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issue78:demandez_au_petit_nouveau

Table des matières

1

Hi, everyone! Welcome back to Ask the New Guy! If you have a simple question, and Linux is so confusing to you that you think “home folder” refers to a shut-in origami enthusiast, contact me at copil.yanez@gmail.com. Today’s question is: Q: A lot of people seem to be unhappy with something called Mir. What is it and why the drama? A: I know, right? So much duh-raaamaaaaa, it’s getting like an episode of Glee around here. I half expect Mark Shuttleworth to break into a Mariachi rendition of Missy Elliott’s Work It: Is it worth it? Let me work it. I put my thing down, flip it, and reverse it.

Salut à tous ! Bon retour dans Demandez au Petit Nouveau !

Si vous avez une question simple et Linux vous semble si déroutant que vous pensez que « home folder » fait référence à un passionné d'origami introverti [Ndt : jeu de mots sur le sens littéral de folder, signifiant « celui qui plie »], contactez-moi à copil.yanez@gmail.com.

La question du jour est :

Q Beaucoup de gens semblent malheureux avec un truc appelé Mir. Qu'est-ce que c'est et pourquoi ce drame ?

R Oui, je sais, non ? Tant de draaaaame, ça devient comme un épisode de Glee ici. Je m'attends à moitié à ce que Mark Shuttleworth se présente dans une interprétation Mariachi de Work It de Missy Elliott :

Est-ce que ça vaut le coup ?

Laisse-moi le manipuler.

Je le pose, je le retourne et le renverse.

Actually, in reference to today’s question, the above lyrics are weirdly accurate. Let me explain. Mir is a display server, a piece of software that sits between you and the Linux kernel in Ubuntu. It takes your input, routes it to the right place, and then returns the output to your screen. If you’re married, Mir is like your spouse, taking your dinner invite to the neighbors whose name you can never remember, and reporting back their refusal because of your tendency to get drunk and act out the Empire State Building scene from the original King Kong. If that’s not clear enough for you, below is an extremely simple diagram I found to help explain what a display server does. See? Simple.

En fait, en ce qui concerne la question d'aujourd'hui, les paroles ci-dessus sont étrangement pertinentes. Je m'explique.

Mir est un serveur d'affichage, un logiciel qui se trouve entre vous et le noyau Linux sous Ubuntu. Il prend ce que vous entrez dans l'ordi, l'achemine au bon endroit, puis affiche le résultat sur votre écran. Si vous êtes marié, Mir est comme votre conjoint, prenant votre invitation à dîner aux voisins, dont vous ne pouvez jamais vous souvenir du nom, et rendant compte de leur refus en raison de votre tendance à vous saouler et à rejouer la scène de l'Empire State Building du premier film King Kong.

Si ce n'est pas assez clair pour vous, voici un schéma extrêmement simple que j'ai trouvé pour expliquer ce que fait un serveur d'affichage.

Vous voyez ? C'est simple.

2

Okay, so that’s what Mir does. Still doesn’t explain why everyone’s treating it like the new kid in school who cuts his own hair and smells like pork products all the time (we called him Ricky Bacon). Well, Mir was chosen to replace the X window server, the existing display server in Ubuntu. Canonical, the lead Ubuntu developer, and the company in charge of all final decisions with regards to what default programs appear in Ubuntu, made the choice to move away from X. Why? X had been serving the needs of Linux users for almost three decades. If it ain’t broke, don’t fix it, right? The problem was that X wasn’t up to the challenge of delivering an operating system on all appliances a user might have. Actually, that’s not entirely true. X was up to the challenge of delivering to your Internet-enabled toaster, it just couldn’t do it the way you were most familiar with.

Bon, c'est ce que Mir fait. Mais ça n'explique toujours pas pourquoi tout le monde le traite comme le petit nouveau à l'école qui coupe ses propres cheveux et sent la charcuterie tout le temps (nous l'appelions Ricky Bacon).

Eh bien, Mir a été choisi pour remplacer le serveur de fenêtres X, le serveur d'affichage existant dans Ubuntu. Canonical, le principal développeur d'Ubuntu et la société en charge de toutes les décisions finales en ce qui concerne les programmes qui apparaissent par défaut dans Ubuntu, a fait le choix de s'éloigner de X. Pourquoi ? X répondaient aux besoins des utilisateurs de Linux depuis près de trois décennies. Pas besoin de réparer ce qui n'est pas cassé, n'est-ce pas ?

Le problème était que X ne pouvait pas relever le défi de fournir un système d'exploitation sur tous les appareils qu'un utilisateur peut avoir. En fait, ce n'est pas tout à fait vrai. X était prêt à travailler dans votre grille-pain connecté à Internet, mais il ne pouvait tout simplement pas le faire d'une façon qui vous était familière.

The thing is, most of us know what an operating system should look like on a small screen. We use our thumbs to navigate from one screen to another, pinching and zooming as fast as our minds can handle. And there’s the real problem with X. Modern phone users have been conditioned to expect an experience that’s been dubbed “f ‘n f,” fast and fluid. If your favorite OS appears on your phone, you want it to look enough like your desktop that it’s like kissing your boyfriend’s twin brother: different, yet similar. But you most definitely want it to behave like every other phone OS you’ve ever seen: fast and fluid. Okay, so X wasn’t going to be f ‘n f, so what to replace it with? The smart people at Canonical put their heads together. And they chose Mir, right? Nope.

C'est que la plupart d'entre nous savent à quoi un système d'exploitation devrait ressembler sur un petit écran. Nous utilisons nos pouces pour naviguer d'un écran à l'autre, pinçant et zoomant aussi vite que notre cerveau peut le faire. Et c'est le vrai problème avec X. Les utilisateurs de téléphones modernes ont été conditionnés à s'attendre à une expérience qui a été surnommée « f 'n f », (fast and fluid) rapide et fluide. Si votre système d'exploitation favori arrive sur votre téléphone, vous voulez qu'il ressemble à celui de votre PC au point où ce serait comme embrasser le frère jumeau de votre petit ami : différent, mais similaire. Mais vous souhaitez très certainement qu'il se comporte comme tous les autres systèmes d'exploitation de téléphone que vous avez vu jusqu'à présent : rapide et fluide.

Bon, si X n'allait pas être f 'n f, par quoi fallait-il le remplacer ? Les gens intelligents chez Canonical se sont réunis. Et ils ont choisi Mir, n'est-ce pas ?

Non.

3

They chose a program called Wayland. Actually, Wayland is a “protocol,” a series of instructions defining how input and output should be handled. At this point I just sat down and cried because I was pretty much over my head about five minutes ago. Upon further evaluation, Canonical decided Wayland wasn’t going to do the trick either. So they did what every amateaur woodworker does when his wife tells him they need a new picnic table for the backyard: they built their own. Here’s the thing about homemade furniture. No one, except people who make furniture for a living, actually know how hard it is to make furniture. But everyone’s used furniture so we all think we have enough knowledge to judge and criticize. Oh, this table is too scratchy, you should have sanded the edges more. Oh, this table isn’t long enough, you’ll never get your whole family around it for dinner. Oh, this table isn’t really a table, it’s a piece of plywood resting on cinder blocks and my mother was right, I should have married Derrick!

Ils ont choisi un programme appelé Wayland. En fait, Wayland est un « protocole », une série d'instructions définissant comment les entrées et sorties doivent être gérées. Et c'est alors que je me suis assis et j'ai pleuré, parce que j'avais été dépassé il y avait environ cinq minutes.

Après une évaluation approfondie, Canonical a décidé que Wayland n'allait pas faire l'affaire non plus. Donc ils ont fait ce que fait chaque travailleur du bois amateur quand sa femme lui dit qu'ils ont besoin d'une nouvelle table de pique-nique dans l'arrière-cour : ils ont construit le leur.

Voici le problème à propos des meubles faits maison. Personne, sauf les gens qui font des meubles pour gagner leur vie, ne sait combien il est difficile de faire des meubles. Mais tout le monde a utilisé des meubles donc nous pensons tous que nous avons suffisamment de connaissances pour juger et critiquer. Oh, cette table est trop rugueuse, vous devriez avoir plus poncé les bords. Oh, cette table n'est pas assez longue, vous n'aurez jamais toute votre famille autour d'elle pour le dîner. Oh, cette table n'est pas vraiment une table, c'est un morceau de contreplaqué reposant sur des parpaings et ma mère avait raison, j'aurais dû me marier avec Derrick !

Canonical set about designing the next generation display server, codenamed Mir, thereby angering a lot of people, not least of all fans of old Soviet space hardware, a pretty tough bunch, in case you didn’t know. Mir is meant to offer the familiar Ubuntu experience using a window server that can handle the f ‘n f demands of modern users. What’s not to like? Well, if you believe that Canonical puts too much emphasis on this idea of convergence, that people want the same OS from device to device, or if you doubt that users are going to ditch desktops and laptops in favor of phones and tablets, you might not be too excited. But I think the frustration with Mir is simply a manifestation of a different concern.

Canonical s'est mis à concevoir la prochaine génération de serveur d'affichage, nom de code Mir, suscitant ainsi la colère de beaucoup de gens, en particulier tous les fans de vieux matériel soviétique de l'espace, un groupe très dur, dans le cas où vous ne le sauriez pas.

Mir est destiné à offrir l'expérience familière d'Ubuntu avec un serveur de fenêtres qui peut gérer les demandes f 'n f des utilisateurs modernes.

Alors, quels sont ces défauts ?

Eh bien, si vous croyez que Canonical met trop l'accent sur cette idée de convergence - que les gens veulent le même système d'exploitation d'un appareil à l'autre - ou si vous doutez que les utilisateurs vont abandonner les ordinateurs de bureau et ordinateurs portables en faveur des téléphones et tablettes, vous n'êtes peut-être pas trop excité.

Mais je pense que la frustration avec Mir n'est que la manifestation d'un autre problème.

4

When Ubuntu came on the scene, the skies opened up and angels heralded its arrival. Here was an open source OS that finally had the resources to push forward on multiple fronts simultaneously. Uptake skyrocketed and suddenly the Linux desktop seemed more viable than ever before. Diehard Linux enthusiasts, the ones who tattooed Tux on their biceps, continued to use the command line and roll their own distros. Me, I was thrilled to use an OS that did everything I needed, didn’t cost a cent, and didn’t stalk me like a psycho ex to update bloatware programs I never wanted installed in the first place. Ubuntu just worked, and it did it with style. It was so beautiful, many of us were willing to ignore that, hey, Canonical is a business, not a charity. It offers B-to-B services for companies who want a stable, powerful and scalable OS. They incorporate the efforts of developers working for free, into a product they charge corporate users to support. They even (shudder) trademarked the Ubuntu name. Then came Unity and scopes and the whole Amazon.com kerfuffle, and people began to realize what should have been apparent all along: you can’t run a company forever without revenue.

Quand Ubuntu est entré en scène, le ciel s'est ouvert et les anges ont salué son arrivée. Il y avait là un système d'exploitation Open Source qui avait enfin les ressources nécessaires pour avancer simultanément sur plusieurs fronts. Le nombre d'adoptions est monté en flèche et soudain le bureau Linux semblait plus viable que jamais auparavant.

Les amateurs inconditionnels de Linux, ceux qui tatouent Tux sur leurs biceps, ont continué à utiliser la ligne de commande et à sortir leurs propres distrib. Moi, j'étais emballé à l'idée d'utiliser un système d'exploitation qui faisait tout ce qu'il fallait, ne coûtait pas un centime, et ne me traquait pas comme un ex-psychopathe pour mettre à jour des programmes bouffis et peu performants, que je n'avais jamais voulu installer pour commencer.

Ubuntu fonctionnait tout simplement, et il le faisait avec de la classe. C'était si beau que beaucoup d'entre nous étaient prêts à ignorer que, hé bien, Canonical est une entreprise, pas un organisme de bienfaisance. Elle offre des services B-to-B pour les entreprises qui veulent un système d'exploitation stable, puissant et évolutif. Ils intègrent les efforts de développeurs, travaillant gratuitement, dans un produit dont ils facturent la maintenance aux utilisateurs des entreprises. Ubuntu est même devenu une marque déposée (frissons).

Puis vint Unity et les loupes et le grand cafouillage Amazon.com, et les gens ont commencé à se rendre compte de ce qui était évident depuis longtemps : vous ne pouvez pas diriger une entreprise éternellement, sans revenus.

When Canonical got around to discussing Mir in detail, it made it clear that contributions to Mir from the community could be re-licensed by Canonical as their own. That’s when things went all Game of Thrones. People far smarter than me have some serious concern, and I will listen and learn and try to understand the issues as best as my little gerbil-powered brain can. But I’m not worried. Here’s why. I’ve never misunderstood my relationship with Canonical or Ubuntu. I recognize that there are financial concerns that will drive decisions about Ubuntu’s development. And so long as Ubuntu is a free product from a corporate entity, I’ll remember the warning that if I’m not the customer, I’m the product. It’s similar to the relationship I have with Google, and I recognize the potential pitfalls. The real cost to use free products from profit-seeking entities is eternal vigilance.

Quand Canonical en est venu à discuter de Mir en détail, il clairement indiqué que les contributions communautaires à Mir pourraient être re-licencées par Canonical comme étant les leurs.

C'est à ce moment-là que les choses ont tourné au Trône de Fer (Game of Thrones).

Des gens bien plus intelligents que moi ont de sérieuses préoccupations, et je vais écouter et apprendre et essayer de comprendre les problèmes du mieux que mon petit cerveau de gerbille peut.

Mais je ne suis pas inquiet. Voici pourquoi.

Je n'ai jamais mal compris ma relation avec Canonical ou Ubuntu. Je reconnais qu'il y a des préoccupations financières qui vont conduire les décisions sur le développement d'Ubuntu. Et tant qu'Ubuntu sera un produit gratuit venant d'une entreprise, je me souviendrai de l'avertissement que si je ne suis pas le client, je suis le produit. C'est similaire à la relation que j'ai avec Google et je reconnais les pièges potentiels. Le coût réel de l'utilisation de produits gratuits venant d'entités à but lucratif est l'éternelle vigilance.

5

I am willing to support Ubuntu, warts and all, for the same reason I use a Kindle and buy Amazon products despite what I’ve seen happen to my beloved independent booksellers: they are pushing for the kind of future I want to see. I believe convergence is where it’s at, one device that behaves as both desktop or “pockettop.” I believe Ubuntu has the potential to challenge Android and iOS, not only offering more competition in the marketplace, but pushing those other OSs to do things they would never have tried without Ubuntu breathing down their necks. I believe that having Ubuntu gain a real foothold in mobile could mean the end of that market’s oligarchy, a revolution that could eventually run the other way, growing the Linux piece of the desktop pie. And I believe Mir is a key component in making all this possible. But the biggest reason I’m not worried about Mir, or Ubuntu, or the idea that Canonical is methodically co-opting the Linux community, is because you simply can’t un-smell a fart. Believe me, I’ve tried.

Je suis prêt à soutenir Ubuntu, avec tous ses petits défauts, pour la même raison pour laquelle j'utilise un Kindle et j’achète des produits Amazon, en dépit de ce que j'ai vu arriver à mes libraires indépendants bien-aimés : ils œuvrent dans le sens du genre d'avenir que je veux voir.

Je crois que rien ne vaut la convergence, un seul dispositif qui se comporte à la fois comme un ordinateur de bureau et un ordinateur de poche. Je crois qu'Ubuntu a le potentiel de se mesurer à Android et iOS, non seulement en offrant une plus grande concurrence sur le marché, mais en poussant les autres systèmes d'exploitation à faire des choses qu'ils n'auraient jamais essayées sans Ubuntu sur leurs talons. Je crois que voir Ubuntu se tailler une place dans le mobile pourrait signifier la fin de l'oligarchie de ce marché, une révolution qui pourrait éventuellement aller en sens inverse et faire croître la part de Linux dans le gâteau des ordinateurs de bureau.

Et je crois que Mir est un élément clé dans la réalisation de cet objectif.

Mais la plus grande raison pour laquelle je ne suis pas inquiet à propos de Mir, ou d'Ubuntu, ou de l'idée que Canonical coopte méthodiquement la communauté Linux, c'est que, tout simplement, vous ne pouvez pas faire qu'un pet ne sente pas. Croyez-moi, j'ai essayé.

You cannot simultaneously introduce millions to Linux and FOSS and then make everyone ignore that they exist. In other words, I know more about Linux now because of my interest in Ubuntu. And if Ubuntu ever stopped innovating, stopped pushing the envelope, stopped trying to do grand things and drawing the criticism boldness begets, I would do what Ubuntu taught me to do, a fresh install. Ultimately, I am wary of any argument against Ubuntu that sounds like hipster-speak, as in, “I was totally into Ubuntu before its auto-tune, Euro-trance, psychedelic phase.” And I won’t be scared away by the drama. You think this is drama? I was in a high school jazz band. You don’t know drama, son. So in answer to the question, What is Mir? Mir is a rorschach test. People will see much in it that simply isn’t there. It will likely reinforce their existing beliefs until it comes into better focus and we can test it in the wild. Until then, I’m willing to give Ubuntu and Canonical the benefit of the doubt, that and vigilance are the price I pay for their amazing product.

Vous ne pouvez pas simultanément présenter à des millions de personnes Linux et les Logiciels libres, puis faire en sorte que tout le monde ignore leur existence.

En d'autres termes, j'en connais plus sur Linux maintenant grâce à l'intérêt que je porte à Ubuntu. Et si Ubuntu cesse un jour d'innover, arrête de repousser les limites, cesse d'essayer de faire de grandes choses et d'attirer les critiques que l'audacité engendre, je ferais ce qu'Ubuntu m'a appris à faire, une nouvelle installation.

En fin de compte, je me méfie de tout argument contre Ubuntu qui sonne comme un discours « taille-basse », comme dans : « J'étais totalement pour Ubuntu avant sa phase d'Euro-trance psychédélique auto-régulée. » Et je ne serai pas effrayé par du drame. Tu penses que c'est du drame ? J'étais dans un groupe de jazz au lycée. Tu ne sais pas ce qu'est un drame, fiston.

Donc, pour répondre à la question, qu'est-ce que Mir ? Mir est un test de Rorschach. Les gens vont y voir beaucoup de choses qui n'existent tout simplement pas. Ça va probablement renforcer leurs croyances actuelles jusqu'à ce qu'il soit mieux connu et que nous puissions le tester dans son milieu naturel. Jusque-là, je veux donner à Ubuntu et Canonical le bénéfice du doute, cela et la vigilance sont le prix que je paye pour leur produit incroyable.

Oh, and what about those Missy Elliott lyrics? Is it worth it? Let me work it. I put my thing down, flip it, and reverse it. Translation: Is Mir worth it? Let me work with it. I’ll tweak it, fork it, or reverse it. I totally knew Missy was a closet Ubuntu enthusiast! Her early song Linus Torvalds is a Pimp! should have been a dead giveaway. Good luck and happy Ubuntuing!

Oh, et à propos de ces paroles de Missy Elliott ?

Est-ce que ça vaut le coup ? Laisse-moi le manipuler. Je le pose, je le retourne et le renverse.

Traduction :

Est-ce que Mir en vaut le coup ? Laisse-moi le manipuler. Je le bricolerai, en créerai des branches, ou l'inverserai.

Je savais bien que Missy était une grande amatrice inavouée d'Ubuntu ! Une de ses premières chansons « Linus Torvalds est un maquereau! » aurait dû la trahir.

Bonne chance et amusez vous bien avec Ubuntu !

issue78/demandez_au_petit_nouveau.txt · Dernière modification : 2014/03/18 18:05 de auntiee