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issue200:inkscape

For a long time users were crying out for Inkscape to have a single dialog that lists all the objects in a document. So the developers added one, back in version 0.92, but it did have an annoying side-effect of slowing the application down once the dialog was opened – even if you then closed it again! Quitting and restarting the application solved it (provided you didn’t open the dialog again), but it was frustrating enough that this feature wasn’t terribly useful on more complex projects, even though those were the ones that would most benefit from an Objects dialog. Meanwhile the long-standing Layers dialog was still performing its task admirably, but was obviously limited to showing a list of layers. With version 1.2 both these older dialogs were removed, and their functionality combined into a single ‘Layers and Objects’ dialog. In order to avoid too much confusion for long-time users, it’s available from both the Layer menu and the Object menu, so if you were used to opening either of the older dialogs from the menus you’ll still manage to find the new one. Similarly the old Layers button in the main toolbar will open the dialog, as will the Ctrl-Shift-L keyboard shortcut. One small annoyance, in my view, is that the tooltip on the toolbar button describes it simply as ‘Open Objects’ and doesn’t mention layers at all. This is particularly jarring as the ‘L’ in the keyboard shortcut is a lot easier to remember if you think of it as the ‘Layers and Objects’ dialog.

Pendant longtemps, les utilisateurs ont réclamé à cor et à cri qu'Inkscape dispose d'une boîte de dialogue unique listant tous les objets d'un document. Les développeurs en ont donc ajouté une, dès la version 0.92, mais elle avait pour effet secondaire agaçant de ralentir l'application une fois la boîte de dialogue ouverte - même si vous la refermiez ensuite ! Quitter et redémarrer l'application permettait de résoudre le problème (à condition de ne pas rouvrir la boîte de dialogue), mais c'était suffisamment frustrant pour que cette fonctionnalité ne soit pas très utile pour les projets assez complexes, même si ce sont ceux qui auraient bénéficié le plus d'une boîte de dialogue Objets. Pendant ce temps, l'ancienne boîte de dialogue des calques remplissait toujours admirablement son rôle, mais était évidemment limitée à l'affichage d'une liste de calques.

Avec la version 1.2, ces deux anciennes boîtes de dialogue ont été supprimées et leurs fonctionnalités ont été regroupées dans une seule boîte de dialogue « Calques et objets ». Afin d'éviter trop de confusion pour les utilisateurs de longue date, cette boîte de dialogue est disponible à la fois dans le menu Calques et dans le menu Objets, de sorte que si vous aviez l'habitude d'ouvrir l'une ou l'autre des anciennes boîtes de dialogue à partir des menus, vous parviendrez toujours à trouver la nouvelle. De même, l'ancien bouton Calques de la barre d'outils principale ouvrira la boîte de dialogue, tout comme le raccourci clavier Ctrl-Maj-L. Un petit inconvénient, à mon avis, est que l'infobulle du bouton de la barre d'outils le décrit simplement comme « Ouvrir des objets » et ne mentionne pas du tout les calques. C'est d'autant plus gênant que le « L » (comme Layers - les calques) du raccourci clavier est beaucoup plus facile à mémoriser si l'on pense à la boîte de dialogue « Calques et objets ».

The image below shows the dialog as it appears in version 1.3. The key features are present in version 1.2, but the later release adds a few extra bits that are worth discussing. Every object, group or layer in the document gets its own line in this dialog, which shows the following items: • An indicator to show whether the layer or group has been expanded • A colored symbolic icon representing the type of object • The label of the object • An icon indicating the opacity and blend mode of the object • An icon to indicate whether or not the object is visible • An icon to indicate whether or not the object is locked • A thin swatch whose color matches that of the symbolic icon Item 1 only appears on layer or groups, and only those that contain other objects. Items 4, 5 and 6 are visible as you hover over a row with the mouse. Clicking on these three in order to change the defaults can result in them remaining visible even when the mouse has moved away – I’ll describe that in a bit more detail below.

L'image ci-dessous montre la boîte de dialogue telle qu'elle apparaît dans la version 1.3. Les principales caractéristiques sont présentes dans la version 1.2, mais la dernière version ajoute quelques éléments supplémentaires qui méritent qu'on en parle.

Chaque objet, groupe ou calque du document dispose de sa propre ligne dans cette boîte de dialogue, qui affiche les éléments suivants : ••Un indicateur pour montrer si le calque ou le groupe a été développé. ••Une icône symbolique colorée représentant le type d'objet. ••L'étiquette de l'objet. ••Une icône indiquant l'opacité et le mode de fusion de l'objet. ••Une icône indiquant si l'objet est visible ou non. ••Une icône indiquant si l'objet est verrouillé ou non. ••Une fine tache dont la couleur correspond à celle de l'icône symbolique.

L'élément 1 n'apparaît que sur les calques ou les groupes et uniquement ceux qui contiennent d'autres objets. Les éléments 4, 5 et 6 sont visibles lorsque vous survolez une ligne avec la souris. En cliquant sur ces trois éléments pour modifier les valeurs par défaut, ils peuvent rester visibles même lorsque la souris s'est éloignée, ce que je décrirai un peu plus loin.

The colors assigned to each topmost layer are drawn from a palette of 8 values, based on the label of the object. Try creating layers named “1” to “8” to see what colors are used in your chosen theme – and throw in a “9” or a “0” if you want to prove there are only 8 in use. Here are the default colors on my system: The fact that these colors are assigned based on the label means that you may end up with identical colors next to each other. Changing one of the labels a little may fix that, but if it really bothers you then you can manually set the color by clicking on the thin swatch at the right of the row. More on that shortly. Eagle-eyed readers will have noticed that I said “the colors assigned to each topmost layer”, rather than to each object. The labels of individual objects and groups – and even of sub-layers – have no bearing on the initial color that is applied. That comes entirely from the color of the topmost layer for that part of the tree. This leads to all the objects within each top layer being given the same icon color, which can be a bit of a problem if you’re the sort of person who keeps the whole structure of your drawing inside a single top-level layer.

Les couleurs attribuées à chaque calque de plus haut niveau sont tirées d'une palette de 8 valeurs, basée sur l'étiquette de l'objet. Essayez de créer des calques nommés de « 1 » à « 8 » pour voir quelles sont les couleurs utilisées dans le thème que vous avez choisi - et ajoutez un « 9 » ou un « 0 » si vous voulez prouver qu'il n'y en a que 8 d'utilisées. Voici les couleurs par défaut de mon système :

Le fait que ces couleurs soient attribuées en fonction de l'étiquette signifie que vous pouvez vous retrouver avec des couleurs identiques l'une à côté de l'autre. Modifier légèrement l'une des étiquettes peut résoudre ce problème, mais si cela vous gêne vraiment, vous pouvez définir manuellement la couleur en cliquant sur l'échantillon fin à droite de la rangée. Nous y reviendrons prochainement.

Les lecteurs attentifs auront remarqué que j'ai dit « les couleurs attribuées à chaque calque de plus haut niveau », plutôt qu'à chaque objet. Les étiquettes des objets individuels et des groupes - et même des sous-calques - n'ont aucune incidence sur la couleur initiale qui est appliquée. Celle-ci provient entièrement de la couleur du calque supérieur pour cette partie de l'arbre. Cela signifie que tous les objets de chaque calque de plus haut niveau reçoivent la même couleur d'icône, ce qui peut poser un problème si vous êtes du genre à conserver toute la structure de votre dessin à l'intérieur d'un seul calque de niveau supérieur.

To help address this, it’s possible to override the default color for each item in the tree by clicking on the thin swatch at the right. This brings up a small color-picker dialog in which you can change the icon’s color. If you do this on a layer, sub-layer or group, any elements created within it will be given the new color for their icon. Any existing descendent objects will also be updated to the new color, unless they’ve been explicitly overridden (or they’re in a sub-layer or group that has). The dialog provides no way to remove an override and revert back to automatic assignment. If you really want to do that, it will require a trip to the XML Editor to remove the ‘inkscape:highlight-color’ attribute. One rather annoying aspect of the color-picker dialog is that it affects the row whose swatch was last clicked, not the currently selected row. So if you wish to change the icon color for several items you will need to do it one-at-a-time, clicking on the swatch for each one. You don’t have to close the dialog in-between each of them, but it’s still rather annoying if you want to set multiple items to have the same custom color. In practice I doubt many people bother setting custom colors anyway, so it’s not a huge problem – but it would be nice to be able to use some of the advanced features of the Find/Replace dialog to select multiple items, then set them all to something that stands out prominently in the list.

Pour remédier à ce problème, il est possible de remplacer la couleur par défaut de chaque élément de l'arbre en cliquant sur l'échantillon fin situé à droite. Cela fait apparaître une petite boîte de dialogue dans laquelle vous pouvez modifier la couleur de l'icône. Si vous effectuez cette opération sur un calque, un sous-calque ou un groupe, tous les éléments créés dans ce calque ou sous-calque se verront attribuer la nouvelle couleur pour leur icône. Tous les objets existants à l'intérieur seront également mis à jour avec la nouvelle couleur, sauf s'ils ont été explicitement remplacés (ou s'ils font partie d'un sous-calque ou d'un groupe qui l'a été). La boîte de dialogue ne permet pas de supprimer une dérogation et de revenir à l'attribution automatique. Si vous voulez vraiment faire cela, il faudra aller dans l'éditeur XML pour supprimer l'attribut « inkscape:highlight-color ».

Un aspect plutôt ennuyeux du dialogue de sélection des couleurs est qu'il affecte la ligne dont l'échantillon a été cliqué en dernier, et non la ligne actuellement sélectionnée. Ainsi, si vous souhaitez changer la couleur de l'icône de plusieurs éléments, vous devrez le faire un par un, en cliquant sur la couleur de chacun d'entre eux. Vous n'êtes pas obligé de fermer la boîte de dialogue entre chaque changement, mais c'est tout de même assez ennuyeux si vous voulez donner la même couleur personnalisée à plusieurs éléments. En pratique, je doute que beaucoup de gens prennent la peine de définir des couleurs personnalisées de toute façon, ce n'est donc pas un gros problème, mais ce serait bien de pouvoir utiliser certaines des fonctions avancées de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer pour sélectionner plusieurs éléments, puis leur donner à tous une couleur qui se détache bien dans la liste.

Let’s move past the color of the symbolic icon and onto its shape. The choice of icon reflects the type of Inkscape object you’re looking at. The specific icons vary between themes but, on my system, layers and sub-layers appear with a page icon, groups with a folder icon, text with a “T”, and so on. If an object is clipped or masked, it also gains a small badge on the icon to indicate that state – and if a clipped object has a masked applied, or a masked object is then clipped, you do get both badges. It’s very important to note that the icon used reflects the current type of the object, which may not be how it was originally created. A rectangle that has been converted to a path, for example, will have a path icon, even if the label is still the default “rect1234” type of string. Speaking of those labels, this dialog is perhaps a more useful place to set them than via the Object Properties dialog. Just double-click on a label to edit it in-place. Don’t forget that changing the label of a top-level layer may also change the color of its icon, and those of its descendants. Do note, however, that the label is an Inkscape-specific thing that is purely there for your convenience. I tend to set the labels on layers and perhaps a few key groups or objects, but it’s rarely worth trying to set sensible labels on everything. It also doesn’t change the XML ID of the object, so JavaScript developers who want to use specific IDs for their code to reference will still need to open the Object Properties dialog or the XML Editor.

Passons de la couleur de l'icône symbolique à sa forme. Le choix de l'icône reflète le type d'objet Inkscape que vous regardez. Les icônes spécifiques varient selon les thèmes mais, sur mon système, les calques et les sous-calques apparaissent avec une icône de page, les groupes avec une icône de dossier, le texte avec un « T », etc. Si un objet est rogné ou masqué, un petit badge apparaît sur l'icône pour indiquer cet état, et si un objet rogné est masqué, ou si un objet masqué est ensuite rogné, vous obtenez les deux badges.

Il est très important de noter que l'icône utilisée reflète le type actuel de l'objet, qui peut ne pas correspondre à la manière dont il a été créé à l'origine. Un rectangle qui a été converti en chemin, par exemple, aura une icône de chemin, même si l'étiquette est toujours le type de chaîne par défaut « rect1234 ».

En ce qui concerne les étiquettes, cette boîte de dialogue est peut-être plus utile pour les définir que la boîte de dialogue Propriétés de l'objet. Il suffit de double-cliquer sur une étiquette pour la modifier sur place. N'oubliez pas que la modification de l'étiquette d'un calque de premier niveau peut également modifier la couleur de son icône et celles de ses descendants. Notez cependant que l'étiquette est un élément spécifique à Inkscape qui n'est là que pour vous faciliter la tâche. J'ai tendance à définir les étiquettes sur les calques et peut-être sur quelques groupes ou objets clés, mais cela vaut rarement la peine d'essayer de définir des étiquettes sensées sur tout. Il ne modifie pas non plus l'ID XML de l'objet, de sorte que les développeurs JavaScript qui souhaitent utiliser des ID spécifiques pour leur code devront toujours ouvrir la boîte de dialogue Propriétés de l'objet ou l'Éditeur XML.

Moving on to the three icons that appear when you hover over a row, I’m going to skip the first one and come back to it shortly. The second and third are used to indicate the visibility and locked state of the object. The default for any object is for it to be both visible and unlocked, so Inkscape doesn’t bother to show the icons on rows where that’s the case. The only exception is the currently hovered row, where those icons also act as buttons to toggle the state. If you make the object invisible or locked, the corresponding icon remains visible even when you’re no longer hovering over the row, making it easy to see which objects are in the non-default state. If these icons are toggled on a layer or group, then the descendants gain a translucent version of the default icon, indicating that even though the defaults are used, their final appearance is being determined by the ancestor further up the tree: Much like these two controls, the first icon of the three is also hidden when the object is in its default state, but this is not a simple on/off toggle like the others. This control is used to indicate and change both the opacity of the object, and its blend mode. Before describing this in more detail, it’s worth considering why such a control has been added, by taking a look at the Layers dialog from version 0.92:

En ce qui concerne les trois icônes qui apparaissent lorsque vous survolez une ligne, je vais sauter la première et y revenir plus tard. Les deuxième et troisième icônes sont utilisées pour indiquer la visibilité et l'état verrouillé de l'objet. Par défaut, tout objet est à la fois visible et déverrouillé et c'est pourquoi Inkscape ne prend pas la peine d'afficher les icônes sur les lignes où c'est le cas. La seule exception est la ligne actuellement survolée, où ces icônes agissent également comme des boutons pour basculer l'état. Si vous rendez l'objet invisible ou verrouillé, l'icône correspondante reste visible même lorsque vous ne survolez plus la ligne, ce qui permet de voir facilement quels objets sont dans un état différent de l'état par défaut.

Si ces icônes sont activées sur un calque ou un groupe, les descendants obtiennent une version translucide de l'icône par défaut, ce qui indique que même si les valeurs par défaut sont utilisées, leur apparence finale est déterminée par l'ancêtre situé plus haut dans l'arbre :

À l'instar de ces deux contrôles, la première icône des trois est également cachée lorsque l'objet est dans son état par défaut, mais il ne s'agit pas d'une simple bascule marche/arrêt comme les autres. Ce contrôle est utilisé pour indiquer et modifier l'opacité de l'objet et son mode de fusion. Avant de le décrire plus en détail, il convient de se demander pourquoi un tel contrôle a été ajouté, en jetant un coup d'œil à la boîte de dialogue Calques de la version 0.92 :

At the bottom are convenience controls for selecting the layer’s blend mode and opacity. To be honest, I would imagine that the blend mode popup was rarely used beyond a little experimentation. Blend modes can definitely have their uses, but although they can be used to great effect in a bitmap editor, I’ve hardly ever found a need for them in a vector graphics program. Nevertheless, having them there definitely made them far more discoverable to users than their other home inside the Filter Editor. With the new dialog in 1.2 these controls didn’t make the cut. The advice to users who wanted to use blend modes was to add them via the Filter Editor, while opacity could be set in the Fill & Stroke dialog, even for layers. In 1.3 those controls have made it into the new dialog, in the form of that first control in the trio. Personally I would have made it a quartet of controls, and kept the Opacity and Blend Mode as separate things but, instead, clicking on that icon presents a pop-up which combines both of them, looking like this:

En bas, des commandes pratiques permettent de sélectionner le mode de fusion et l'opacité du calque. Pour être honnête, j'imagine que la fenêtre contextuelle du mode de fusion a rarement été utilisée au-delà d'une petite expérimentation. Les modes de fusion ont certainement leur utilité, mais bien qu'ils puissent être utilisés à bon escient dans un éditeur d'images bitmap, je n'en ai pratiquement jamais trouvé l'utilité dans un programme de graphisme vectoriel. Néanmoins, le fait de les avoir à cet endroit les rend beaucoup plus faciles à découvrir pour les utilisateurs que leur autre emplacement dans l'Éditeur de filtres.

Avec le nouveau dialogue de la version 1.2, ces contrôles n'ont pas été retenus. Le conseil donné aux utilisateurs qui voulaient utiliser les modes de fusion était de les ajouter via l'éditeur de filtres, tandis que l'opacité pouvait être réglée dans la boîte de dialogue Fond et contour, même pour les calques.

Dans la version 1.3, ces contrôles ont été intégrés dans la nouvelle boîte de dialogue, sous la forme du premier contrôle du trio. Personnellement, j'en aurais fait un quatuor de contrôles et j'aurais gardé l'opacité et le mode de mélange comme des éléments distincts, mais au lieu de cela, un clic sur cette icône affiche une fenêtre contextuelle qui les combine tous les deux, comme ceci :

As you can see, this pop-up allows you to adjust the Opacity using a slider, and choose the Blend Mode using a collection of radio buttons. Frustratingly there’s no numeric input for the Opacity slider, so if you want a specific value you may have to manage it via the Fill & Stroke dialog anyway. Incidentally, if you need more information about blend modes, I covered them well over a decade ago, in part 9 of this series (Full Circle Magazine #69) and aside from the change in UI the information there still holds true. The default values for an object are 100% opacity and Normal blend mode. The icon will not appear for any row with those settings unless it’s being hovered over. Reduce the opacity or change the blend mode, however, and an icon will be shown, even for non-hovered rows. Considering the states of both the opacity and blend mode, there are six possible combinations that can be shown. Here’s how they appear with the theme I use: The first, a fully filled single square, is what you’ll see when hovering over an object with the default settings. If you reduce the opacity to anything less than 100%, but greater than 0%, the second icon will be displayed. The third appears for objects with 0% opacity. I really do mean 0% - even a 0.1% opacity, despite appearing completely transparent to the human eye, will be displayed with the second icon.

Comme vous pouvez le voir, cette fenêtre vous permet d'ajuster l'opacité à l'aide d'un curseur et de choisir le mode de mélange à l'aide d'une série de boutons radio. Il est frustrant de constater qu'il n'y a pas d'entrée numérique pour le curseur d'opacité, de sorte que si vous souhaitez une valeur spécifique, vous devrez de toute façon la gérer via la boîte de dialogue Fond et contour. Si vous avez besoin de plus d'informations sur les modes de fusion, je les ai abordés il y a plus de dix ans, dans la partie 9 de cette série (Full Circle Magazine n° 69) et, mis à part le changement d'interface utilisateur, les informations qui s'y trouvent sont toujours valables.

Les valeurs par défaut pour un objet sont 100 % d'opacité et le mode de fusion Normal. L'icône n'apparaîtra pour aucune ligne avec ces paramètres à moins qu'elle ne soit survolée. Si vous réduisez l'opacité ou modifiez le mode de fusion, une icône s'affichera, même pour les lignes non survolées. Compte tenu de l'état de l'opacité et du mode de fusion, six combinaisons possibles peuvent être affichées. Voici comment elles apparaissent avec le thème que j'utilise :

La première, un carré unique entièrement rempli, est ce que vous verrez lorsque vous survolerez un objet avec les paramètres par défaut. Si vous réduisez l'opacité à une valeur inférieure à 100 %, mais supérieure à 0 %, la deuxième icône s'affiche. La troisième icône apparaît pour les objets dont l'opacité est de 0 %. Je dis bien 0 % - même une opacité de 0,1 %, bien qu'elle paraisse complètement transparente à l'œil humain, sera affichée avec la deuxième icône.

If you change the blend mode, but leave the opacity at 100%, you’ll get the fourth icon. The fifth is for a non-Normal blend mode and less than 100% (but more than 0%) opacity. There isn’t a specific icon for a non-normal blend mode with 0% opacity, and the icon from row 3 is re-used. I guess this makes some sense, because a blend mode doesn’t really have an effect on a fully transparent object, but I’d still prefer to see that state called out explicitly. Each row in this dialog also has a right-click context menu that is identical to the one you would get when right-clicking on the same object on the canvas. One handy shortcut to remember is pressing ‘3’ to zoom to fit the current selection in the window: just click on an object or layer in the dialog and press 3 to bring it into view. The last thing to mention in this dialog is the toolbar at the top. Version 1.2 had a simplified version of this, lacking the search box and settings button. But it did start with a toggle to switch between a view that includes all objects and one that shows only layers – the latter mode mimicking the Layers dialog from earlier releases for those users who never really found much need for a list of every object in the document (I’m one of them). This option is still available, but has been moved into the Settings pop-up, which unfortunately makes it a little less practical to switch back and forth between the two modes as the need arises.

Si vous modifiez le mode de fusion, mais que vous laissez l'opacité à 100 %, vous obtiendrez la quatrième icône. La cinquième icône correspond à un mode de fusion non normal et à une opacité inférieure à 100 % (mais supérieure à 0 %). Il n'y a pas d'icône spécifique pour un mode de fusion non normal avec une opacité de 0 %, et l'icône de la ligne 3 est réutilisée. Je suppose que cela a un certain sens, car un mode de fusion n'a pas vraiment d'effet sur un objet totalement transparent, mais je préférerais tout de même que cet état soit explicitement mentionné.

Chaque ligne de cette boîte de dialogue dispose également d'un menu contextuel identique à celui que vous obtiendriez en cliquant avec le bouton droit de la souris sur le même objet dans le canevas. Un raccourci pratique à retenir est d'appuyer sur « 3 » pour agrandir la sélection actuelle dans la fenêtre : il suffit de cliquer sur un objet ou un calque dans la boîte de dialogue et d'appuyer sur 3 pour l'afficher.

La dernière chose à mentionner dans cette boîte de dialogue est la barre d'outils située en haut. La version 1.2 en avait une version simplifiée, dépourvue de boîte de recherche et de bouton de configuration. Ce dernier mode imitait la boîte de dialogue des calques des versions précédentes pour les utilisateurs qui n'ont jamais vraiment eu besoin d'une liste de tous les objets du document (je suis l'un d'entre eux). Cette option est toujours disponible, mais elle a été déplacée dans la fenêtre pop-up des réglages, ce qui rend malheureusement un peu moins pratique le passage d'un mode à l'autre en cas de besoin.

The second button on 1.2, or the first on 1.3, is used to create a new layer, opening the same small dialog as we’re used to from earlier releases. The Up/Down buttons shift the selected object(s) up and down the list – which also moves them up and down in the z-order. When multiple items are selected, each is moved relative to its siblings, but the entire operation is prevented if any one of them is unable to move any further. Then there’s a delete button which will delete the selected object(s) or layer(s) immediately. The Settings button has the ‘Only show layers’ option described above, but also an ‘Expand to display selection’ option. I recommend leaving this one enabled, as it causes the dialog to automatically expand any layers, sub-layers and groups that are required to ensure the selected object is visible in the tree. Turning this off stops the tree from ‘jumping around’ so much, but can make it less obvious which object is selected.

Le deuxième bouton sur la version 1.2, ou le premier sur la version 1.3, sert à créer un nouveau calque, en ouvrant la même petite boîte de dialogue que celle à laquelle nous sommes habitués depuis les versions précédentes. Les boutons Haut/Bas déplacent le ou les objets sélectionnés vers le haut ou le bas de la liste - ce qui les déplace également vers le haut ou le bas dans l'ordre z. Lorsque plusieurs objets sont sélectionnés, chacun est déplacé par rapport à ses frères et sœurs, mais l'opération est interrompue si l'un d'entre eux ne peut plus se déplacer. Le bouton de suppression permet d'effacer immédiatement le(s) objet(s) ou le(s) calque(s) sélectionné(s).

Le bouton Paramètres propose l'option « Ne montrer que les calques » décrite ci-dessus, mais aussi l'option « Ouvrir pour montrer la sélection ». Je recommande de laisser cette option activée, car elle permet à la boîte de dialogue de développer automatiquement tous les calques, sous-calques et groupes nécessaires pour que l'objet sélectionné soit visible dans l'arbre. En désactivant cette option, vous évitez que l'arbre ne « saute » autant, mais vous risquez de ne pas voir clairement quel objet est sélectionné.

Finally, version 1.3 introduces a search box. Typing something into this and pressing Enter will filter the list to show only objects that match the string. The search is case-insensitive and will match a substring, and the test is performed against not only the label, but also the ID. No other attributes or text nodes are searched, so you can’t use this to filter by color or the contents of a text object, for example. To return to the complete list of objects, use the button in the search field to clear it – there’s no need to press Enter in this case. The addition of this feature is undoubtedly an improvement over the old Objects dialog, and it does make a lot of sense to have a single UI that shows both objects and layers. There are a few small design choices that I might have made differently, but I definitely take my hat off to the Inkscape team for completely replacing the old dialogs in an effort to push the application forward.

Enfin, la version 1.3 introduit un champ de recherche. En tapant quelque chose dans ce champ et en appuyant sur Entrée, la liste sera filtrée pour n'afficher que les objets qui correspondent à la chaîne de caractères. La recherche est insensible à la casse et peut correspondre à une sous-chaîne, et le test est effectué non seulement sur l'étiquette, mais aussi sur l'ID. Aucun autre attribut ou nœud de texte n'est recherché. Vous ne pouvez donc pas utiliser cette fonction pour filtrer par couleur ou par contenu d'un objet texte, par exemple. Pour revenir à la liste complète des objets, utilisez le bouton situé dans le champ de recherche pour l'effacer - il n'est pas nécessaire d'appuyer sur Entrée dans ce cas.

L'ajout de cette fonctionnalité est sans aucun doute une amélioration par rapport à l'ancienne boîte de dialogue Objets, et il est tout à fait logique d'avoir une seule interface utilisateur qui affiche à la fois les objets et les calques. Il y a quelques petits choix de conception que j'aurais pu faire différemment, mais je tire définitivement mon chapeau à l'équipe d'Inkscape pour avoir complètement remplacé les anciennes boîtes de dialogue dans un effort pour faire avancer l'application.

issue200/inkscape.txt · Dernière modification : 2024/01/03 16:42 de andre_domenech