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issue53:monhistoire

PREMIÈRE HISTOIRE

I love Windows. Some of you are probably laughing right now, thinking to yourself “what a funny typo to slip past the editors, he put 'Windows' instead of 'Ubuntu'.” I'm serious, I love Windows. It has kept me gainfully employed since the mid-80's. I've watched iteration after iteration come and go, from Windows 1.0 to Windows 7, and have helped many, many, many users throughout the years negotiate their various troubles with the operating system. Windows does what it does, which is making the use of a computer relatively simple for a vast majority of users. Is it flawed? Absolutely. Will it ever be a 'perfect' operating system? For some users it already is, for others it will never work 'right'. For all of its faults, flaws, and glaring weaknesses, it is highly unlikely that Linux, Mac, or any other OS will ever knock it from its perch as the world’s most widely used operating system. As long as that remains fact, I will remain gainfully employed.

J'aime Windows

Certains de mes lecteurs sont sans doute en train de rire en se disant : « Les rédacteurs ont laissé passer une faute de frappe vraiment amusante : l'auteur a mis “Windows” à la place d'“Ubuntu”. »

Je suis sérieux, j'aime Windows. C'est grâce à Windows que j'exerce un emploi lucratif depuis le milieu des années 80. J'en ai regardé arriver et repartir, itération après itération, de Windows 1.0 à Windows 7 et, au cours des années, j'ai aidé plein, plein, plein d'utilisateurs à surmonter leurs ennuis divers avec le système d'exploitation (OS).

Windows fait ce qu'il fait, c'est-à-dire qu'il rend l'utilisation d'un ordinateur assez facile pour une vaste majorité d'utilisateurs. A-t-il de sérieux défauts ? Oui, certainement. Sera-t-il jamais un système d'exploitation « parfait » ? Pour certains utilisateurs, il l'est déjà, mais pour d'autres il ne fonctionnera jamais « comme il faudrait ». Malgré toutes ses déficiences, lacunes et faiblesses notoires, il paraît tout à fait improbable que Linux, Mac, ou tout autre système d'exploitation le détrône un jour en tant que l'OS le plus utilisé au monde. Tant que cette réalité demeure, je garderai mon emploi lucratif.

Now with all that being said, I adore Ubuntu for entirely different reasons. My first introduction to Ubuntu came in 2006, at a FOSE show here in Washington, DC. Among all the vendor booths and companies competing for attention was a tiny table manned by three people, handing out copies of Ubuntu 5.10 Breezy Badger. There was no high pressure/high energy sales pitch from these guys, only a simple request: “Just try it”. Into my bag of swag went the Ubuntu packet (Live CD and Install Disk), forgotten for a month or two until I moved offices. When I found the disks again, I remembered the request made when I first got them, “Just try it”. Like a lot of the other “My Story” writers, I happened to have a recently deceased computer, a Gateway Solo 5300 laptop. I popped in the Live CD, and, less than a minute later, I have a desktop. Graphics card, sound card, wireless NIC - everything recognized and functioned right off the bat. I didn't have to swap out disks, load additional drivers, download anything from the Internet - everything just worked.

Cela étant dit, j'adore Ubuntu pour des raisons qui sont totalement différentes. Ubuntu me fut présenté pour la première fois en 2006 lors d'une exposition FOSE [Ndt : la Federal Office Systems Exposition, le plus important événement technologique pour le gouvernement des États-Unis], ici à Washington, D.C. Parmi tous les stands et les sociétés essayant d'attirer votre attention, il y avait une minuscule table tenue par trois personnes, qui distribuaient des exemplaires d'Ubuntu 5.10 Breezy Badger. Aucune tentative de vente, aucun argument commercial, mais, à la place, une simple demande : « Essayez-le » !

J'ai mis le paquet Ubuntu (Live CD et disque d'installation) dans le sac des cadeaux avec les autres trucs promotionnels et je l'ai oublié pendant un ou deux mois, jusqu'à ce que je change de bureau. Quand j'ai revu les disques, je me suis souvenu de la demande formulée au moment où je les ai obtenus, « Essayez-le. » Il se trouvait que, comme pas mal d'autres personnes qui écrivent pour la rubrique « Mon histoire », j'avais un ordinateur qui venait de mourir, un portable Gateway Solo 5300. J'y ai mis le Live CD et, moins d'une minute plus tard, j'avais un bureau. Carte graphique, carte son, carte wifi - absolument tout fut reconnu et fonctionnait immédiatement. Je n'ai pas eu besoin de mettre un autre disque, de charger des pilotes supplémentaires, de télécharger quoi que ce soit sur le Net - tout fonctionnait, tout simplement.

Color me impressed. I played around for a few days, trying out everything I could from the Live CD. Occasionally, I would forget the laptop I was using was actually broken, but would be reminded each time I rebooted and saw the “Windows did not start correctly” screen. That eventually settled the matter, “Just try it” soon became “Just do it,” and I wiped the drive and fully installed Ubuntu. I gave the CDs to a colleague when I finished the install. When he asked “what's this?” my answer was, of course, “Just try it”. Over the next year, I was happily learning all I could about Ubuntu; the forums were (and still are) an amazing wealth of knowledge and support. Tux magazine (now defunct) was also a useful resource. My colleague installed Ubuntu within a few days of using the Live CD, both of us forgoing the “dual boot” and diving head first into the OS. There were some headaches ('stupid iTunes doesn't work in this OS' being the primary one) but overall the experience was fantastic.

C'était impressionnant.

Pendant quelques jours, je me suis amusé avec ; j'ai essayé tout ce qu'il y avait sur le Live CD. De temps en temps, j'oubliais que le portable que j'utilisais était en fait en panne, mais chaque fois que je le redémarrais, l'écran « Windows n'a pas démarré correctement » me le rappelait. Finalement, c'est cela qui m'a décidé. « Essayez-le » est rapidement devenu « Faites-le » et j'ai effacé le disque dur pour installer Ubuntu seul. Quand l'installation fut terminée, j'ai passé les CD à un collègue . À sa question « c'est quoi, ça ? », ma réponse fut, bien entendu, « Essayez-le » !

Pendant l'année suivante, j'appris joyeusement tout ce que je pouvais au sujet d'Ubuntu ; les forums étaient (et sont encore) étonnamment riches en connaissances et en soutien. La revue Tux (maintenant disparue) était également une ressource utile. Mon collègue a installé Ubuntu quelques jours après avoir utilisé le Live CD et nous étions ainsi deux à renoncer au « double amorçage » et à nous plonger la tête la première dans le système d'exploitation. Il y avait quelques tracas (le plus important étant « iTunes fait son idiot et ne veut pas fonctionner avec ce système »), mais, en général, l'expérience était fantastique.

Eventually though, my old Gateway laptop really did die of massive hardware failure. I bought a new system, a Lenovo Ideapad S10 netbook, which came preinstalled with Windows XP. I left the laptop as it came (minus all the bloatware) and ran happily for a while, Ubuntu all but forgotten. I didn't have a CD player so I couldn't run a Live CD. Besides, iTunes worked fine so all seemed right with the world. A few months ago, I began to notice my little netbook really struggling to get through simple tasks, such as booting. I decided to time how long it took to boot the system and open my homepage. Five minutes and eight seconds later as I stared at my homepage - which finally opened - and I remembered how quick Ubuntu was on my old laptop. Maybe I needed to “Just try it”, again.

A la longue, cependant, mon vieux portable Gateway est bel et bien mort d'un ACV massif du matériel. J'ai acheté une nouvelle machine, un netbook Lenovo Ideapad S10, sur lequel Windows XP était pré-installé. J'ai laissé tel quel (moins les logiciels qui prenaient trop d'espace disque) et je l'ai utilisé avec bonheur pendant un certain temps ; j'avais presque oublié Ubuntu. Je n'avais pas de lecteur de CD et ne pouvais donc pas lancer un Live CD. Qui plus est, iTunes fonctionnait très bien et, ainsi, tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Il y a quelques mois, j'ai commencé à remarquer que mon petit netbook avait vraiment du mal à accomplir les tâches les plus simples, comme démarrer. J'ai donc calculé le temps qu'il mettait à démarrer et à ouvrir ma page d'accueil. Je n'accédais à ma page d'accueil - qui a fini par s'ouvrir - que cinq minutes et huit secondes plus tard et je me souvenais de la rapidité d'Ubuntu sur mon vieux portable. Peut-être faudrait-il l'essayer à nouveau.

A quick search of the Internet led me to Pendrivelinux.com, where I easily created a bootable USB drive featuring Maverick Meerkat. A reboot, BIOS adjustment, and thirty eight seconds was all it took to rekindle the feelings I had for this operating system. Okay, so iTunes still doesn't work in it (I know I can run a VM, or Wine) but, for the relatively few songs I have in their m4p format, I can burn them to a CD and rip them back on another system. Banshee works great (couldn't get Amarok to work properly) and keeps my devices synced perfectly, Calibre is amazing for keeping my ebooks and Sony Pocket reader organized, setting up my email through Evolution couldn't have been simpler. I've even used OpenOffice (and now LibreOffice) to help a customer recover some PowerPoint slideshows that Windows thought were corrupted and unreadable.

Une recherche rapide sur le Net m'a amené à Pendrivelinux.com, où j'ai créé une clé USB amorçable avec Maverick Meerkat. Un redémarrage, un ajustement au menu « boot » dans le BIOS et en seulement trente-huit secondes tous les sentiments que j'avais eu pour ce système d'exploitation furent ranimés. Bon, iTunes n'y fonctionne toujours pas (je sais que je pourrais lancer une machine virtuelle ou Wine), mais je peux graver les quelques chansons que je possède dans leur format mp4 sur un CD pour les ripper ensuite sur une autre machine.

Banshee fonctionne à merveille (je n'ai pas réussi à faire fonctionner Amarok comme il faut) et synchronise mes appareils parfaitement, Calibre est extraordinaire pour organiser mes livres électroniques et mon lecteur Sony Pocket, et la configuration de mes comptes mail dans Evolution a été tout ce qu'il y a de plus facile. Je me suis même servi d'OpenOffice (et maintenant de LibreOffice) pour aider un client à récupérer des diaporamas PowerPoint que Windows trouvait corrompus et illisibles.

That pretty much brings me to the end of my story. I, on occasion, have the opportunity to pass Ubuntu on to someone new. I show them my netbook, how quickly it operates, all the free software, all the same functionality they currently enjoy using Windows. Most of them smile politely, reminding me that I enjoy Linux because I'm a “geek”. A couple seem genuinely interested, and to those I hand a Live CD with the same three words that got me started; “Just try it”. My System: I run a Lenovo Ideapad S10 netbook with a full version of Ubuntu 11.04 installed. I removed the Unity interface as I much prefer the “classic” desktop. Because it's a netbook, the system specs are not very impressive: Intel Atom 1.60GHz processor, 1.5GB RAM, and an 80GB hard drive. I added a Bluetooth controller to the system to run my mouse (there are only two USB slots in this thing, so I didn't want to waste one on a mouse). Ubuntu worked with everything straight “out of the box”. Even my HP Photosmart C6280 printer was found on the first try, and, with the HP plug in, I can easily scan, print and copy wirelessly. My desktop is pretty plain, which is just how I like it. I'm running three Screenlets, which are the standard Clock, Weather, and Calendar. On occasion, I switch to an AWN Dock, but usually switch back to the standard bottom panel after a few days. Guess I just haven't found the right configuration for the AWN Dock that will make me keep it. That's another reason I like Ubuntu so much; it's so customizable and so easy to switch around.

Et voilà : c'est plus ou moins la fin de mon histoire. De temps en temps, j'ai l'occasion de passer Ubuntu à quelqu'un d'autre. Je leur montre mon netbook, sa rapidité de fonctionnement, tous les logiciels gratuits, toutes les fonctionnalités qui leur plaisent sous Windows. La plupart sourient par politesse, en me disant que j'aime utiliser Linux parce que je suis « geek ». Une ou deux personnes ont l'air de s'y intéresser vraiment et, à ceux-là, je donne un Live CD en disant la même chose qui m'a fait me lancer : « Essayez-le » !

Mon système :

J'ai un netbook Lenovo Ideapad S10 avec une version complète d'Ubuntu 11.04 dessus. J'ai enlevé l'interface Unity, car je lui préfère - et de loin - le bureau classique. Étant un netbook, les spécifications système ne sont pas très impressionnantes : processeur Intel Atom à 1,6 GHz, 1,5 Go de RAM et un disque dur de 80 Go. J'ai rajouté un contrôleur Bluetooth au système pour pouvoir utiliser ma souris (la machine ne possède que deux ports USB, alors je ne voulais pas devoir en gaspiller un sur une souris). Ubuntu fonctionnait avec tout le matériel dès l'installation. Même mon imprimante HP Photosmart C6280 a été reconnue dès le premier essai et, muni du greffon HP, je peux facilement faire des scans, imprimer et copier, le tout sans fil.

Mon bureau est sans fioritures et je l'aime comme cela. J'exécute trois Screenlets : l'horloge standard, la météo et un calendrier. Parfois, je change pour un dock AWN, mais, d'habitude, je remets la barre standard en bas après quelques jours. Je pense que je n'ai pas encore trouvé la configuration du Dock AWN qui m'inciterait à le garder. C'est une autre raison pour laquelle j'aime tant Ubuntu ; c'est personnalisable à souhait et il est tellement facile d'y faire des modifications.

DEUXIÈME HISTOIRE

How I use Lubuntu in the classroom by James L. King III. I teach various music classes at Florida Keys Community College in Key West, Florida, and am proud to use Lubuntu - along with open source or public domain materials in as many areas of my job as possible. I have a history of being interested in being involved in the open source community, having created a piano primer licensed under the GFDL titled “Learning the Code,” which is available for download in several places, including Scribd and the Internet Archive. It was only natural that I would take my opportunity to teach in the classroom to see what materials could be successfully used in music appreciation. First, I have a simple Acer Aspire One 255E netbook. This is the modest machine that I use to get results in the classroom. I use the Lubuntu distro, having switched to it after Ubuntu switched to Unity. I really like Lubuntu and see it as the eventual successor to Xubuntu.

L'utilisation de Lubuntu dans mes cours de James L. King III

J'enseigne divers cours de musique au Florida Keys Community College [Ndt : un « Community College » est une institution supérieure qui propose les deux premières années de Licence et dont les frais de scolarité sont très bas] à Key West, en Floride, et je suis fier d'utiliser Lubuntu, ainsi que des logiciels Open Source et des supports hors copyright dans autant de secteurs de mon travail que possible.

J'ai presque toujours voulu m'impliquer dans la communauté Open Source et j'ai créé un guide du piano sous licence GFDL (GNU Free Documentation License) intitulé « Learning the Code » (L'apprentissage du code), disponible au téléchargement dans plusieurs endroits, y compris Scribd et l'Internet Archive. C'était donc tout à fait normal de saisir l'occasion de faire cours pour voir quels supports peuvent être utilisés avec succès pour enseigner l'appréciation de la musique.

Il faut que je dise d'abord que j'ai un simple netbook Acer Aspire One 255E. C'est avec cette machine modeste que j'obtiens des résultats dans mes cours. J'utilise Lubuntu depuis qu'Ubuntu à changé pour Unity. J'aime beaucoup Lubuntu et le vois succéder à la longue à Xubuntu.

For classroom lectures and presentations, I use LibreOffice Impress 3.3. I embed music and video clips liberally in my presentations, as they seem to keep students' attention. I looked at other open-source presentation software, but, of all solutions available on Lubuntu, LibreOffice serves my needs best. As LibreOffice improves, I will continue to improve my presentations. I ask my students to do their presentation projects in Google Docs, when practical, for portability purposes: I feel Google Docs is superior to LibreOffice or MS Office in this regard. No matter what computer displays the presentation, it will look the same. This allows students to view the presentations outside of class on their computer without formatting issues.

Pour des cours magistraux et des présentations, je me sers de LibreOffice Impress 3.3. J'insère sans compter des objets OLE, des extraits de musique et de vidéos, dans mes présentations, puisqu'ils attirent et gardent l'attention des étudiants. J'ai examiné d'autres logiciels de présentation Open Source, mais, parmi toutes les solutions disponibles pour Lubuntu, c'est LibreOffice qui répond le mieux à mes besoins. Lorsque LibreOffice s'améliorera, je continuerai à améliorer mes présentations.

Je demande à mes étudiants de faire leurs projets de présentation dans Google Docs, quand ils peuvent, pour la portabilité : j'ai l'impression que Google Docs est meilleur que LibreOffice ou que MS Office à cet égard. Quel que soit l'ordinateur qui affiche la présentation, elle aura la même apparence. Et cela permet aux étudiants de regarder les présentations en dehors des cours sur leur ordinateur sans problèmes de formatage.

I am also using OpenShot and Audacity to create podcast-style video mini-lectures that will eventually be a part of the online curriculum at the school. I regularly use materials from the Internet Archive and MusOpen. Both of these are great sources for public domain and copyleft music performances. The International Sheet Music Library Project is a great source for first editions and manuscript copies of music, which I use in some of my presentations. I regularly listen to all the files in each format to determine which one sounds the best. This means that I have several different file formats on my data DVD: mp3, mp4, ogg, ogv, oga, mov, flac and wav. I provide an installer for VLC for my students on the data DVD so they can listen to all the files without problems.

J'utilise également OpenShot et Audacity pour créer des vidéos de mini-cours dans le style podcast. Ceux-ci feront à terme partie des cours en ligne à la Fac.

J'utilise souvent des supports de l'Internet Archive et MusOpen. Les deux sont des sources géniales pour des performances musicales dans le domaine public ou sous « copyleft ». L'International Sheet Music Library Project (Le projet international d'une bibliothèque de partitions) est aussi une excellente source pour des premières éditions et des copies de partitions manuscrites, dont je me sers pour certaines de mes présentations.

J'écoute régulièrement tous les fichiers dans chaque format pour essayer de déceler le meilleur son. Cela veut dire que j'ai plusieurs formats de fichier sur un DVD de données : mp3, mp4, off, ogv, oga, mov, flac et wav. Je fournis à mes étudiants un installeur de VLC sur le DVD de données afin qu'ils puissent écouter tous les fichiers sans problème.

When I would attempt to make mp3s from ogg files, the resulting recompression sometimes made a result that sounded worse than the .ogg file, so I stopped trying to convert everything to mp3 format. If I use Audacity on any of the files to remove surface noise or record pops and clicks, then I save the file in .flac format to avoid any additional degradation from lossy compression. I use Scribus to typeset, using open source fonts. The fonts I find most useful are the Fontin family (regular, sans, smallcaps), the Nimbus Sans family (especially the condensed variety), Delicious, and Miso. All of my printed material is rendered in .pdf format.

Quand je tentais de convertir des fichiers ogg en mp3, le résultat n'était parfois pas aussi bien que le fichier .ogg d'origine à cause de la recompression, alors j'ai cessé d'essayer de tout convertir en mp3. Si j'utilise Audacity sur un fichier pour enlever le bruit de surface ou les « pops » et « clics » des vinyles, j'enregistre le résultat sous format .flac pour éviter toute dégradation supplémentaire suite aux pertes de la compression.

J'utilise Scribus pour la mise en page, en me servant de polices Open Source. Les polices qui me sont les plus utiles sont la famille Fontin (régulier, sans, petites majuscules) la famille Nimbus Sans (surtout la version condensée), Delicious et Miso. J'imprime tout à partir d'un fichier .pdf.

When I am composing (I have written an Alma Mater and a Fight Song for the school), I use MuseScore and Lilypond together. MuseScore allows me to place the notes easily using a GUI, and then I use Lilypond to polish the final score. I really believe Lilypond creates some of the best looking sheet music out there. I used Finale from version 3.1 through 2005, switching to Lilypond in 2006. For my legacy Finale compositions, Finale 2005 runs acceptably well through Wine. Until I started using MuseScore as a GUI aid for inputting notes for Lilypond to typeset, I used jEdit for its wonderful LilypondTool plugin. For recording, I use Rosegarden or Audacity. My multitrack recording needs are not as extensive as others.

Quand je compose de la musique (j'ai écrit deux chansons pour la Fac, un alma mater et une chanson pour encourager nos équipes), je me sers de MuseScore et Lilypond ensemble. MuseScore me permet de placer les notes facilement avec une interface graphique et ensuite j'utilise Lilypond pour perfectionner la partition finale. Je crois vraiment que Lilypond crée quelques-unes des plus belles partitions qui existent. J'ai utilisé Finale à partir de la version 3.1 et jusqu'à fin 2005, puis j'ai changé pour Lilypond en 2006. Finale 2005 fonctionne assez bien sous Wine, pour mes vieilles compositions écrites sous Finale. Jusqu'à ce que je commence à utiliser MuseScore et son interface graphique pour m'aider à entrer des notes que Lilypond mettrait en page, je me suis servi de jEdit à cause de son greffon formidable, LilypondTool.

Pour les enregistrements j'utilise au choix Rosegarden ou Audacity. Je n'ai pas besoin de faire autant d'enregistrements multi-piste que d'autres.

LibreOffice allows me to open up all MS-Office-created documents that the administration asks me to fill out and return, and I have never once been told that the files I saved in MS Office format (using LibreOffice) were corrupted or unusable. I use public transportation to get back and forth from home to school so I can remain productive while traveling. I use my iPhone on the road, tethered to my netbook for internet access so I can work on files, respond to student emails, and do continued research for the music textbook I am creating (which will be open-sourced when finished).

LibreOffice me donne la possibilité d'ouvrir tous les documents créés avec MS Office que l'administration me demande de remplir et de leur renvoyer et, par la suite, je n'ai jamais entendu dire que les fichiers enregistrés sous format MS Office (dans LibreOffice) étaient corrompus ou inutilisables.

J'utilise les transports en commun pour mes aller-retour entre la maison et l'école pour pouvoir rester productif pendant le trajet. En voyage, j'utilise mon iPhone branché au netbook pour pouvoir accéder au Net et travailler sur des fichiers, répondre aux courriels des étudiants et continuer mes recherches pour le manuel de musique que j'écris actuellement (une fois terminé, il sortira en Libre).

I see myself as a willing and enthusiastic volunteer to experiment with using open-source materials in an environment that is not always open-source-friendly. I always look at what the software can do and what it's capable of doing, and work within those parameters. If I always looked at what any software (proprietary or open-source) couldn't do, I'd never get anything done with the negativity. (Note to the editors: I'm enclosing .pdfs of my textbook so far, one of my piano compositions and a study guide. You're free to use images from the .pdfs in any article about me if you want to include them.)

Je me vois comme bénévole enthousiaste et disponible pour essayer des supports Open Source dans un environnement qui n'est pas toujours bien disposé envers le Libre. Je regarde toujours ce que peut faire le logiciel et ses capacités et je travaille dans le respect de ces paramètres. Si je regardais toujours ce que n'importe quel logiciel (propriétaire ou Open Source) ne pourrait pas faire, je n'accomplirais jamais rien, avec un esprit négatif.

(Note pour les éditeurs : je joins des .pdf de mon manuel jusqu'à présent, une de mes compositions pour piano et un guide d'étude. N'hésitez pas à vous servir d'images provenant des .pdf dans un article à mon sujet, si vous voulez les inclure.)

issue53/monhistoire.txt · Dernière modification : 2011/11/17 16:43 de majordom