Full Circle Magazine FR

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**Website: https://slenderthreadsgame.com/

Price: $19 GOG & Steam

Blurb: “In this paranormal point-and-click adventure, a traveling (sic) salesman races to stop a string of horrific deaths in a quiet seaside town—before he’s next.“

Yes, I know, another point-and-click, but I could not help myself when I read the synopsis, described as “Lovecraftian”. "Discover scenic Villa Ventana, the hillside community of empty stores and emptier people." Not the ideal backdrop for a best-selling novel, but as every writer knows, inspiration can strike in the unlikeliest of places. Within hours of Harvey Green's arrival, that inspiration takes the form of foreboding dreams, impossible coincidences, and hidden motives that set Harvey on the path to uncovering a chilling, fateful truth.”

Installation:

This is standard fare GOG install, so I do not need to tell you that it went swimmingly. It created my menu shortcut and my desktop shortcut for me, even if it is of a guy with a long face like a horse, heh.**

Site Web : https://slenderthreadsgame.com/

Prix : 19 $ sur GOG et Steam

Présentation : « Dans cette aventure paranormale en pointer/cliquer, un voyageur de commerce se précipite pour empêcher une série de morts horribles dans une paisible ville balnéaire, avant qu’il ne soit le prochain.»

Oui, je sais, encore un pointer/cliquer, mais je n’ai pas pu m’empêcher de lire le synopsis, qualifié de « lovecraftien ». « Découvrez la pittoresque Villa Ventana, le village perché sur une colline, avec ses magasins vides et ses habitants encore plus vides.» Ce n’est pas le décor idéal pour un roman à succès, mais comme tout écrivain le sait, l’inspiration peut surgir aux endroits les plus inattendus. Quelques heures après l’arrivée d’Harvey Green, cette inspiration prend la forme de rêves inquiétants, de coïncidences impossibles et de motivations cachées qui poussent Harvey à découvrir une vérité terrifiante et fatale. »

Installation :

Il s'agit d'une installation GOG standard, donc inutile de vous dire que tout s'est parfaitement déroulé. J'ai créé mon raccourci dans le menu et mon raccourci sur le bureau, même s'il s'agit d'un type au visage allongé comme un cheval, hein ?


**Graphics:

Though the art style has that ugly French cartoon thing going for it on the characters, the world they inhabit is actually well done (World building?). Simplistic, yes, but the extra touches make it sparkle. For instance, when your player character enters an abandoned shop after he hears his name, the light coming through the window has been given the corpuscular ray treatment, yet keeping with the dark and foreboding atmosphere. The mouse cursor is extra large and yellow, so you cannot lose it.


I need to make a slight detour here, while I am talking about the rather large mouse cursor. The sensitivity on the mouse is turned all the way down, and there is nowhere to adjust it. My entire trackpad or mouse and mouse pad, end-to-end, only covers the length of the bed in the player characters room, so about a quarter of the screen. I really had thought the days of picking up your mouse and reseating it to move again was in the past, but no... (Also did it need to be that big? Can’t I have a chat with the guy who keeps losing the damned thing?)**

Graphismes :

Bien que le style artistique ait ce côté moche du dessin animé français qui va à l'encontre des personnages, l'univers qu'ils habitent est plutôt réussi (construction d'un monde ?). Simpliste, certes, mais les touches supplémentaires le rendent éclatant. Par exemple, lorsque votre personnage entre dans une boutique abandonnée après avoir entendu son nom, la lumière qui traverse la fenêtre a été traitée par rayons corpusculaires, tout en conservant l'atmosphère sombre et menaçante. Le curseur de la souris est extra-large et jaune, impossible à perdre.

Je dois faire un petit détour, puisque je parle du curseur plutôt imposant. La sensibilité de la souris est réglée au minimum, et il n'y a aucun moyen de la régler. Mon trackpad, ou ma souris et mon tapis de souris, bout à bout, ne couvrent que la longueur du lit dans la chambre du personnage, soit environ un quart de l'écran. Je pensais vraiment que l'époque où il fallait reprendre sa souris et la replacer pour pouvoir bouger était révolue, mais non... (Et puis, était-ce vraiment nécessaire qu'elle soit aussi grande ? Je ne peux pas discuter avec le type qui perd tout le temps cette fichue chose ?)


**Anyway, the subtle animations don’t distract from the game, they add to it. Bugs will buzz and tree limbs move, here and there, but for the most part (thankfully) the scenes are static with some charm to them. What I mean by this is that the background is so busy, it distracts from the game play, like the previous game I tried – with things wiggling everywhere. When you walk about the town, the background scrolls by in parallax mode making the 2D hand-crafted scenes feel “real” and it is pretty on top of that. The character design put me off, I’m sorry to say, yet others loved it. To me, everyone looked blind, with white, milky marbles for eyes, but in hindsight it added to the bizarre nature of the game as you explore the “weirding” and it is supposed to make you feel uneasy.

Sounds and Music:

The music was hidden away on my laptop, it wasn’t until I plugged in my headphones and I went through the menu again, to see if I missed anything, that it hit me. As the music built to a crescendo, I was saddened that this had no OST with it. (https://www.instagram.com/alexwalkersmith/reel/CYDOUZkJJjD/ - was all I could find!) I immediately left the game on the menu, and closed my eyes to just listen. Big orchestra vibes in a small game! There is no music in the game, to speak of, though here and there there will be a snippet. Instead it is ruled by sound effects of crickets, and birds, etcetera. The voice acting is good throughout, and it is a pity that the dialogue is so monotonous for the times when you cannot do something. Like, say you have an idea to wake the drunk and think it is clever, if the peg does not fit the hole, all Harvey says is: “Why would I want to do that?” plus another forgettable phrase. It needs a lot more variety. This is not to say any of the other dialogue is the same, in fact it is top notch!**

Quoi qu'il en soit, les animations subtiles ne détournent pas l'attention du jeu, elles le renforcent. Des insectes bourdonnent et des branches d'arbres bougent, ici et là, mais la plupart du temps (heureusement) les scènes sont statiques et ont un certain charme. Ce que je veux dire par là, c'est que l'arrière-plan est tellement chargé qu'il distrait du gameplay, comme dans le jeu précédent que j'ai essayé : des choses qui bougent partout. Quand on se promène en ville, l'arrière-plan défile en mode parallaxe, ce qui donne aux scènes 2D, réalisées à la main, un aspect « réaliste », et c'est joli en plus. L'aspect des personnages m'a rebuté, je suis désolé de le dire, mais d'autres l'ont adoré. Pour moi, tout le monde avait l'air aveugle, avec des billes blanches et laiteuses en guise d'yeux, mais avec le recul, cela ajoutait au côté étrange du jeu, à mesure que l'on explore le « bizarre », et c'est censé vous mettre mal à l'aise.

Sons et musique :

La musique était cachée sur mon ordinateur portable. Ce n'est qu'après avoir branché mon casque et parcouru à nouveau le menu pour voir si j'avais manqué quelque chose que j'ai compris. Alors que la musique montait en puissance, j'ai été déçu de l'absence de bande originale. (https://www.instagram.com/alexwalkersmith/reel/CYDOUZkJJjD/ – c'est tout ce que j'ai trouvé !) J'ai immédiatement laissé le jeu sur le menu et j'ai fermé les yeux pour simplement écouter. Une ambiance de grand orchestre dans un petit jeu ! Il n'y a pas de musique, à proprement parler, même si on en trouve quelques extraits ici et là. Le jeu est dominé par des bruitages de grillons, d'oiseaux, etc. Le doublage est bon du début à la fin, et il est dommage que les dialogues soient si monotones pour les moments où l'on ne peut rien faire. Imaginez que vous ayez une idée pour réveiller un ivrogne et que vous pensiez que c'était astucieux. Si le truc ne rentre pas dans le trou, Harvey se contente de dire : « Pourquoi ferais-je ça ? » avec une autre phrase oubliable. Il faudrait beaucoup plus de variété. Cela ne veut pas dire que les autres dialogues sont identiques, au contraire, ils sont excellents !


**Gameplay:

The game is as eccentric as the characters, and the bizarre nightmares become reality for Harvey Green, a poor book salesman. Drums please, cue intro: The game starts out quite serious and drab. I mean the player character has holes in his clothing and his collar is frayed, while the guest in the hotel’s clothing is also fraying. The hotel’s curtains and wallpaper leave a lot to be desired and the panelling and floors have seen better days. You walk to the left, and, if you Alice-in-wonderland-it after the white rabbit, you will get a Friday the thirteenth jump scare. So it was rather hilarious trying to cross the road in the one horse (or is that bicycle) town, and to be almost knocked over, every... single... time... In the beginning it does feel very linear (and you are also very constrained), and there are things to interact with that have no purpose. (If it has, let the player know.) This is usually a killer of point-and-click games as it creates player boredom. However, that is only the first part, the game kicks into high gear once you get to the radio locked in the roll-top desk, with visions or acid trips and nightmares. I tried to get a screenshot of the claw, but for some reason, the screenshot tool caused the menu to appear and after six failed attempts, I gave it a rest. “Trust me bro”, it’s there!

The first puzzle is of the nature of putting shapes onto a crossword, that spell out something to get the key to the roll-top desk, the rest is pretty standard fare. Things like getting a key to the laundry room by summoning the cleaning service and getting a bobby to leave his post, by causing a horrific accident. I’m not usually a fan of mini-games, unless they add to the game.**

Jeu :

Le jeu est aussi excentrique que les personnages, et les cauchemars étranges deviennent réalité pour Harvey Green, un pauvre vendeur de livres. Batterie, s'il vous plaît, place à l'intro : le jeu commence de manière assez sérieuse et terne. Le personnage du joueur a des vêtements troués et son col est effiloché, tandis que le client de l'hôtel porte des vêtements effilochés. Les rideaux et le papier peint de l'hôtel laissent à désirer, et les lambris et les sols ont connu des jours meilleurs. Vous marchez vers la gauche et, si vous vous lancez à la poursuite du lapin blanc, vous aurez une frayeur digne d'Alice au pays des merveilles, comme un vendredi 13. C'était donc plutôt hilarant d'essayer de traverser la route dans la ville à cheval (ou plutôt à vélo), et de se faire presque renverser à chaque fois… au moins… au début, c'est très linéaire (et on est aussi très contraint), et il y a des objets avec lesquels interagir qui n'ont aucun but. (Si c'est le cas, prévenez le joueur.) C'est généralement un problème récurrent dans les jeux pointer/cliquer, car cela crée de l'ennui. Cependant, ce n'est que la première partie : le jeu s'accélère dès que vous atteignez la radio enfermée dans le bureau à cylindre, avec des visions, des trips d'acide et des cauchemars. J'ai essayé de faire une capture d'écran de la griffe, mais pour une raison inconnue, l'outil de capture d'écran a fait apparaître le menu et, après six tentatives infructueuses, j'ai laissé tomber. « Fais-moi confiance, mec !», elle est là !

La première énigme consiste à insérer des formes dans des mots croisés pour obtenir la clé du bureau à cylindre. Le reste est assez classique. Des choses comme obtenir la clé de la buanderie en appelant le service de nettoyage et faire quitter son poste à un policier en provoquant un terrible accident. Je ne suis généralement pas fan des mini-jeux, sauf s'ils enrichissent le jeu.


**Requirements:

A potato with 4GB of memory. Though I’m testing this on my dropped laptop, it does not require much. It is 3D on 2D, so it’s not ‘nothing’. My CPU and memory sit at about 25% usage, for a first-gen i5 and 8GB memory. The resolution is 1080p and there is no flicker or obvious scaling. This is not a normal flip screen point-and-click, there is smooth scrolling as you walk around town. This really perplexed me, as I saw Unity player being installed. It is either well optimised or my laptop’s CPU is better than I thought.

Overall:

You may come for the graphics or sound, but you will stay for the weird story. The story did not immerse me immediately, but once the radio flashback, acid trip, or whatever triggered, I was in. You get around town on foot and it is not too large or too small. I love a story with a plot twist (even movies, like, the usual suspects), any plot twist, it makes the story more memorable! The simplicity of the interface was a new one for me, you only have to look, take, and talk, when you right-click the mouse. I would have liked some of the scenes to be fleshed out more, but it is out of early access so it won’t be. If you are into macabre, this is for you.**

Configuration requise :

Une pomme de terre avec 4 Go de mémoire. Bien que je teste ce jeu sur mon ordinateur portable tombé, il ne nécessite pas grand-chose. C'est de la 3D sur 2D, donc ce n'est pas « rien ». Mon processeur et ma mémoire sont utilisés à environ 25 %, pour un i5 de première génération et 8 Go de mémoire. La résolution est de 1080p et il n'y a ni scintillement ni mise à l'échelle flagrante. Ce n'est pas un pointer/cliquer classique sur écran rabattable ; le défilement est fluide lorsque vous vous promenez en ville. Cela m'a vraiment laissé perplexe, car j'ai vu Unity Player s'installer. Soit il est bien optimisé, soit le processeur de mon ordinateur portable est meilleur que je ne le pensais.

En résumé :

On peut venir pour les graphismes ou le son, mais on reste pour l'histoire étrange. L'histoire ne m'a pas immédiatement submergé, mais une fois le flashback radio, le trip d'acide ou quoi que ce soit déclenché, j'étais dedans. On se déplace à pied en ville et la ville n'est ni trop grande ni trop petite. J'adore les histoires avec un rebondissement (même dans les films, comme les suspects habituels). N'importe quel rebondissement rend l'histoire plus mémorable ! La simplicité de l'interface était une nouveauté pour moi : il suffit de regarder, de prendre et de parler en faisant un clic droit. J'aurais aimé que certaines scènes soient plus étoffées, mais le jeu n'est plus en accès anticipé, donc ce ne sera pas le cas. Si vous aimez le macabre, ce jeu est fait pour vous.