I recently read a book called Linux Unveiled, that unveiled only that the author, ‘Half-job Hussain’, had no idea how to show newbies around. I did like some of the book somewhat (very little), so I’ll be stealing some of that to do a proper job for our FCM newbies. (No - I will not be using anything from that horrible book). I’ll try to take a more hands-on approach, so I would ask you to keep your terminal emulators open and follow along, just to get the muscle-memory going. Now obviously I cannot cover a whole book’s worth of stuff on here, but I’m thinking CPU, memory and disk here. This can then tie into some of the LPI stuff we are covering elsewhere. That means there will be homework, but I’ll keep it short. Last time we left off on the auth.log log. If you are the only user on your system, I suggest adding another. I always added ed, edd, and eddie, to my training VM’s when I studied for LPI back in the day, to the point where I now do it automatically. The reason I want you to add a user or two, is so we can talk about authentication a bit more in-depth. User ids should start at 1000, the second ‘1000’ (after the colon) represents the group id. A quick way to see users from the terminal is to have a look at /etc/passwd. The file is not readable by everyone, so you would need sudo: sudo cat /etc/passwd - once we have the name of the user we wanted to have a look at, we can id the user. You can see that in the following screenshot (below).
J'ai lu récemment un livre intitulé Linux Unveiled, qui révélait seulement que l'auteur, « Half-job Hussain », n'avait aucune idée de comment montrer les choses aux débutants. J'ai aimé un peu certaines parties du livre (très peu), donc je vais en voler une partie afin de faire un travail correct pour les débutants du FCM. (Non, je n'utiliserai rien de ce livre affreux.) Puisque je vais essayer d'adopter une approche plus pratique, je vous demande de garder vos émulateurs de terminaux ouverts et de me suivre, juste pour faire travailler la mémoire musculaire. Maintenant, évidemment, je ne peux pas couvrir tout un livre, mais, ici, je pense au CPU, à la mémoire et au disque. Cela peut alors se lier à certaines des choses du LPI que nous couvrons ailleurs. Cela signifie qu'il y aura des devoirs, mais je serai bref.
La dernière fois, nous nous sommes arrêtés sur le journal auth.log. Si vous êtes le seul utilisateur de votre système, je suggère d'en ajouter un autre. J'ai toujours ajouté ed, edd et eddie à mes machines virtuelles d'entraînement lorsque j'étudiais pour le LPI à l'époque, au point que je le fais maintenant automatiquement. La raison pour laquelle je veux que vous ajoutiez un ou deux utilisateurs est pour que nous puissions parler un peu plus en profondeur de l'authentification.
Les identifiants d'utilisateur doivent commencer à 1000, le deuxième « 1000 » (après les deux points) représente l'identifiant du groupe. Un moyen rapide de voir les utilisateurs depuis le terminal est de consulter /etc/passwd. Le fichier n'est pas lisible par tout le monde, vous aurez donc besoin de sudo : sudo cat /etc/passwd - une fois que nous avons le nom de l'utilisateur que nous voulions consulter, nous pouvons identifier l'utilisateur. Vous pouvez le voir dans la capture d'écran suivante (ci-dessous).
If you look closely at my screenshot, you would have noticed that ed and edd are not alike. As Ubuntu uses bash as the default shell, bin/sh indicates to me that I have not logged in with that user since its creation. It’s just something no-one tells you, that you pick up - use it / don’t use it. ;) I use the: groups command often, to check if my user is in the vboxusers group at home, but as a newbie and a home user, you may not. If you do not use it, give it a spin now. If you plan on taking the LPI exam, this should be second nature to you. While I’m not going to squirrel off into users and groups in this series, I do suggest adding another user or two and “administering” them a bit. It creates that “muscle-memory” I like referencing. That brings me to memory. My first honest metal server had 4GB of memory and the VM on there had 1GB, so it was always a gamble. I used the free command and the top command so often, it’s not funny. Though in the LPI exam you need to be able to explain each column, including the “shared” and “buff/cache”. One of the stupider questions I got on the LPI; they removed the headers and just gave you the values and you had to label them. What that proved, I have no idea, but to the reader, beware! The other one you need to get familiar with is vmstat. (iostat and sar too, but I’ll weave those into another article).
Si vous regardez ma capture d'écran attentivement, vous aurez remarqué que ed et edd ne sont pas identiques. Comme Ubuntu utilise bash comme shell par défaut, bin/sh m'indique que je ne me suis pas connecté avec cet utilisateur depuis sa création. C'est juste quelque chose que personne ne vous dit, que vous reprenez - utilisez-le/ne l'utilisez pas. ;)
J'utilise souvent la commande groups pour vérifier si mon utilisateur est dans le groupe vboxusers à la maison, mais en tant que débutant et utilisateur à domicile, vous ne l'utilisez peut-être pas. Si vous ne l'utilisez pas, essayez-la maintenant. Si vous prévoyez de passer l'examen LPI, cela devrait être naturel pour vous. Bien que je ne vais pas m'étendre sur les utilisateurs et les groupes dans cette série, je suggère d'ajouter un ou deux autres utilisateurs et de les « administrer » un peu. Cela crée cette « mémoire musculaire » à laquelle j'aime faire référence. Cela me rappelle la mémoire. Mon premier serveur honnête « en dur » avait 4 Go de mémoire et la VM dessus avait 1 Go, donc c'était toujours incertain. J'ai utilisé la commande free et la commande top si souvent que ce n'est pas drôle. Cependant, dans l'examen LPI, vous devez être capable d'expliquer chaque colonne, y compris « shared » et « buff/cache ». L'une des questions assez stupides que j'ai eues sur le LPI : ils ont supprimé les en-têtes et vous ont juste donné les valeurs et vous avez dû les étiqueter. Ce que cela a prouvé, je n'en ai aucune idée, mais, lecteur, méfiez-vous ! L'autre avec lequel vous devez vous familiariser est vmstat. (iostat et sar aussi, mais je les intégrerai dans un autre article).
If you are using a virtual machine, let me show you how to add another drive. The reason for this is so we can fill it Under storage, find your SATA controller and look for the “+” icon. This looks different, depending on your version of virtualbox. (I’m using virtualbox 7 here as it is available in the repositories. If you want to go another route, be my guest.)
In the next window, click on “create” and then choose VDI, next, next, make it 1GB in size (if you can) and click finish. You will be brought back to the previous window and there you need to click on “choose”. Make sure the 1GB drive is selected.
If you are a physical guy, I’m sure you have an old drive lying about that you could add to your physical machine. Don’t worry, we are just going to fill it to the brim, not destroy it.
I trust you guys are OK with the: sudo fdisk -l command? We just want to see ‘where’ it is, sda, sdb, whatever. (If you are not, and you want some guidance, please e-mail misc@fullcirclemagazine.org and we can do a short tutorial on it).
Si vous utilisez une machine virtuelle, laissez-moi vous montrer comment ajouter un autre disque. La raison en est que nous pouvons le remplir Sous Stockage, recherchez votre contrôleur SATA, puis l'icône « + ». Ça peut être différent, selon votre version de Virtualbox. (J'utilise ici Virtualbox 7 car il est disponible dans les dépôts. Si vous souhaitez emprunter une autre voie, n'hésitez pas.)
Dans la fenêtre suivante, cliquez sur « create » (créer), puis choisissez VDI, suivant, suivant, faites-en une taille de 1 Go (si vous le pouvez) et cliquez sur terminer. Vous serez ramené à la fenêtre précédente et là, vous devez cliquer sur « choisir ». Assurez-vous que le lecteur de 1 Go est sélectionné.
Si vous êtes un gars physique, je suis sûr que vous avez un vieux disque qui traîne et que vous pourriez ajouter à votre machine physique. Ne vous inquiétez pas, nous allons simplement le remplir à ras bord, pas le détruire.
J'espère que la commande : sudo fdisk -l vous est familière ! Nous voulons juste voir « où » elle se trouve, sda, sdb, peu importe. (Si ce n’est pas le cas et que vous souhaitez des conseils, veuillez envoyer un e-mail à misc@fullcirclemagazine.org et nous pourrons faire un petit tutoriel à ce sujet.)