Outils pour utilisateurs

Outils du site


issue72:mon_histoire

Table des matières

1

My first introduction to Unix was in 1979. The company I was working for at the time got the PWB (Programmer's Workbench) version to experiment with. We needed this for its ability to do remote job entry to the IBM mainframe. I just loved the simplicity of Unix on the surface, but also loved the powerful beast (maybe a grue?) lying beneath the surface. For the next 18 months we learned about Unix and programming in C. It was a great time. In late 1980, I got an offer from another company for a much better opportunity. I left the Unix environment. I've always had some regrets about leaving: from a personal angle, leaving something I enjoyed working with, and, on the professional side, wondering what paths my career would have taken. (Would it have been worse or better?)

Mon premier contact avec Unix se passa en 1979. L'entreprise pour laquelle je travaillais à l'époque, avait obtenu la version PWB (Programmer's Workbench) pour l'essayer. Nous avions besoin de cela pour sa capacité à faire la saisie de travaux à distance sur l'ordinateur central IBM. J'ai tout simplement adoré la simplicité superficielle d'Unix, mais aussi beaucoup aimé la bête puissante (peut-être une grue ?) se lovant sous la surface.

Durant les 18 mois suivants, nous avons été mis au courant d'Unix et de la programmation en C. C'était un moment formidable.

Fin 1980, j'ai reçu l'offre d'une autre entreprise me proposant quelque chose de meilleur. J'ai quitté l'environnement Unix. J'ai toujours eu quelques regrets au sujet de ce départ : sur un plan personnel j'ai dû laisser quelque chose avec lequel j'avais apprécié de travailler et, sur le plan professionnel, je me demandais quels chemins ma carrière aurait pris. (Aurait-elle été meilleure ou pire ?)

2

Through the 1980's, I considered Unix variants Coherent and Xenix. The AT&T PC7300 would have been my ideal choice but it was around $5,500.00. I eventually succumbed to the corporate standards, and adopted Microsoft Windows and office products to maintain compatibility. In 1995, while at a local computer show, I came across a fellow selling Slackware Linux. I had heard of Linux from a friend who still worked at my original company. I bought a copy and installed it on an extra drive in my computer. Unlike today’s Linux distros, once installed, you had to go through a series of screens to configure the kernel for your hardware and other options, and recompile the kernel. Even after using Windows for years, I was having a great time.

Pendant les années 1980, j'examinais Coherent et Xenix, des variantes d'Unix. Le AT&T PC7300 aurait été mon choix idéal, mais il coûtait d'environ 5 500,00 $.

J'ai finalement succombé aux normes de l'entreprise et j'ai adopté Microsoft Windows et Office pour assurer la compatibilité.

En 1995, lors d'une exposition informatique locale, je suis tombé sur un gars qui vendait Slackware Linux. J'avais entendu parler de Linux par un ami qui travaillait encore dans mon entreprise d'origine. J'en ai acheté un exemplaire et l'ai installé sur un disque supplémentaire dans mon ordinateur. Contrairement aux distrib. Linux d'aujourd'hui, une fois installée, il fallait passer par une série d'écrans pour configurer le noyau pour votre matériel et d'autres options, et recompiler le noyau. Même après l'utilisation de Windows pendant des années, je m'amusais comme un fou.

3

The various window managers at the time were rough. I settled on FVWM (F Virtual Window Manager). It worked fine, but you had to edit a configuration file to add any applications to it. I played with various distributions over the years as they came out. I used Red Hat, Caldera, Corel, etc. I eventually settled on SuSE, and was using Linux full-time, delving into Windows when I needed to for something with a client company. In 2002, I decided to jump to an Apple iBook (no flames please). I liked it, but still wasn't giving up on Linux. When Ubuntu came around, I looked into and followed it. Linux support for Apple hardware at the time was not very good. It wasn't until 10.04 that I was able to install it on a spare drive on my MacBook with almost no issues. My MacBook was starting to develop an overheating problem, which was minor when running OS X but was worse under Linux. It was enough to see that I could use it for my day-to-day needs.

À l'époque, les différents gestionnaires de fenêtres étaient très sommaires. Je me suis fixé sur FVWM (F Virtual Window Manager). Il fonctionnait bien, mais il fallait modifier un fichier de configuration pour y ajouter des applications.

J'ai joué avec différentes distributions au fil des ans dès qu'elles sortaient. J'ai utilisé Red Hat, Caldera, Corel, etc. J'ai finalement choisi SuSE et utilisais Linux à plein temps, ne me plongeant dans Windows que lorsque j'avais besoin de quelque chose pour une entreprise cliente.

En 2002, j'ai décidé de passer à un Apple iBook (pas de pierres s'il vous plaît). Je l'aimais bien, mais je n'abandonnais pas encore Linux. Quand Ubuntu est apparu, j'y ai jeté un œil et l'ai suivi. Le support de Linux pour le matériel Apple à l'époque n'était pas très bon. Il a fallu attendre la 10.04 pour que je puisse l'installer sur un disque de secours sur mon MacBook sans presque aucun problème. Mon MacBook commençait à développer un problème de surchauffe, mineur, lors de l'exécution d'OS X, mais pire sous Linux. Il me suffisait de savoir que je pouvais l'utiliser pour mes besoins courants.

4

These days, I am one of the many IT professionals forced to work in a lousy job due to a lack of work in my area of expertise. My idea is to try to build a small business—installing and supporting Ubuntu for ordinary people who are fed up with viruses and spyware, or who have decent hardware but still can't run the latest and greatest versions of Windows. Not an easy goal, but I feel it is worth trying. To this end, I was able to get a new Acer computer, and I am running Quantal Quetzal and loving it.

Ces jours-ci, je suis l'un des nombreux professionnels de l'informatique forcés d'accepter un emploi minable en raison du manque d'offres dans mon domaine d'expertise. Mon idée est d'essayer de créer une petite entreprise d'installation et de support d'Ubuntu pour les gens ordinaires qui sont dégoûtés par les virus et les logiciels espions, ou qui ont du matériel décent, mais ne peuvent pas toujours exécuter les toutes dernières versions de Windows. Ce n'est pas un objectif facile, mais je pense qu'il vaut la peine d'essayer. À cette fin, j'ai pu obtenir un nouvel ordinateur Acer, j'y fais tourner Quetzal Quantal et j'en suis très heureux.

issue72/mon_histoire.txt · Dernière modification : 2013/08/02 15:55 de andre_domenech