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issue166:ubuntu_au_quotidien

Way back at the dawn of time, around late 1982, a young man walked into a Radio Shack store at Town East Mall in Mesquite, Texas and was talked into getting his very first credit card, a Radio Shack branded one, in order to purchase a personal computer. With a whopping 16K of memory, Extended Color Basic for added power (especially increased graphics capability), and even a CCR-81 dedicated and specialized computer tape deck,along with a pair of joysticks, this machine was truly … a typical 8-bit computer of the time. And you’ve no doubt guessed, that young man was me. The package’s $500 price tag at the time was steep for someone like me who made just about $5 per hour, but I felt it would be a good investment. And I really wanted to replace the Timex Sinclair TS-1000, my first personal computer, that I had recently returned to K-Mart after it belly-upped on me after just a couple of weeks of usage (and it was my second faulty Timex machine, at that – takes a licking and keeps on ticking, not so much).

Il y a bien longtemps, vers la fin de 1982, un jeune homme est entré dans un magasin Radio Shack au centre commercial de Town East dans Mesquite, au Texas, où on l’a persuadé de demander sa toute première carte de crédit, de la marque Radio Shack, afin de pouvoir acheter un ordinateur personnel. Avec beaucoup de RAM (16 Ko), Extended Color Basic pour augmenter la puissance (et surtout ses capacités graphiques) et même un lecteur de cassettes CCR-81, spécialisé et dédié aux ordinateurs, avec deux manettes, cette machine était vraiment… un ordinateur 8-bit typique de l’époque. Comme vous avez sans doute deviné, j’étais ce jeune homme. Le prix de l'ensemble (500 $) à l’époque était élevé pour quelqu’un comme moi qui gagnait à peine 5 $ par heure, mais cela me semblait un bon investissement. Et je voulais vraiment remplacer le Timex Sinclair TS-1000, mon premier ordinateur personnel, que j’avais récemment rendu à K-Mart après sa mort, survenu après deux ou trois semaines d’usage (et elle était quand même ma deuxième machine Timex défectueuse – « mal utilisée, mais continue à fonctionner » - pas tant que ça).

I enjoyed studying the manuals to learn BASIC, typing in and modifying programs from Creative Computing Magazine and its ilk, and just generally noodling around on it, even adapting a character generation program for Dungeons and Dragons that I had originally written for the aforementioned Timex Sinclair TS-1000. Really, though, I had a small handful of game cartridges from Radio Shack (some of which were reasonably fun), the tape adventure games Pyramid and Bedlam, and the few BASIC resource management games and simple simulation games I had typed in, and not much else. Nothing I had on the system was all that useful or interesting, except maybe the word processing cartridge Color Scripsit, which I used to do college papers for printout on my gigantic Centronics tractor-feed dot matrix printer. The machine was fun, sure, but nothing impressive or all that compelling. Until May of 1983. That was when The Rainbow entered my life, and I truly had no idea what a seminal moment it was going to be for me. It would truly accelerate my love of computing that served as the basis for most of my career, and still keeps me captivated to this day.

Étudier des manuels pour apprendre le BASIC, saisir et modifier des programmes trouvés dans Creative Computing Magazine et autres, et tout simplement m’amuser avec, m’ont beaucoup plu. J’ai même adapté un programme de génération de personnages pour Dungeons and Dragons que j’avais écrit au départ pour le sus-mentionné Timex Sinclair TS-1000. En fait, cependant, j’avais une petite poignée de cartouches de jeu de chez Radio Shack (dont quelques-uns étaient assez divertissants), les jeux d’aventure sur bande magnétique Pyramid et Bedlam, les quelques jeux de gestion des ressources et de simulation en BASIC que j’avais saisis et pas grand-chose d’autre. Rien de ce que j'avais sur le système n’était très utile ou très intéressant, sauf peut-être la cartouche de traitement de texte Color Scripsit, dont je me suis servi pour les devoirs de la fac afin de les imprimer sur mon imprimante Centronics, à matrice à points et alimentation mécanique. La machine était amusante, c’est vrai, mais sans rien d’impressionnant ou de très convaincant. Jusqu’en mai 1983. À ce moment-là, The Rainbow est entrée dans ma vie et je n’avais vraiment aucune idée à quel point ce serait un moment charnière pour moi. Elle allait augmenter mon amour de l’informatique qui était la base principale de ma carrière et qui me captive encore aujourd'hui.

The Rainbow was a Color Computer magazine that had already been going for 3 or 4 years before I discovered it. It had started out as a single page newsletter, written by Lonnie Falk and photocopied for its distribution of just a few copies to Lonnie’s friends and acquaintances. Within that extremely short time span of 3-4 years, The Rainbow grew to a 300+ page magazine on glossy paper, with a great deal of advertising and a lot of really fantastic editorial content, including programs, tutorials, reviews, and more. That 300 or so pages showed me some of the little machine’s truly impressive capabilities, driven by the genuinely excellent Motorola MC-6809E microprocessor at its heart.

Le Rainbow était une revue sur les ordinateurs en couleur qui existait depuis trois ou quatre ans avant que je ne la découvre. Elle a démarré comme newsletter d’une seule page, écrite par Lonnie Falk et photocopiée pour la distribution de quelques exemplaires aux amis et connaissances de Lonnie. Au cours de ce court laps de temps de 3 à 4 années, The Rainbow est devenue une revue de plus de 300 pages sur du papier glacé, avec pas mal de publicités et beaucoup de contenu éditorial fantastique, y compris des programmes, des tutoriels, des critiques et plus encore. Ces 300 et quelques pages m’ont montré certaines des capacités vraiment impressionnantes de la petite machine, dont le cœur était piloté par le réellement excellent microprocesseur Motorola MC-6809E.

The CoCo, as it was affectionately nicknamed, actually had FOUR monthly print magazines around that time, Hot CoCo, The Rainbow, Color Computer News, and Color Computer Magazine, and that’s not even to mention that it also had magazines on tape every month, like Chromasette, and significant coverage in other non-dedicated magazines like Byte and 6809 Micro Journal. Ingenious programmers and hardware designers like Steve Bjork, Frank Hogg, Dennis Lewandowski, Todd and Brett Keeton, Dennis Bathory Kitsz, Bill Barden, John Fraysse, and many others were doing astounding work to show what this little home computer could do.

Le Coco, c’était son pseudo affectueux, avait en fait QUATRE magazines mensuels imprimés à cet époque, HotCoCo, The Rainbow, Color Computer News et Color Computer Magazine, pour ne même pas parler des revues mensuelles sur bande magnétique, comme Chromasette, et une couverture significative dans d’autres revues non dédiées comme Byte et 6809 Micro Journal. Des programmeurs et des concepteurs de matériel ingénieux comme Steve Bjork, Frank Hogg, Dennis Lewandowski, Todd and Brett Keeton, Dennis Bathory Kitsz, Bill Barden, John Fraysse, et beaucoup d’autres faisaient un travail fantastique pour montrer ce que ce petit ordinateur savait faire.

CoCo Games I dove into that first Rainbow with relish and astonishment, particularly once I saw that there was an amazing virtual cornucopia of knock-offs of well-known arcade games advertised within its pages. There were never more than a small handful of licensed arcade games on the CoCo, but there was an absolutely staggering number of unofficial clones of games like Space Invaders, Galaxian, Centipede, Robotron, Defender, Asteroids, Pac-Man, Donkey Kong, Joust, Ms. Pac-Man, Mr. Do, Qix, Super Cobra, Moon Patrol, Missile Command, Q-Bert, Galaga, Tutankham, Monaco GP, Donkey Kong Jr., Popeye, Berzerk, and even pretty obscure arcade titles like Tapper, Avalanche, Bagman, Bosconian, Bump ‘n’ Jump, Crystal Castles, Lady Bug, Xevious, Omega Race, and Quantum. Many of these had multiple copycats, and the competitiveness of that marketplace clearly elevated the level of effort by the publishers, so that many of these clone games were genuinely exceptional duplicates of their arcade forebears.

Jeux sur le CoCo

Je me suis plongé dans ce premier Rainbow avec délectation et étonnement, surtout une fois que j’ai vu qu’il y avait dans ses pages une corne d’abondance extraordinaire remplie de publicités pour des imitations de jeux d’arcade bien connus. Il n’y avait jamais plus qu’une petite poignée de jeux d’arcade sous licence sur le Coco, mais il y avait un nombre absolument stupéfiant de clones officieux de jeux comme Space Invaders, Galaxian, Centipede, Robotron, Defender, Asteroids, Pac-Man, Donkey Kong, Joust, Ms. Pac-Man, Mr. Do, Qix, Super Cobra, Moon Patrol, Missile Command, Q-Bert, Galaga, Tutankham, Monaco GP, Donkey Kong Jr., Popeye, Berzerk, et même des titres de jeux d’arcade très peu connus comme Tapper, Avalanche, Bagman, Bosconian, Bump ‘n’ Jump, Crystal Castles, Lady Bug, Xevious, Omega Race, et Quantum. Beaucoup de ceux-là avaient de multiples imitateurs et la compétitivité de ce marché a clairement augmenté le niveau des efforts faits par les éditeurs ; ainsi, beaucoup des jeux clonés étaient réellement des doubles d’exception de leurs ancêtres.

CoCo Emulation Given my history with the CoCo, I still occasionally load up the great Windows Emulator VCC (Virtual Color Computer), and pull up some of my old games to play, an activity I enjoy enough to make me wonder why I don’t do it more often. Well, one reason is obvious: I don’t have a CoCo emulator on my Ubuntu machines, and I barely ever boot up any of my Windows machines any more. Having recently located a cache of Color Computer games in virtualized format, I am now feeling inspired to find a way to run them on Linux. As is often the case, this is turning out to be a real Ubuntu computing adventure.

Émulation du CoCo

Étant donné mon histoire avec le Coco, de temps en temps je charge encore le génial émulateur VCC (Virtual Color Computer) de Windows et choisis quelques-uns de mes vieux jeux pour y jouer ; c’est une activité qui me plaît tant que je me demande pourquoi je ne la fais pas plus souvent. Une des raisons est évidente : je n’ai pas d’émulateur CoCo sur mes machines Ubuntu et je ne démarre quasiment plus du tout une de mes machines Windows. Puisque j’ai récemment trouvé un cache de jeux pour le Color Computer en format virtualisé, je me sens maintenant motivé de trouver un moyen de les faire fonctionner sous Linux. Comme c’est souvent le cas, cela s’avère être une vraie aventure informatique avec Ubuntu.

A Google search revealed that my best bet on Linux was probably going to be XROAR, an emulator for the (almost identical) CoCo 1 and 2 (there was a CoCo 3, but XROAR doesn’t emulate it), and the Tano Dragon 32/64 line of CoCo clones popular in Europe back in the CoCo’s heyday. I have installed the Mac OS X version of XROAR on some of my older Mac iBooks, so I have at least heard of it. However, it’s not in the default software repositories for Ubuntu, so we can’t install it using the normal install process (see Everyday Ubuntu on pages 29-30 of Full Circle Magazine #164 month before last for more general information on installing software). We’re going to need to explore some extended software management procedures for installing XROAR, but it still shouldn’t be overly difficult (he said, with no idea what he was in for).

Une recherche sur Google m’a indiqué que, sous Linux, la meilleure possibilité était sans doute XROAR, un émulateur pour les (presque identiques) CoCo 1 et 2 (il y avait un CoCo 3, mais XROAR ne l’émule pas) et/ou la gamme Tano Dragon 32/64 de clones du CoCo, populaire en Europe pendant son apogée. J’ai déjà installé la version Mac OS X de XROAR sur certains de mes vieux Mac iBooks ; aussi, au moins, j’en ai entendu parler. Cependant, il ne se trouve pas dans les dépôts de logiciels pour Ubuntu par défaut et on ne peut pas l’installer en suivant le processus d’installation normal (voir Ubuntu au quotidien du FCM n° 164, pages 29-30, pour davantage d’informations générales sur l’installation de logiciels). Nous devrons explorer quelques procédés étendus de gestion de logiciels pour pouvoir installer XROAR, mais cela ne devrait pas être trop difficile (disait-il, sans avoir aucune idée de ce que cela impliquait).

Ubuntu Repositories As an integral part of the software installation process in Linux, Ubuntu uses something called a repository. Repositories are on the ‘back-end’ of the software installation process, meaning when you tell Ubuntu that you want to install a piece of software, the information to do so, including the necessary files to download, is stored in a (typically online) virtual location where your system can go and retrieve those files and information. Ubuntu has a pretty significant selection of software in its standard default repositories, but they certainly can’t cover absolutely everything. Since XROAR is not in the default Ubuntu repositories (meaning it can’t just be installed using the normal install procedure in Ubuntu Software Center, or even Synaptic Package Manager, a really good secondary software installation manager), we have to find a repository for XROAR and add that repository to the ones used by our Ubuntu software management system.

Les dépôts Ubuntu

Comme partie intégrale du processus d’installation d’un logiciel sous Linux, Ubuntu utilise quelque chose qui s’appelle un dépôt. Les dépôts sont une partie invisible du processus d’installation d’un logiciel, ce qui signifie que, quand vous dites à Ubuntu que vous voulez installer un logiciel, les informations pour ce faire, y compris les fichiers nécessaires à télécharger, se trouvent dans un emplacement virtuel (typiquement en ligne) où votre système peut récupérer ces fichiers et les informations nécessaires.

Le choix des logiciels dans les dépôts par défaut d’Ubuntu est très important, mais ils ne peuvent pas avoir absolument tout. Puisque XROAR ne se trouve pas dans les dépôts Ubuntu par défaut (ce qui signifie qu’on ne peut pas l’installer en utilisant tout simplement le procédé d’installation normal du Centre de logiciels Ubuntu, ni même le gestionnaire de paquets Synaptic, un gestionnaire secondaire d’installation de logiciels qui est vraiment très bien), nous devons trouver un dépôt pour XROAR et l’ajouter à ceux utilisés par notre système de gestionnaire de logiciels sous Ubuntu.

Adding a New Repository A Google search revealed this support webpage for XROAR: https://launchpad.net/~sixxie/+archive/ubuntu/ppa. You can see on this page the proper repository for XROAR: ppa:sixxie/ppa. We can add it via the command line by invoking a terminal (for more on how to get to a command line/terminal window, see Everyday Ubuntu in Full Circle Magazine issue # 160, page 40). Once we’re in the terminal, we can type in the following: sudo add-apt-repository ppa:sixxie/ppa then hit <Enter>, provide your superuser credentials (for more on this, see Everyday Ubuntu # 160, page 40 again), hit <Enter> again, followed by:

L’ajout d’un nouveau dépôt

Une recherche sur Google a donné cette page Web de support pour XROAR : https://launchpad.net/~sixxie/+archive/ubuntu/ppa. C’est ici que vous voyez le dépôt qu’il faut pour XROAR : ppa:sixxie/ppa. On peut l’ajouter avec la ligne de commande en ouvrant un terminal (pour plus de détails sur comment arriver à une fenêtre de ligne de commande/ terminal, voir Ubuntu au quotidien dans le FCM n° 160, page 40). Une fois dans le terminal, saisissez ce qui suit :

sudo add-apt-repository ppa:sixxie/ppa

puis appuyez sur <Entrée>, fournissez votre mot de passe sudo (pour plus de détails le concernant, voir à nouveau, Ubuntu au quotidien dans le n° 160 du FCM, à la page 40), appuyez sur <Entrée> à nouveau, suivi de :

sudo apt-get update again hitting <Enter>. Once this is done, we issue the command: sudo apt-get install xroar hit <Enter> one last time, and the system will install XROAR for us. We can now run XROAR by going to the applications drawer at the bottom left of our screen. then scroll down using the dots on the right side, clicking on the bottom-most to take us to our last page of installed software, where we will undoubtedly find XROAR. You can also hit the magnifying glass icon at the top to invoke the search function and search for XROAR, but it’s almost certain to be on the last page, considering the alphabetical order of the software listings. Click on XROAR and it will indeed launch. HUZZAH! But, there’s clearly a problem. Look at this screen:

sudo apt-get update

et appuyez sur <Entrée>. Une fois cela fait, saisissez la commande suivante :

sudo apt-get install xroar

appuyez sur <Entrée> une dernière fois et le système installera XROAR. Nous pouvons maintenant exécuter XROAR en allant au tiroir d’applications en bas à gauche de l’écran.

Puis faites défiler en vous servant des points sur le côté droit et cliquez sur celui tout en bas, ce qui nous amènera à notre dernière page des logiciels installés, où nous trouverons sans doute XROAR. Vous pouvez également cliquer sur l’icône d’une loupe en haut pour appeler la fonction de recherches et rechercher XROAR, mais c’est certain, ou presque, qu’il se trouve sur la dernière page, étant donné l’ordre alphabétique de la liste des logiciels. Cliquez sur XROAR et il se lancera. HOURRAH ! Mais, il est clair que nous avons un problème. Regardez cet écran :

Now, does that appear like even the most rudimentary functional computer? No, it clearly doesn’t, and indeed it isn’t. We’re missing something important here: the firmware. But first: Basics of How to Load Software on a CoCo The CoCo had its operating software, a version of Microsoft Basic, on a pair of chips inside the computer, a ROM (Read Only Memory) chip for Color Basic, and another ROM chip for Extended Color Basic, which mostly added graphics and sound commands. The machine did not have a DOS, or Disk Operating System, by default, as disk systems at that time were a VERY expensive add-on that many computer owners did not have. Instead, software often came in solid state cartridges or on cassette tapes. Est-ce que ça a l’air d’un ordinateur fonctionnel, même le plus rudimentaire ? Non, pas du tout et, effectivement, ça ne l’est pas. Quelque chose d’important nous manque : le firmware. Mais d’abord : Les bases du chargement des logiciels sur un CoCo Le Coco avait son propre système d’exploitation, une version de Microsoft Basic, sur deux puces à l’intérieur de l’ordinateur, une puce ROM (mémoire morte) pour Color Basic et une autre puce ROM pour Extended Color Basic, qui, principalement, ajoutait des graphismes et des commandes son. Par défaut, la machine n’avait pas de DOS, ou Disk Operating System, car les systèmes disque coûtait TRÈS cher à l’époque et beaucoup de propriétaires d’ordinateur n’en avait pas. À la place, les logiciels étaient souvent livrés sur des cartouches à semi-conducteurs ou sur des bandes magnétiques. The cartridges were plastic boxes containing a printed circuit board and a ROM chip, or chips, that plugged into a slot in the computer (in the CoCo’s case, on the right side), and basically turned the machine temporarily into a dedicated game console for a specific game (or rarely, a small handful of games on one cartridge), or an Editor/Assembler/Monitor (for those who wanted to program in the difficult but VERY speedy Assembly Programming Language), or a word processor (e.g., Color Scripsit), a database manager, a telecommunications terminal, a graphics workstation, a music composer, a spreadsheet, or other dedicated computing function. Interestingly, one of the more sophisticated offerings direct from The Shack was an Audio Spectrum Analyzer for use with your stereo, something I never saw on other machines of the same era, and a good reason many serious audiophiles selected the CoCo as their machine of choice. Les cartouches étaient des boîtes en plastique qui contenaient une carte avec des circuits imprimés et une, ou plusieurs, puce(s) ROM. Elles se branchaient sur un port dans l’ordinateur (pour ce qui concerne Coco, c’était du côté droit), et essentiellement transformaient la machine de façon temporaire, en une console de jeu dédiée à un jeu précis (ou, plus rarement, une petite poignée de jeux sur une seule cartouche), ou un Éditeur/Assembleur/Moniteur (pour ceux qui voulaient programmer dans le difficile, mais TRÈS rapide, Assembly Programming Language [NdT : language assembleur]), ou un traitement de texte ( par ex. Color Scripsit), un gestionnaire de base de données, un terminal de télécommunications, une station de travail à interface graphique, un composeur de musique, un tableur ou toute autre fonction informatique dédiée. Curieusement, l’une des offres les plus sophistiquées venant de The Shack était un Audio Spectrum Analyzer [NdT : Analyseur de spectre audio] qui s’utilisait avec votre stéréo, un truc que je n’ai jamais vu sur d’autres machines de la même époque et une bonne raison pour laquelle de nombreux audiophiles sérieux choisissaient le CoCo pour leur ordinateur. Other software was frequently loaded from cassette tapes, via a cable running from a cassette deck to the computer. Cassettes were slow and cumbersome, but were much cheaper than diskettes. I myself purchased dozens upon dozens of cassette programs before I ever even considered getting a floppy drive, and I also had a fair number of CoCo cartridges into the bargain.

The CoCo did have a floppy diskette system that had a controller, in the form of a large cartridge, and the disk drive itself. These days, floppy disks are rarely-sighted dinosaurs even in the more utile and sophisticated form they eventually took on in the case of MS-DOS compatible and Windows computers. Many of them undoubtedly eventually wound up in landfills. When I bought my first ever computer floppy drive, for my CoCo 1, it cost $500. For reference, again, I made less than $5 an hour at my full-time job at the time, so it was a BIG investment. The floppy drive controller also had a ROM chipset, that stored a very basic DOS (Disk Operating System) for the CoCo, to manage and catalog the contents of your floppy diskettes. D’autres logiciels étaient fréquemment chargés à partir de bandes magnétiques, via un câble qui connectait le lecteur de cassettes à l’ordinateur. Les cassettes étaient lentes et encombrantes, mais beaucoup moins chères que des disquettes. J’ai moi-même acheté des douzaines et des douzaines de programmes sur cassette avant d’envisager l’acquisition d’un lecteur de disquettes et, en plus, j’avais de nombreuses cartouches CoCo. Le Coco avait bel et bien un système de disquettes avec un contrôleur, sous la forme d’une grosse cartouche et le lecteur de disquettes lui-même. De nos jours, les disquettes sont des dinosaures qui sont rarement vus, même sous la forme plus utile et sophistiquée qu’elles ont finalement prise dans le cas d’ordinateurs compatibles MS-DOS et Windows. Sans doute, beaucoup ont fini dans des décharges. Quand j’ai acheté mon tout premier lecteur de disquette pour mon CoCo 1, il coûtait 500 $. Il faut savoir, à nouveau, que je gagnais moins de cinq dollars de l’heure dans mon travail à temps plein ; aussi, c’était vraiment un GROS investissement. Le contrôleur du lecteur avait également une puce ROM qui stockait un DOS très basique pour le CoCo, pour gérer et cataloguer le contenu de vos disquettes. Finding the Firmware (or ROMs)

In order to get XROAR to work correctly, we’re going to have to find and install all three of the system ROMs, particularly since the DOS ROM required Extended Color Basic as a prerequisite. Without the ROMs, XROAR, or even a hardware CoCo, does not know how to do anything at all.

There is a caveat here, the legality of using virtualized copies of the system ROMs in an emulator may be questionable, so we can’t advocate or recommend it. In my personal case, I still own a Color Computer 2, so it’s conceivable that I thereby have a legitimate license to use the ROMs for it, even in digitized format in an emulator. Trouver le firmware (ou ROM) Afin de faire bien fonctionner XROAR, nous devons trouver et installer les trois ROM du système, surtout parce que la ROM DOS nécessitait Extended Color Basic comme prérequis. Sans les ROM, XROAR, ou même le matériel CoCo, ne sait pas comment faire quoi que ce soit. Il y a un avertissement ici, car la légalité de l’utilisation de copies virtualisées des ROM du système dans un émulateur peut être contestable ; aussi, je ne peux ni la proposer, ni la recommander. Dans mon propre cas, je suis toujours propriétaire d’un Color Computer 2 et c’est concevable qu’ainsi, j’ai une licence légitime pour utiliser ses ROM même en un format numérisé dans un émulateur. Consequently, I did a Google search and readily found the three needed system ROMs, even finding them in versions specifically labeled for use in XROAR. I downloaded them and saved them to my Downloads directory under Home. They were in ZIP format, so I unzipped them after downloading was complete.

There was a time when unzipping files was something of a chore in Linux, but these days, on modern distributions, you can just double-click to get the Extract utility to open up: Par conséquent, en faisant des recherches sur Google, j’ai trouvé les trois ROM système nécessaires, même dans des versions étiquetées précisément pour XROAR. Je les ai téléchargées et sauvegardées dans le répertoire Téléchargements dans mon Dossier personnel. Elles étaient en format zippé, et je les ai extraites après le téléchargement. Il fut un temps où l’extraction de fichiers était un peu fastidieux sous Linux, mais aujourd’hui, sur des distributions modernes, il suffit de faire un double clic et l’utilitaire d’extraction s’ouvrira : Click the Extract button in the upper left, then navigate to the desired location to unzip the files into the desired firmware ROM format of *.rom. (The screenshots show me unzipping a particular piece of CoCo software, not a ROM file, but the procedure is the same.) However, when unzipping the system ROM files, I now faced a new challenge: after spending a not insubstantial amount of time searching for and reading documentation on XROAR, I could find absolutely NOTHING indicating where to put the system ROMs so that XROAR could find and load them. I found documentation online that was supposed to be specifically for the Linux version of XROAR, but it invariably only had firmware file location information for Windows or MacOS versions. I had the same experience when perusing the readme files that were installed by the Linux-specific version to my local drive. Now what? Where to Put the Firmware Files Well, I hate to end on a cliffhanger, but it looks like I’m almost out of space this time…

Cliquez sur le bouton Extraire en haut à gauche, puis naviguer jusqu’à l’emplacement voulu pour dézipper les fichiers dans le format ROM du firmware, *.rom.

(Les captures d’écran me montrent en train d’extraire un logiciel précis pour le Coco et pas un fichier ROM, mais le procédé est le même.)

Cependant, en extrayant les fichiers ROM du système, je rencontrais un nouveau défi : après avoir passé pas mal de temps à chercher et à lire la documentation sur XROAR, je ne trouvais RIEN du tout concernant l’emplacement des ROM système où XROAR pouvait les trouver et les charger. J’ai trouvé de la documentation en ligne qui était censé être spécifiquement pour la version Linux de XROAR, mais elle n’avait toujours que des informations sur l’emplacement des fichiers firmware pour les versions Windows et MacOS. J’ai fait la même expérience quand j’ai parcouru les fichiers readme qui avaient été installés sur mon disque dur par la version spécifique pour Linux. Que faire ?

L’emplacement des fichiers du firmware

Bon. Je déteste terminer par un formidable suspense, mais je pense que j’ai utilisé presque tout l’espace cette fois-ci…

issue166/ubuntu_au_quotidien.txt · Dernière modification : 2021/03/04 15:27 de andre_domenech