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issue115:tuto1

Every now and again, I trip myself up when I’m trying to send outbound e­mail from the command-line via a script or an application. A seemingly simple task such as changing the sender’s e­mail address can sometimes take lots of time to get working. What follows will hopefully get you closer to a solution a little quicker. Even if you have an MTA (Mail Transfer Agent) like the excellent Postfix (http://www.postfix.org) installed, you might need to alter the sender e­mail address (or the “from line”) to reflect that your e­mail is coming from a specific script, on a specific machine and not just the all­-too-­familiar “root@localhost”. Step forward the “mail” utility. There are multiple historical versions and throwbacks of the “mail” utility but that discussion is for another day. If you’re using a Red Hat derivative, then you might be better trying to install “mailx” or “nail” to achieve the following functionality, but beware that your results may differ. However, on Ubuntu and Debian (on most versions), you should be fine with the “heirloom­mailx” package. Install it simply, as follows: apt­get install heirloom­mailx Consider for a moment this busy command-line example: mailx ­r 'my­custom­sender@chrisbinnie.tld' ­s 'Your Subject Line' ­a '/fullpath/my­attachment' ­S 'smtp=localhost' 'destination@chrisbinnie.tld' Let’s look a little closer. You can easily change the “­r” option to configure which “from line” is presented to the mail client when the e­mail is picked up at the other end. This is sometimes surprisingly difficult to get working with other command-line mail clients.

De temps en temps, je me trompe quand j'essaie d'envoyer un mail en ligne de commande via un script ou une application. Une tâche qui paraît très simple, comme changer l'adresse de l'expéditeur, peut parfois demander beaucoup de temps. Ce qui suit va vous rapprocher, avec un peu de chance, d'une solution un peu plus rapide.

Même si vous avez installé un MTA (Mail Transfert agent - Agent de transfert du courrier) comme l'excellent Postfix (http://www.postfix.org), vous devriez peut-être modifier l'adresse mail de l'expéditeur (ou la ligne « De ») pour indiquer que votre mail vient d'un script particulier, sur une machine spécifique, et pas simplement du trop habituel « root@localhost ».

Passons à l'utilitaire « mail ». Il y a de multiples versions historiques et des régressions de l'utilitaire « mail », mais ce sujet sera pour une autre fois. Si vous utilisez un dérivé de Red Hat, vous feriez mieux d'essayer d'installer « mailx » ou « nail » pour disposer de la fonctionnalité suivante, mais sachez que les résultats peuvent diverger. Cependant, sur Ubuntu et Debian (sur la plupart des versions), le paquet « heirloom­mailx » devrait faire l'affaire. Installez-le simplement, comme ceci :

apt­get install heirloom­mailx

Réfléchissons un instant à cet exemple bien rempli de ligne de commande :

mailx ­r 'my­custom­sender@chrisbinnie.tld' ­s 'Your Subject Line' ­a '/fullpath/my­attachment' ­S 'smtp=localhost' 'destination@chrisbinnie.tld'

Regardons-le d'un peu plus près. Vous pouvez facilement changer l'option « r » pour configurer quelle ligne « De » est présentée au client mail quand le mail est récupéré à l'autre bout. C'est parfois étonnamment difficile d'y arriver avec d'autres clients en ligne de commande.

The other options hopefully make sense too. The “­s” option allows you to edit your e­mail’s subject whereas the “­a” option is the filename of the attachment that you are adding from your local filesystem. One handy hint is to compress the file if the plain text arrives with extra, unwanted carriage returns. Incidentally you should also ensure that you’re using the full path to the attached file if you have issues. Take careful note that the above command-line example isn’t strictly complete and can either be terminated successfully with “< /dev/null” appended to the end of it or alternatively by manually typing a dot and then hitting the “Enter” key. This is to populate the body of the e­mail with some content, even if the content is non­existent and effectively it’s an empty e­mail. Compare and contrast the command-line example above and the one below; here our empty e­mail has no body at all thanks to “/dev/null” populating it: mailx ­r 'my­custom­script@chrisbinnie.tld' ­s 'Another Subject Line' ­a '/fullpath/your­file‘ ­S 'smtp=remote­smart­MTA­host' 'destination@chrisbinnie.tld' < /dev/null I’m pointing this out because you could also insert a text file into the body by replacing “< /dev/null” with something like this example “< /home/chrisbinnie/bodytext”. The file “bodytext” is the e­mail’s body in this case.

De même, les autres options sont compréhensibles, je l'espère. L'option « s » vous permet d'éditer le sujet de votre mail alors que l'option « a » est le nom du fichier que vous ajoutez en pièce jointe, à partir de votre système de fichiers local. Un conseil pratique est de compresser le fichier si le texte brut arrive avec des retours chariot supplémentaires non désirés. D'ailleurs, vous devez aussi vous assurer que vous utilisez le chemin complet vers le fichier joint, si vous avez des problèmes.

Prenez bonne note que l'exemple de ligne de commande ci-dessus n'est pas tout-à-fait complet et peut, soit être terminé avec succès par « < /dev/null » ajouté à la fin de celui-ci, ou, autrement, en tapant un point puis en appuyant sur Entrée. Ceci sert à remplir le corps du mail avec du contenu, même si le contenu est inexistant et qu'effectivement, c'est un mail vide.

Comparez et différenciez l'exemple en ligne de commande du dessus et celui ci-dessous ; ici, notre mail vide n'a pas du tout de corps de texte, à cause du « /dev/null » qu'il contient :

mailx ­r 'my­custom­script@chrisbinnie.tld' ­s 'Another Subject Line' ­a '/fullpath/your­file‘ ­S 'smtp=remote­smart­MTA­host' 'destination@chrisbinnie.tld' < /dev/null

Je vous précise ceci car vous pourriez aussi insérer un fichier texte dans le corps du message en remplaçant « /dev/null » par quelque chose comme cet exemple « /home/chrisbinnie/bodytext ». Le fichier « bodytext » est le corps du message dans ce cas.

Consider this scenario now for a second: you don’t want to insert a whole file but instead send some other text directly from your command-line. You can also follow this now­ familiar format by echoing text through a pipe: echo ­e “Text content goes here.\n And here.” | mailx ­r 'script@binnie.tld' ­s 'Subject Line' ­a '/fullpath/.bashrc' ­S 'smtp=localhost' 'chris@binnie.tld' I haven’t yet explained that the “­S” option lets you choose a remote MTA, like “smtp=smtp.mail.com” as an example, or a local machine (as we have seen in our command-line examples above). Note that it’s easy to add multiple e­mail addresses for the recipients (simply separating them by spaces). Before we stop looking at command-line e­mail, let’s quickly think about an alternative to solving the problem of changing the “from line” or sender name. It’s not too tricky (I’m sure you’ll be glad to read).

Maintenant, analysez ce scénario pendant une seconde : vous ne voulez pas insérer un fichier complet, mais, plutôt, envoyer un autre texte, directement depuis votre ligne de commande. Vous pouvez aussi faire suivre ce format, maintenant connu, par un écho du texte à travers un « pipe » :

echo ­e “Text content goes here.\n And here.” | mailx ­r 'script@binnie.tld' ­s 'Subject Line' ­a '/fullpath/.bashrc' ­S 'smtp=localhost' 'chris@binnie.tld'

Je n'ai pas encore expliqué que l'option « S » vous permet de choisir un MTA distant, comme « smtp=smtp.mail.com » par exemple, ou une machine locale (comme nous l'avons vu plus haut dans nos exemples en ligne de commande).

Notez qu'il est facile d'ajouter plusieurs adresses mail de destinataires (en les séparant simplement avec des espaces).

Avant de terminer notre aperçu des mails en ligne de commande, réfléchissons rapidement à une alternative pour résoudre le problème de la modification de la ligne « De » ou du nom de l'expéditeur. Ce n'est pas trop compliqué (je suis sûr que vous serez contents de l'avoir lu).

Another command-line e­mail client option is to install “mutt” in case you can’t get your hands on a “mailx” derivative. In order to use it, you have to edit the “.muttrc” file, found in the home directory of the user who is sending the e­mail. Here’s an example: set realname=“Alerting Script” set from=“script@production­machine.com” set use_from=yes In the “.muttrc” text above, the “realname” option would usually be a person’s name; clearly it can be useful to set it – to tidy up e­mails as they are received. There’s lots more information on the superb Mutt (http://dev.mutt.org/trac/wiki/MuttFaq/Header), and it’s clever enough to achieve everything we’ve covered with the “mail” command. Personally, I prefer the “mail“ command for this task, but, hopefully, you’re now armed sufficiently so that you can choose between the two alternatives above.

Une autre option du client de mail en ligne de commande est d'installer « mutt » dans le cas où vous n'arrivez pas à récupérer un dérivé de « mailx ». Pour l'utiliser, vous devez éditer le fichier « .muttrc », que vous trouvez dans le répertoire home de l'utilisateur qui envoie le mail. Voici un exemple :

set realname=“Alerting Script” set from=“script@production­machine.com” set use_from=yes

Dans le texte de « .muttrc » ci-dessus, l'option « realname » devrait être en général le nom d'une personne ; à l'évidence, il peut être utile de le régler - pour mettre un peu d'ordre dans les mails lors de la réception.

Il y a beaucoup plus d'informations sur le superbe Mutt (http://dev.mutt.org/trac/wiki/MuttFaq/Header), et il est suffisamment intelligent pour réaliser n'importe quelle action que nous avons couverte avec la commande « mail ».

Personnellement, je préfère la commande « mail » pour ce travail, mais, avec un peu de chance, vous voilà maintenant suffisamment armés pour pouvoir choisir entre les deux alternatives vues ci-dessus.

issue115/tuto1.txt · Dernière modification : 2016/12/12 16:03 de auntiee