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issue50:linuxlab [2011/07/27 15:08] – auntiee | issue50:linuxlab [2011/08/08 16:51] (Version actuelle) – fredphil91 |
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Gnome Shell and Unity are the Gnome-based desktops designed from the start with usability and new users in mind. Unity is native to Ubuntu and its derivatives, whereas Gnome Shell will be available across many distributions.** | Gnome Shell and Unity are the Gnome-based desktops designed from the start with usability and new users in mind. Unity is native to Ubuntu and its derivatives, whereas Gnome Shell will be available across many distributions.** |
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Unity est une tentative quelque peu condescendante d'Ubuntu de créer un environnement de bureau axé sur la facilité d'usage. Il a tendance à se croire supérieur au bureau Gnome classique, qui se voulait toujours fonctionnel plutôt que chic, mais qui rend de grands services aux utilisateurs de Linux depuis plusieurs années. Gnome 3, avec Gnome Shell, apporte de changements majeurs aussi. | Unity est une tentative quelque peu condescendante d'Ubuntu de créer un environnement de bureau axé sur la facilité d'usage. Il a tendance à se croire supérieur au bureau Gnome classique, qui se voulait toujours fonctionnel plutôt que chic, mais qui rend de grands services aux utilisateurs de Linux depuis plusieurs années. Gnome 3, avec Gnome Shell, apporte des changements majeurs aussi. |
Gnome Shell et Unity sont des bureaux basés sur Gnome, axés depuis le début sur la facilité d'usage et les nouveaux utilisateurs. Unity est natif dans Ubuntu et ses dérivés, alors que Gnome Shell sera disponible pour beaucoup de distributions. | Gnome Shell et Unity sont des bureaux basés sur Gnome, axés depuis le début sur la facilité d'usage et les nouveaux utilisateurs. Unity est natif dans Ubuntu et ses dérivés, alors que Gnome Shell sera disponible pour beaucoup de distributions. |
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Le nouvel utilisateur veut des signaux visuels pour tout ; une simplicité de mise en page, des messages et des notifications ; et, aussi, la possibilité de verrouiller facilement des programmes favoris et des fichiers là où ils seront accessibles d'un simple clic. De la même façon, ils veulent pouvoir trouver rapidement ... tout le reste. Le passionné d'informatique, en revanche, veut la liberté de personnaliser et de paramétrer un environnement de travail pour un usage quotidien. Alors, qu'est-ce qu'on leur donne ? | Le nouvel utilisateur veut des signaux visuels pour tout ; une simplicité de mise en page, des messages et des notifications ; et, aussi, la possibilité de verrouiller facilement des programmes favoris et des fichiers là où ils seront accessibles d'un simple clic. De la même façon, ils veulent pouvoir trouver rapidement ... tout le reste. Le passionné d'informatique, en revanche, veut la liberté de personnaliser et de paramétrer un environnement de travail pour un usage quotidien. Alors, qu'est-ce qu'on leur donne ? |
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Les deux sont des « shells » (des interpréteurs de commande) de bureau. Ce sont des interfaces qui interagissent avec le même dorsal Gnome et avec des applications. Superficiellement, ils sont tous les deux guidés par des principes de conception partagés - et même l'un par l'autre, puisque ce sont des développements concomitants. Rajouter un touche de Macintosh, une grande pincée d'interfaces, de lecteurs de musique aux téléphones portables, et le résultat est un énorme choc culturel si on les compare aux bureaux connus. Cela se traduit par une utilisation plus intensive de la souris et plus de changements d'écran et de panneaux qu'avec le Gnome 2 classique. Les deux proposent nettement moins d'options de personnalisation, cernant les utilisateurs indisciplinés qui autrement auraient tendance à s'échapper du standard défini. Trouver les autres contrôles dont vous avez besoin nécessitera de patientes recherches loin en dessous du bureau principal. | Les deux sont des « shells » (des interpréteurs de commande) de bureau. Ce sont des interfaces qui interagissent avec le même dorsal Gnome et avec des applications. Superficiellement, ils sont tous les deux guidés par des principes de conception partagés - et même l'un par l'autre, puisque ce sont des développements concomitants. Rajouter une touche de Macintosh, une grande pincée d'interfaces, des lecteurs de musique aux téléphones portables, et le résultat est un énorme choc culturel si on les compare aux bureaux connus. Cela se traduit par une utilisation plus intensive de la souris et plus de changements d'écrans et de panneaux qu'avec le Gnome 2 classique. Les deux proposent nettement moins d'options de personnalisation, cernant les utilisateurs indisciplinés qui, autrement, auraient tendance à s'échapper du standard défini. Trouver les autres contrôles dont vous avez besoin nécessitera de patientes recherches loin en dessous du bureau principal. |
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**Panels and Launchers | **Panels and Launchers |
Les deux shells mettent leur panneaux sur la gauche de l'écran ; le « Dashboard » (tableau de bord) dans Gnome 3, le « Launcher » (lanceur) dans Unity. Les concepteurs croient que cela fonctionne mieux pour les netbooks et autres écrans « paysages », c'est là donc que les panneaux sont fixés. Gnome 3 se sert d'un minimum de deux écrans ; un bureau de travail sur lequel tournent les programmes et le bureau Gnome Shell en plein écran pour configurer et lancer des programmes. Unity garde un lanceur (ou dock) avec un menu contextuel en haut de l'écran et tous les programmes qui tournent sur un seul écran, qui est toujours visible. | Les deux shells mettent leur panneaux sur la gauche de l'écran ; le « Dashboard » (tableau de bord) dans Gnome 3, le « Launcher » (lanceur) dans Unity. Les concepteurs croient que cela fonctionne mieux pour les netbooks et autres écrans « paysages », c'est là donc que les panneaux sont fixés. Gnome 3 se sert d'un minimum de deux écrans ; un bureau de travail sur lequel tournent les programmes et le bureau Gnome Shell en plein écran pour configurer et lancer des programmes. Unity garde un lanceur (ou dock) avec un menu contextuel en haut de l'écran et tous les programmes qui tournent sur un seul écran, qui est toujours visible. |
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Le Dashboard de Gnome Shell s'affichent en plein écran et vous donne un aperçu des applications en cours d'exécution. Lorsque de plus en plus de programmes sont ouverts, il diminue la taille de toutes les miniatures. Le panneau du haut, appelé « Activities », contient une boîte où vous pouvez rechercher des applications. Le Launcher d'Unity entoure les applications en cours d'exécution de petites flèches, ce qui remplace les boutons du « task-switcher » (pour changer de tâche). D'aucuns disent qu'ils gagnent de la place d'élégante façon, mais moi, je les trouve inutilement illisible. Le Launcher s'occupe du trop-plein d'icônes d'applications en affichant une pile en accordéon en bas de l'unique colonne ; elle s'ouvre rapidement que vous avez besoin de les parcourir. J'aimerais mieux une meilleure façon de gérer l'unique colonne, dès le départ. Unity propose un genre de tableau de bord : « Application Spaces » est un panneau en quasi plein-écran qui affiche toutes les applications installées. Il se filtre par catégorie (l'équivalent des catégories du menu principal dans Gnome 2) et comprend un champ de recherche dans le panneau du tableau de bord même. Je trouve que cela gère mal l'espace écran disponible, affichant une ligne d'applications plus un lien qui vous dit combien de celles-ci ne sont pas afficheés - même s'il n'y en a qu'une. | Le Dashboard de Gnome Shell s'affiche en plein écran et vous donne un aperçu des applications en cours d'exécution. Lorsque de plus en plus de programmes sont ouverts, il diminue la taille de toutes les miniatures. Le panneau du haut, appelé « Activities », contient une boîte où vous pouvez rechercher des applications. Le Launcher d'Unity entoure les applications en cours d'exécution de petites flèches, ce qui remplace les boutons du « task-switcher » (pour changer de tâche). D'aucuns disent qu'ils gagnent de la place d'élégante façon, mais moi, je les trouve inutilement illisible. Le Launcher s'occupe du trop-plein d'icônes d'applications en affichant une pile en accordéon en bas de l'unique colonne ; elle s'ouvre rapidement quand vous avez besoin de les parcourir. J'aimerais mieux une meilleure façon de gérer l'unique colonne, dès le départ. Unity propose un genre de « Dash » ou tableau de bord : « Application Spaces » est un panneau en quasi plein-écran qui affiche toutes les applications installées. Elles peuvent se trier par catégorie (l'équivalent des catégories du menu principal dans Gnome 2) et il y a un champ de recherche dans le panneau du « Dash » (tableau de bord) même. Je trouve que cela gère mal l'espace écran disponible, affichant une ligne d'applications plus un lien qui vous dit combien de celles-ci ne sont pas affichées - même s'il n'y en a qu'une. |
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**And this is the problem I have with both shells; struggling so hard to eliminate drop-down menus in favor of more visual icons and dashboards, they impose on the user the need to learn these new working methods without actually making things any easier. The right-click context menu has disappeared, and a whole chunk of productivity with it. | **And this is the problem I have with both shells; struggling so hard to eliminate drop-down menus in favor of more visual icons and dashboards, they impose on the user the need to learn these new working methods without actually making things any easier. The right-click context menu has disappeared, and a whole chunk of productivity with it. |
By default, neither interface allows custom window resizing. It’s default or maximum. Both use hot-spots on the edges of the desktops to minimize or maximize, or to tile windows. Gnome 3 even eliminates title-bar buttons forcing you to rely on the hot spots. This all seems like enforced conformity, limiting user choice for no clear benefit.** | By default, neither interface allows custom window resizing. It’s default or maximum. Both use hot-spots on the edges of the desktops to minimize or maximize, or to tile windows. Gnome 3 even eliminates title-bar buttons forcing you to rely on the hot spots. This all seems like enforced conformity, limiting user choice for no clear benefit.** |
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Et c'est cela qui me gène dans les deux shells ; en faisant un énorme effort pour éliminer les menus déroulant au profit d'icônes et de tableaux de bords, qui se voient plus facilement, ils infligent à l'utilisateur la nécessité d'apprendre ces nouvelles méthodes de travail, sans pour autant rendre les choses plus faciles. Le menu contextuel obtenu par un clic droite a disparu et une bonne partie de la productivité avec. | Et c'est cela qui me gêne dans les deux shells ; en faisant un énorme effort pour éliminer les menus déroulant au profit d'icônes et de tableaux de bords, qui se voient plus facilement, ils infligent à l'utilisateur la nécessité d'apprendre ces nouvelles méthodes de travail, sans pour autant rendre les choses plus faciles. Le menu contextuel obtenu par un clic droit a disparu et une bonne partie de la productivité avec. |
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La gestion des fenêtres | La gestion des fenêtres |
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Par défaut, ni l'une ni l'autre des interface permet le redimensionnement personnalisé des fenêtres. C'est ou par défaut, ou maximisée. Les deux utilisent des « hot spots » (points d'ancrage) sur les bords des bureaux pour les minimiser, maximiser ou les mettre en mosaïque. Gnome 3 élimine même les boutons de la barre de titres, ce qui vous oblige à vous tourner vers les hot spots. Tout cela me paraît être une conformité imposée, la limitation des choix de l'utilisateur sans raison ni bénéfice apparante. | Par défaut, ni l'une ni l'autre des interface ne permet le redimensionnement personnalisé des fenêtres. C'est ou par défaut, ou maximisée. Les deux utilisent des « hot spots » (points d'ancrage) sur les bords des bureaux pour les minimiser, maximiser ou les mettre en mosaïque. Gnome 3 élimine même les boutons de la barre de titres, ce qui vous oblige à vous tourner vers les hot spots. Tout cela me paraît être une conformité imposée, la limitation des choix de l'utilisateur sans raison ni bénéfice apparent. |
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**Customization | **Customization |
Personnalisation | Personnalisation |
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Les deux interface proposent des barres nues, verrouillées en haut de l'écran ; vous avez une horloge et une collection d'indicateurs : des contrôles pour le son, les batteries, le réseaux et les renseignements du compte utilisateur. Gnome 3 se sert également de ce panneau pour y mettre un indicateur de tâches - mais ce n'est pas le cas d'Unity. Oui, vous avez au moins la possibilité de changer de couleurs et de fonds d'écran dans les deux. Unity accepte de cacher le panneau automatiquement (mais seulement sur la gauche), Gnome ne le fait pas. Au-delà de cela, la personnalisation de votre bureau est sujette aux controverses. Vous voulez ajouter des applets à la barre de votre bureau ou des lanceurs d'application sur le bureau ? Gnome 3 ne vous donne pas du tout la possibilité d'avoir des icônes sur le bureau et la conception d'Unity vous en tient à l'écart. | Les deux interface proposent des barres nues, verrouillées en haut de l'écran ; vous avez une horloge et une collection d'indicateurs : des contrôles pour le son, les batteries, les réseaux et les renseignements du compte utilisateur. Gnome 3 se sert également de ce panneau pour y mettre un indicateur de tâches - mais ce n'est pas le cas d'Unity. Oui, vous avez au moins la possibilité de changer de couleurs et de fond d'écran dans les deux. Unity accepte de cacher le panneau automatiquement (mais seulement sur la gauche), Gnome ne le fait pas. Au-delà de cela, la personnalisation de votre bureau est sujette aux controverses. Vous voulez ajouter des applets à la barre de votre bureau ou des lanceurs d'application sur le bureau ? Gnome 3 ne vous donne pas du tout la possibilité d'avoir des icônes sur le bureau et la conception d'Unity vous en tient à l'écart. |
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**Verdict | **Verdict |
Il se peut qu'Unity ait l'avantage pour ce qui concerne l'élégance de la conception. Bien que Gnome 3 gère mieux les espaces de travail virtuels, il donne l'impression d'être toujours en train de remédier à une complexité qui n'aurait jamais dû survivre à la première version bêta. Unity, au moins, affiche des notifications, écrites dans une langue de tous les jours, qui sont utiles. Gnome 3 est plutôt maussade. | Il se peut qu'Unity ait l'avantage pour ce qui concerne l'élégance de la conception. Bien que Gnome 3 gère mieux les espaces de travail virtuels, il donne l'impression d'être toujours en train de remédier à une complexité qui n'aurait jamais dû survivre à la première version bêta. Unity, au moins, affiche des notifications, écrites dans une langue de tous les jours, qui sont utiles. Gnome 3 est plutôt maussade. |
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J'ai un problème avec le tableau de bord dans les deux. Trouver une application dans une panoplie d'icônes n'est pas quelque chose que je veux devoir faire régulièrement, ni dans l'un ni dans l'autre. Ils ont aplani la hiérarchie des menus déroulants et il ne reste plus que des foules d'icônes multicolores. Au même moment, la gestion des fichiers est laissée pour compte : ils n'y ont presque pas touché. Oui, je sais que, bientôt, tous nos « trucs » seront sauvegardés dans les nuages, mais ce n'est pas pour maintenant. « Maintenant », nous avons toujours le gestionnaire de fichiers, Nautilus, avec tous ses limitations et ses défauts. | J'ai un problème avec le tableau de bord dans les deux. Trouver une application dans une panoplie d'icônes n'est pas quelque chose que je veux devoir faire régulièrement, ni dans l'un ni dans l'autre. Ils ont aplani la hiérarchie des menus déroulants et il ne reste plus que des foules d'icônes multicolores. Au même moment, la gestion des fichiers est laissée pour compte : ils n'y ont presque pas touché. Oui, je sais que, bientôt, tous nos « trucs » seront sauvegardés dans les nuages, mais ce n'est pas pour maintenant. « Maintenant », nous avons toujours le gestionnaire de fichiers, Nautilus, avec toutes ses limitations et ses défauts. |
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**It seems to me they both fall uncomfortably between netbook and smartphone, using grids of icons and non-linear operations. I've seen it called “the smart-phone, one-size-fits-all approach.” I'm not sure this is the way to world domination. Why so much mousing-around the desktop? Do I want to have to learn the keyboard shortcuts? In which case why bother switching from classic Gnome desktop at all? I can’t help thinking KDE 4.x does much of this so much better? | **It seems to me they both fall uncomfortably between netbook and smartphone, using grids of icons and non-linear operations. I've seen it called “the smart-phone, one-size-fits-all approach.” I'm not sure this is the way to world domination. Why so much mousing-around the desktop? Do I want to have to learn the keyboard shortcuts? In which case why bother switching from classic Gnome desktop at all? I can’t help thinking KDE 4.x does much of this so much better? |
If you're a new Linux user, these shells are going to confuse the beejeezus out of you, whilst frustrating the living daylights out of veteran hackers. It might work for the young and open-minded, the just-getting-things-done, social-surfing, living-on-line users. On small, light-weight machines, under casual use, Unity and Gnome Shell could work well. But at some stage, the new user becomes a veteran, and productivity will hit brick walls deliberately built by both. Unfinished brick walls at that; Gnome 3 might yet ditch some of its complexity; I am also aware that Unity has evolved fast and is not in its finished form. Who knows what changes will come from real-world use of what is effectively a large-scale public beta-test?** | If you're a new Linux user, these shells are going to confuse the beejeezus out of you, whilst frustrating the living daylights out of veteran hackers. It might work for the young and open-minded, the just-getting-things-done, social-surfing, living-on-line users. On small, light-weight machines, under casual use, Unity and Gnome Shell could work well. But at some stage, the new user becomes a veteran, and productivity will hit brick walls deliberately built by both. Unfinished brick walls at that; Gnome 3 might yet ditch some of its complexity; I am also aware that Unity has evolved fast and is not in its finished form. Who knows what changes will come from real-world use of what is effectively a large-scale public beta-test?** |
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À mon avis, les deux sont mal à l'aise, se trouvant entre netbook et smartphone, se servant de grilles d'icônes et d'opérations non linéaires. Je l'ai vu décrit comme « l'approche smartphone et taille unique ». Je ne suis pas convaincu que c'est le chemin à prendre pour conquérir le monde. Pourquoi faut-il utiliser la souris tant ? Est-ce que je veux devoir apprendre les raccourcis clavier ? Si c'est le cas, pourquoi ne pas rester avec le bureau Gnome classique et éviter beaucoup d'efforts et d'ennuis. Je ne peux pas m'empêcher de penser que KDE 4.x fait beaucoup du travail bien mieux. | À mon avis, les deux sont mal à l'aise, se trouvant entre netbook et smartphone, se servant de grilles d'icônes et d'opérations non linéaires. Je l'ai vu décrit comme « l'approche smartphone et taille unique ». Je ne suis pas convaincu que c'est le chemin à prendre pour conquérir le monde. Pourquoi faut-il utiliser autant la souris ? Est-ce que je veux devoir apprendre les raccourcis clavier ? Si c'est le cas, pourquoi ne pas rester avec le bureau Gnome classique et éviter beaucoup d'efforts et d'ennuis. Je ne peux pas m'empêcher de penser que KDE 4.x fait bien mieux. |
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Si vous êtes un nouvel utilisateur Linux, ces interfaces vont vous rendre tellement perplexe que vous deviendrez fou, alors que les passionnés d'informatique se verront frustrés à mort. Cela pourrait fonctionner pour ceux à l'esprit ouvert, qui sont jeunes ; les utilisateurs qui veulent tout simplement faire une chose après l'autre, surfer sur les réseaux sociaux et vivre en ligne. Unity et Gnome Shelle pourrait bien fonctionner, sur des petites machines légères pour un usage occasionnel. Mais, à un moment quelconque, le nouvel utilisateur deviendra un vétéran et sa productivité se trouvera bridée par barrières construites délibérément par les deux. Et les barrières ne sont même pas achevées ; il est encore possible que Gnome 3 abandonne une partie de sa complexité ; je sais bien aussi que Unity a évolué rapidement et n'a pas encore atteint sa forme finale. Qui sait quelle modifications naitront de l'utilisation dans le monde réel de ce qui n'est qu'en fait un test bêta publique à très grande échelle. | Si vous êtes un nouvel utilisateur Linux, ces interfaces vont vous rendre tellement perplexe que vous deviendrez fou, alors que les passionnés d'informatique se verront frustrés à mort. Cela pourrait fonctionner pour ceux à l'esprit ouvert, qui sont jeunes ; les utilisateurs qui veulent tout simplement faire une chose après l'autre, surfer sur les réseaux sociaux et vivre en ligne. Unity et Gnome Shell pourraient bien fonctionner, sur des petites machines légères pour un usage occasionnel. Mais, à un moment quelconque, le nouvel utilisateur deviendra un vétéran et sa productivité se trouvera bridée par des barrières construites délibérément par les deux. Et les barrières ne sont même pas achevées ; il est encore possible que Gnome 3 abandonne une partie de sa complexité ; je sais bien aussi qu'Unity a évolué rapidement et n'a pas encore atteint sa forme finale. Qui sait quelles modifications naitront de l'utilisation dans le monde réel de ce qui n'est qu'en fait un test bêta public à très grande échelle. |