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issue193:inkscape [2023/05/30 08:16] – d52fr | issue193:inkscape [2023/05/31 15:33] (Version actuelle) – auntiee |
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First, let’s take a look at what’s going on inside the SVG file itself. You can simply open it in a text editor, but as this is an Inkscape column, I’m going to look at it via the Edit > XML Editor… option (below).** | First, let’s take a look at what’s going on inside the SVG file itself. You can simply open it in a text editor, but as this is an Inkscape column, I’m going to look at it via the Edit > XML Editor… option (below).** |
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La première chose à faire est de charger le fichier SVG directement dans un navigateur Web et de voir ce qui s'affiche. Vous ne gagnerez pas de prix en devinant que seule la première page est affichée. Il s'agit tout simplement du même comportement qu'un document Inkscape d'une seule page. On pourrait arguer que le principal objectif de l'outil multi-pages est d'importer et d'exporter des PDF, et qu'il n'est donc pas surprenant qu'un navigateur Web n'affiche pas les pages supplémentaires, mais puisque SVG est un format de première classe pour le Web, il semble dommage qu'il n'y ait pas de moyen facile de visualiser les autres pages. Mais le mot clé est « facile ». Si vous êtes prêt à faire preuve d'un peu de technique, il est possible de contourner cette limitation. | La première chose à faire est de charger le fichier SVG directement dans un navigateur Web et de voir ce qui s'affiche. Vous ne gagnerez pas de prix en devinant que seule la première page est affichée. Il s'agit tout simplement du même comportement qu'un document Inkscape d'une seule page. On pourrait arguer que le principal objectif de l'outil multi-pages est d'importer et d'exporter des PDF, et qu'il n'est donc pas surprenant qu'un navigateur Web n'affiche pas les pages supplémentaires, mais puisque SVG est un format de première classe pour le Web, il semble dommage qu'il n'y ait pas de moyen facile de visualiser les autres pages. Toutefois, le mot clé est « facile ». Si vous êtes prêt à faire preuve d'un peu de technique, il est possible de contourner cette limitation. |
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Tout d'abord, regardons ce qui se passe à l'intérieur du fichier SVG lui-même. Vous pouvez simplement l'ouvrir dans un éditeur de texte, mais comme il s'agit d'une chronique Inkscape, je vais l'examiner via l'option Édition > Éditeur XML... (ci-dessous). | Tout d'abord, regardons ce qui se passe à l'intérieur du fichier SVG lui-même. Vous pouvez simplement l'ouvrir dans un éditeur de texte, mais comme il s'agit de la rubrique Inkscape, je vais l'examiner via l'option Édition > Éditeur XML... (ci-dessous). |
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Dans le panneau de gauche, nous pouvons voir l'arbre des éléments XML qui composent notre fichier. Au sommet se trouve le noeud « racine », représenté par <svg:svg ...>, suivi par <sodipodi:namedview ...>. Si vous ne connaissez pas Inkscape, vous ne savez peut-être pas qu'il a été dérivé d'un ancien programme appelé Sodipodi, dont les empreintes sont encore présentes dans les fichiers SVG d'Inkscape. Dans ce cas, nous avons un élément <namedview> qui se trouve dans l'espace de noms « sodipodi ». Les espaces de noms sont un moyen de mélanger plusieurs langages XML différents dans un seul fichier et de s'assurer qu'ils n'entrent pas en conflit les uns avec les autres. Dans le cas d'Inkscape, cela signifie que tout ce qui se trouve dans les espaces de noms « sodipodi » ou « inkscape » ne fait pas partie de la norme SVG et sera simplement ignoré par la plupart des autres programmes. | Dans le panneau de gauche, nous pouvons voir l'arbre des éléments XML qui composent notre fichier. Au sommet se trouve le noeud « racine », représenté par <svg:svg ...>, suivi par <sodipodi:namedview ...>. Si vous ne connaissez pas Inkscape, vous ne savez peut-être pas qu'il a été dérivé d'un ancien programme appelé Sodipodi, dont les empreintes sont encore présentes dans les fichiers SVG d'Inkscape. Dans ce cas, nous avons un élément <namedview> qui se trouve dans l'espace de noms « sodipodi ». Les espaces de noms sont un moyen de mélanger plusieurs langages XML différents dans un seul fichier et de s'assurer qu'ils n'entrent pas en conflit les uns avec les autres. Dans le cas d'Inkscape, cela signifie que tout ce qui se trouve dans les espaces de noms « sodipodi » ou « inkscape » ne fait pas partie de la norme SVG et sera simplement ignoré par la plupart des autres programmes. |
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Comme l'indique son héritage Sodipodi, l'élément <namedview> est présent dans les fichiers Inkscape depuis le début. Il contient des métadonnées sur la façon dont le fichier doit être affiché lorsqu'il est chargé dans Inkscape : c'est là que vous trouverez les attributs XML qui stockent la taille de la fenêtre, le facteur de zoom et la couleur de la page, entre autres choses. Mais avec un document Inkscape de plusieurs pages, l'élément <namedview> a gagné quelque chose d'autre : des enfants. Le développement de l'entrée <namedview> dans l'éditeur XML révèle un élément <inkscape:page ...> pour chaque page de votre document. Pour clarifier, il s'agit d'éléments <page> dans l'espace de noms « inkscape », de sorte que d'autres applications - y compris votre navigateur Web - ne savent pas quoi en faire. | Comme l'indique son héritage Sodipodi, l'élément <namedview> est présent dans les fichiers Inkscape depuis le début. Il contient des métadonnées sur la façon dont le fichier doit être affiché lorsqu'il est chargé dans Inkscape : c'est là que vous trouverez notamment les attributs XML qui stockent la taille de la fenêtre, le facteur de zoom et la couleur de la page. Mais avec un document Inkscape de plusieurs pages, l'élément <namedview> a gagné quelque chose d'autre : des enfants. Le développement de l'entrée <namedview> dans l'éditeur XML révèle un élément <inkscape:page ...> pour chaque page de votre document. Pour clarifier, il s'agit d'éléments <page> dans l'espace de noms « inkscape », de sorte que d'autres applications - y compris votre navigateur Web - ne savent pas quoi en faire. |
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Lors du chargement d'un fichier SVG dans un navigateur Web, il existe une astuce peu connue qui permet de remplacer la définition viewBox par défaut de l'élément principal <svg>. J'ai déjà abordé ce sujet dans la partie 79 de cette série (numéro 139 du FCM), mais en résumé, vous pouvez utiliser l'« identifiant de fragment » de l'URL du fichier pour spécifier les valeurs x, y, largeur et hauteur de la viewBox que vous souhaitez utiliser. Voyons cela avec un exemple : tout d'abord, nous chargeons le fichier SVG directement dans Firefox et, comme prévu, nous ne voyons que la première page. | Lors du chargement d'un fichier SVG dans un navigateur Web, il existe une astuce peu connue qui permet de remplacer la définition viewBox par défaut de l'élément principal <svg>. J'ai déjà abordé ce sujet dans la partie 79 de cette série (numéro 139 du FCM), mais en résumé, vous pouvez utiliser l'« identifiant de fragment » de l'URL du fichier pour spécifier les valeurs x, y, largeur et hauteur de la viewBox que vous souhaitez utiliser. Voyons cela avec un exemple : tout d'abord, nous chargeons le fichier SVG directement dans Firefox et, comme prévu, nous ne voyons que la première page. |
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Pour accéder aux autres pages, nous devons d'abord trouver les coordonnées (x, y) et les dimensions (largeur, hauteur) de l'élément <inkscape:page> correspondant. Vous pouvez voir sur la capture d'écran de l'éditeur XML qu'Inkscape stocke ces valeurs avec une précision assez élevée mais, en pratique, vous pouvez généralement les tronquer à quelques décimales seulement - peut-être même moins s'il y a un peu d'espace libre entre le bord de la page et le contenu. Vous devez ensuite prendre ces valeurs, les échanger contre la chaîne suivante et ajouter le tout à l'URL dans votre navigateur web : | Pour accéder aux autres pages, nous devons d'abord trouver les coordonnées (x, y) et les dimensions (largeur, hauteur) de l'élément <inkscape:page> correspondant. Vous pouvez voir sur la capture d'écran de l'éditeur XML qu'Inkscape stocke ces valeurs avec une précision assez élevée mais, en pratique, vous pouvez généralement les tronquer à quelques décimales seulement - peut-être même moins s'il y a un peu d'espace libre entre le bord de la page et le contenu. Vous devez ensuite prendre ces valeurs, les échanger contre la chaîne suivante et ajouter le tout à l'URL dans votre navigateur web : |
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Cette syntaxe fonctionne partout où le navigateur s'attend à une URL d'image ; ainsi, les développeurs Web peuvent l'utiliser dans des éléments <img> et même dans des valeurs url() du CSS. | Cette syntaxe fonctionne partout où le navigateur s'attend à une URL d'image ; ainsi, les développeurs Web peuvent l'utiliser dans des éléments <img> et même dans des valeurs url() du CSS. |
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C'est une brillante astuce qui vous donne accès à toutes les pages d'un fichier Inkscape multi-page, mais elle n'est pas sans limitations. La plus importante d'entre elles, très clairement, est le besoin d'aller fouiller dans le fichier SVG pour trouver la taille et la position de la page, puis de copier ces valeurs directement dans l'URL. Le lien résultant manque de clarté - cette combinaison spécifique de nombres n'exprime pas « page 2 » clairement au non-initié. Cependant, SVG nous permet aussi d'ajouter des « named views » (vues nommées) au fichier (rien à voir avec l'élément <sodipodi:namedView>), qui implique encore d'extraire les valeurs « magiques », mais qui nous permet au moins d'associer chaque viewBox à un nom plus significatif. Le point négatif de cette approche est que nous aurons besoin d'éditer le fichier SVG, que ce soit dans un éditeur de texte, ou dans l'éditeur XML d'Inkscape. | C'est une brillante astuce qui vous donne accès à toutes les pages d'un fichier Inkscape multi-page, mais elle n'est pas sans limitations. La plus importante d'entre elles, très clairement, est le besoin d'aller fouiller dans le fichier SVG pour trouver la taille et la position de la page, puis de copier ces valeurs directement dans l'URL. Le lien résultant manque de clarté - cette combinaison spécifique de nombres n'exprime pas « page 2 » au non-initié. Cependant, SVG nous permet aussi d'ajouter des « named views » (vues nommées) au fichier (rien à voir avec l'élément <sodipodi:namedView>), qui implique encore d'extraire les valeurs « magiques », mais qui nous permet au moins d'associer chaque viewBox à un nom plus significatif. Le point négatif de cette approche est que nous aurons besoin d'éditer le fichier SVG, que ce soit dans un éditeur de texte, ou dans l'éditeur XML d'Inkscape. |
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Observant readers may have noticed that only the x value has changed compared with the values for page 2. This makes sense, as the third page is the same size as the others, and has only been displaced horizontally. If your multi-page documents all use the same page size, with the pages aligned in a single row, it will always be the case that only the x value differs between them.** | Observant readers may have noticed that only the x value has changed compared with the values for page 2. This makes sense, as the third page is the same size as the others, and has only been displaced horizontally. If your multi-page documents all use the same page size, with the pages aligned in a single row, it will always be the case that only the x value differs between them.** |
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Si vous êtes à l'aise dans l'édition des fichiers XML, c'est probablement la méthode la plus aisée. Asurez-vous simplement que vous n'avez pas ouvert le fichier dans Inkscape en même temps ; sans quoi, vos modifications manuelles seront écrasées automatiquement. Cette approche est aussi décrite dans la partie 79 de cette série ; aussi, cette fois-ci, en remplacement, je vais vous montrer comme faire les même modifications dans Inkscape. | Si vous êtes à l'aise dans l'édition des fichiers XML, c'est probablement la méthode la plus aisée. Assurez-vous simplement que vous n'avez pas ouvert le fichier dans Inkscape en même temps ; sans quoi, vos modifications manuelles seront écrasées automatiquement. Cette approche est aussi décrite dans la partie 79 de cette série ; aussi, cette fois-ci, je vais vous montrer comme faire les même modifications dans Inkscape. |
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Une fois de plus, j'aurai besoin des paramètres x, y, largeur et hauteur pour l'élément <inkscape:page> correspondant. Cette fois, j'utiliserai les valeurs de la page 3 du fichier. À nouveau, elles sont accessibles en sélectionnant l'élément <inkscape:page> correspondant dans l'éditeur XML et en visualisant les attributs dans le second panneau. Et encore une fois, nous les réduirons à une seule décimale, ce qui donnera : | Une fois de plus, j'aurai besoin des paramètres x, y, largeur et hauteur pour l'élément <inkscape:page> correspondant. Cette fois, j'utiliserai les valeurs de la page 3 du fichier. À nouveau, elles sont accessibles en sélectionnant l'élément <inkscape:page> correspondant dans l'éditeur XML et en visualisant les attributs dans le second panneau. Et encore une fois, nous les réduirons à une seule décimale, ce qui donnera : |
x: 225.3 | x: 225.3 |
y: 0 | y: 0 |
height: 102.6 | height: 102.6 |
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Les lecteurs attentifs noterons peut-être que seule la valeur x a changé par rapport aux valeurs de la page 2. Ça se comprend, car la page trois a la même taille que les autres et qu'elle est uniquement déplacée horizontalement. Si vos documents multi-pages utilisent la même taille de page et que les pages sont sur la même ligne, seule la valeur x diffèrera entre elles. | Les lecteurs attentifs noterons peut-être que seule la valeur x a changé par rapport aux valeurs de la page 2. Ça se comprend, car la page trois a la même taille que les autres et qu'elle est uniquement déplacée horizontalement. Si vos documents multi-pages utilisent la même taille de page et que les pages sont sur la même ligne, seule la valeur x différera entre elles. |
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Nous devons maintenant créer un nouvel élément dans le document, ce que nous pouvons faire via l'éditeur XML. Cet élément peut en fait être placé n'importe où dans le document, et j'ai précédemment préconisé de le placer dans la section <defs> - mais j'ai maintenant changé d'avis. Pour regrouper les éléments similaires, je vais le créer en tant qu'enfant de l'élément <inkscape:page> approprié. Pour ce faire, sélectionnez d'abord l'élément <inkscape:page> dans le volet gauche de l'éditeur XML. Pendant qu'il est en surbrillance, vous pouvez noter les dimensions très importantes qui sont affichées dans le deuxième volet (qui pourrait en fait être en dessous plutôt qu'à droite, selon les boutons d'orientation en bas à droite de la boîte de dialogue). | Nous devons maintenant créer un nouvel élément dans le document, ce que nous pouvons faire via l'éditeur XML. Cet élément peut en fait être placé n'importe où dans le document, et j'ai précédemment préconisé de le placer dans la section <defs> - mais j'ai maintenant changé d'avis. Pour regrouper les éléments similaires, je vais le créer en tant qu'enfant de l'élément <inkscape:page> approprié. Pour ce faire, sélectionnez d'abord l'élément <inkscape:page> dans le volet gauche de l'éditeur XML. Pendant qu'il est en surbrillance, vous pouvez noter les dimensions très importantes qui sont affichées dans le deuxième volet (qui pourrait en fait être en dessous plutôt qu'à droite, selon les boutons d'orientation en bas à droite de la boîte de dialogue). |
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L'élément existant étant sélectionné, cliquez sur le premier bouton de la barre d'outils de la boîte de dialogue : « Nouveau nœud élément ». Cela ouvrira une boîte de dialogue beaucoup plus petite avec un seul champ de texte et quelques boutons, où vous devrez saisir le nom (y compris la référence à l'espace de noms) du nouvel élément que vous souhaitez créer. Dans ce cas, la chaîne à saisir est "svg:view" - sans espace, ni guillemets. | L'élément existant étant sélectionné, cliquez sur le premier bouton de la barre d'outils de la boîte de dialogue : « Nouveau nœud élément ». Cela ouvrira une boîte de dialogue beaucoup plus petite avec quelques boutons et un seul champ de texte, où vous devrez saisir le nom (y compris la référence à l'espace de noms) du nouvel élément que vous souhaitez créer. Dans ce cas, la chaîne à saisir est "svg:view" - sans espaces, ni guillemets. |
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Now repeat the process to add a second attribute, this time with a name of ‘viewBox’ (watch the capitalization), and a value of your four values, separated by space characters, in the order ‘x y width height’. If all has gone well, the XML editor should look something like that shown below.** | Now repeat the process to add a second attribute, this time with a name of ‘viewBox’ (watch the capitalization), and a value of your four values, separated by space characters, in the order ‘x y width height’. If all has gone well, the XML editor should look something like that shown below.** |
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Cliquez sur le bouton « Créer » et vous devriez constater que votre nouvel élément apparaît dans le premier volet en tant qu'enfant de <inkscape:page>. Il devrait déjà être sélectionné, sans aucun attribut dans le second volet. Nous allons devoir ajouter deux attributs à cet élément. Commençons par l'attribut « id », que vous pouvez créer en cliquant sur le bouton « + » en haut du deuxième volet et en saisissant « id » dans le champ de nom qui apparaît dans la liste ci-dessous. Lorsque vous appuyez sur la touche « Entrée », le champ « Valeur » s'affiche, et c'est dans ce champ que vous devez indiquer le nom plus sémantique que vous souhaitez utiliser pour la page. Notez qu'il s'agit d'un ID XML, ce qui signifie qu'il ne peut pas contenir de caractères d'espacement - donc pas de « Page 3 » par exemple. En pratique, il est préférable de s'en tenir aux caractères alphanumériques, aux traits de soulignement et aux traits d'union. Le premier caractère doit être une lettre, et j'ai tendance à m'en tenir aux minuscules. En pratique, quelque chose comme « page-3 » est donc idéal. | Cliquez sur le bouton « Créer » et vous devriez constater que votre nouvel élément apparaît dans le premier volet en tant qu'enfant de <inkscape:page>. Il devrait déjà être sélectionné, sans aucun attribut dans le second volet. Nous allons devoir ajouter deux attributs à cet élément. Commençons par l'attribut « id », que vous pouvez créer en cliquant sur le bouton « + » en haut du deuxième volet et en saisissant « id » dans le champ de nom qui apparaît dans la liste en dessous. Lorsque vous appuyez sur la touche « Entrée », le champ « Valeur » s'affiche, et c'est dans ce champ que vous devez indiquer le nom plus sémantique que vous souhaitez utiliser pour la page. Notez qu'il s'agit d'un ID XML, ce qui signifie qu'il ne peut pas contenir de caractères d'espacement - donc pas de « Page 3 » par exemple. En pratique, il est préférable de s'en tenir aux caractères alphanumériques, aux traits de soulignement et aux traits d'union. Le premier caractère doit être une lettre, et j'ai tendance à m'en tenir aux minuscules. En pratique, quelque chose comme « page-3 » est donc idéal. |
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Répétez le processus pour ajouter un deuxième attribut, cette fois avec un nom de « viewBox » (attention aux majuscules), et une valeur de vos quatre valeurs, séparées par des caractères d'espacement, dans l'ordre « x y width height ». Si tout s'est bien passé, l'éditeur XML devrait ressembler à l'illustration ci-dessous. | Répétez le processus pour ajouter un deuxième attribut, cette fois avec un nom de « viewBox » (attention aux majuscules), et une valeur de vos quatre valeurs, séparées par des caractères d'espacement, dans l'ordre « x y largeur hauteur ». Si tout s'est bien passé, l'éditeur XML devrait ressembler à l'illustration ci-dessous. |
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Répétez ce processus pour chaque page, en utilisant les valeurs appropriées et des ID différents avant d'enregistrer votre fichier pour écrire vos modifications sur le disque. Ensuite, pour voir une page dans le navigateur, vous n'avez qu'à utiliser l'URL de base de votre fichier SVG en lui ajoutant un dièse (#) suivi de l'ID de la page. Ainsi, dans cet exemple, l'URL devient « .../multi_page.svg#page-3 » : | Répétez ce processus pour chaque page, en utilisant les valeurs appropriées et des ID différents avant d'enregistrer votre fichier pour écrire vos modifications sur le disque. Ensuite, pour voir une page dans le navigateur, vous n'avez qu'à utiliser l'URL de base de votre fichier SVG en lui ajoutant un dièse (#) suivi de l'ID de la page. Ainsi, dans cet exemple, l'URL devient « .../multi_page.svg#page-3 » : |
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Une fois de plus, cette astuce fonctionne dans tous les cas où le navigateur attend une URL, y compris les balises <img> et le CSS. En pratique, je suggère de choisir des identifiants plus parlants que la simple « page-n » si vous le pouvez. Supposons que nous ayons utilisé « spirale-jaune » comme identifiant dans ce cas : si nous voulions par la suite réorganiser les pages dans le document SVG, nous n'aurions qu'à mettre à jour les coordonnées dans les éléments <svg:view> ; tout site Web faisant référence à la page par cet identifiant continuerait à fonctionner sans modification. | Une fois de plus, cette astuce fonctionne dans tous les cas où le navigateur attend une URL, y compris les balises <img> et le CSS. En pratique, je suggère de choisir des identifiants plus parlants que la simple « page-n » si vous le pouvez. Supposons que nous ayons utilisé « spirale-jaune » comme identifiant dans ce cas : si nous voulions par la suite réorganiser les pages dans le document SVG, nous n'aurions qu'à mettre à jour les coordonnées dans les éléments <svg:view>, mais tout site Web faisant référence à la page par cet identifiant continuerait à fonctionner sans modification. |
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**Perhaps you can now see why I think the Inkscape developers made a mistake when implementing multi-page support. The <inkscape:page> element has attributes for an ID, an optional label (in the ‘inkscape’ namespace), and the four dimension and position values. The SVG standard <view> element, on the other hand, has an ID and a viewBox (which consists of the four dimension and position values). It’s lacking a label attribute, but this could legitimately be added within the ‘inkscape’ namespace, without breaking any XML or SVG rules. I fail to see, therefore, why the Inkscape developers chose to use a non-standard <page> element in their own namespace, rather than just use the existing SVG <view> element, adding custom attributes where required. Had they done so, every Inkscape page would automatically get a named view, and therefore be much easier to access via a web browser. | **Perhaps you can now see why I think the Inkscape developers made a mistake when implementing multi-page support. The <inkscape:page> element has attributes for an ID, an optional label (in the ‘inkscape’ namespace), and the four dimension and position values. The SVG standard <view> element, on the other hand, has an ID and a viewBox (which consists of the four dimension and position values). It’s lacking a label attribute, but this could legitimately be added within the ‘inkscape’ namespace, without breaking any XML or SVG rules. I fail to see, therefore, why the Inkscape developers chose to use a non-standard <page> element in their own namespace, rather than just use the existing SVG <view> element, adding custom attributes where required. Had they done so, every Inkscape page would automatically get a named view, and therefore be much easier to access via a web browser. |
Vous comprenez peut-être maintenant pourquoi je pense que les développeurs d'Inkscape ont fait une erreur en mettant en place le support multi-pages. L'élément <inkscape:page> possède des attributs pour un ID, un label optionnel (dans l'espace de noms « inkscape »), et les quatre valeurs de dimension et de position. L'élément SVG standard <view>, quant à lui, possède un identifiant et une boîte de visualisation (viewBox) (qui comprend les quatre valeurs de dimension et de position). Il lui manque un attribut label, mais celui-ci pourrait légitimement être ajouté dans l'espace de noms « inkscape », sans enfreindre les règles XML ou SVG. Je ne vois donc pas pourquoi les développeurs d'Inkscape ont choisi d'utiliser un élément <page> non standard dans leur propre espace de noms, plutôt que d'utiliser simplement l'élément SVG <view> existant, en ajoutant des attributs personnalisés là où c'est nécessaire. S'ils l'avaient fait, chaque page Inkscape aurait automatiquement reçu une vue nommée, et serait donc beaucoup plus facile d'accès via un navigateur Web. | Vous comprenez peut-être maintenant pourquoi je pense que les développeurs d'Inkscape ont fait une erreur en mettant en place le support multi-pages. L'élément <inkscape:page> possède des attributs pour un ID, un label optionnel (dans l'espace de noms « inkscape »), et les quatre valeurs de dimension et de position. L'élément SVG standard <view>, quant à lui, possède un identifiant et une boîte de visualisation (viewBox) (qui comprend les quatre valeurs de dimension et de position). Il lui manque un attribut label, mais celui-ci pourrait légitimement être ajouté dans l'espace de noms « inkscape », sans enfreindre les règles XML ou SVG. Je ne vois donc pas pourquoi les développeurs d'Inkscape ont choisi d'utiliser un élément <page> non standard dans leur propre espace de noms, plutôt que d'utiliser simplement l'élément SVG <view> existant, en ajoutant des attributs personnalisés là où c'est nécessaire. S'ils l'avaient fait, chaque page Inkscape aurait automatiquement reçu une vue nommée, et serait donc beaucoup plus facile d'accès via un navigateur Web. |
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Malheureusement, cette occasion manquée oblige les utilisateurs à extraire les détails de la boîte de visualisation de chaque page afin de construire un identifiant de fragment #svgView(...) approprié, ou de créer manuellement leurs propres éléments <view> pour obtenir le même effet, mais avec des URL plus jolies. Le mois prochain, nous examinerons une approche différente pour « résoudre » ce problème - bien qu'elle soit malheureusement assortie de ses propres limites. | Malheureusement, cette occasion manquée oblige les utilisateurs à extraire les détails de la boîte de visualisation de chaque page afin de construire un identifiant de fragment #svgView(...) approprié, ou de créer manuellement leurs propres éléments <view> pour obtenir le même effet, mais avec des URL plus jolies. Le mois prochain, nous examinerons une approche différente pour « résoudre » ce problème - bien qu'elle arrive malheureusement avec ses propres limites. |
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