Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

--- issue167:jeux_ubuntu [2021/03/31 15:45] – andre_domenech
+++ issue167:jeux_ubuntu [2021/04/01 08:51] (Version actuelle) – d52fr
@@ Ligne 47: / Ligne 47: @@
 **Unlike SimCity, these types of games introduce tiers, where, say, at the first tier you need only food and shelter, the next tier may be religion, and now you need temples and different resources to progress. You can also regress to a previous tier, if you can not keep up with supply and demand. Tier two may need fountains and gardens to maintain the status quo, and to have those you may need different resources still, making the micro management more intense. Twenty years ago, this type of gameplay was the norm; now, however, it feels more of an armchair general situation. Again, if I compare it to a modern version of the genre, like Frostpunk, the gameplay feels lacking. There is no innovation, there is only a higher resolution from Zeus that I played twenty years ago. That was a bit disappointing. That said, there is nothing “wrong” with the game, but there is that “it would have been nice” that is missing, if you know what I mean. It still is a time sink, where you can while away a lazy Sunday afternoon without noticing it. If your intention is nostalgia, the game does not disappoint. You can simply drop in and play, without reading a manual. The mechanics are simple and easy to learn, making the entry to the game accessible to all. Like the games that came before it, there is some replay value, but not much.**
-Contrairement à SimCity, ces types de jeu introduisent des niveaux où, disons, au premier niveau, il vous suffit de trouver un abri et de la nourriture ; le niveau suivant peut être la religion et vous avez maintenant besoin de temples et de ressources différentes pour progresser. Vous pouvez aussi régresser vers un niveau antérieur, si vous ne pouvez pas suivre l’offre et la demande. Niveau deux pourrait nécessiter des fontaines et des jardins pour maintenir le statu quo et, pour les avoir, vous pouvez avoir besoin d’autres ressources encore, ce qui rend la micro-gestion plus intense. Il y a vingt ans, cette façon de jouer était la norme ; de nos jours, cependant, cela ressemble davantage aux généraux en fauteuil. À nouveau, si je le compare à une version moderne du genre, comme Frostpunk, il me semble que quelque chose est manquant. Il n’y a pas d’innovation, seulement une résolution plus haute que celle de Zeus auquel j’ai joué il y a vingt ans. C’était un peu décevant. Cela dit, il n’y a rien de « mal » dans le jeu, mais il y a ce « il aurait été chouette si » qui manque, si vous voyez ce que je veux dire. Il reste très prenant et vous pouvez y jouer pendant tout un après-midi indolent de dimanche sans jamais remarquer l’heure. Si vous voulez quelque chose de nostalgique, ce jeu ne vous decevra pas. Vous pouvez tout simplement le prendre et y jouer sans lire un manuel. Les mécanismes sont simples et faciles à apprendre, ce qui rend l'entrée dans le jeu accessible à tous. Comme pour tous les jeux du même type avant celui-ci, il y a un peu de rejouabilité, mais pas beaucoup.
+Contrairement à SimCity, ces types de jeu introduisent des niveaux où, disons, au premier niveau, il vous suffit de trouver un abri et de la nourriture ; le niveau suivant peut être la religion et vous avez maintenant besoin de temples et de ressources différentes pour progresser. Vous pouvez aussi régresser vers un niveau antérieur, si vous ne pouvez pas suivre l’offre et la demande. Le niveau deux pourrait nécessiter des fontaines et des jardins pour maintenir le statu quo et, pour les avoir, vous pouvez avoir besoin d’autres ressources encore, ce qui rend la micro-gestion plus intense. Il y a vingt ans, cette façon de jouer était la norme ; de nos jours, cependant, cela ressemble davantage aux généraux en fauteuil. À nouveau, si je le compare à une version moderne du genre, comme Frostpunk, il me semble que quelque chose est manquant. Il n’y a pas d’innovation, seulement une résolution plus haute que celle de Zeus auquel j’ai joué il y a vingt ans. C’est un peu décevant. Cela dit, il n’y a rien de « mal » dans le jeu, mais il y a ce « ça aurait été chouette si » qui manque, si vous voyez ce que je veux dire. Il reste très prenant et vous pouvez y jouer pendant tout un après-midi indolent de dimanche sans jamais remarquer l’heure. Si vous voulez quelque chose de nostalgique, ce jeu ne vous decevra pas. Vous pouvez tout simplement le prendre et y jouer sans lire un manuel. Les mécanismes sont simples et faciles à apprendre, ce qui rend l'entrée dans le jeu accessible à tous. Comme pour tous les jeux du même type avant celui-ci, il y a un peu de rejouabilité, mais pas beaucoup.