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issue150:critique

With each new review, I am trying to add something that refines the review itself. If you have ideas, or requests for a Distro to be reviewed, please let me know. Even though I have screenshots that show my laptop specs, I am including them in the text just in case the pictures lose resolution when enlarging them, or if you are reading a text only version of this review. So my specs: Presario CQ56 Notebook PC 058D 64 bit AMD v140 CPU running at 2.3 GHz AMD/ATI Radeon HD 4225 [integrated] graphics 4 Gigs of Ram Remember I ran this test by live booting a USB flash drive and not by doing a minimal or full install. Now saying all that, my intro, and my laptop specs, let’s get to my review – shall we? I was pretty excited about giving Bodhi Linux a test drive. Many Linux people seem to think of it as an “up and coming Distro” [like Elementary Linux, which is next on my list]. After playing around with Bodhi, I can see why it has that label!

Avec chaque nouvelle critique, j'essaie d'ajouter quelque chose qui améliore la critique en elle-même. Si vous avez des idées ou une demande de critique d'une distrib. précise, merci de bien vouloir me le faire savoir.

Bien que j'aie des captures d'écran qui montrent les spécifs de mon ordinateur portable, je les inclus dans le texte au cas où les images perdraient en résolution lors de leur redimensionnement ou si vous lisez une version texte de cette critique.

Mes spécifs : Notebook Presario CQ56 PC 058D. Processeur 64-bit AMD v140 à 2,3 GHz. carte graphique AMD/ATI Radeon HD 4225 [intégrée]. 4 Go de RAM.

Gardez à l'esprit que j'ai fait ce test en démarrant live sur une clé USB et pas en faisant une installation minimale ou complète. Ayant dit tout cela, avec mon intro et les spécifs, commençons la critique, non ?

J'étais très enthousiaste à l'idée de tester Bodhi Linux. Pas mal de fans de Linux semblent croire que c'est une distrib. très prometteuse [tout comme Elementary Linux, la prochaine sur ma liste]. Après m'être amusé avec Bodhi, je vois pourquoi elle est décrite ainsi !

Let’s look first at what the developers say the minimum specs required are as per the website (quotes from their site will be in italics): Minimum Requirements: 500MHz processor 256MB of RAM 5GB of drive space Recommended: 1.0GHz processor 512MB of RAM 10GB of drive space As you can see, Bodhi is lightweight. It has both a 32-bit and 64-bit version so it can run even on older hardware! They definitely get points for that – because many mainstream/well-known Distros have [or are in the process of] stopped releasing 32 bit versions. Bodhi has a smaller team of developers than many mainstream Distros, but, from what I can tell, they seem to be growing. That should increase their updates and features, in theory at least. Their windows manager is called moksha desktop [their own make or fork of enlightenment 17, as the team didn’t like the changes put forth in E-18]. Reading their website, it seems they consider Moksha as part windows manager and part desktop environment [DE]. The idea here seems to be simplicity. That is good for older hardware, but I found it a little too simple, restrictive almost.

Voyons d'abord ce que disent les développeurs concernant les spécifs minimum nécessaires d'après leur site Web (les citations de leur site seront en italique). Minimum requis : Un processeur à 500 MHz. 256 Mo de RAM. 5 Go d'espace disque. Recommandé : Un processeur à 1,0 GHz. 512 Mo de RAM. 10 Go d'espace disque.

Comme vous pouvez le constater, Bodhi est léger. En plus d'une version 64-bit, Bodhi a une version 32-bit et peut donc tourner même sur du vieux matériel ! Ils obtiennent des points pour cela, car beaucoup des distrib. traditionnelles ont arrêté [ou sont en train d'arrêter] la publication des versions 32-bit.

L'équipe de développeurs de Bodhi est plus petite que celle de beaucoup de distrib. traditionnelles, mais, d'après ce que je peux voir, elle semble croître. Du moins en théorie, cela devrait augmenter les mises à jour et les fonctionnalités.

Leur gestionnaire de fenêtres s'appelle le bureau moksha [leur propre création ou une branche d'enlightenment 17, puisque l'équipe n'aimaient pas les modifications publiées dans E-18]. À la lecture de leur site Web, il semblerait qu'ils considèrent Moksha comme moitié gestionnaire de fenêtres et moitié environnement de bureau [EdB]. L'idée semble être la simplicité, ce qui est bien pour du matériel vieillissant. Mais je l'ai trouvé un peu trop simple et presque restrictif.

I had to search for the settings to enable my wifi. It was a supported chip but still took some tinkering to get it enabled and working. The reason it took some work, was the settings manager seemed scattered to me. After digging around, I found it and enabled my wifi; yet once I got the chip “on”, I still had to manually give it my network name as it didn’t scan or show any local networks [there are many networks in and near my house]. Once I had it working and was online, I noticed that there was no indicator showing that I was online in the status/taskbar. What was worse is that I couldn’t find an indicator for wifi or network at all. To me that was a huge downside. I don’t get into the indicator overload that some people do, but I like the time, network, and a logout menu, in my bar, yet Moksha didn’t seem to want to let me see I was online. [Granted, I could always install a program like Conky and place a widget on my desktop, but for these reviews I don’t like installing non-default programs if I can help it]. Let’s go back to the settings manager for a moment. As I said, it was scattered, clunky even. Most settings use a vertical hierarchy. You see a category, then under that are settings applicable to said category, then under that is the next category. Moksha used a horizontal setup for each category, and a vertical for things in said category.

J'ai dû chercher les paramètres pour activer mon WiFi. La puce était supportée, mais il fallait un peu de bricolage quand même pour l'activer et la faire fonctionner. La raison pour laquelle il fallait travailler pour cela était que le gestionnaire des paramètres me semblait éparpillé.

Après des recherches approfondies, je l'ai trouvé et j'ai activé le WiFi. Et pourtant, une fois la puce « activée », il fallait que je lui donne le nom de mon réseau, puisqu'il ne cherchait ni n'affichait des réseaux locaux [il y a beaucoup de réseaux dans et proche de la maison].

Une fois en ligne, grâce au WiFi, j'ai remarqué qu'il n'y avait pas de signe dans la barre des tâches indiquant que j'étais en ligne. Pire, je n'arrivais à trouver aucun indicateur pour le WiFi ou le réseau. Et, pour moi, c'était un gros inconvénient. Je ne me surcharge pas en notifications comme certains, mais j'aime avoir l'heure, le réseau et un menu de déconnexion dans ma barre ; pourtant, Moksha ne voulait pas me montrer que j'étais en ligne. (Bien entendu, je pouvais toujours installer un programme comme Conky et mettre un gadget sur mon bureau, mais pour ces critiques, je n'aime pas devoir installer des programmes non inclus par défaut, sauf en dernier ressort.)

Prenons un moment pour retourner au gestionnaire des paramètres. Comme indiqué, il était éparpillé, même difficile à utiliser. La plupart des paramètres utilisent une arborescence verticale. Vous voyez une catégorie, et les paramètres appartenant à ladite catégorie sont en dessous et, ensuite, la catégorie suivante s'affiche. Moksha utilisait une disposition horizontale pour chaque catégorie et une disposition verticale pour les éléments dans ladite catégorie.

The real issue I found was some categories seemed to make no sense. Even worse, some options in categories made little sense. After tinkering and searching DuckDuckGo, I found answers, but why not call a dock a dock, or even taskbar, like most other Distros do? They call it a “shelf” which is fine – they want something all their own– but I feel they should have kept some things with convention for new users. I tried to change some keybindings, and ran into issues there too. Yes, there were options, many of them that you could scroll through, but not many seemed to actually work. Granted, I didn’t have time to really dive into that, and I’d assume this or that command for this or that keybinding maybe conflicted with an existing one. Yet I also never got a notice saying as much, so maybe not? Okay, so my worst complaints are now done, let’s talk about some of the good points, shall we? The default theme is easy on the eyes and looks really slick! The colors compliment each other nicely, and the look and feel flows together very well! Moksha has “built in” compositing which allows for fancy, smooth graphics and looks – while still being light on resources. They really did a nice job with this department, as good as LXQT has done [see my Lubuntu review for my thoughts on that].

Le véritable problème que j'ai rencontré était que certaines catégories ne semblaient pas logiques. Pire encore, certaines options dans les catégories n'étaient pas logiques. Après des recherches sur DuckDuckGo et un peu de bricolage, j'ai trouvé des réponses, mais pourquoi pas appeler un dock un dock, ou même une barre des tâches, comme font la plupart des autres distrib. ? Eux, ils l'appelle un « shelf » (une étagère), ce qui convient bien - ils veulent se distinguer des masses - mais je pense qu'ils auraient dû garder des choses conventionnelles pour les nouveaux utilisateurs.

J'ai essayé de changer quelques raccourcis clavier, mais, là aussi, j'ai rencontré des problèmes. Oui, il y avait des options, que l'on pouvait faire dérouler pour la plupart, mais très peu semblaient fonctionner. J'avoue que je n'avais pas le temps d'approfondir cela, et je supposais que tel ou tel raccourci clavier était en conflit avec un raccourci déjà programmé. Et, là encore, je n'ai jamais eu un message qui me l'explicitait ; aussi, peut-être pas.

Bon. J'ai terminé avec mes pires griefs et je peux maintenant parler des bons points, si vous êtes d'accord. Le thème par défaut est un vrai bonheur pour les yeux, c'est très au point. Les jolies couleurs se complètent mutuellement et l'apparence et les sensations sont très fluides. Chez Moksha, le compositing (ou la composition) est intégré, ce qui permet des graphismes et une apparence élégants, tout en restant économe en ressources. Ils ont vraiment fait du bon boulot dans ce domaine, aussi bon que celui de LXQT (CF ma critique de Lubuntu pour ce que j'en ai pensé).

A nice feature is the left-click menu on the desktop. It’s powerful! The initial options are standard, but the nicest aspect is the favorites menu that gets populated as you use apps. To pull up that menu, you use a left-click instead of right. That provides a quick-launch functionality for your most-used apps. If you are using an external mouse, and if you center-click [click the mouse wheel], it pulls up a windows menu. So three menus in one – sort of. Nicely done indeed! I mentioned how Bodhi is “light on resources”. Out of my 5 reviews thus far, Bodhi comes in 1st place for resource use. I tried to lock it up, opening various apps at the same time, playing music in my browser, moving my mouse, etc. Yet it was hard to get it to lock up. Hard but not impossible. Playing media put a little drag, but then again that is no real surprise. Opening photos and ODTs and PDFs, and launching my browser, caused no discernible lag. Knowing the developers aim for lightweight, I think they really succeeded!

Une fonctionnalité sympa est le menu clic-gauche sur le bureau. C'est puissant ! Au départ, les options sont standard, mais l'élément le plus sympa est le menu des favoris qui se remplit au fur et à mesure que vous utilisez les applis. Pour afficher ce menu-là, vous utilisez un clic-gauche à la place d'un clic-droit. Et ça vous donne une fonctionnalité de lancement rapide pour les applis que vous utilisez le plus. Si vous utilisez une souris externe, et si vous faites un clic au centre [un clic sur la molette], cela affiche un menu fenêtres. Ainsi, vous avez trois menus en un seul, plus ou moins. Une belle réussite !

J'ai mentionné que Bodhi est « économe en ressources ». Des 5 critiques que j'ai faites jusqu'ici, Bodhi arrive premier dans la catégorie utilisation des ressources. J'ai essayé de le faire se planter, en ouvrant diverses applis en même temps, écoutant la musique dans mon navigateur, bougeant la souris, etc. Pourtant, c'était très difficile de le faire se bloquer. Difficile, mais pas impossible. Lire des média l'a ralenti un peu, mais ce n'est pas vraiment surprenant. L'ouverture de photos et ODT et PDF et le lancement du navigateur n'ont causé aucun retard perceptible. Connaissant l'objectif de légèreté des développeurs, je pense qu'ils ont vraiment réussi !

There was only a small selection of apps included. But the apps were pretty standard. A browser, LibreOffice, photo viewer, and file manager. No media player though, so I couldn’t test MP3 or MP4 support. I felt that they could have included a few more apps and still maintained their lightweight status. Being built on Ubuntu, which is built on Debian, Bodhi uses the “apt” package manager. Their AppCenter didn’t impress me. But there was also Synaptic and of course the command line! Snap and Flatpak support can be easily enabled as well. While there were things that I really didn’t like in Bodhi, overall I was okay with it. I can definitely tell what their goals are, and they are making progress towards said goals. If I had old hardware, and or a 32-bit machine, I would consider Bodhi. On more modern hardware though, I probably would give it a pass in favor of a more mature Distro, with more options. That being said, it’s not a bad Distro by any means. It is eloquent and resource friendly, which are both good things! If you’d like to give Bodhi Linux a try, go to their website and download the iso and enjoy! www.bodhilinux.com/

Il n'y avait qu'une petite sélection d'applis incluses, mais ces applis étaient standards : un navigateur, LibreOffice, un visionneur de photos et un gestionnaire de fichiers. En revanche, pas de lecteur de média, ce qui m'a empêché de tester le support des MP3 ou MP4. J'avais le sentiment qu'ils auraient pu inclure quelques applis supplémentaires tout en préservant leur statut de léger.

Étant basé sur Ubuntu, qui est basé sur Debian, Bodhi se sert du gestionnaire de paquets « apt ». Leur AppCenter ne m'a pas impressionné. Mais il y avait aussi Synaptic et, bien entendu, la ligne de commande. Le support de Snap et Flatpak peut être facilement activé aussi.

Bien qu'il y ait des choses dans Bodhi que je n'aimais pas du tout, globalement je l'ai trouvé convenable. Je peux clairement identifier leurs objectifs et ils avancent vers ces objectifs. Si j'avais une vieille machine ou une machine à 32 bits, j'envisagerais Bodhi. Sur du matériel plus moderne, cependant, je choisirais sans doute une distrib. plus mûre, avec plus d'options, plutôt que Bodhi. Cela étant dit, ce n'est pas du tout une mauvaise distrib. Elle est éloquente et économe en ressources : deux points très positifs !

Si vous souhaitez essayer Bodhi Linux, allez sur leur site Web, téléchargez l'ISO et faites-vous plaisir ! www.bodhilinux.com/

issue150/critique.txt · Dernière modification : 2019/11/02 16:55 de andre_domenech