'installation. Lorsque vous arrivez à l'étape de partitionnement, sélectionnez « Autre » ou « Partitionnement manuel ». Ne pas utiliser l'installation automatique ou guidée. La partition en EFI sur sda1 devrait être utilisée automatiquement sans sélection explicite. Assurez-vous qu'elle ne sera pas reformatée. Confirmez sda3 comme partition d'échange (« swap »). Vérifiez votre liste de référence et montez les partitions souhaitées (de sda2 à sda12) pour chaque distribution, nommée « / »(slash) - autrement dit la racine du système de fichiers. | 
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| **If you can, choose not to install a bootloader/GRUB, except of course for your primary distro, where it should be installed to /dev/sda. For all of the 10 distros, I used the same username and password, just to make it easier to remember when logging in. My list of partitions is shown above.** | **If you can, choose not to install a bootloader/GRUB, except of course for your primary distro, where it should be installed to /dev/sda. For all of the 10 distros, I used the same username and password, just to make it easier to remember when logging in. My list of partitions is shown above.** | 
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| Si vous le pouvez, choisissez de ne pas installer de bootloader (GRUB), sauf bien sûr pour votre distribution principale, qui devra être installé sur /dev/sda. Pour l'ensemble des distributions, j'ai enregistré le même nom d'utilisateur et le même mot de passe, juste pour que ce soit plus facile à retenir lors de la connexion. Ma liste de partitions est visible ci-dessus. | Si vous le pouvez, choisissez de ne pas installer de bootloader (GRUB) - sauf bien sûr pour votre distribution principale - qui devra être installé sur /dev/sda. Pour l'ensemble des distributions, j'ai enregistré le même nom d'utilisateur et le même mot de passe, juste pour que ce soit plus facile à retenir lors de la connexion. Ma liste de partitions est visible ci-dessus. | 
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| **The times it took me to install each distro using USB 2,0 sticks are given as a guide in the table above. This does not include the time taken to download .iso files and to create LiveUSBs from those same files. It also does not include time for reading installation guides and manuals. As they say, your mileage may vary.** | **The times it took me to install each distro using USB 2,0 sticks are given as a guide in the table above. This does not include the time taken to download .iso files and to create LiveUSBs from those same files. It also does not include time for reading installation guides and manuals. As they say, your mileage may vary.** | 
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| Le temps qu'il m'a fallu pour installer chaque distribution en utilisant des clés USB 2.0 est donné à titre indicatif dans le tableau ci-dessus. Ceci n'inclut pas le temps nécessaire pour télécharger les fichiers.iso et pour créer les LiveUSB à partir de ces mêmes fichiers. Il ne comprend pas non plus le temps de lecture des tutoriels et manuels d'installation. Comme on dit, « votre kilométrage peut varier ». | Le temps qu'il m'a fallu pour installer chaque distribution en utilisant des clés USB 2.0 est donné à titre indicatif dans le tableau ci-dessus. Ceci n'inclut pas le temps nécessaire pour télécharger les fichiers .iso et pour créer les LiveUSB à partir de ces mêmes fichiers. Il ne comprend pas non plus le temps de lecture des tutoriels et manuels d'installation. Comme on dit, « votre kilométrage peut varier ». | 
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| **I described how to do this in a previous article (see FCM#120, April 2017, page 50). Since then, LFS has been updated to version 8.1. The install time in the table above is how long it took to restore a backup image to the partition using Clonezilla. The actual time it took to create and compile a fully working LFS system was about 1.5 days. I have already installed many additional packages from the BLFS book, and I intend to take it further by installing X-Windows and KDE, but that is still work-in-progress. I didn’t need to install GRUB for LFS as it can be booted from the GRUB menu of the primary distro. On the LFS website, there is a hint document which goes into great detail about booting a stand-alone installation of LFS using UEFI.** | **I described how to do this in a previous article (see FCM#120, April 2017, page 50). Since then, LFS has been updated to version 8.1. The install time in the table above is how long it took to restore a backup image to the partition using Clonezilla. The actual time it took to create and compile a fully working LFS system was about 1.5 days. I have already installed many additional packages from the BLFS book, and I intend to take it further by installing X-Windows and KDE, but that is still work-in-progress. I didn’t need to install GRUB for LFS as it can be booted from the GRUB menu of the primary distro. On the LFS website, there is a hint document which goes into great detail about booting a stand-alone installation of LFS using UEFI.** | 
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| J'ai décrit comment l'installer dans un article précédent (voir le FCM n°120, avril 2017, page 50). Depuis lors, LFS a été mis à jour vers la version 8.1. Le temps d'installation dans le tableau ci-dessus est le temps qu'il a fallu pour restaurer une image de sauvegarde sur la partition à l'aide de Clonezilla. Le temps réel qu'il a fallu pour créer et compiler un système LFS entièrement fonctionnel a été d'environ 1,5 jours. J'ai déjà installé de nombreux paquets supplémentaires du livre BLFS, et j'ai l'intention d'aller plus loin en installant X-Windows et KDE, mais c'est encore un travail en cours. Je n'ai pas besoin d'installer GRUB pour LFS car il peut être démarré à partir du menu GRUB de la distribution principale. Sur le site Web de LFS, on trouve de la documentation qui explique en détail comment démarrer une installation autonome de LFS en UEFI. | J'ai décrit comment l'installer dans un article précédent (voir le FCM n° 120, avril 2017, page 50). Depuis lors, LFS a été mis à jour vers la version 8.1. Le temps d'installation dans le tableau ci-dessus est le temps qu'il a fallu pour restaurer une image de sauvegarde sur la partition à l'aide de Clonezilla. Le temps réel qu'il a fallu pour créer et compiler un système LFS entièrement fonctionnel a été d'environ 1,5 jour. J'ai déjà installé de nombreux paquets supplémentaires du livre BLFS, et j'ai l'intention d'aller plus loin en installant X-Windows et KDE, mais c'est encore un travail en cours. Je n'ai pas besoin d'installer GRUB pour LFS car il peut être démarré à partir du menu GRUB de la distribution principale. Sur le site Web de LFS, on trouve de la documentation qui explique en détail comment démarrer une installation autonome de LFS en UEFI. | 
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| **Beware! OpenSuSE .iso files can be very large. The one I chose was 4.6 GB and installed some 2196 packages. It is possible to install without GRUB.** | **Beware! OpenSuSE .iso files can be very large. The one I chose was 4.6 GB and installed some 2196 packages. It is possible to install without GRUB.** | 
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| Méfiez-vous ! Les fichiers OpenSuSE.iso peuvent être très volumineux. Celui que j'ai choisi était de 4,6 Go et j'ai installé quelques 2196 paquets. Il est possible de l'installer sans GRUB. | Méfiez-vous ! Les fichiers OpenSuSE.iso peuvent être très volumineux. Celui que j'ai choisi était de 4,6 Go et j'ai installé quelque 2 196 paquets. Il est possible de l'installer sans GRUB. | 
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| **Slackware is a distro that is, by design, conservative in its choice of software. For example, it still uses KDE4. There are no Live disc images, only ones for the installer. The installer image boots using GRUB2, but this is not available for the installed distro itself. By default, ELILO is used instead, with an option to create an entry in the UEFI boot menu. The original LILO can also be installed. The installer is ncurses-based but is easy to follow. Lots of documentation is available in the installer .iso file and also on the website. The 64-bit installer image is 2.8 GB and includes much more than the usual choice of software. Apart from KDE4, you can also choose from xfce, fluxbox, blackbox, wmaker, fvwm2, and Tab Window Manager desktops. A full installation uses about 10.6 GB (9.88 GiB).** | **Slackware is a distro that is, by design, conservative in its choice of software. For example, it still uses KDE4. There are no Live disc images, only ones for the installer. The installer image boots using GRUB2, but this is not available for the installed distro itself. By default, ELILO is used instead, with an option to create an entry in the UEFI boot menu. The original LILO can also be installed. The installer is ncurses-based but is easy to follow. Lots of documentation is available in the installer .iso file and also on the website. The 64-bit installer image is 2.8 GB and includes much more than the usual choice of software. Apart from KDE4, you can also choose from xfce, fluxbox, blackbox, wmaker, fvwm2, and Tab Window Manager desktops. A full installation uses about 10.6 GB (9.88 GiB).** | 
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| Slackware est une distribution qui, de par sa conception, est classique dans son choix de logiciels. Par exemple, elle utilise toujours KDE4. Il n'y a pas d'images de disque Live, seulement des images pour l'installeur. L'image de l'installeur démarre en utilisant GRUB2 qui n'est pas disponible pour la distribution elle-même, une fois installée. Par défaut, c'est ELILO qui est utilisé, avec une option pour créer une entrée dans le menu de démarrage de l'UEFI. LILO peut également être installé. L'installeur est basé sur ncurses mais le processus est facile à suivre. Une importante documentation contenue dans le fichier .iso de l'installeur est disponible, ainsi que sur le site web. L'image 64 bits de l'installeur est de 2,8 Go et comprend de nombreux choix en terme de logiciels. En plus de KDE4, vous pouvez également choisir parmi les environnements de bureau xfce, fluxbox, blackbox, wmaker, fvwm2 et Tab Window Manager. Une installation complète nécessite environ 10,6 Go (9,88 Gio). | Slackware est une distribution qui, de par sa conception, est classique dans son choix de logiciels. Par exemple, elle utilise toujours KDE4. Il n'y a pas d'images de disque Live, seulement des images pour l'installeur. L'image de l'installeur démarre en utilisant GRUB2 qui n'est pas disponible pour la distribution elle-même, une fois installée. Par défaut, c'est ELILO qui est utilisé, avec une option pour créer une entrée dans le menu de démarrage de l'UEFI. LILO peut également être installé. L'installeur est basé sur ncurses mais le processus est facile à suivre. Une importante documentation contenue dans le fichier .iso de l'installeur est disponible, ainsi que sur le site Web. L'image 64 bits de l'installeur est de 2,8 Go et comprend de nombreux choix en termes de logiciels. En plus de KDE4, vous pouvez également choisir parmi les environnements de bureau xfce, fluxbox, blackbox, wmaker, fvwm2 et Tab Window Manager. Une installation complète nécessite environ 10,6 Go (9,88 Gio). | 
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| **This one threw me for a bit. Luckily, the installer is easily the quickest at under 6 minutes. After installing, if you reboot into your primary distro (Ubuntu in my case), and run sudo update-grub, Solus(3) is detected, but it does not get added to the GRUB menu. Only after some digging around in the Solus forums did I realise that to boot Solus you have to select the option to boot from another device/disc (i.e the UEFI boot menu - F8 on my system), and then select Linux Boot Manager. If desired, you can add a custom entry to the GRUB menu: In your primary distro, as root, cd to /etc/grub.d. Then, edit the file 40_custom by appending the following lines (do not delete the first two lines):** | **This one threw me for a bit. Luckily, the installer is easily the quickest at under 6 minutes. After installing, if you reboot into your primary distro (Ubuntu in my case), and run sudo update-grub, Solus(3) is detected, but it does not get added to the GRUB menu. Only after some digging around in the Solus forums did I realise that to boot Solus you have to select the option to boot from another device/disc (i.e the UEFI boot menu - F8 on my system), and then select Linux Boot Manager. If desired, you can add a custom entry to the GRUB menu: In your primary distro, as root, cd to /etc/grub.d. Then, edit the file 40_custom by appending the following lines (do not delete the first two lines):** | 
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| Celle-ci m'a un peu déconcerté. Heureusement, l'installeur est de loin le plus rapide (moins de 6 minutes). Après l'installation, si vous redémarrez votre distribution principale (Ubuntu dans mon cas), et lancez "sudo update-grub", Solus(3) est détecté, mais il n'est pas ajouté au menu GRUB. Ce n'est qu'après quelques recherches dans les forums consacrés à Solus que je me suis rendu compte que pour démarrer cette distribution, il faut sélectionner l'option « Démarrage à partir d'un autre périphérique/disque » (c'est-à-dire le menu de démarrage UEFI - F8 sur mon système), puis sélectionner Linux Boot Manager. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter, en tant que root, une entrée personnalisée au menu GRUB, dans votre distribution principale : dans le répertoire /etc/grub.d., éditez le fichier 40_custom en ajoutant les lignes suivantes (ne supprimez pas les deux premières lignes) : | Celle-ci m'a un peu déconcerté. Heureusement, l'installeur est de loin le plus rapide (moins de 6 minutes). Après l'installation, si vous redémarrez votre distribution principale (Ubuntu dans mon cas), et lancez « sudo update-grub », Solus(3) est détecté, mais il n'est pas ajouté au menu GRUB. Ce n'est qu'après quelques recherches dans les forums consacrés à Solus que je me suis rendu compte que pour démarrer cette distribution, il faut sélectionner l'option « Démarrage à partir d'un autre périphérique/disque » (c'est-à-dire le menu de démarrage UEFI - F8 sur mon système), puis sélectionner Linux Boot Manager. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter, en tant que root, une entrée personnalisée au menu GRUB, dans votre distribution principale : dans le répertoire /etc/grub.d., éditez le fichier 40_custom en ajoutant les lignes suivantes (ne supprimez pas les deux premières lignes) : | 
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| **Note the root (hd1) should point to the correct hard disk, and gpt1 should point to your EFE System Partition (e.g. sda1). Then run sudo update-grub to add the custom entry to your GRUB menu.** | **Note the root (hd1) should point to the correct hard disk, and gpt1 should point to your EFE System Partition (e.g. sda1). Then run sudo update-grub to add the custom entry to your GRUB menu.** | 
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| Notez que la racine (hd1) doit pointer vers le bon disque dur, et gpt1 doit pointer vers votre partition système EFI (par exemple sda1). Lancez ensuite "sudo update-grub" pour ajouter l'entrée personnalisée à votre menu GRUB. | Notez que la racine (hd1) doit pointer vers le bon disque dur, et gpt1 doit pointer vers votre partition système EFI (par exemple sda1). Lancez ensuite « sudo update-grub » pour ajouter l'entrée personnalisée à votre menu GRUB. | 
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| **At last. You can now remove all live media and reboot your system. If all has gone well it will boot into the distro you installed last (i.e. your primary distro [ubuntu]). If not, you will probably get a GRUB menu that will allow you to choose your primary distro.** | **At last. You can now remove all live media and reboot your system. If all has gone well it will boot into the distro you installed last (i.e. your primary distro [ubuntu]). If not, you will probably get a GRUB menu that will allow you to choose your primary distro.** | 
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| Enfin. A partir de maintenant, vous pouvez supprimer tous les médias live et redémarrer votre système. Si tout s'est bien déroulé, il démarrera avec la distribution que vous avez installé en dernier (votre distribution principale [ubuntu]). Sinon, vous obtiendrez probablement un menu GRUB qui vous permettra de choisir votre distribution principale. | Enfin, vous pouvez supprimer tous les médias live et redémarrer votre système. Si tout s'est bien déroulé, il démarrera avec la distribution que vous avez installée en dernier (votre distribution principale [ubuntu]). Sinon, vous obtiendrez probablement un menu GRUB qui vous permettra de choisir votre distribution principale. | 
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| **If you were impatient and logged into some of your newly installed distros before all the installations were completed, you may have experienced some slow boot-ups. This is caused when the distro can not find the swap partition as listed in /etc/fstab. For some reason, although the various installers all seem to recognise an already existing swap partition, most of them go on to reformat it, changing the UUID of the partition in the process. This can be remedied by updating the fstab files to show the swap partition by device name (e.g. /dev/sda3), by label (e.g. swap), or the best method, by the current UUID of the swap partition. I did this in conjunction with the next section. The UUID can be found by running sudo blkid in a terminal.** | **If you were impatient and logged into some of your newly installed distros before all the installations were completed, you may have experienced some slow boot-ups. This is caused when the distro can not find the swap partition as listed in /etc/fstab. For some reason, although the various installers all seem to recognise an already existing swap partition, most of them go on to reformat it, changing the UUID of the partition in the process. This can be remedied by updating the fstab files to show the swap partition by device name (e.g. /dev/sda3), by label (e.g. swap), or the best method, by the current UUID of the swap partition. I did this in conjunction with the next section. The UUID can be found by running sudo blkid in a terminal.** | 
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| Si vous vous êtes montrés impatients et que vous vous êtes connectés à certaines de vos distributions nouvellement installées avant que toutes les installations soient achevées, vous avez peut-être constaté des démarrages lents. Cela est dû au fait que la distribution ne peut pas trouver la partition de swap telle qu'elle est listée dans /etc/fstab. Pour une raison quelconque, bien que les différents installeurs semblent tous reconnaître une partition swap déjà existante, la plupart d'entre eux continuent à la reformater, en changeant l'UUID de la partition dans le processus. Ceci peut être corrigé en mettant à jour les fichiers fstab pour afficher la partition swap par son nom de périphérique (par exemple /dev/sda3), par l'étiquette (par exemple swap), ou bien par une meilleure méthode, à savoir l'UUID actuel de la partition swap. Je l'ai configurée en concomitance avec la section suivante. L'UUID peut être trouvé en exécutant "sudo blkid" dans un terminal. | Si vous vous êtes montrés impatients et que vous vous êtes connectés à certaines de vos distributions nouvellement installées avant que toutes les installations soient achevées, vous avez peut-être constaté des démarrages lents. Cela est dû au fait que la distribution ne peut pas trouver la partition de swap telle qu'elle est listée dans /etc/fstab. Pour une raison quelconque, bien que les différents installeurs semblent tous reconnaître une partition swap déjà existante, la plupart d'entre eux continuent à la reformater, en changeant l'UUID de la partition dans le processus. Ceci peut être corrigé en mettant à jour les fichiers fstab pour afficher la partition swap par son nom de périphérique (par exemple /dev/sda3), par l'étiquette (par exemple swap), ou bien par une meilleure méthode, à savoir l'UUID actuel de la partition swap. Je l'ai configurée en concomitance avec la section suivante. L'UUID peut être trouvé en exécutant « sudo blkid » dans un terminal. | 
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| **In each distro, you need to create a mount point for the common partition. First, in a terminal in your primary distro, use the command sudo mkdir -pv /mnt/common. Then, still as root, edit the /etc/fstab file. If necessary, correct the line containing the swap partition as described in the previous section. Add an additional line for the common partition similar to:** | **In each distro, you need to create a mount point for the common partition. First, in a terminal in your primary distro, use the command sudo mkdir -pv /mnt/common. Then, still as root, edit the /etc/fstab file. If necessary, correct the line containing the swap partition as described in the previous section. Add an additional line for the common partition similar to:** | 
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| Dans chaque distribution, vous devez créer un point de montage pour la partition commune. Tout d'abord, à l'aide d'un terminal dans votre distribution principale, utilisez la commande "sudo mkdir -pv /mnt/common". Ensuite, toujours en tant que root, éditez le fichier /etc/fstab. Si nécessaire, corrigez la ligne contenant la partition de swap comme décrit dans la section précédente. Ajoutez une ligne supplémentaire pour la partition commune, similaire à : | Dans chaque distribution, vous devez créer un point de montage pour la partition commune. Tout d'abord, à l'aide d'un terminal dans votre distribution principale, utilisez la commande « sudo mkdir -pv /mnt/common ». Ensuite, toujours en tant que root, éditez le fichier /etc/fstab. Si nécessaire, corrigez la ligne contenant la partition de swap comme décrit dans la section précédente. Ajoutez une ligne supplémentaire pour la partition commune, similaire à : | 
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| **Use the command mount -av to mount the common partition immediately. These commands will need to be repeated later for each distro.** | **Use the command mount -av to mount the common partition immediately. These commands will need to be repeated later for each distro.** | 
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| Utilisez la commande "mount -av" pour monter immédiatement la partition commune. Ces commandes devront être répétées plus tard pour chacune des distributions. | Utilisez la commande « mount -av » pour monter immédiatement la partition commune. Ces commandes devront être répétées plus tard pour chacune des distributions. | 
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| **In each distro, delete the Documents, Downloads, Pictures, Music, Videos sub-folders in your home directory. Then create links to the common folders using ln -sv /mnt/common/paul/Documents /home/paul/Documents. Repeat this link creation for the other sub-folders you created earlier. In each distro, check your user ID (UID) using the command id. Normally, if you are the first user on the system (the administration user as opposed to the root user), you will have a UID of 1000. However some distros start human user UIDs from 500. If all the UIDs are the same, you will be able to access the user files stored in the “common” partition from all of the distros. I put sample files into each of the common folders, and checked that I could access them from each distro.** | **In each distro, delete the Documents, Downloads, Pictures, Music, Videos sub-folders in your home directory. Then create links to the common folders using ln -sv /mnt/common/paul/Documents /home/paul/Documents. Repeat this link creation for the other sub-folders you created earlier. In each distro, check your user ID (UID) using the command id. Normally, if you are the first user on the system (the administration user as opposed to the root user), you will have a UID of 1000. However some distros start human user UIDs from 500. If all the UIDs are the same, you will be able to access the user files stored in the “common” partition from all of the distros. I put sample files into each of the common folders, and checked that I could access them from each distro.** | 
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| Pour chaque distribution, supprimez les sous-dossiers Documents, Téléchargements, Photos, Musique, Musique, Vidéos de votre répertoire personnel. Créez ensuite des liens vers les dossiers communs via la commande « ln -sv /mnt/common/paul/Documents /home/paul/Documents ». Répétez cette création de lien pour les autres sous-dossiers créés précédemment. Avec chaque distribution, vérifiez votre ID utilisateur (UID) à l'aide de la commande « id ». Normalement, si vous êtes le premier utilisateur sur le système (l'utilisateur d'administration, par opposition à l'utilisateur root), votre UID équivaudra à 1000. Cependant, certaines distributions démarrent les UID des utilisateurs humains à partir de 500. Si tous les UID sont identiques, vous pourrez accéder aux fichiers utilisateurs stockés dans la partition "commune" à partir de toutes les distributions. J'ai testé en insérant des fichiers d'exemple dans chacun des dossiers communs, et j'ai vérifié que je pouvais y accéder à partir de chaque distribution. | Pour chaque distribution, supprimez les sous-dossiers Documents, Téléchargements, Photos, Musique, Vidéos de votre répertoire personnel. Créez ensuite des liens vers les dossiers communs via la commande « ln -sv /mnt/common/paul/Documents /home/paul/Documents ». Répétez cette création de lien pour les autres sous-dossiers créés précédemment. Avec chaque distribution, vérifiez votre ID utilisateur (UID) à l'aide de la commande « id ». Normalement, si vous êtes le premier utilisateur sur le système (l'utilisateur d'administration, par opposition à l'utilisateur root), votre UID équivaudra à 1000. Cependant, certaines distributions démarrent les UID des utilisateurs humains à partir de 500. Si tous les UID sont identiques, vous pourrez accéder aux fichiers utilisateurs stockés dans la partition « commune » à partir de toutes les distributions. J'ai testé en insérant des fichiers d'exemple dans chacun des dossiers communs, et j'ai vérifié que je pouvais y accéder à partir de chaque distribution. | 
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