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issue63:c_c

In the past two months I've been involved in group work at university. At first, we had to simply organize a group of five people (of which, ultimately, only three did any work). We managed this quite easily with a single shared Dropbox folder, and (for group writeups) a Google Doc file (shared with the “anyone with the link can edit” setting). However, as the project progressed we had to work first with a single other group, and then 5 other groups. Meaning at the end of the project, we were trying to manage 30 different people (and a smattering of operating systems, and people of varying degrees of technical proficiency). Generally, for any kind of group work where multiple people might edit the same file (likelihood of this increases as more people join the project) you should use Git. However, this can quickly become complex, and requires a certain level of technical proficiency to avoid unnecessary management by the repository owner. As such, I thought for this month's article I'd cover a few ideas I've had for managing data between groups. At the end of the article, I also run through a few useful tips I've stumbled upon for learning/practicing Japanese.

Au cours des deux derniers mois, j'ai participé à un travail de groupe à l'université. Au début, nous devions tout simplement organiser un groupe de cinq personnes (dont, en fin de compte, seulement trois ont bossé). Nous avons réussi à le faire assez facilement avec un seul dossier partagé Dropbox et (pour les articles de groupe) un fichier Google Docs (partagé selon la règle « n'importe qui ayant le lien peut éditer » ). Cependant, alors que le projet avançait, nous avons dû travailler d'abord avec un seul autre groupe, puis 5 autres groupes. Ce qui signifie qu'à la fin du projet, nous essayions de gérer 30 personnes différentes (et une poignée de systèmes d'exploitation, ainsi que des gens de différents degrés de compétence technique). En règle générale, pour tout type de travaux de groupe où plusieurs personnes peuvent modifier le même fichier (la probabilité de ceci augmente avec le nombre de gens se joignant au projet), vous devriez utiliser Git. Mais, cela peut rapidement devenir complexe et nécessite un certain niveau de compétence technique pour éviter de la gestion inutile par le propriétaire du dépôt. Ainsi, je pensais que, pour l'article de ce mois, je parcourrais quelques idées que j'ai eues pour la gestion des données entre les groupes. À la fin de l'article, j'ai également décrit quelques trucs utiles que j'ai découverts lors de l'apprentissage/la pratique du japonais.

The “Cloud” This includes anything like Dropbox, Ubuntu One, Google Drive, etc. This is by far the easiest method, and works like a charm for groups of 2 to 10 people, in my experience. Once you're past that upper limit, or you need to allow anyone to access the shared files, it's no longer a viable option. The reason for this is simple – it's designed to be user-friendly, and forgoes some of the more advanced management features (robust version control, merging options, public access with merge-back capabilities, and so on). For anyone concerned about security, it's possible to create a Truecrypt volume and store it in the cloud (in Dropbox at least, I haven't tested this with any of the others). Offering the passcode for the volume to the other group members should be done in person or via phone for maximum security.

Le « Cloud »

Ceci comprend tout ce qui ressemble à Dropbox, Ubuntu One, Google Drive, etc. C'est de loin la méthode la plus simple et, d'après mon expérience, fonctionne comme un charme pour des groupes de 2 à 10 personnes. Une fois que vous avez dépassé cette limite supérieure, ou si vous avez besoin d'autoriser n'importe qui à accéder aux fichiers partagés, ce n'est plus une option viable. La raison en est simple : il est conçu pour être convivial et renonce à certaines fonctionnalités de gestion plus avancées (contrôle de version robuste, options de fusion, accès public avec la possibilité de réinsertion et ainsi de suite).

Pour ceux préoccupés par la sécurité, il est possible de créer un volume TrueCrypt et de le stocker dans le nuage (au moins avec Dropbox, je n'ai pas testé cela avec tous les autres). Le partage du mot de passe pour le volume aux autres membres du groupe doit se faire en personne ou par téléphone pour un maximum de sécurité.

Revision Control This is by far the most versatile system I've used to date. You can use something like Github to create and manage your repository, and it is publicly available for forking (creating a copy of it) for other people to work on. Once the changes have been made, they will be merged back “upstream” after which the repository owner will need to go through the commits/merges and accept them into the final version. Each merge is saved as a version, allowing you to easily move back to an older revision if necessary. I used this to great success last year when I wrote a LaTeX-based script for a mathematics lecture at university, allowing anyone in the class to make changes or corrections to the files. By the end of the semester our script was often more thorough than that of the professor himself. Security-wise I'd list this as one of the “best” options, simply due to the fact that any change has to be approved by someone who's in charge. It's also possible to create a custom server on a personal network for use with svn or git, for completely in-house solutions.

Contrôle des changements

C'est de loin le système le plus polyvalent que j'ai utilisé à ce jour. Vous pouvez utiliser quelque chose comme Github pour créer et gérer votre répertoire de dépôt et il est disponible publiquement pour créer une arborescence (création d'une copie de celui-ci) pour que d'autres personnes puissent travailler dessus. Une fois les modifications faites, elles seront réinsérées « en amont », après quoi le propriétaire du dépôt devra examiner tous les ajouts/modifs et les accepter dans la version finale. Chaque fusion est enregistrée comme une version, vous permettant de revenir facilement à une ancienne révision, si nécessaire. J'ai utilisé ceci avec beaucoup de succès l'année dernière, lorsque j'ai écrit un script à base de LaTeX pour un cours de mathématiques à l'université, permettant à quiconque dans la classe d'apporter des modifications ou corrections aux fichiers. À la fin du semestre, notre script était souvent plus poussé que celui du professeur lui-même.

Je dirais que celle-ci est l'une des « meilleures » options du point de vue de la sécurité, parce que tout changement doit être approuvé par une personne responsable. Il est également possible de créer un serveur personnalisé sur un réseau personnel pour une utilisation avec svn ou git, pour des solutions complètement privées.

Single File Group Work By this I'm referring to collaboration on a single file, which needs to be (or simply will be) edited by multiple people at once in real-time. For this, I've not found anything that does it as easily as Google Docs. If, however, anyone is against Google for such things and has access to a server, you could create an implementation of Apache Wave or Walkaround, which are based off of Google Wave. They should offer a similar real-time collaboration option, but with a more limited range of document formats.

Travail de groupe sur fichier unique

Dans ce paragraphe, je veux parler de la collaboration sur un fichier unique, qui doit être (ou tout simplement sera) modifié par plusieurs personnes à la fois en temps réel. Pour cela, je n'ai rien trouvé de plus facile que Google Docs. Si, en revanche, quelqu'un est contre Google pour de telles choses et a accès à un serveur, vous pouvez implémenter Apache Wave ou Walkaround, qui ne sont pas basés sur Google Wave. Ils devraient offrir une possibilité de collaboration similaire en temps réel, mais avec un nombre plus limité de formats de documents.

Security is on-par with Dropbox, in my opinion. This is especially true if you require every collaborator to have an account, as opposed to the “anyone with the link can edit” option I mentioned above. If anyone has used a program or system that they think deserves to be mentioned, please let me know via email (address is below), and I'll be sure to mention it at the beginning of my next article. Please mention anything like cost, availability, etc.

La sécurité rime avec Dropbox, à mon avis. Cela est particulièrement vrai si chaque collaborateur doit avoir un compte, contrairement à l'option « toute personne ayant le lien peut modifier » mentionnée ci-dessus.

Si quelqu'un a utilisé un programme ou un système qui, à son avis, mérite d'être mentionné, merci de me le faire savoir par mail (adresse ci-dessous) et je ne manquerai pas de le mentionner au début de mon prochain article. S'il vous plaît, donnez-en tous les détails comme le coût, la disponibilité, etc.

Language-learning Programs For anyone who owns an android phone/tablet, I highly recommend Human Japanese, which has been one of the best explained introductions to Japanese I've read. It doesn't, however, use any Kanji, relying instead on Hiragana/Katakana. The benefit of this is that you can build up vocabulary faster (since you don't need to tell Kanji apart or learn them), and also that, if you're aiming for a solely verbal communication level, you don't learn anything unnecessary. It also offers great tips for tourists when visiting Japan. At the time of writing, it's available in the Google Play store for 6,99€. Also worth mentioning is that there is a Mac OS X version of the same application available in the App Store, for anyone who owns a Mac. Also, the iOS App Store offers Human Japanese, albeit for 7,99€.

Programmes d'apprentissage des langues

Pour tous ceux qui possèdent un téléphone ou une tablette Android, je recommande fortement Human Japanese, qui est l'une des meilleures introductions au japonais que j'ai lue. Cependant, il n'utilise aucun kanji, comptant plutôt sur les Hiragana et les Katakana. L'avantage en est que vous pouvez apprendre le vocabulaire plus rapidement (puisque vous n'avez pas besoin de distinguer entre les Kanji ou de les apprendre) et, aussi, que si vous visez un niveau de communication uniquement verbale, vous n'apprenez rien d'inutile. Il offre également d'excellents conseils pour les touristes lors d'une visite au Japon. Au moment où j'écris, il est disponible sur Google Play pour 6,99 €. Il faut également souligner qu'il existe une version Mac OS X de la même application disponible sur l'App Store, pour ceux qui possèdent un Mac : l'iOS App Store propose Human Japanese, mais pour 7,99 €.

Flashcard programs of any sort are extremely useful for remembering vocabulary. I can't name any specific programs, since I haven't used any recently. Trivialibre might also be a valid option for doing this (introduced in Command & Conquer from Full Circle Magazine Issue #58). Book-wise, I've read and used Japanese in Mangaland 1 & 2 (and the corresponding workbooks) by Marc Bernabe. The books are well-written, and the illustrations help underscore the main points of every chapter. The illustrations also help your ability to read hand-written (or at least, the style of writing used in manga) Japanese, which may be useful in the future. The workbooks, as well, help drill the vocabulary and grammar into your head. The stories used in the books are also well-drawn and written, for anyone who is interested in that sort of stuff.

Les programmes utilisant des fiches (Flashcards) de toute sorte sont très utiles pour se souvenir du vocabulaire. Je ne peux pas citer de programmes en particulier, car je n'en ai pas utilisé tout récemment. Trivialibre pourrait également être une option valable pour ceci (présenté dans Command & Conquer du FCM n° 58).

Pour ce qui concerne les livres, j'ai lu et utilisé Japanese in Mangaland 1 et 2 (et les cahiers correspondants) par Marc Bernabe. Les livres sont bien écrits et les illustrations aident à souligner les points principaux de chaque chapitre. Les illustrations augmentent également votre capacité à lire l'écriture japonaise (ou du moins, le style d'écriture utilisé dans les mangas), qui pourrait être utile ensuite. Les cahiers aussi vous aident à bien assimiler le vocabulaire et la grammaire. Les histoires utilisées dans les livres sont également bien dessinées et écrites, pour toute personne qui s'intéresse à ce genre de choses.

Listening to as much Japanese as possible helps to improve your own pronunciation. This can be either music, audiobooks, or television shows. If you decide on the television/movie route, definitely watch it with subtitles, as you can also start linking meanings to phrases. Finding Japanese books you find interesting (manga, Shogi books, novels, etc.) will also help you improve, once you're capable of reading basic sentences. If the book truly interests you, it will help balance out the tediousness of having to read while having a dictionary close at hand. Also, for dictionaries I highly recommend electronic versions (gwaei, for example). The reason for this is simple – they offer stroke-based input/searches, meaning you don't need to be able to recognize the Kanji, or even read it, if you can figure out the stroke order. Paper dictionaries tend to require both these things.

Écouter autant de japonais que possible aide à améliorer votre propre prononciation. Il peut s'agir de musique, de livres audio ou d'émissions de télévision. Si vous choisissez le chemin de la télévision et des films, regardez-les avec sous-titres, car ainsi, vous pouvez également commencer à relier le sens avec les sons. Trouvez des livres japonais que vous jugez intéressants (manga, livres sur le jeu de Shogi, romans, etc.) vous aidera aussi à progresser, une fois que vous serez capable de lire des phrases de base. Si le livre vous intéresse vraiment, vous vous prêterez davantage à l'utilisation fastidieuse et répétée d'un dictionnaire. En outre, pour les dictionnaires je vous recommande vivement les versions électroniques (gwaei, par exemple). La raison en est simple : ils proposent des recherches en cours de frappe, ce qui signifie que vous n'avez pas besoin de reconnaître le kanji, ou même de le lire, si vous pouvez comprendre l'ordre des traits. Les dictionnaires sur papier ont tendance à exiger ces deux capacités.

Last, but not least, regardless of what language you're learning, it's a wasted effort unless you use it! To this end, I present to you Lang-8: http://lang-8.com/. This is a website where each user gets a journal, in which they can write entries, in both the language you're learning and your intended meaning in your native tongue. The journal is then corrected by other users. Each correction is split by sentence, and can be commented on by the person correcting it. This means that you'll be getting the opinion of a native speaker on how to speak his or her language in the most natural way. This is a wonderful option for anyone who doesn't have friends who speak the language they're learning, don't want to bother their friends with constant questions, or who don't have the option to go to that country and “jump into the deep end”, as it were. As always, I hope you found this article helpful. I do realize that the two topics I covered in the article are not at all connected. However, this means that there should be something in here for everyone. If you have any questions, comments, or suggestions, feel free to email me at lswest34@gmail.com. If you do email me, please put FCM or C&C in the subject line, to make certain I don't overlook it.

Dernier point, mais non le moindre, quelle que soit la langue que vous apprenez, c'est un gaspillage d'efforts si vous ne l'utilisez pas ! Pour cela, je vous présente Lang-8: http://lang-8.com/. Il s'agit d'un site web où chaque utilisateur tient un journal dans lequel il peut écrire dans les deux langues : celle que vous apprenez ainsi que le sens voulu dans votre langue maternelle. Le journal est ensuite corrigé par d'autres utilisateurs. Chaque correction est divisée par phrase et peut être commentée par le correcteur. Cela signifie que vous allez recevoir l'avis d'un locuteur natif sur la façon de parler sa langue, de la manière la plus naturelle. Ceci est une excellente option pour ceux qui ne disposent pas d'amis qui parlent la langue qu'ils apprennent, qui ne veulent pas embêter leurs amis constamment avec des questions ou qui n'ont pas la possibilité d'aller dans ce pays et « plonger dedans », pour ainsi dire.

Comme toujours, j'espère que vous avez trouvé cet article utile. Je me rends compte que les deux sujets que j'ai abordés dans l'article ne sont pas du tout reliés. Mais cela signifie qu'il doit y avoir quelque chose ici pour chacun. Si vous avez des questions, commentaires ou suggestions, n'hésitez pas à m'envoyer un e-mail à lswest34@gmail.com. Si vous le faites, veuillez mettre FCM ou C&C dans la case objet, pour être certain que je ne l'ignore pas.

issue63/c_c.txt · Dernière modification : 2012/09/09 18:27 de andre_domenech