Full Circle Magazine FR

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**Website: https://www.growbotgame.com/

Price: $19 US

Blurb: “Growbot is a 2D point-and-click adventure about a robot saving her home from a dark crystalline force. Set upon a beautiful biopunk space station, you play as Nara, a growbot in training to become a captain. When your station home is attacked by rapidly growing crystals, it's down to you to save it.”

Like many stories, you are a junior in training, with big aspirations – to become the captain of a ship. The game takes inspiration from Machinarium, but with a floral theme. The story revolves around Nara who is thrown into the deep end on her(?) first day at her new assignment. Nara is a robot after all. The captain is missing, and the ship is damaged. If we compare this to our last review, Virtuaverse, this is in another league. There are no moon puzzles, no clicking around the screen hunting for the odd pixel out, no running twenty screens up and down looking for stuff, and no unlimited inventory. The interface is not in your face either. The ship you are in is limited in size, so there are only so many rooms to explore. Without moon puzzles, the game does not require a hint system (there is a spacebar that will tell you what you can interact with). That said, some of the puzzles are auditory. This again harkens back to Loom from Lucas arts, the first point-and-click game many people played. As the ship is only so big, the game is rather short and that brings us to the only gripe I have with the game, the ending, but more about that later.**

Site Web : https://www.growbotgame.com/

Prix : 19 $US

Aperçu : « Growbot est une aventure pointer-et-cliquer en 2D où il s’agit d’un robot qui doit préserver sa  maison d’une force cristalline sombre. Dans une très belle station spatiale biopunk, vous êtes Nara, un growbot (un robot qui doit grandir), qui suit une formation pour devenir capitaine. Quand votre station, votre chez vous, est attaquée par des cristaux à la croissance rapide, il n’y a que vous qui puissiez la sauver.

Comme dans beaucoup d’histoires, vous êtes un jeune en formation qui a de grandes ambitions : devenir la capitaine d’un vaisseau. Le jeu s’est inspiré de Machinarium, mais avec un thème floral. L’histoire concerne Nara, qui est jetée dans le  grand bain dès le (?) premier jour de sa nouvelle mission. Après tout, Nara est un robot. Le capitaine ne se manifeste pas et le vaisseau est endommagé. Si nous faisons une comparaison avec la dernière critique, celle de Virtuaverse, ce jeu-ci est d’un tout autre niveau. Il n’y a pas d’énigmes lunatiques, pas de cliquer partout sur l’écran en cherchant le pixel bizarre, pas de défilement entre une vingtaine d’écrans pour chercher des trucs et pas d’inventaire illimité. L’interface n’est pas non plus agressive. Le vaisseau dans lequel vous vous trouvez est d’une taille limitée et il n’y a pas de trop nombreuses pièces à explorer. Sans les énigmes lunatiques, le jeu ne nécessite pas un système d’indices (il y a une barre d’espace qui vous dira avec quels éléments vous pouvez interagir). Cela étant dit, certaines des énigmes sont auditives. À nouveau, cela rappelle Loom de Lucas Arts, le premier jeu en pointer-et-cliquer auquel beaucoup de gens ont joué. Puisque le vaisseau est de taille assez réduite, le jeu est plutôt court, ce qui nous amène à la seule plainte que j’ai à propos du jeu, sa fin, mais j’y reviendrai plus tard.

**The game describes itself as biopunk, but to me it is more robots in space. Anyway, the atmosphere is contrastingly colorful in the void of space. The game is aimed at beginners to the genre, as puzzle quests usually start at the first screen of an area, and you need to go in deeper to solve it. There is a guidebook too, for your perusal. The idea of having ‘consumables’ and ‘keepables’ is a nice touch.

In the menu, you have a pink bug/animal living in your head, but when the game starts, you have only lily pads and I am sure it is not a frog. Though I did chuckle – thinking of it as a skinless frog. It is in actual fact, a brainpillia. I am not sure if it is an attempt at humour, or the developers could not find a name for it as it looks like a tick that whistles like a bird.**

Le jeu se dit biopunk, mais, pour ce qui me concerne, il s’agit plutôt de robots dans l’espace. Quoi qu’il en soit, l’atmosphère gaie contraste merveilleusement avec le vide de l’espace. Le jeu cible les débutants dans le genre, car les quêtes à énigmes démarrent d’habitude sur le premier écran d’une zone et vous devez plonger plus en avant pour les résoudre. Vous pouvez aussi regarder le guide. L’idée d’avoir des « consommables » et des « keepables » (choses que vous pouvez garder) est sympa.

Dans le menu, il y a un insecte/animal qui vit dans votre tête, mais quand le jeu démarre, vous n’avez que des nénuphars et je suis sûr que ce n’est pas une grenouille. J’ai quand même gloussé, en y pensant comme une grenouille sans peau. Il s’agit, en fait, d’un « brainpillia » (qui pillerait votre cerveau). Je ne sais pas si c’est une tentative d’humour ou si les développeurs ne trouvaient pas un nom approprié, car il ressemble à une tique qui siffle comme un oiseau.

**The unlocking sequences require decent sound, just by the way, the tinny speakers on my craptop made the game a lot harder than it ought to be. For a game that uses sounds to solve puzzles, the game music was on loop and got on my nerves real quick. To add insult to injury, the “enemy” in the game are crystals, and the music loop sounds like it was made on crystals. The music is credited to this weird lady: https://www.youtube.com/watch?v=UMXlGR3qqPY
By the looks of it, she is French, so there’s that. 

I found that a lot of the puzzles are sequence based. It is not a bad thing, just an observation. Let’s face it, with point-and-click games, it is all about the story and the puzzles. Don’t know much about Wabi Sabi games, but their website is really crappy and their twitter page is in Spanish. Still, I think it is a small team of developers who did good. Machinarium was a feel-good puzzler and this is too. I liked that spaces changed; for instance an empty room may have a character in it later on in the game. This made the game feel more alive – not saying it was dead, as even repairing the plants, you only heal like tears, there are no dead spaces. I am not talking about the frozen characters, or robot with a broken dome though.**

Les séquences de déverrouillage nécessitent un son convenable : d'ailleurs, les hauts-parleurs métalliques sur mon portable de merde ont rendu le jeu beaucoup plus difficile que nécessaire. Pour un jeu qui utilise des sons pour résoudre des énigmes, la musique était en boucle et tapait sur mes nerfs très rapidement. Pire encore, les « ennemis » sont des cristaux, et la boucle musicale donne l’impression d’avoir été créée sur des cristaux. La musique est attribuée à cette dame bizarre : https://www.youtube.com/watch?v=UMXlGR3qqPY. Elle a l’air d’être française, ce qui peut expliquer des choses.

J’ai trouvé que pas mal des énigmes sont basées sur une séquence. Je ne dis pas que c’est mauvais, mais c’est une constatation. Soyons clair, les jeux de pointer-et-cliquer ne concernent que l’histoire et les énigmes. Je ne connais pas grand chose des jeux Wabi Sabi, mais leur site Web est vraiment merdique et leur page Twitter est en espagnol. Néanmoins, je pense qu’il s’agit d’une petite équipe de développeurs qui ont fait quelque chose de bien. Machinarium était un jeu d’énigmes réconfortant et celui-ci l’est aussi. J’aimais le fait que les espaces changeaient ; par exemple, une pièce vide pouvait contenir un personnage plus tard. Cela rendait le jeu plus vivant. Je ne dis pas que c’était mort, car même en réparant les plantes, vous ne les guérissez que comme des larmes, il n’y a pas d’espaces morts. Toutefois, je ne parle ni des personnages gelés, ni du robot avec un dôme cassé.

**Overall this is a cutesy game with an interesting mechanic in a very limited space. It may have been nice if the game continued on the planet below, but that is a nice-to-have, not a deal breaker. As this is aimed at newcomers to the genre, the play time may have an effect, so keeping it short n’ sweet is the right thing to do. 

The ending is a letdown. I will put it out there, but I will not spoil it (the kissy sounds and the throbbing hearts for “best friends” in the sequence was also weird), and the music is mediocre at best. The sims-type talking also did not fit the game – you are a robot, not Aquaman. 

I would not spend $20 (about $300 NAD) for this game, though there is nothing wrong with it, I would rather wait for a sale as there is really no replay value in it.**

Tout compte fait, c’est un joli jeu avec un mécanisme intéressant dans un espace très limité. Cela aurait pu être sympa si le jeu continuait sur la planète en dessous, mais ce n’est pas une raison pour ne pas se procurer le jeu. Puisqu’il cible les gens qui débutent dans le genre, le temps du jeu peut avoir un effet, et le garder court et chouette était la bonne chose à faire.

La fin est décevante. Je vous le dis, mais je ne vais pas la gâcher pour vous (les bruits de baisers et les cœurs battant pour les « meilleurs amis » dans la séquence étaient également bizarres) et la musique est médiocre au mieux. La façon de parler du type Sims ne s’accordait pas bien au jeu – vous êtes un robot, pas Aquaman.

Je ne dépenserais pas 20 $ (environ 300 dollars namibiens), pour ce jeu, bien qu’il n’y ait rien qui cloche, car j’aimerais mieux attendre les soldes parce qu’il n’y a pas de rejouabilité.