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issue161:jeux_ubuntu

Website: https://www.fatesofort.com/ Price: $15 US @ GOG or itch.io Blurb: “Fates of Ort is a retro inspired fantasy RPG with a focus on strategic action and a story driven by your decisions. It is a tale of sacrifice and difficult choices, in a world under threat of annihilation by the avaricious force of Consumption magic.“ Before we begin, I need to warn you that you will be reading a lot. This is not a pick up and jam five minutes, game, you need to invest time. The game labels itself as a “retro fantasy RPG”. Since it is isometric, it immediately conjures up images of “Shadowlands” or “The immortal” from 30 years ago. In my humble opinion, ‘fates of ort’ is lacking in the graphics and sound, but makes up for it in gameplay (a slight twist on the mechanics) and story. However, it is different and interesting enough to keep you playing. It is real-time and it is not. Something which confused me at first. Time stops when you do, so holding down the mouse button will make you move, but releasing it freezes everything. Is it worth blowing your hard earned cash on? Let’s find out.

Site Web : https://www.fatesofort.com/ Prix : 15 $ chez GOG ou itch.io

Aperçu : « Fates of Ort (Destins d'Ort) est un jeu de rôle de fantaisie d'inspiration rétro qui est axé sur de l'action stratégique et une histoire qui se construit selon vos décisions. C'est un conte de sacrifice et de choix difficiles dans un monde menacé d'annihilation par la force avare de la magie de la Consommation. »

Avant de commencer, je dois vous prévenir que vous allez beaucoup lire. Il ne s'agit pas d'un jeu auquel vous pouvez jouer pendant cinq minutes ; vous devez y investir du temps.

Le jeu se désigne comme un « jeu de rôle de fantaisie rétro ». Puisqu'il est isométrique, vous pensez tout de suite à des images de « Shadowlands » ou « The imortal » d'il y a 30 ans. À mon humble avis, il manque à « Fates of Ort » de bons graphismes et bruitages, mais il se rattrape dans le jeu même (avec des mécanismes légèrement différents) et dans l'histoire. Toutefois, il est différent et assez intéressant pour que vous vouliez continuer à y jouer. Il se passe en temps réel et pas. C'est quelque chose qui m'a rendu perplexe au départ. Le temps s'arrête quand vous vous arrêtez : ainsi, enfoncer le bouton de la souris vous fera vous déplacer, mais le relâcher gèle tout. Est-ce qu'il mérite que vous y dépensiez vos sous durement gagnés ? Cherchons la réponse ensemble.

Story This is a game that tells a story, there are no two ways about it. It seems some Duke, a relative of the king, has rediscovered “consumption”. A kind of wasting-away magic. (A quick primer for our younger readers, “consumption” is what TB [pulmonary tuberculosis] used to be named, which is a truly horrible disease). You are a novice to “the academy”, and, on your first day, you get offered a ‘gift’ by the Duke. What I liked is that the game does not hold your hand here. You can choose to receive the gift or reject it, and both choices offer you a chance to change your mind. The Academy is wiped out, and you and your sister die. Yep. The duke kills you, 900 damage with one shot. Luckily you met with the fates, erm, sisters, first. From what I understand, the game is non-linear, but also not totally open world. You still have your main story / quest, and side-quests sort of flow into it. There are also side stories, which seem to have no bearing on the main story at all. At first, the story feels static, but as the game progresses, the pieces of the puzzle slide into place and the world becomes richer. The dialogue between your character and NPC’s is listed above and your options listed below (see image). This formula makes for simple, clear gameplay, a la SNES. Though there is sword fighting and spell casting, the heavy lifting is in the dialogue. Histoire Ce jeu raconte une histoire, il n'y a aucun doute là-dessus. Il semblerait qu'un Duc, apparenté au Roi, a redécouvert la « consumption (consommation) ». Un genre de magie qui vous affaiblit. (Une leçon rapide pour nos jeunes lecteurs : autrefois la consumption en anglais était le nom de la tuberculose pulmonaire, une maladie affreuse.) Vous êtes nouveau à « l'académie » et, le premier jour, le Duc vous offre un « cadeau ». Ce que j'ai apprécié ici, c'est que le jeu ne vous prend pas la main. Vous pouvez choisir de recevoir ou de refuser le cadeau et les deux choix vous donnent la possibilité de changer d'avis. L'Académie est anéantie et vous et votre sœur mourez. Ouais. Le duc vous tue, 900 victimes avec une seule balle. Heureusement, vous avez rencontré les destins, hmm, des sœurs d'abord. D'après ce que j'ai compris, le jeu n'est pas linéaire, mais il n'est pas totalement un monde ouvert non plus. Vous avez toujours votre histoire/quête principale et des quêtes auxiliaires s'y fondent en quelque sorte. Des histoires mineures existent également, mais semblent n'avoir rien à voir du tout avec l'histoire principale. D'abord, on a l'impression que l'histoire est statique, mais, au fur et à mesure que le jeu avance, les morceaux du puzzle se placent bien et le monde s'en trouve enrichi. Le dialogue entre votre personnage et les NPC est affiché au-dessus et vos options sont listées en dessous (voir l'image). Cette formule rend le jeu simple et clair, à la SNES. Bien qu'il y ait des combats d'épée et des lancements de sorts, le vrai travail se passe dans les dialogues. Sound and Graphics.

I understand the reason for the pseudo-8-bit graphics and style, but I feel it could be better. I am a fan of pixel graphics, just not a fan of this faceless type. Also, I feel there is a discrepancy between the pseudo-8-bit of the game and the pseudo-16-bit of the interface, like the little hand cursor. The isometric view, I love, or should I say I love the way it fools my brain into thinking it is 3D in 2D. Everything other than the characters feels detailed and would have blown people out of the water in 1989.

The soundtrack gets an A, it is awesome, but it is no earworm. It does get out of your way and enhances the game (Immersion). The in-game sounds are fitting, and the only one that seemed a bit loud was the walking. The variety of sounds also makes you not get annoyed in the first half-hour of the game. Son et graphismes Je comprends la raison du style et des graphismes pseudo-8-bit, mais j'ai l'impression que cela pourrait être amélioré. Je suis fan des graphismes pixel, mais pas fan de ce type-ci, sans visage. De plus, j'ai l'impression qu'il y a un décalage entre le pseudo-8-bit du jeu et le pseudo-16-bit de l'interface, comme le petit curseur en forme de main. La vue isométrique me plaît beaucoup ou devrais-je dire que la façon dont il convainc mon cerveau de voir du 3D en 2D me plaît énormément. Tout sauf les personnages semble détaillé et aurait vraiment impressionné les gens en 1989. La bande son reçoit un TB, car elle est géniale sans être ravageuse. Elle ne vous distrait pas tout en améliorant votre immersion dans le jeu. Les bruitages du jeu sont convenables et le seul qui me paraissait un peu trop fort était les pas. La variété des sons contribue à ce que vous ne vous agaciez pas pendant la première demi-heure du jeu. Gameplay

The main game loop is getting into scraps, collecting loot and advancing our character, but it is how it is implemented that makes it shine. The idea of time being frozen until you move, and stopping when you do, allows for a very tactical game. Though you are armed with a sword, you get to cast magic as well. The magic system also has a twist. Instead of having pre-set spells, you combine elements and shapes to get an effect… and that may be subject to change as well. Magic is powerful in this game, but, like everything in life, it comes at a cost. This prevents the game from being soulless, like Microsoft’s dungeons, which is just running and button mashing. I would choose this over dungeons 1, 2 or 3, any day. You are a lot more human, where enemy hits actually do a lot of damage, and you will get penalised if you don’t let time stop to plan your next move. Time is on your side. Healing potions are not. Y jouer La boucle principale du jeu consiste en des combats, la récupération du butin et le progrès de notre personnage, mais ce qui le fait briller est l'implémentation de la boucle. L'idée du gel du temps jusqu'à ce que vous vous déplaciez et son arrêt quand vous vous arrêtez, rend le jeu très tactique. Bien que vous ayez une épée, vous pouvez également lancer des sorts. De plus, le système de la magie entraîne des coups de théâtre. Au lieu de sorts pré-définis, vous devez associer des éléments et des formes pour créer un effet… qui peut aussi se modifier. La magie dans ce jeu est puissante, mais, comme tout dans la vie, elle a un prix. Cela empêche le jeu d'être sans âme, comme les donjons de Microsoft, qui n'est que de courses et de lourds appuis sur des boutons. Je choisirai toujours ce jeu-ci plutôt que Dungeons 1, 2 ou 3. Vous êtes beaucoup plus humain, où les coups de l'ennemi font vraiment beaucoup de dommages et où vous serez pénalisé si vous ne laissez pas le temps s'arrêter pour pouvoir prévoir ce que vous allez faire ensuite. Le temps est de votre côté, mais pas les potions de guérison. Though the isometric levels can be big, they are not too big, so you forget which way you came in. The game may not be open world and endless, but you get to explore as much as you like, within reason. When you reach an exit point on the edge of a map, the game loads the next level and you can continue adventuring. There are strange icons that sometimes appear on the edges of the screen, but I assume these are other exits or points of interest. Now let's get back to the reading. The text is not full of filler, it is down to the point, which I appreciated. There are oodles of quests and side-quests for you to do. If you do not read properly, you may bungle your quest. The game does not prevent you from bungling quests. This puts another twist on the genre.

All-in-all, it is an interesting game and it works great on Linux. As there is no local pricing, I would not shell out the equivalent of $15 for it. It is one of those I will wait to go on sale, before considering buying it.**

Bien que les niveaux isométriques puissent être grands, ils ne sont pas grands au point que vous oubliiez comment vous y êtes entré. Le jeu n'est sans doute ni à monde ouvert, ni sans fin, mais vous pouvez l'explorer autant que vous voulez, sans toutefois exagérer. Quand vous atteignez une sortie au bord d'une carte, le jeu charge le niveau suivant et vous pouvez continuer vos aventures. Parfois, d'étranges icônes s'affichent aux bords de l'écran, mais je suppose qu'elle signalent d'autres sorties ou des choses intéressantes. Revenons maintenant à la lecture. Le texte n'est pas rempli de trucs inutiles, mais va droit au but, ce que j'ai bien apprécié. Il y a des tonnes de quêtes et de quêtes auxiliaires à faire. Si vous ne lisez pas comme il faut, vous risquez de bousiller votre quête. Le jeu ne vous empêche pas de bousiller vos quêtes. Ce qui rend ce jeu encore différent d'autres du genre.

Tout compte fait, c'est un jeu intéressant qui fonctionne parfaitement sous Linux. Puisqu'il n'y a pas des tarifs locaux, je ne payerais pas l'équivalent de 15 $ pour l'obtenir. C'est un des jeux que j'envisagerai d'acheter quand il sera en solde.

issue161/jeux_ubuntu.txt · Dernière modification : 2020/10/01 17:52 de andre_domenech