I always complain when tutors say one thing and do another, you know, like estate agents telling you a one bedroomed closet is “spacious”. So l had better not do the same. Since we are on the topic of LPIC issues, learning is one thing, but getting to grips with the mind of an examiner is another thing completely. Since this is technically the third installment after SAMBA, let’s get a feeling for some ways questions are asked in the exam. I will be pulling from 2022/2023 braindumps, so let’s not get overly excited. I grabbed these from a place trying to sell you other people’s free dumps, so we know the “sample” will be valid stuff to entice you to buy their stolen goods. These will be from the second tier LPIC-2 (450), and I can, maybe, give some insight and practical advice that you can do if you would like to pursue the exam. There will be overlap with LPIC-1, as the one builds on the other. I really like the LPIC exams, I just would not recommend them, as the certifications expire and I have no time for cash-grab schemes. Don’t just learn the questions and answers – there are a few versions of the exam; rather understand the answers, so there are no curve balls. Let’s start with a cracker: Which commands below are useful to collect data about remote file system connections? (Choose TWO correct answers): A. pidstat B. nfsiostat C. sadf D. cifsiostat Answer: BD
Je me plains toujours quand les tuteurs disent une chose et en font une autre, vous savez, comme les agents immobiliers qui vous disent qu'une chambre en placard est « spacieuse ». Je ne dois donc pas faire la même chose. Puisque nous parlons des problèmes du LPIC, apprendre est une chose, mais se familiariser avec l'esprit d'un examinateur en est une autre. Comme il s'agit techniquement du troisième volet après SAMBA, essayons de nous faire une idée de la manière dont les questions sont posées à l'examen. Je vais m'inspirer d'éléments des « corbeilles de réflexions » de 2022/2023, alors ne nous emballons pas trop. Je les ai récupérées dans un endroit qui essaie de vous vendre les souvenirs gratuits d'autres personnes ; nous savons donc que l'« échantillon » sera valable pour vous inciter à acheter des choses qu'ils ont volées. Celles-ci proviendront du deuxième niveau LPIC-2 (450) et je peux, peut-être, vous aider à les mieux comprendre et vous donner des conseils pratiques que vous pouvez suivre si vous souhaitez passer l'examen. Il y aura un chevauchement avec le LPIC-1, car l'un s'appuie sur l'autre. J'aime beaucoup les examens LPIC, mais je ne les recommanderais pas, car les certifications expirent et je n'ai pas le temps pour des combines utilisées pour gagner de l'argent. Ne vous contentez pas d'apprendre les questions et les réponses - il existe plusieurs versions de l'examen ; comprenez plutôt les réponses, afin d'éviter les surprises. Commençons par une question difficile :
Quelles commandes ci-dessous sont utiles pour collecter des données sur les connexions à des systèmes de fichiers distants ? (Choisissez DEUX bonnes réponses) :
A. pidstat B. nfsiostat C. sadf D. cifsiostat
Réponse : BD
Now on Ubuntu and derivatives, you will probably not find manual entries for some of these. The main thing on your mind should be the iostat part. Obviously NFS and CIFS are part of what we are covering, hence why I started with these. Why did I say iostat? Because it displays statistics about read and write operations on file systems – broken down, io = input/output (or read ‘n write if you wish), and stats = statistics. As you can see, they don’t do stupid crap like add bogus commands to confuse you like cifiostat and ntfsiostat, like you would get in other exams. This is why I like LPIC as an exam. The other commands like sadf are real commands, but are not related to the question, eg. pid = process ID and tells you nothing of a remote file system. On to one I’m not too happy about (OK I hate these), but stare at if for a while: Due to extreme system use, a Linux system requires some additional swap space. To initialize 5GB of additional swap space, which combination of commands should be used? A. dd if=/dev/zero of=/tmp/swapfile bs=1024 count=5120000; mkswap /tmp/swapfile; mount /tmp/swapfile B. dd if=/dev/zero of=/tmp/swapfile bs=1024 count=5120000; swapon /tmp/swapfile C. dd if=/dev/zero of=/tmp/swapfile bs=1024 count=5120000; mkswap /tmp/swapfile; swapon/tmp/swapfile D. touch -5G /tmp/swapfile; swapon /tmp/swapfile E. mkswap /tmp/swapfile 512000; swapon /tmp/swapfile Answer: C
Maintenant, sur Ubuntu et ses dérivés, vous ne trouverez probablement pas d’entrées manuelles pour certaines d’entre elles. La principale chose à laquelle vous devez penser est la partie iostat. Évidemment, NFS et CIFS font partie de ce que nous couvrons et c’est pourquoi j’ai commencé par ceux-ci. Pourquoi ai-je dit iostat ? Parce qu’il affiche des statistiques sur les opérations de lecture et d’écriture sur les systèmes de fichiers – décomposons : io = entrée/sortie (ou lecture et écriture si vous le souhaitez), et stats = statistiques. Comme vous pouvez le voir, ils ne font pas de conneries stupides comme ajouter des commandes bidons pour vous embrouiller comme cifiostat et ntfsiostat, comme vous en auriez dans d’autres examens. C’est pourquoi j’aime LPIC comme examen. Les autres commandes comme sadf sont de vraies commandes, mais ne sont pas liées à la question, par exemple pid = ID de processus et ne vous dit rien sur un système de fichiers distant.
Passons à une commande dont je ne suis pas très content (OK, je déteste celle-ci), mais regardez-la un moment :
En raison de l’utilisation extrême du système, un système Linux nécessite un espace de swap supplémentaire. Pour initialiser 5 Go d'espace de swap supplémentaire, quelle combinaison de commandes doit être utilisée ?
A. dd if=/dev/zero of=/tmp/swapfile bs=1024 count=5120000 ; mkswap /tmp/swapfile ; mount /tmp/swapfile B. dd if=/dev/zero of=/tmp/swapfile bs=1024 count=5120000 ; swapon /tmp/swapfile C. dd if=/dev/zero of=/tmp/swapfile bs=1024 count=5120000 ; mkswap /tmp/swapfile ; swapon/tmp/swapfile D. touch -5G /tmp/swapfile ; swapon /tmp/swapfile E. mkswap /tmp/swapfile 512000 ; swapon /tmp/swapfile
Réponse : C
OK, don’t overthink this one (trying to catch students when you give them little time is a truly nasty practice) while you can make free space or have a drive with free space to make a swapfile on; traditionally when you install Linux, you create a separate partition just for swap (mkswap). With swap files, you don’t need a separate partition any more. You create a file and tell your system to use it as the swap space. With a dedicated swap partition, resizing is a pain. With swap files, you can resize them as you like. D is command swapped, if you were wondering, fallocate is what you were looking for (sudo fallocate -l 5G /swapfile). My advice is to make one on your drive, you can always remove it. Easy. See: https://oracle.com/en/operating-systems/oracle-linux/6/admin/swap-create-use.html If there are any of these questions you would want us to dive into, or if you just wrote your exam and there is a new question you would like us to discuss, feel free to drop us an email, misc@fullcirclemagazine.org Just so you guys can see that it (the LPIC exam) is not perfect, here is one of the really useless (microshaft) ones, though it is a ‘gimme’: On a server running the 3.4.50-11 Linux kernel, which file in the /boot directory contains the kernel configuration parameters?: A. config-linux-3.4.50-11 B. config-3.4.50-11 C. system-3.4.50-11 D. vmlinuz-3.4.50-11 E. rc.config-3.4.50-11 Answer: B
Bon, n'y réfléchissez pas trop (essayer de surprendre des étudiants quand vous leur donnez peu de temps est une pratique vraiment désagréable) alors que vous pouvez libérer de l’espace ou avoir un lecteur avec de l’espace libre pour créer un fichier d’échange (swapfile) ; traditionnellement, lorsque vous installez Linux, vous créez une partition séparée uniquement pour l’échange (mkswap). Avec les fichiers d’échange, vous n’avez plus besoin d’une partition séparée. Vous créez un fichier et dites à votre système de l’utiliser comme espace d’échange. Avec une partition d’échange dédiée, le redimensionnement est pénible. Avec les fichiers d’échange, vous pouvez les redimensionner comme vous le souhaitez. D est une commande échangée, si vous vous posiez la question, fallocate est ce que vous recherchiez (sudo fallocate -l 5G /swapfile). Mon conseil est d’en créer un sur votre disque, vous pouvez toujours le supprimer. Facile. Voir : https://oracle.com/en/operating-systems/oracle-linux/6/admin/swap-create-use.html
Si vous souhaitez que nous examinions l'une de ces questions en plus de détails, ou si vous venez de passer votre examen et que vous souhaitez que nous discutions d'une nouvelle question, n'hésitez pas à nous envoyer un e-mail à l'adresse misc@fullcirclemagazine.org
Juste pour que vous puissiez voir que l'examen LPIC n'est pas parfait, en voici une vraiment inutile (microshaft), bien que ce soit « cadeau » :
Sur un serveur exécutant le noyau Linux 3.4.50-11, quel fichier du répertoire /boot contient les paramètres de configuration du noyau ? :
A. config-linux-3.4.50-11 B. config-3.4.50-11 C. system-3.4.50-11 D. vmlinuz-3.4.50-11 E. rc.config-3.4.50-11
Réponse : B
To me this is like having a screwdriver attachment on a potato peeler, while there is a chance you may use it, you probably won't. I know by now that “config” is where my ‘config’ files are (and if I needed to be sure l’d cd /boot/ to have a look); muddying the waters with config-linux reeks of Microsoft-can’t-ask-questions. I used to teach this and I still could not care, as this does not test knowledge, but it is a filler question because they did not have enough time, or did not have enough practical experience to craft a real question. However this segues quite nicely into a lesson, let’s quickly give it a once-over. /boot/config* This contains the configuration with which the kernel version specified in the file name was built. This is handy if ever you need to re-compile or re-build the same version of the kernel, as the configuration options are kept here. /boot/initrd* initrd literally stands for: initial RAM disks. Once the kernel loads, it generally is configured (or passed by the boot loader) the RAM disk’s name to load and mount. The main purpose of the initrd image is to hold modules and drivers that the kernel needs to initialise the rest of the system /boot/symvers-*
Pour moi, c'est comme avoir un tournevis sur un éplucheur de pommes de terre, car, même si vous avez une chance de l'utiliser, vous ne le ferez probablement pas. Je sais maintenant que « config » est l'endroit où se trouvent mes fichiers « config » (et si j'avais besoin d'être sûr, je ferais un cd /boot/ pour y jeter un œil) ; brouiller les pistes avec config-linux pue les questions que Microsoft ne peut pas poser. J'enseignais cela dans le temps et je m'en fiche toujours, car cela ne teste pas les connaissances, mais c'est une question de remplissage parce qu'ils n'avaient pas assez de temps ou n'avaient pas assez d'expérience pratique pour élaborer une vraie question.
Cependant, cela se transforme assez bien en une leçon ; examinons-la rapidement.
/boot/config*
Cela contient la configuration avec laquelle la version du noyau spécifiée dans le nom du fichier a été construite. C'est pratique si jamais vous devez recompiler ou reconstruire la même version du noyau, car les options de configuration sont conservées ici.
/boot/initrd*
initrd signifie littéralement : disques RAM initiaux. Une fois le noyau chargé, le nom du disque RAM à charger et à monter est généralement configuré (ou transmis par le chargeur de démarrage). L'objectif principal de l'image initrd est de contenir les modules et les pilotes dont le noyau a besoin pour initialiser le reste du système
/boot/symvers-*
The files in here contain debugging symbols for the modules included with the version of the kernel specified in the file name (like with config*). You might find this useful if you ever need to attach a debugger to your kernel or if a particular kernel module is having serious problems. /boot/System.map* These files contain the kernel symbol tables for said version of the kernel they're associated with. A ‘symbol table’ is a list of symbols and the memory addresses that they're associated with. /boot/vmlinuz-* The vmlinuz file is the Linux kernel, the heart of the operating system. This, plus the initrd, are the two files that your system needs to be readable and working in order to boot. Without a kernel and the RAM disk associated with that exact version of the kernel, you're probably not going to have a bootable system. It is GRUB (LILO, SYSLINUX) - the boot loader configuration, that tells the system which kernel and RAM disk to load, and which passes parameters to the kernel, telling it key pieces of information about the system (like where to find the root file system, and which process to execute to begin the system start-up process). In the real world, I have never (touch wood!) needed to access any of these, but you need to build a kernel at least twice to get to grips with these for most Linux exams. I suggest filing the above somewhere in your meat wallet, just so you know about them. We can look at more real exam questions in the next exciting issue of FCM.
Les fichiers ici contiennent des symboles de débogage pour les modules inclus avec la version du noyau spécifiée dans le nom de fichier (comme avec config*). Vous pourriez trouver cela utile si vous avez besoin d'attacher un débogueur à votre noyau ou si un module particuleir du noyau rencontre de sérieux problèmes.
/boot/System.map*
Ces fichiers contiennent les tables de symboles du noyau pour la version du noyau à laquelle ils sont associés. Une « table de symboles » est une liste de symboles et des adresses mémoire auxquelles ils sont associés.
/boot/vmlinuz-*
Le fichier vmlinuz est le noyau Linux, le cœur du système d'exploitation. Ce fichier, ainsi que l'initrd, sont les deux fichiers dont votre système a besoin pour être lisible et fonctionnel afin de démarrer. Sans un noyau et le disque RAM associé à cette version exacte du noyau, vous n'aurez probablement pas de système amorçable.
C'est GRUB (LILO, SYSLINUX), la configuration du chargeur de démarrage, qui indique au système quel noyau et quel disque RAM charger, et qui transmet les paramètres au noyau, lui indiquant des informations clés sur le système (comme où trouver le système de fichiers racine et quel processus exécuter pour lancer le processus de démarrage du système).
Dans le monde réel, je n'ai jamais (touchons du bois !) eu besoin d'accéder à l'un de ces éléments, mais vous devez créer un noyau au moins deux fois pour vous familiariser avec ceux-ci pour la plupart des examens Linux. Je vous suggère de classer les éléments ci-dessus quelque part dans votre portefeuille, juste pour que vous les connaissiez.
Nous pourrons examiner d'autres questions d'examen réelles dans le prochain numéro passionnant du FCM.