**There’s a part of the Inkscape user interface that is so common, and so taken for granted, that you’ve probably never given much thought to it: the page border. Yet this seemingly mundane part of the display plays a vital role when it comes to creating SVG files for use online. By understanding what it represents, and how to manipulate it, you will open up some techniques that can make your SVG files far more versatile, even if they’re only being included via an tag.
By default, creating a new document in Inkscape will create an A4 page (210x297mm), displaying a thin outline to represent the page border, and a drop shadow to make it look a little more like a page of paper than a simple rectangle. I can’t say for certain if A4 is used as a default everywhere, or if there is a locale dependency that creates US Letter pages in the USA, for example, but either way, you get a default size and visible page border. Changing the page size is done via the File > Document Properties (Ctrl-Alt-D) dialog: you can either select one of the predefined page sizes or enter a custom width and height, with your choice of units. The bottom of the dialog also provides options to show or hide the page border and to display it without the drop shadow, if you prefer.**
Une partie de l’interface utilisateur d’Inkscape est tellement classique, et tellement prise pour acquise, que vous n’avez probablement jamais pris le temps d’y réfléchir : c’est la bordure de la page. Cette partie de l’affichage, qui semble banale, joue un rôle vital quand on passe à la création de fichiers SVG pour un usage en ligne. En comprenant ce qu’elle représente, et comment la manipuler, vous découvrirez certaines techniques qui peuvent rendre les fichiers SVG largement plus polyvalents, même s’il ne sont inclus que via une balise .
Par défaut, la création d’un nouveau document dans Inkscape créera une page A4 (210 x 297 mm), sur laquelle sont affichés un fin contour qui représente le bord de la page et une ombre portée qui la fait ressembler plus à une feuille de papier qu’à un simple rectangle. Je ne peux pas dire si le A4 est utilisé par défaut partout, ou s’il y a un lien de localisation qui crée des pages au format Letter aux USA, par exemple, mais, quoiqu’il en soit, vous obtenez une taille par défaut et un bord de page visible. Le changement de la taille de la page s’obtient via le dialogue Fichier > Propriétés du document (Ctrl-Alt-D) : vous pouvez, soit sélectionner une des tailles de page prédéfinies, soit entrer des largeur et hauteur personnalisées, avec le choix de vos unités. En bas du dialogue, vous disposez aussi d’options pour afficher ou cacher le bord de page et pour l’afficher sans ombre portée, si vous le préférez.
**I’ve seen a few video tutorials where the presenter heads straight to this dialog to turn off the page border, but I think that’s usually a mistake. If you’re designing for print then having an idea of how your work fits into the page is essential. But the border is just as important for web work, as anything that is drawn outside it won’t be rendered by the browser. If you turn the border off, there’s a real danger that parts of your design might inadvertently fall outside it, preventing them from rendering as expected.
The non-display, or non-printing, of content outside the page border, can be a blessing. If your design has to bleed off the edge of the page, it can be essential. You can also use the area outside the page to store rough designs, notes, spare elements, or the source objects for clones (particularly those with unset fills) – anything which you want to keep with your image, but don’t want to be visible in the final product. I’ve often used this capability to include Easter eggs in my comic strips – even to the extent of holding extra panels or even entire extra strips that can be found only by opening the original source file in Inkscape.**
J’ai vu quelques tutoriels vidéo où le présentateur fonce vers ce dialogue pour masquer le bord de page, mais je pense que que c’est une erreur la plupart du temps. Si vous dessinez pour ensuite imprimer, avoir une idée de comment votre travail s’intègre dans la page est essentiel. Mais la bordure est tout aussi importante pour un travail pour le Web, car tout ce que vous dessinez en dehors ne sera pas rendu par le navigateur. Si vous masquez la bordure, il y a un vrai danger que des parties de votre dessin se trouvent à l’extérieur par inadvertance, les empêchant d’être rendues comme prévu.
Le non-affichage, ou la non-impression, du contenu situé à l’extérieur du bord de la page peut être un bienfait. Si votre dessin doit déborder de la page, ça peut être essentiel. Vous pouvez aussi utiliser la zone extérieure pour y stocker des esquisses, des notes, des éléments de rechange, ou les objets sources pour le clonage (en particulier ceux avec un remplissage indéfini) - tout ce que vous voulez garder avec votre image, mais que vous ne voulez pas voir dans le résultat final. J’ai souvent utilisé cette faculté pour inclure des Easter Eggs (Œufs de Pâques - petits cadeaux cachés) dans mes bandes dessinées, allant jusqu’à y mettre des planches supplémentaires ou même des bandes dessinées complètes qui ne peuvent être trouvées qu’en ouvrant le fichier source original dans Inkscape.
**For many uses, the page size can natively be set in the Document Properties dialog, with no need to concern yourself any further. This sets the “width” and “height” attributes on the main