**For many years, the only choice for IT security personnel when it came to penetration tests (sometimes called pentesting) was to pick BackTrack Linux or create their own modified OS. Just over a year ago, user options broadened with the introduction of BackBox, an Ubuntu based OS (as BackTrack is, too) from Italy which may be heir apparent to the pentesting throne. On the surface, both appear similar and they are in several respects, but there are radical differences between them, so a head-to-head comparison may be merited.** Pendant de nombreuses années, les seuls choix pour le personnel IT chargé de la sécurité en matière de tests de pénétration (appelé parfois pentesting) était BackTrack Linux, ou alors de créer leur propre système d'exploitation modifié. Il y a juste un peu plus d'un an, les options des utilisateurs se sont étoffées avec l'introduction de BackBox, un système d'exploitation basé sur Ubuntu (comme BackTrack), qui nous vient d'Italie et qui pourrait être l'héritier présomptif du trône du pentesting. Superficiellement, les deux paraissent similaire, ce qu'ils sont à de nombreux égards, mais il y a des différences radicales. Ainsi, une confrontation détaillée des deux serait sans doute pleinement méritée. **History and Underlying Base BackTrack is from Switzerland, and was created in 2006 with the merger of two Knoppix based OSs, Whax and Auditor Security Collection. A switch from Knoppix to Slax based live-CD distributions lasted until 2009 - when another change to Ubuntu resulted in BackTrack 4. BackTrack 5 Revolution based on Ubuntu 10.04 LTS (Lucid Lynx) was released in May, 2011, and August, 2011 saw the release of the current version, BackTrack 5 R1, also based on Lucid. Backbox comes from Italy, and, prior to 2010, it really didn't have much of a track record, at least not online. Other than scant mentions of version 1 (RC and then beta), even distrowatch.com doesn't mention anything until version 2 was released in September, 2011. The current version, BackBox 2, is based on Ubuntu 11.04 Natty Narwhal - which is an upgrade from versions 1.x which were based on 10.04 like BackTrack.** Histoire et bases BackTrack est d'origine suisse et fut créé en 2006 par la fusion de deux systèmes d'exploitation basés sur Knoppix, Whax et Auditor Security Collection. Des distributions sur live-CD basées sur Slax ont remplacé Knoppix et durèrent jusqu'en 2009, quand un autre changement, cette fois vers Ubuntu, résulta en BackTrack 4. BackTrack 5 Revolution basée sur Ubuntu 10.04 LTS (Lucid Lynx) est sorti en mai 2011 et, en août 2011, il y eut la sortie de la version actuelle, BackTrack 5 R1, basée, lui aussi sur Lucid. BackBox vient d'Italie et, avant 2010, il n'était pas bien établi du tout, du moins pas en ligne. À part quelques mentions mineures de la version 1 (RC, puis bêta), même distrowatch.com n'en dit rien avant la sortie de la version 2 en septembre 2011. La version actuelle, BackBox 2, est basée sur Ubuntu 11.04 Natty Narwhal - ce qui est une mise à niveau des versions 1.x basées sur 10.04, tout comme BackTrack. **Website BackTrack's website (backtrack-linux.org) is best described as eclectic. With a motto of the quieter you become the more you are able to hear, and a wiki page labeled The Ninjas Guide to BackTrack, one can only imagine what's lurking in the shadows, and a sense of paranoia about being watched might surface. Probably not helping is a design consisting of flames in the background - as if to tell users they may burn for using this OS. Dig far enough into the website, and you'll find a litany of instructional courses offered in “offensive security” - almost all requiring students to pentest and attack actual systems in a controlled environment. While some are free, they appear to be lead-ins for the more costly and extensive training scenarios. My favorite course is the 5-day venture offered in St. Kitts, Caribbean, but, at $4,000, that's a little out of my wallet's range. Those wishing to skip all the pages can jump to offensive-security.com to get right to the courses; however, the website is nearly identical to links off the main BackTrack page, and, since it has the .com suffix, it's quite apparent the goal is sales. It could be argued that many developers pitch paraphernalia on their websites, but most of it won't require a second mortgage. Forums appear to be comprehensive, with some tutorials sprinkled liberally throughout, but you'll have to search through hundreds, if not thousands, of entries to find what you need.** Site web Le meilleur qualificatif pour le site web de BackTrack (backtrack-linux.org) est éclectique. Avec leur slogan « plus votre silence devient profond et plus vous pourrez entendre » et une page wiki appelée //Le guide de BackTrack pour les Ninjas//, on ne peut qu'imaginer ce qui se tapit dans l'ombre ; un sentiment paranoïaque d'être surveillé pourrait même survenir. Le dessin de flammes en arrière-plan n'aide sans doute pas - cela semble prévenir les utilisateurs qu'ils peuvent être condamnés au bûcher s'ils se servent de ce système d'exploitation. Creusez assez loin dans le site et vous trouverez une litanie de cours de « sécurité offensive », dont la plupart, sinon tous, demandent aux étudiants de faire des « pentests » et d'attaquer des systèmes réels dans un environnement contrôlé. Il est vrai que quelques-uns sont gratuits, mais ils ont l'air de vouloir accrocher des gens pour qu'ils s'inscrivent aux formations les plus chères. Mon préféré est un stage de 5 jours proposé à St. Kitts dans les Caraïbes, mais à 4 000 $ US, mon porte-monnaie ne me le permettrait pas ! Ceux qui veulent sauter toutes les pages peuvent aller directement à offensive-security.com pour voir les cours tout de suite. Cela dit, le site web est presque identique aux liens figurant sur les pages de BackTrack et, puisque le suffixe est .com, c'est évident que l'objectif en est de vendre leurs produits. On pourrait faire valoir le fait que pas mal de développeurs font de la pub pour des trucs sur leur site web, mais la plupart ne nécessiterait point une deuxième hypothèque. Les forums ont l'air d'être complets, avec quelques tutoriels ici et là un peu partout, mais vous devrez rechercher dans des centaines, sinon des milliers d'entrées pour trouver ce dont vous avez besoin. **BackBox is a little different in their website. Mainly in English, about half of the forum contents are in Italian - so if you need information there, use your browser's translation extension. In addition, there are 3 pages of video instructions that contain little or no dialog (just follow what is shown), but brush up on your Italian because the on-screen version of the OS is in that language (sort of odd since the screenshots show an American flag sitting in the panel). Unlike BackTrack, BackBox doesn't sell instructional materials - although I did find it curious that it has Google links to other Linux distributions including Suse (sort of like a Ford dealer pushing Chevys). The forums are puny compared to BackTrack, but this OS is only a year old, and it’s trying to build a fan base. Since some of the security-based programs are the same or nearly identical to those offered by BackTrack, users could jump the fence and visit the competition's forums, if necessary. It appears there may have been an Italian site at http://backbox.opensoluzioni.it/, but I couldn't get it to load, and a quick search shows it may have been discontinued for the predominantly English version.** Le site web de BackBox est un peu différent. En anglais pour la plupart, environ la moitié du contenu du forum est en italien. Si vous avez besoin d'information, vous pouvez toujours utiliser l'extension de traduction de votre navigateur, le cas échéant. En plus il y a trois pages d'instructions dans des vidéos contenant peu ou aucun dialogue (il suffit de suivre ce qui est montré), mais il faudra réviser votre italien, car la version du système d'exploitation à l'écran est en cette langue, ce qui est un peu étrange étant donné que les captures d'écran montrent un drapeau américain dans le panneau. Contrairement à BackTrack, BackBox ne vend pas des supports de cours, bien que, de façon étrange, le site contient des liens google vers d'autres distributions de Linux, y compris Suse (un peu comme si un concessionnaire Citroën vantait des Renault). Comparés à ceux de BackTrack, les forums sont maigres, mais ce système d'exploitation n'a qu'un an et il essaie de créer une base d'amateurs. Puisque certains des programmes basés sur la sécurité sont pareils, ou presque identiques à ceux proposés par BackTrack, les utilisateurs ont la possibilité de visiter les forums de la concurrence au besoin. Il semblerait qu'il y ait eu un site italien à http://backbox.opensoluzioni.it/, mais je n'arrivais pas à le charger et une recherche rapide démontre qu'il a sans doute été abandonné pour la version en large partie en anglais. **OS Size and Options BackBox (right) packs two desktops as standard, Xfce, and BackBox Session - a modified Xfce design with a bottom dock, top panel, and more sophisticated background design than standard Xfce. In early 2011, it appears a Fluxbox package was offered but I couldn't determine if it applies to the current version (Fluxbox had some teething problems with more than just this OS and may have been pulled). 32-bit and 64-bit options at 913MB and 945MB, respectively, are offered, but not in the same download, so users have to make an initial choice or take time burning both. BackTrack offers Gnome and KDE as desktop options - along with 32 and 64-bit configurations, but instead of combining Gnome and KDE in the same package, they are split so users wanting to test all varieties would have to download 4 packages. No matter which version you choose, the image is near or at 2GB.** La taille et les options du système d'exploitation BackBox (à droite) possède en standard deux bureaux, Xfce et BackBox Session - comme un bureau Xfce modifié avec un dock en bas, un panneau en haut et un arrière-plan plus sophistiqué que la norme pour Xfce. Début 2011, il paraît qu'ils proposaient un paquet Fluxbox, mais je n'ai pas réussi à savoir si c'est le cas dans la version actuelle (Fluxbox avait des problèmes initiaux avec d'autres systèmes d'exploitation que celui-ci et on l'a peut-être retiré du marché). Des options 32-bit et 64-bit à 913 et 945 Mo, respectivement, sont proposées, mais pas au cours du même téléchargement, et les utilisateurs doivent donc faire un choix au départ ou prendre le temps de graver les deux. BackTrack offre le choix entre le bureau de Gnome et celui de KDE, ainsi que des configurations 32- et 64-bits, mais au lieu de mettre Gnome et KDE dans le même paquet, ils sont séparés. Les utilisateurs qui veulent essayer toutes les possibilités doivent ainsi télécharger 4 paquets. Quelle que soit la version que vous choisissez, l'image fait 2 Go ou à peu près. **Upgrade From Earlier Versions? Even though both OS are based on Ubuntu, the upgrade process is not the same as going to Update Manager and stepping up to the next available version. Yes, you can do that for the underlying code base, but what could happen to the specialized security software? BackTrack doesn't offer an upgrade option, and even states such on their website. Those wanting to upgrade from one version to the next must do a fresh installation. At least they don't pick any bones about it, but the upsetting issue is that once a new version is issued, all support for previous issues ceases immediately. The underlying code may still be supported by Ubuntu, but all the security related programs will no longer have any support. Although I can't verify such on a personal basis, I have heard from a couple of users that attempting to update the underlying Ubuntu code from 10.04 to 11.04 can prove fatal to some of the security programs. Do an upgrade at your own peril! BackBox really doesn't address the issue on its website, but an email from the developer, Raffaele Forte, states users should also do a new install over attempting an upgrade. Only time will tell if future Ubuntu upgrades upset the apple cart, but, since all works quite fine in Natty, it can only be assumed the usual updates (as opposed to full blown upgrade) won't hurt anything. Best idea for either OS? Break out aptoncd and get busy backing up those programs you want to keep, and hope the security oriented programs you like are still there once the new installation is completed. ** Peut-on faire une mise à niveau à partir de versions antérieures ? Malgré le fait que les deux systèmes d'exploitation sont basés sur Ubuntu, le procédé de mise à niveau n'est pas le même. Oui, vous pourriez passer par gestionnaire de mise à jour pour passer à une version nouvellement disponible pour le code de base mais, dans ce cas, qu'est-ce qui arriverait aux logiciels de sécurité spécialisés ? BackTrack ne propose pas d'option de mise à niveau et le dit clairement sur son site web. Ceux qui veulent faire une mise à niveau d'une version vers la suivante doivent faire une nouvelle installation. Au moins, ils ne le cachent pas, mais le problème qui fâche est que, une fois qu'une nouvelle version sort, tout support pour les versions antérieures cesse immédiatement. Il se peut que le code de base soit toujours pris en charge par Ubuntu, mais tous les programmes liés à la sécurité n'auront plus de support. Bien que je ne puisse pas le vérifier personnellement, j'en entendu dire par deux ou trois utilisateurs qu'essayer de faire une mise à niveau du code Ubuntu sous-jacent de la 10.04 vers la 11.04 peut s'avérer fatal pour certains des programmes de sécurité. Faites une mise à niveau à vos risques et périls ! BlackBox ne parle pas vraiment du problème sur son site web, mais un courriel du développeur, Raffaele Forte, précise que les utilisateurs devront faire une nouvelle installation au lieu d'essayer une mise à niveau. Seul le temps dira les conséquences de mises à niveau futures d'Ubuntu, mais puisque tout fonctionne comme il faut sous Natty, on ne peut que supposer que les mises à jour habituelles (plutôt qu'une mise à niveau complète) ne fera de mal à personne. Meilleure idée pour chacun des systèmes d'exploitation ? Sortez aptoncd et faites des sauvegardes de tous les programmes que vous voudriez garder en espérant que les programmes de sécurité que vous aimez soient encore là une fois la nouvelle installation terminée. **Installation Both OSes offer live mode, and the ability to use persistence via USB flash drive. Unless you need portability, these modes are often not preferred because they are slow. The real test is full installation, and this can sometimes be fraught with unnecessary perils. BackTrack (right) is unique in this respect in that all users must sign in as root. As a result, the usual Ubuntu installer method is lacking since there is no user ID or password collected – the OS is installed and that's that. About the only input involved is determining the amount of hard drive space to use.** Installation Les deux systèmes d'exploitation offrent un mode live et la possibilité d'utiliser la persistance via un lecteur flash USB. À moins d'avoir besoin de portabilité, ces modes ne sont pas souvent choisis parce qu'ils sont lents. Le vrai test est une installation complète et celle-ci peut parfois être parsemée d'embûches inutiles. BackTrack (à droite) est unique à cet égard, car tous les utilisateurs doivent se connecter en tant que root. Par conséquent, la méthode habituelle de l'installeur Ubuntu manque, puisque nulle identification d'utilisateur ni de mot passe n'est demandé ; le système est installé et basta ! À peu près le seul renseignement que l'utilisateur doit fournir est l'espace disque qui doit être utilisé. **From DVD in to final restart took roughly 30 minutes, or about the average amount of time for an Ubuntu installation. BackBox is classic Ubiquity and installation was a rather spectacular 17 minutes. By the time I turned around to make a sandwich it was completed. Hardware recognition was superb in both - with the only driver location necessary being that for my ATI/AMD graphics card. Wireless worked like a charm in either OS, although you'll have to read on about the snafu with finding connection information in BackTrack. Updates were equal with about 200MB waiting post-installation - which is good for BackTrack since it's based on last year's Ubuntu base. Hard drive space was typical with DVD contents expanding 100% once unpacked. BackTrack recommends 10GB hard drive space, while BackBox posts 2GB. BackTrack is more in line with reality, and it appears BackBox is using outdated or overly optimistic specs which wouldn't give enough wiggle room - especially for those preferring to use persistent drives.** Il a fallu environ 30 minutes, de l'insertion du DVD dans le lecteur au dernier redémarrage, ou à peu près le temps moyen qu'il faut pour une installation d'Ubuntu. BackBox est de l'Ubiquity classique et son installation n'a pris que 17 minutes - spectaculaire ! Juste le temps de me retourner pour me faire un sandwich et c'était terminé. Dans les deux, la reconnaissance du matériel a été superbe, le seul emplacement de pilote qu'il fallait donner étant celui pour ma carte graphique ATI/AMD. Le sans-fil fonctionnait à merveille sous les deux, bien qu'il faille continuer votre lecture pour voir les problèmes rencontrés lorsque je cherchais à me connecter à internet sous BackTrack. Les mises à jour furent pareilles avec environ 200 Mo en attente après l'installation, ce qui est bien pour BackTrack puisqu'il est basé sur l'Ubuntu de l'année dernière. L'espace disque était standard et le contenu du DVD s'est multiplié par 2, une fois extrait. BackTrack recommande 10 Go d'espace disque, alors que BackBox suggère 2 Go. BackTrack est plus réaliste et il paraît que BackBox utilise des spécifications périmées et trop optimistes qui ne vous laisseront pas assez de marge de manœuvre, surtout pour ceux qui préfèrent utiliser des disques persistants. **Login Protocol Just when you thought you'd never hear of the root/toor procedure again, it's back! BackTrack lives up to its name by using that procedure here - although users can change the password after installation (or if using persistence on a USB drive). Live mode users are stuck with it. Unfortunately, the OS comes with no instructions, but new users don't have to worry – if it senses no attempts to enter root and toor, it switches to another page where users are told to enter “startx” to fire up the GUI. Best as I can tell, BackTrack offers no option to use the standard Ubuntu protocol of user ID and password. You're in as root and that's all there is to that, although the password can be changed from toor once booted.** Protocole de connexion Au moment où vous avez pensé ne plus jamais entendre parler de la procédure root/toor, elle est de retour ! BackTrack mérite bien son nom en utilisant cette procédure ici, bien que les utilisateurs puissent changer le mot de passe après l'installation (ou s'ils se servent de la persistance sur une clé USB). Les utilisateurs du mode live n'ont pas le choix et doivent s'y plier. Malheureusement, il n'y a pas d'instructions livrées avec le système d'exploitation, mais les nouveaux utilisateurs ne doivent pas s'en inquiéter, si la machine s'aperçoit qu'il n'y a pas de tentatives de saisir root et toor, il affiche une autre page où les utilisateurs sont priés de saisir « startx » pour démarrer l'interface graphique. D'après ma propre expérience, tout ce que je peux vous dire c'est que BackTrack ne propose pas d'option qui vous permettrait d'utiliser le protocole standard Ubuntu d'identification utilisateur plus mot de passe. Vous êtes connecté en tant que root et c'est tout, bien qu'il soit possible de modifier le mot de passe (toor) après le démarrage. **Possibly because of the Gnome desktop, boot times were often somewhat dismal with 1 to 1.5 minutes being the norm (part of which was taken up entering root specs mentioned above). If you're looking for a colorful splash screen, forget it. BackTrack goes to verbose mode for the login process. BackBox uses the usual Ubuntu user ID and password and requires such during installation. Xfce really shines here - with cold boot times often less than 30 seconds even to the slightly busier BackBox Session version of Xfce. Much like BackTrack, there is no splash screen in BackBox, and new users may initially be put off by what they don't see. In short, a black screen with a flashing cursor is all that greets the user, and even that disappears after a few seconds - leaving just the blank screen until the desktop opens. At first, I thought the installation had failed and nearly powered down. Is one login protocol any better than the other? That's subject to interpretation - although most accounts I've reviewed state that signing in as root is inviting trouble since any mistakes or missteps can lead to the OS crashing. Fact is, anybody using root in live mode can merely do a forced reboot and be back to square one - but those using a persistent USB system may be doomed, since changes, including mistakes, are saved.** Peut-être à cause du bureau Gnome, les temps de démarrage furent souvent assez lamentables, la norme étant de 1 à 1,5 minutes (dont une partie passée à rentrer les spécifications de root mentionnées ci-dessus). Ce n'est pas la peine d'espérer voir un écran d'accueil plein de couleurs car, pour le processus de connexion, BackTrack se met en « verbose mode » (mode verbeux). Backbox se sert de l'identification d'utilisateur et du mot de passe Ubuntu et les demande pendant l'installation. Xfce brille vraiment ici, avec des temps de démarrage à froid souvent moins de 30 secondes, même vers la version Backbox Session de Xfce qui est un peu plus chargée. Comme pour BackTrack, il n'y a pas d'écran d'accueil sous Backbox et les nouveaux utilisateurs peuvent être de prime abord déçus par ce qu'ils ne voient pas. Bref, l'utilisateur est accueilli par un écran noir avec un curseur clignotant et même cela disparaît après quelques secondes... L'écran reste vierge jusqu'à l'ouverture du bureau. Je pensais que l'installation avait échoué et j'ai failli éteindre le tout. Est-ce que l'un des protocoles de connexion est meilleur que l'autre ? Cela dépend de votre point de vue, bien que la plupart des comptes-rendus que j'ai lus disent que se connecter en tant que root peut être une source d'ennuis puisque toute erreur ou maladresse peut faire planter le système. En fait, les gens qui se servent de root en mode live ont la possibilité de forcer un redémarrage et se retrouver ainsi à la case départ, mais ceux qui utilisent un système USB persistante peuvent se retrouver condamnés puisque toutes les modifications, y compris les erreurs, sont sauvegardées. **Desktop BackBox is Xfce with a modification called BackBox session that adds a dock and top panel to the usual rat logo on a bland background. It doesn't offer Gnome or KDE as standard like BackTrack; however, that's not necessarily bad. The desktop design, in keeping with Xfce tradition, is minimalistic, but not lacking artistic thought, with a medium gray background and a sweeping blue ribbon going through the center. In the middle of it all is a stylized “BackBox Linux” heading in which the Bs are made to look like 3s (3ack3ox). Below that heading is another stating “Flexible Penetration Testing Distribution”. If you don't like that, you have your choice of roughly 10 alternatives, but most center around the Xfce rat logo, so plan on adding your own unless you like desktop rodents. There is the Xfce dock at the bottom, but look quickly because it disappears as soon as the desktop appears (right click the dock to kill autohide in options). It contains a few icons for Internet (aka Firefox), a mail reader, among others, but the one that's interesting is Vidalia. Not the onion, mind you, but the program that acts as a graphical front-end for Tor.** Le bureau Backbox, c'est Xfce avec une modification appelée BackBox session qui ajoute un dock et une barre en haut au logo habituel d'un rat sur un fond neutre. Il ne propose pas Gnome ou KDE en standard comme BackTrack ; cela dit, ce n'est pas nécessairement mauvais. Conformément à la tradition Xfce, la conception du bureau est minimaliste, mais la réflexion artistique est présente dans le fond gris moyen et le ruban bleu qui en traverse le centre. Au milieu de tout cela est l'en-tête « BlackBox Linux » où les lettres B ressemblent à des 3s (3ack3ox). En dessous de cet en-tête-là se trouve un autre annonçant « Flexible Penetration Testing Distribution ». Si cela ne vous plaît pas, vous pouvez choisir entre environ 10 alternatifs, mais la plupart sont centrés sur le logo Xfce d'un rat ; vous voudriez donc peut-être rajouter votre propre fond d'écran à moins que vous aimiez les rongeurs de bureau. Il y a le dock Xfce en bas, mais regardez-le vite parce qu'il disparaît dès l'affichage du bureau (faites un clic droit pour désactiver l'« autohide » (le masquage automatique) dans les options. Il contient notamment quelques icônes pour internet (comme Firefox) et un lecteur de courriel, mais c'est Vidalia qui est intéressant. Pas l'oignon, bien entendu, mais le programme qui sert d'interface graphique à Tor. **That's not a misprint of Thor by the way, it is Tor, a program used to cover your tracks by redirecting your traces, to the point that surveillance is tough. Good thing, too, since some of the included programs I'll discuss later are best left unknown. The Firefox version included has Vidalia installed by default, and activation is by clicking the onion icon to the left of the URL field. (In one check it showed I was from the Ukraine when I was a few miles away in central Florida). A lone panel sits up top with the usual icons, with the only exception being the BackBox logo in the left corner acting as a main menu button. Xfce also allows access to most of the main menu via a left click anywhere on the desktop. BackTrack is also artistically designed, and the desktop design is eye catching. Consisting of a black and red mixture with what appears to be a galloping horse with a flowing mane in the background, the only thing breaking the design is the logo “<