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issue100:libreoffice_partie_32

In November of 2011, Ronnie put out a call for someone willing to Avant que son crâne d’œuf de rédacteur en chef ne perde la boulewrite a series of articles on OpenOffice.org. OpenOffice.org was, at the time, the default office suite for Ubuntu. I had been using Ubuntu for only about a year, but I had used OpenOffice.org for years, as far back as when it was StarOffice. I put my name in the hat and was assigned the job of penning the series. At the time, the future of OpenOffice.org was in question. Sun Microsystems, the technology company that had developed OpenOffice.org, had been bought by Oracle Corporation in January of 2010. Development of the office suite had stopped. In September of 2010, a group of OpenOffice.org developers defected from Oracle and started the Document Foundation. They forked OpenOffice.org, and LibreOffice was born. The cherry on top, Canonical planned to make LibreOffice their default office suite in Ubuntu 11.04. The first article was slated for around February 2011. I wrote the first couple of articles, using the OpenOffice.org name, but couldn't help feeling I wasn't writing anything for the future. I began a conversation with Ronnie about changing it from OpenOffice.org to LibreOffice, using the Canonical switch as my reasoning. Ronnie agreed, and I edited the existing articles to LibreOffice. I may have used OpenOffice.org for years, and StarOffice before that, but I soon discovered I knew very little about the suite. I was familiar with the pieces of the suite, but my experience was limited to Writer and Calc. I decided to work my way through the basics of each of the suite modules starting with Writer. Documentation became the key to my success. I started with the old OpenOffice.org documents, but as the Document Foundation started making changes and improvements to the programs, existing documents quickly became outdated. Experimentation became my second key. I learned to test everything. The document might say it works this way, but did it actually work that way in the current version? Sometimes, no. Soon the Document Foundation created their own documents for LibreOffice, and while they are never completely up-to-date, they have stayed close enough that this writer can read, test, and learn about the different features of the program.

En novembre 2011, Ronnie lança un appel pour quelqu'un désirant écrire une série d'articles sur OpenOffice.org. OpenOffice.org était, à ce moment-là, la suite bureautique par défaut d'Ubuntu. J'utilisais Ubuntu depuis seulement un an environ, mais j'avais utilisé OpenOffice.org pendant des années, depuis qu'elle s'appelait StarOffice. J'ai mis mon nom dans le chapeau et j'ai été désigné pour écrire la série.

À ce moment-là, le futur d'OpenOffice était sur la sellette. Sun Microsystems, la société informatique qui avait développé OpenOffice.org, avait été achetée par Oracle Corporation en janvier 2010. Le développement de la suite bureautique avait été arrêté. En septembre 2010, un groupe de développeurs d'OpenOffice.org quitta Oracle et démarra la Document Foundation. Ils ont « forké » OpenOffice.org et LibreOffice est né. Cerise sur le gâteau, Canonical décida de prendre LibreOffice comme suite bureautique par défaut dans Ubuntu 11.04.

Le premier article était prévu aux environs de février 2011. J'ai écrit les deux premiers articles, en utilisant le nom de OpenOffice.org, mais je sentais que je n'écrivais pas pour le futur. J'ai échangé avec Ronnie sur un passage de OpenOffice.org en LibreOffice, utilisant le changement chez Canonical comme justification. Ronnie accepta et je modifiai les articles existants en LibreOffice.

J'avais utilisé OpenOffice.org pendant des années, et StarOffice auparavant, mais j'ai découvert assez vite que je ne connaissais rien à la suite bureautique. Les modules de la suite bureautique m'étaient connus, mais mon expérience était limitée à Writer et Calc. J'ai décidé de me former personnellement aux bases de chacun des modules de la suite, en commençant par Writer. La documentation devint la clé de mon succès. J'ai commencé avec les vieux documents d'OpenOffice.org, mais au fur et à mesure que la Document Foundation commençait à faire des changements et des améliorations dans les programmes, les documents existants devinrent rapidement obsolètes. L'expérimentation fut ma seconde clé. J'appris à tout tester. Le document pouvait dire que ça fonctionnait de telle façon, mais fonctionnait-il réellement ainsi dans la version actuelle ? Parfois, non. Bientôt, la Document Foundation créa ses propres documents pour LibreOffice, et, bien qu'ils n'aient jamais été complètement à jour, ils en sont restés suffisamment près pour que l'auteur puisse lire, tester et apprendre à connaître les différentes fonctionnalités du programme.

The biggest challenge for me was macro scripts. At the time I was writing about them, there was little official documentation on the subject. I googled, read, and followed links. I have studied many programming languages in my days, COBOL, Pascal, C, Visual Basic, Python, C++, Java, but the lack of easy-to-read documentation for the interface to LibreOffice made learning to program macros challenging. The Document Foundation offers no official manual for macros. However, each of the manuals for the different modules includes a chapter on creating macros. It is better than what I had when I was trying to write about macros. The help file is the best source for learning the structure of LibreOffice Basic. See the chapters devoted to macros in each of the guides for module specific help. My second biggest challenge was Base. As with macros, I had little official documentation to work with. To top off the difficulty, relational databases are a complex and complicated subject. I was determined to meet it head on and then never write about it ever again. Over time, documentation came out, and I began to relax a little. In addition to the articles I wrote for Full Circle, I wrote a series of posts on my blog, What The Tech Am I Doing?, about using the SQL language with LibreOffice (https://eeperry.wordpress.com/category/libreoffice/libreoffice-base/). In the end, I hope I presented you with enough information to proceed on your own. The thing that changed the way I do things was Impress. I use it at work all the time, even though I have Powerpoint loaded on my work computer. Impress doesn't make creating a presentation any easier than Powerpoint. The two are about the same on that subject. Where Impress has changed the way I do things is with the Impress Remote (FCM#79). Impress Remote frees me from the presentation computer and allows me to roam and interact, with all my controls and notes on my tablet. The joy of writing about a program like LibreOffice is watching the program blossom before you. With each new version they add something new to the program. Sometimes, the changes add a feature to the program; other times, they makes an existing feature work better. So, before you think this is all about memory lane, let's take a glance at some of the new features and changes that have come about since LibreOffice was born.

Mon plus gros challenge a été les scripts des macros. Au moment où j'ai écrit sur ce sujet, il y avait peu de documentation officielle les concernant. J'ai googlisé, lu et suivi des liens. Au fil des ans, j'ai étudié de nombreux langages de programmation - COBOL, Pascal, C, Visual Basic, Python, C++, Java -, mais le manque d'une documentation claire sur les interfaces de LibreOffice rendait difficile l'apprentissage de la programmation des macros. La Document Foundation n'offre aucun manuel officiel sur les macros. Cependant, chacun des manuels sur les différents modules inclue un chapitre sur la création des macros. C'est bien mieux que ce que j'avais quand j’ai essayé d'écrire sur les macros. Le fichier d'aide est la meilleure source pour apprendre la structure du Basic LibreOffice. Voyez les chapitres dévolus aux macros dans chacun des guides d'aide des modules particuliers.

Mon second plus gros challenge était Base. Comme pour les macros, j'avais peu de documentation officielle à disposition. Pour couronner le tout, les bases de données relationnelles sont un sujet complexe et compliqué. J'étais déterminé à l'affronter et, ensuite, à ne plus jamais écrire sur le sujet. Avec le temps, la documentation est sortie et j'ai commencé à me détendre un peu. En plus des articles que j'écrivais pour le Full Circle, j'ai écrit une série de messages sur mon blog, What The Tech Am I Doing ? (Moi le technicien, qu'est-ce que je fais ?), sur le langage SQL avec LibreOffice (https://eeperry.wordpress.com/category/libreoffice/libreoffice-base/). Au final, j'espère que je vous ai donné assez d'informations pour vous débrouiller seuls.

Ce qui a changé la façon dont je fais les choses, c'est Impress. Je l'utilise tout le temps au travail, même si j'ai Powerpoint installé sur mon ordinateur professionnel. Impress ne rend pas la préparation d'une présentation plus facile que Powerpoint. Les deux se valent sur le sujet. Là où Impress a changé ma façon de faire, c'est avec Impress Remote (FCM n° 79). Impress Remote me libère de l'ordinateur de présentation et me permet de déambuler et d'interagir, avec tous les contrôles et les notes sur ma tablette.

Le plaisir d'écrire au sujet d'un programme comme LibreOffice, c'est de pouvoir constater l'évolution du programme. À chaque nouvelle version, ils ajoutent du nouveau au programme. Parfois, les changements ajoutent une fonctionnalité au programme ; d'autres fois, ils rendent plus performante une fonctionnalité existante. Avant que vous ne pensiez que je ne parlerai que de mes souvenirs, jetons un coup d’œil sur quelques nouvelles fonctionnalités et des changements qui sont sortis depuis que LibreOffice est né.

In the latest version (4.4), the developers worked on restructuring the toolbars in all the suite modules. They removed some of the icons that users rarely click on and added icons that are used more frequently. They also compacted the formatting toolbar by condensing like functions into one drop-down icon. For example the line spacing is now a drop-down. As an added bonus, the Insert Field is now a drop-down on the standard toolbar in Writer, which is easier than Insert > Fields > [field to insert]. Icons like the bullets and numbering are now drop-down dialogs rather than pop up dialog windows, which makes using the basics of these tools quicker. One of my favorite new tools is the sidebar, which I wrote about in part 34 (Full Circle Magazine issue 81). At the time, the sidebar was still an experimental feature, but it didn't stay that way for long. I usually keep the sidebar open but collapsed. If I need to change one of the styles, two clicks and I'm there. I like having the four most used docked dialogs readily handy. Speaking of readily handy, the style selection drop-down on the formatting toolbar has a new feature. Now, there is a drop-down arrow on the currently highlighted style. If you click on the arrow, a menu gives you the options to update or edit the style. Convenient when you need to make a quick change to a style. The Start Center, LibreOffice with no documents open, now shows recently open documents by default. Doesn't seem like much until you work on the same document every day for weeks at a time, or need that budget spreadsheet you opened just last week. Click on the Templates button and it switches to the templates loaded on your system. This makes starting a new document based on a template much easier. The Document Foundation is doing a better job of keeping manuals up-to-date. All the current guides and handbooks are up to version 4.0, with most at 4.2 or higher. They are my guide when coming up with new articles for you to read.

Dans la dernière version (la 4.4), les développeurs ont travaillé à la restructuration de la barre d'outils dans tous les modules de la suite. Ils ont enlevé des icônes sur lesquels les utilisateurs ne cliquent que rarement et ajouté des icônes utilisées plus fréquemment. Ils ont aussi compacté la barre de formatage en regroupant quelques fonctions dans une seule icône avec liste déroulante. Par exemple, l'espacement des lignes est maintenant une liste déroulante. En prime, le champ Insertion est maintenant une liste déroulante sur la barre d'outils standard de Writer, ce qui est plus facile que Insertion > Champs > [champs à insérer]. Les icônes comme Puces et numérotation sont maintenant en boîte de dialogue plutôt qu'en fenêtre pop-up, ce qui permet une utilisation plus rapide des fonctions de base de ces outils.

Un des nouveaux outils que je préfère est la barre latérale, sur laquelle j'ai écrit dans la partie 34 (dans le n° 81 du magazine Full Circle ). À ce moment-là, la barre latérale était encore une fonctionnalité expérimentale, mais elle n'est pas restée longtemps à ce stade. Je la garde habituellement ouverte, mais repliée. Si j'ai besoin de changer un de mes styles, c'est fait en deux clics. J'aime avoir les quatre boîtes de dialogue les plus utilisées, rangées, prêtes sous la main.

En parlant de choses facilement à portée de main, la liste déroulante de sélection des styles sur la barre de formatage a une nouvelle fonctionnalité. Maintenant, il y a une flèche de liste déroulante sur le style actuellement surligné. Si vous cliquez sur la flèche, un menu vous donne le choix de mettre à jour ou de modifier le style. Pratique quand vous avez besoin de faire un rapide changement dans un style. La page de démarrage, LibreOffice sans document ouvert, montre maintenant par défaut les derniers documents ouverts. Cela ne paraît pas grand chose jusqu'à ce que vous travailliez tous les jours sur le même document continuellement pendant des semaines ou que vous ayez besoin de cette feuille de budget que vous avez ouverte la semaine dernière. Cliquez sur le bouton des Modèles et vous passez aux modèles chargés sur votre système. Avec ceci, vous démarrez plus facilement un nouveau document basé sur un modèle.

La Document Foundation réussit mieux à garder les manuels à jour. Tous les guides et manuels actuels sont à jour pour la version 4.0, la plupart à la 4.2 et supérieures. Ils sont mon guide quand j'essaie de trouver des nouveaux articles pour mes lecteurs.

My journey so far with LibreOffice and writing for Full Circle Magazine has been a rewarding one. I was asked to give a presentation to a group about LibreOffice because of my articles in Full Circle. The guy introduced me as an international writer, and I blush now just thinking about it. I asked him why and he said, “Because Full Circle is all over the world.” I couldn't argue. So, thank you, Full Circle fans, for making me an international writer. Let me end by thanking Ronnie Tucker for the chance to write for Full Circle each month. He spends hours laying out and compiling each issue. He has repeated this task 100 times, and I think that is something to celebrate. Hopefully, he can go another 100 before his editorial egg cracks. Writing How-To articles has polished my writing and editing skills, as well as giving me an excuse to write something at the end of each month. A big thanks to the proofreaders who have saved me from embarrassing myself more than once or caused me to write a better article. Mostly, I thank you the reader. Without you, what's the point? You are the reason there are 100 issues out there. I salute you. NOTE: While I was editing this, LibreOffice 5.0 was released. Haven't had much of a chance to look at it, but I'm sure they have added some more cool stuff. The current Ubuntu version is still 4.4.

Jusque-là, mon voyage avec libreOffice et l'écriture d'articles pour le magazine Full Circle sont gratifiants. On m'a demandé de présenter LibreOffice à un groupe, à cause de mes articles dans le Full Circle. Le type m'a présenté comme un écrivain international et je rougis encore rien qu'en y pensant. Je lui ai demandé pourquoi et il m'a dit : « Parce que le Full Circle est disponible dans le monde entier. » Je ne pouvais pas le contredire. Aussi, merci à vous, les fans du Full Circle, d'avoir fait de moi un écrivain international.

Permettez-moi de terminer en remerciant Ronnie Tucker pour l'occasion d'écrire chaque mois dans le Full Circle. Il passe des heures à mettre en page et à compiler chaque numéro. Il a répété cette tâche 100 fois et je pense que c'est quelque chose à fêter. J'espère que le rédacteur en chef du FCM pourra en faire encore 100 avant que son crâne d’œuf de rédacteur en chef ne perde la boule. Écrire des tutoriels a peaufiné mes capacités d'écriture et d'édition, tout en me donnant un prétexte pour écrire quelque chose à la fin de chaque mois. Un grand merci aux relecteurs qui m'ont sauvé plus d'une fois d'une situation embarrassante ou m'ont poussé à écrire un meilleur article. Principalement, je vous remercie, vous le lecteur. Sans vous, à quoi ça sert ? Vous êtes la raison de la publication de ces 100 numéros. Je vous salue.

NOTE : Pendant que je préparais cet article, LibreOffice 5.0 est sorti. Je n'ai pas encore eu beaucoup de temps pour le regarder, mais je suis sûr qu'ils ont ajouté des trucs super. La version courante dans Ubuntu est encore la 4.4.

issue100/libreoffice_partie_32.txt · Dernière modification : 2015/09/05 21:36 de fcm_-_ekel