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issue89:labo_linux_1 [2015/02/10 18:09] – [2] auntiee | issue89:labo_linux_1 [2015/02/10 18:30] (Version actuelle) – [9] auntiee |
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sudo parted /dev/sdc** | sudo parted /dev/sdc** |
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Les 2 disques durs, celui du système d'exploitation et celui de 2 To pour les données sont de Seagate. Et alors que notre premier disque dur Seagate de 1 To commençait à présenter des erreurs smart au bout d'1 an, les disques de 2 To et de 320 Go ont bien tournés pendant une paire d'années. | Les 2 disques durs, celui du système d'exploitation et celui de 2 To pour les données sont de Seagate. Et alors que notre premier disque dur Seagate de 1 To commençait à présenter des erreurs smart au bout d'1 an, les disques de 2 To et de 320 Go tournent bien depuis deux ans. |
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Le nouveau disque posait un petit problème car nous utilisions du vieux matériel qui ne supportait pas nativement GPT (format de partitionnement du disque) dans le BIOS. Linux supporte GPT, mais il fallait tâtonner un peu pour comprendre comment partitionner et monter l'unité. | Le nouveau disque posait un petit problème car nous utilisions du vieux matériel qui ne supportait pas nativement GPT (format de partitionnement du disque) dans le BIOS. Linux supporte GPT, mais il fallait tâtonner un peu pour comprendre comment partitionner et monter l'unité. D'abord, nous avons essayé de configurer le disque en utilisant : cfdisk /dev/sdc. cfdisk semblait voir l'ensemble des 3 To et quand nous avons formaté le disque, on avait l'impression qu'il le détecterait comme un 3 To ; mais quand nous avons rebooté, nous avons remarqué qu'il le présentait avec 768 Go, une petite partie du total. Nous avons continué à chercher et avons trouvé la solution sur Buildcube : |
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D'abord, nous avons essayé de configurer le disque en utilisant : cfdisk /dev/sdc. cfdisk semblait voir l'ensemble des 3 To et quand nous avons formaté, il semblait qu'il l'avait bien détecté comme un 3 To ; mais quand nous avons rebooté, nous avons remarqué qu'il le présentait avec 768 Go, une petite partie du total. Nous avons cherché et la solution fût trouvée sur Buildcube : | |
http://www.buildcube.com/tech_blog/2012/07/25/installing-my-3tb-hard-drive-on-debian-linux-step-by-step/ | http://www.buildcube.com/tech_blog/2012/07/25/installing-my-3tb-hard-drive-on-debian-linux-step-by-step/ |
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Au départ, nous étions un peu fous et nous avons formaté le disque en NTFS. Le disque de 2 To était déjà en NTFS, aussi nous avons pensé faire de même pour le 3 To ; plus tard, nous avons changé d'idée et nous l'avons formaté en ext4. Notez bien que nous avons découvert qu'ext4 prend moins de place _ 77 Mo au lieu des 170 Mo du NTFS. Nous avons inclus les deux méthodes ici. | Au départ, nous étions un peu fous et nous avons formaté le disque en NTFS. Le disque de 2 To était déjà en NTFS, aussi nous avons pensé faire de même pour le 3 To ; plus tard, nous avons changé d'avis et nous l'avons formaté en ext4. Notez bien que nous avons découvert qu'ext4 prend moins de place : 77 Mo au lieu des 170 Mo du NTFS. Nous avons inclus les deux méthodes ici. |
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sudo apt-get install parted | sudo apt-get install parted |
sudo mkfs.ntfs -Q /dev/sdc1 | sudo mkfs.ntfs -Q /dev/sdc1 |
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L'option -Q dans la version NTFS entraine un formatage rapide. Si vous n'utilisez pas le commutateur -Q pour du NTFS, attendez vous à ce que ça dure longtemps. | L'option -Q dans la version NTFS entraine un formatage rapide. Si vous n'utilisez pas le commutateur -Q pour du NTFS, attendez-vous à ce que ça dure longtemps. |
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Arrivé à ce point, nous avons arrêté de dérailler et nous avons répété le processus avec les modifications suivantes pour préparer le disque en ext4 inscriptible : | À ce stade, nous avons arrêté de dérailler et nous avons répété le processus avec les modifications suivantes pour préparer le disque en ext4 inscriptible : |
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sudo parted /dev/sdc | sudo parted /dev/sdc |
sudo chown -R xbmc.multimedia /mnt/movies.** | sudo chown -R xbmc.multimedia /mnt/movies.** |
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Un des problèmes que nous avons rencontré quand nous avons monté notre nouveau disque ext4 était que nous ne pouvions pas écrire dessus avec le compte utilisateur xbmc. Les permissions sont toujours un plaisir. Pour résoudre le problème, nous avons crée un répertoire sous /mnt appelé /mnt/movies et avons changé le propriétaire pour xbmc : | Un des problèmes que nous avons rencontré quand nous avons monté notre nouveau disque ext4 était que nous ne pouvions pas écrire dessus avec le compte utilisateur xbmc. Les permissions sont toujours un plaisir. Pour résoudre le problème, nous avons crée un répertoire sous /mnt appelé /mnt/movies et avons changé le propriétaire à xbmc : |
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sudo chown -R xbmc.xbmc /mnt/movies | sudo chown -R xbmc.xbmc /mnt/movies |
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Maintenant nous avons besoin de mettre notre nouveau disque dur dans /etc/fstab pour qu'il puisse être monté automatiquement. Il y a quelques années, la méthode de montage dans /etc/fstab passa à UUID ce qui la rendit un peu plus complexe ; heureusement nous avons blkid pour nous donner l'UUID de chaque lecteur. Nous avons lancer simplement : | Maintenant nous avions besoin de mettre notre nouveau disque dur dans /etc/fstab pour qu'il puisse être monté automatiquement. Il y a quelques années, la méthode de montage dans /etc/fstab passa aux UUID ce qui la rendit un peu plus complexe ; heureusement nous avons blkid pour nous donner l'UUID de chaque lecteur. Nous avons tout simplement lancé : |
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sudo blkid | sudo blkid |
Next issue, the Linux and XBMC install.** | Next issue, the Linux and XBMC install.** |
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Au niveau hardware nous étions (presque) bons pour le moment. Dans le prochain numéro, nous installerons Linux+XBMC et tous les services nécessaires à un contrôle à distance et un partage dans toute la maison. Mais, juste avant de clore l'article, nous avons procédé à un dernier changement de matériel pour mettre un peu à niveau notre réseau domestique. Parce que nous voulions déplacer des fichiers volumineux (comptez 12 Go pour un film de 3 heures en qualité Blueray), nous avons ajouté un routeur 1Gbit pour augmenter la bande passante de notre réseau interne. | Au niveau hardware nous étions (presque) bons pour le moment. Dans le prochain numéro, nous installerons Linux+XBMC et tous les services nécessaires à un contrôle à distance et un partage dans toute la maison. Mais, avant de clore l'article, nous avons procédé à un dernier changement de matériel pour mettre un peu à niveau notre réseau domestique. Parce que nous voulions déplacer des fichiers volumineux (comptez 12 Go pour un film de 3 heures en qualité Blueray), nous avons ajouté un routeur 1 Gbit pour augmenter la bande passante de notre réseau interne. |
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Avant de monter tout l'équipement du réseau, nous avons reproduit en papier chaque équipement et ses trous de fixation. Nous avons ensuite scotché chaque forme de papier dans le boitier à la place prévue de l'équipement et mis les vis en place. Dans la cas de notre petit boîte VOIP (voix sur IP), nous avons eu besoin de passer des fils volants dedans pour la maintenir suspendue parce qu'elle faite pour être posée plutôt que fixée au mur. | Avant de monter tout l'équipement du réseau, nous avons reproduit en papier chaque équipement et ses trous de fixation. Nous avons ensuite scotché chaque forme de papier dans le boitier à la place prévue de l'équipement et mis les vis en place. Dans le cas de notre petit boîte VOIP (voix sur IP), nous avons eu besoin de passer des fils volants au travers pour la maintenir suspendue parce qu'elle faite pour être posée plutôt que fixée au mur. |
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Au prochain numéro, l'installation de Linux et de XBMC. | Au prochain numéro, l'installation de Linux et de XBMC. |