**Over the years, I’ve used a wide variety of computer systems, both old and new, and I have to confess that my personal preference is for a GUI more closely aligned with the conventions and styles of the late 90s and early 2000s. Before that time, most computers didn’t have the graphical capabilities to do justice to the designers’ ideas. Pixels were large, color palettes were small, and the result often ended up being UI controls that were hardly a delight to look at. A little later, and the graphical prowess of even a cheap desktop machine allowed designers to experiment with more realistic, “skeuomorphic” controls, which often favoured style over substance. Then came the era of the smartphone. Now we all carry powerful, colorful computers with ultra-high resolution screens that should open up a world of design options. But our big, chunky fingers don’t offer the finesse of a mouse pointer, so a lot of the UI design book of old is no longer relevant. We’ve thrown out small spinboxes and scrollbars in favor of large, finger-friendly alternatives. Ironically, we finally have machines that could do justice to the original ideas of the UX gurus of old, but instead, we render our UIs in flat colored rectangles. Is that a button, a menu, a label or a toggle switch? When everything is a solid colored box with some text in, it’s hard to tell.** Au fil des ans, j'ai utilisé une grande variété de systèmes informatiques, anciens et récents, et je dois avouer que ma préférence va à une interface graphique plus fidèle aux conventions et aux styles de la fin des années 90 et du début des années 2000. Avant cette époque, la plupart des ordinateurs n'avaient pas les capacités graphiques nécessaires pour rendre justice aux idées des concepteurs. Les pixels étaient grands, les palettes de couleurs restreintes, et le résultat était souvent une interface peu agréable à regarder. Un peu plus tard, la puissance graphique des ordinateurs de bureau, même bon marché, a permis aux concepteurs d'essayer des commandes plus réalistes, « skeuomorphiques », privilégiant souvent l'esthétique au détriment du fond. Puis est arrivée l'ère du smartphone. Aujourd'hui, nous avons tous des ordinateurs puissants et colorés dotés d'écrans ultra haute résolution qui devraient ouvrir un monde de possibilités en matière de conception. Mais nos gros et larges doigts ne permettent pas la précision d'un pointeur de souris, et une grande partie des principes de conception des interfaces d'antan est devenue obsolète. Nous avons abandonné les petits champs numériques et les barres de défilement au profit de grandes alternatives ergonomiques. Ironie du sort, alors que nous disposons enfin de machines capables de rendre justice aux idées originales des grands maîtres de l'affichage utilisateur d'antan, nous préférons afficher nos interfaces sous forme de rectangles unis. Est-ce un bouton, un menu, une étiquette ou un interrupteur ? Quand tout n'est qu'un rectangle de couleur unie avec du texte, difficile de s'y retrouver. **While our buttons have become more colorful, our icons have taken a journey in the opposite direction. Increasingly the trend is for simple, single-color images. This has partly been driven by the use of ‘icon fonts’ in web frameworks which removed the burden of icon design from developers by supplying a vast array of pre-drawn icons, shoehorned into a font file so that they can be delivered to the browser as efficiently as possible. Unfortunately, until quite recently, browsers couldn’t handle colored fonts (there was an exception in the form of SVG fonts, which allowed for colored glyphs, but Firefox never supported them so they’re more of a curiosity than something I would recommend using). Despite finger-friendly buttons being most useful on phones and tablets, and colorless icons having some small benefit on the web, both these trends have made their way into applications whose home is really only a desktop or laptop machine.** Alors que nos boutons se sont colorés, nos icônes ont suivi une évolution inverse. La tendance est de plus en plus aux images simples et monochromes. Ce phénomène est en partie dû à l'utilisation de « polices d'icônes » dans les frameworks pour le Web. Ces derniers ont allégé la charge de conception des icônes pour les développeurs en leur fournissant une vaste gamme d'icônes pré-dessinées, intégrées dans un fichier de police pour une transmission optimale au navigateur. Malheureusement, jusqu'à récemment, les navigateurs ne géraient pas les polices colorées (à l'exception des polices SVG, qui permettaient des glyphes colorés, mais Firefox ne les a jamais prises en charge ; elles relèvent donc plus de la curiosité que d'une utilisation recommandée). Bien que les boutons ergonomiques soient particulièrement utiles sur les téléphones et les tablettes, et que les icônes monochromes présentent un léger avantage sur le Web, ces deux tendances se sont également répandues dans des applications conçues pour les ordinateurs de bureau et portables. **All of which is to explain that I’ve turned into a curmudgeonly old man who thought it was all better in the past. At least when it comes to UI design. As such, I still insist on using the ‘old fashioned’ colored icons within Inkscape, rather than the ‘symbolic’ style that was added a few releases back. I find it easier to distinguish icons from one another if they differ in multiple ways – their placement in the application, their shape and, yes, their color. I don’t really understand the logic of removing one of these identifiers. Mind you, I also prefer a light theme and I do recognise that, when used with a dark theme, most of the classic colored icons are too bright. Personally, I think this calls for a set of colored-but-darker icons, but I guess that a single set of largely colorless icons is easier to create and maintain across both dark and light UI themes. I just wanted to put my biases on the table before I take a look at the latest icon set to become available in Inkscape.** Tout ça pour dire que je suis devenu un vieux grincheux qui trouve que c'était mieux avant. Du moins en matière de conception de l'interface utilisateur. C'est pourquoi je persiste à utiliser les icônes colorées « à l'ancienne » dans Inkscape, plutôt que le style « symbolique » ajouté il y a quelques versions. Je trouve plus facile de distinguer les icônes si elles diffèrent de plusieurs façons : leur emplacement dans l'application, leur forme et, bien sûr, leur couleur. Je ne comprends pas vraiment la logique de supprimer l'un de ces éléments. Ceci dit, je préfère aussi un thème clair et je reconnais que, sous un thème sombre, la plupart des icônes colorées classiques sont trop lumineuses. Personnellement, je pense qu'il faudrait un ensemble d'icônes colorées, mais plus sombres. Cependant, j'imagine qu'un seul ensemble d'icônes majoritairement incolores est plus facile à créer et à maintenir, aussi bien pour les thèmes clairs que sombres. Je voulais simplement exposer mes préférences avant de jeter un œil au dernier jeu d'icônes disponible dans Inkscape. **I’m running Inkscape from an AppImage on a Ubuntu Mate 24.04 desktop. This gives me access to five different choices of icon theme, via Edit > Preferences, then selecting the Interface > Theming pane. Those five options are: • Dash • hicolor • multicolor • Tango • Use system icons (mate) The first of these is the new theme, and I’ll come back to it shortly. Before then, however, let me show you a screenshot comparing the top-left corner of my Inkscape window with each of the last four selected. Starting at the top-left, ‘hicolor’ fails to live up to its name. Some of the icons are colored, but many of them – especially the system tools at the top – appear as simple, monochrome icons. I can only assume that those icons are missing from the hicolor icon set, and fallback icons have been used – but it seems an odd omission to not include the file, print and clipboard icons in the main set.** J'utilise Inkscape depuis une image AppImage sur un ordinateur Ubuntu Mate 24.04. Cela me donne accès à cinq thèmes d'icônes différents, via Édition > Préférences, puis en sélectionnant Interface > Thème. Ces cinq options sont : • Dash • hicolor • multicolor • Tango • Utiliser les icônes système (mate) Le premier est le nouveau thème, et j'y reviendrai plus tard. Auparavant, voici une capture d'écran comparant le coin supérieur gauche de ma fenêtre Inkscape avec chacun des quatre derniers thèmes sélectionnés. En partant du coin supérieur gauche, le thème « hicolor » est loin d'être à la hauteur de son nom. Certaines icônes sont colorées, mais beaucoup d'entre elles – notamment les outils système en haut – apparaissent comme de simples icônes monochromes. Je suppose que ces icônes sont absentes du jeu d'icônes « hicolor » et que des icônes de remplacement ont été utilisées – mais l'absence des icônes de fichier, d'impression et de presse-papiers dans le jeu principal est une omission étrange. **The second theme, ‘multicolor’, has a thoroughly misleading name. As you can see, it’s entirely monochromatic. Enabling the ‘Use symbolic icons’ option adds some colored accents to the icons, which does help to categorise them more. But on a light theme, some of those accents almost disappear, effectively making the shape of some icons harder to see. The ‘Tango’ icon set, again, lacks some of the system-level icons, and falls back to flat colored icons. Though it’s interesting to note that these assumed fallback icons differ between ‘hicolor’ and ‘Tango’, which suggests that in at least one of those cases they’re not actually fallback icons but have, presumably, been included in the icon set deliberately. ‘Tango’ also suffers from some extremely light coloring on many icons – especially the tools themselves – which actually serves to make them look like they’ve been disabled. Which leaves the System icons. Colored and consistent throughout. Shapes and colors differ between icons, making it easier to identify them at a glance, and they’re all distinct and clear without being too overpowering.** Le deuxième thème, « multicolor », porte un nom totalement trompeur. Comme vous pouvez le constater, il est entièrement monochrome. Activer l'option « Utiliser des icônes symboliques » ajoute des accents colorés aux icônes, ce qui facilite leur catégorisation. Cependant, sur un thème clair, certains de ces accents disparaissent presque complètement, rendant la forme de certaines icônes difficilement lisible. Le jeu d'icônes « Tango », quant à lui, est incomplet et ne comprend pas toutes les icônes système. Il utilise donc des icônes de couleur unie. Il est intéressant de noter que ces icônes de remplacement diffèrent entre les thèmes « hicolor » et « Tango », ce qui suggère que, dans au moins un cas, il ne s'agit pas réellement d'icônes de remplacement, mais qu'elles ont probablement été incluses intentionnellement. Le thème « Tango » souffre également d'une coloration extrêmement claire sur de nombreuses icônes, notamment les outils eux-mêmes, ce qui donne l'impression qu'elles sont désactivées. Enfin, il reste les icônes système, colorées et uniformes. Les formes et les couleurs diffèrent d'une icône à l'autre, ce qui facilite leur identification en un coup d'œil ; elles sont toutes distinctes et claires sans être trop envahissantes. **No prizes for guessing which icon set I actually use. So, let’s see how the new ‘Dash’ icon set compares. According to the Inkscape 1.4 Release Notes, this theme “reduces complexity on some of the existing icons, while still being explanatory”, and it “also borrows some concepts from other software”. Let’s take a sample from the top-left of my Inkscape window to see how it stacks up against these claims. My immediate reaction is that I think the tool icons down the left are pretty good. They’re clean and understandable, and rendered at a comfortable line thickness. The icons at the top, however, seem a little too lightweight in comparison. It almost feels like they’re rendering a little too small for the space available – they could all have been a pixel or three larger without encroaching on each others’ space. To be fair, this criticism can also be levelled at some of the other icon themes, but the addition of color, or the weightier style of the other monochrome icons, tends to compensate for the smaller size somewhat.** Inutile de deviner quel jeu d'icônes j'utilise. Voyons donc comment se compare le nouveau jeu d'icônes « Dash ». D'après les notes de version d'Inkscape 1.4, ce thème « simplifie certaines icônes existantes tout en restant explicite » et « emprunte également des concepts à d'autres logiciels ». Prenons un exemple en haut à gauche de ma fenêtre Inkscape pour vérifier ces affirmations. Ma première impression est que les icônes d'outils à gauche sont plutôt réussies. Elles sont claires, compréhensibles et leur épaisseur de trait est idéale. En revanche, les icônes du haut semblent un peu trop fines. On a presque l'impression qu'elles sont trop petites pour l'espace disponible ; elles auraient pu être un ou deux pixels plus grandes sans empiéter les unes sur les autres. Certes, ce reproche peut s'appliquer à d'autres thèmes d'icônes, mais l'ajout de couleur ou le style plus marqué des autres icônes monochromes compensent généralement leur taille réduite. **I can’t say much about the claim to borrow some concepts from other software – at least not without more details. Which concepts, and from what other software? It’s an ambiguous statement that could represent anything from the concept of clipboard operations being represented by a clipboard icon, through to a wholescale reproduction of another program’s icons. I’m definitely in favour of consistency across applications, so any unification of icon styles between them seems like a step forward to me. But without knowing more details, it’s hard to say if this feature is supposed to appeal to refugees from the Adobe world, or if the intention is for Inkscape’s UI to feel more at home next to The GIMP or Krita. One thing that this icon set definitely has going for it, however, is consistency. Compared with the odd mixture of colored and monochrome icons I get with ‘hicolor’ and ‘Tango’, at least these all feel like they belong together. The Release Notes go on to state that there are “500+ icons, with cursors, scalable and symbolic versions.” I’m not going to count them all, but that claim does at least suggest that you’re less likely to run into a fallback icon with this set than with some of the others.** Je ne peux pas me prononcer sur l'affirmation selon laquelle certains concepts seraient empruntés à d'autres logiciels, du moins sans plus de précisions. Quels concepts, et de quels autres logiciels s'agit-il ? Cette déclaration ambiguë pourrait tout aussi bien représenter les opérations du presse-papiers par une icône dédiée, que reproduire intégralement les icônes d'un autre programme. Je suis tout à fait favorable à la cohérence entre les applications ; par conséquent, toute unification des styles d'icônes me semble un progrès. Cependant, sans plus de détails, il est difficile de dire si cette fonctionnalité est censée séduire les utilisateurs qui quittent l'univers Adobe, ou si l'objectif est d'harmoniser l'interface d'Inkscape avec celle de GIMP ou Krita. Un point fort de cet ensemble d'icônes est sans conteste sa cohérence. Comparé au mélange étrange d'icônes colorées et monochromes que l'on retrouve avec « hicolor » et « Tango », au moins, celles-ci forment un tout cohérent. Les notes de version indiquent d'ailleurs qu'il contient « plus de 500 icônes, avec curseurs, versions redimensionnables et symboliques ». Je ne vais pas tous les compter, mais cette affirmation laisse au moins entendre que vous avez moins de chances de rencontrer une icône de repli avec cet ensemble qu'avec certains autres. **The statement about ‘scalable’ icons seems like pure marketing spiel. As far as I can tell, Inkscape doesn’t offer a way to adjust the scaling of icons in the UI, so the fact that scalable versions of the icons are available is of little use to end users. And what about those ‘symbolic’ versions? Here’s a comparison between ‘multicolor’ and ‘Dash’ when the ‘Use symbolic icons’ option is selected. While ‘multicolor’ finally lives up to its name in this mode, ‘Dash’ appears to be identical whether the symbolic option is selected or not. Perhaps I’m missing something, but the claim to have symbolic versions of the icons seems to be somewhat overblown to me. Perhaps some of the more obscure icons do something useful in Symbolic mode, but if I have to go hunting through all the dialogs to find them, then the option may as well not exist in practice. The final claim in the Release Notes is that Dash “works on dark and light themes”. We’ve seen how it looks on a light theme, so I guess it’s time for me to embrace the dark side of my computer…** L'affirmation concernant les icônes « redomensionnables » semble être un pur argument marketing. À ma connaissance, Inkscape ne propose aucun moyen de modifier la taille des icônes dans l'interface utilisateur. Par conséquent, la disponibilité de versions évolutives est peu utile aux utilisateurs. Qu'en est-il des versions « symboliques » ? Voici une comparaison entre « multicolor » et « Dash » lorsque l'option « Utiliser les icônes symboliques » est activée. Si « multicolor » justifie enfin son nom dans ce mode, « Dash » semble identique, que l'option symbolique soit activée ou non. J'ai peut-être manqué quelque chose, mais l'argument de la présence de versions symboliques me paraît quelque peu exagéré. Certaines icônes moins connues ont peut-être une utilité en mode symbolique, mais si je dois parcourir toutes les boîtes de dialogue pour les trouver, cette option est quasiment inexistante. Enfin, les notes de version indiquent que Dash « fonctionne avec les thèmes clairs et sombres ». Nous avons vu à quoi cela ressemble avec un thème clair, alors je suppose qu'il est temps pour moi d'embrasser le côté sombre de mon ordinateur… **Clearly, this is where the Dash theme shines – which is an ironic turn of phrase when talking about grayscale icons in a dark theme. It seems to me that Dash is best suited to users with a light theme but an austere taste in icons, or those with a dark theme. By comparison, on a dark theme, the more colorful icon sets look awful – including my preferred System icons. Even with a dark theme, however, Symbolic mode seems to do nothing to Dash. Interestingly this checkbox does have an effect on some of the other icon themes: hicolor and the System icons both switch to a monochrome icon set which is more suited to the dark theme (and perhaps suggests the source of those different fallback icons we saw earlier). Speaking of monochrome icon sets, the screenshots I’ve shown so far might have led you to believe that Dash is entirely grayscale. Although the vast majority of the icons are either grayscale or entirely monochrome, there are some colored icons included where the subject matter requires it. Below is a screenshot of part of the Dash icon directory inside my mounted AppImage:** C'est là que le thème Dash excelle, c'est certain – une expression ironique lorsqu'on parle d'icônes en niveaux de gris dans un thème sombre. Il me semble que Dash convient mieux aux utilisateurs ayant un thème clair mais des goûts sobres en matière d'icônes, ou à ceux qui utilisent un thème sombre. En comparaison, sur un thème sombre, les jeux d'icônes plus colorés sont affreux – y compris mes icônes système préférées. Même avec un thème sombre, le mode symbolique ne semble avoir aucun effet sur Dash. Curieusement, cette case à cocher a un impact sur certains autres thèmes d'icônes : les icônes hicolor et les icônes système passent à un jeu d'icônes monochromes, plus adapté au thème sombre (et qui suggère peut-être l'origine des différentes icônes de secours vues précédemment). À propos des jeux d'icônes monochromes, les captures d'écran que j'ai montrées jusqu'ici pourraient vous avoir laissé croire que Dash est entièrement en niveaux de gris. Bien que la grande majorité des icônes soient en niveaux de gris ou entièrement monochromes, certaines icônes colorées sont présentes lorsque le sujet l'exige. Voici une capture d'écran d'une partie du répertoire d'icônes Dash dans mon AppImage montée : **As you can see, there are some colored icons which are used within Inkscape for some color-related features – such as the color wheel option in the Fill & Stroke dialog. These appear sparingly in the UI, so even with a dark theme, they don’t scream for attention in the same way that a full set of colored icons does. Themes, colors and icons are, of course, a very personal choice, and you should definitely experiment to find out which combination best suits you. If you’re the sort who prefers more minimal icons – and especially if you use a dark system theme – Dash could be just what you need to make Inkscape look a little more cohesive and polished. But if you’re an old-fashioned grump who prefers things the way they used to be, then for now, at least, there are still other, more colorful themes available. If you’ve never explored the various options available to you, perhaps it’s time to do so. You may well end up back with the same theme you started with (I know, I have) – but there’s a chance that your new favorite is just a few mouse clicks away. Assuming your imprecise, smartphone-stabbing fingers still know how to click a mouse. References Inkscape 1.4 Release Notes: https://wiki.inkscape.org/wiki/Release_notes/1.4** Comme vous pouvez le constater, Inkscape utilise des icônes colorées pour certaines fonctionnalités liées à la couleur, comme l'option de roue chromatique dans la boîte de dialogue Fond et contour. Elles apparaissent avec parcimonie dans l'interface, si bien que même avec un thème sombre, elles restent discrètes, contrairement à un ensemble complet d'icônes colorées. Le choix des thèmes, des couleurs et des icônes est bien sûr très personnel, et il est conseillé d'essayer pour trouver la combinaison qui vous convient le mieux. Si vous préférez des icônes minimalistes, surtout si vous utilisez un thème système sombre, Dash pourrait être la solution idéale pour donner à Inkscape une apparence plus harmonieuse et soignée. En revanche, si vous êtes plutôt nostalgique et préférez les choses telles qu'elles étaient, il existe encore, pour l'instant du moins, des thèmes plus colorés. Si vous n'avez jamais exploré les différentes options disponibles, il est peut-être temps de le faire. Vous pourriez bien finir par revenir au thème initial (je sais, ça m'est arrivé) – mais il y a des chances que votre nouveau thème préféré soit à portée de clic. À condition, bien sûr, que vos doigts, habitués à tapoter sur votre smartphone, sachent encore se servir d'une souris. Références Notes de version d'Inkscape 1.4 : https://wiki.inkscape.org/wiki/Release_notes/1.4