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issue165:mon_histoire

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issue165:mon_histoire [2021/02/01 16:36] andre_domenechissue165:mon_histoire [2021/02/01 18:05] (Version actuelle) d52fr
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 J’étais obligé, d’abord, d’utiliser DOS et, plus tard, Windows pour mon boulot (l’enseignement). Je ne les ai jamais utilisés par choix. Avant cela je « bricolais » avec mes micro-ordinateurs Acorn Atom et BBC B. En tant que membre d’un club informatique, j’ai même « reprogrammé » le matériel de l’Atom avec un fer à souder, ce qui était amusant. J’ai même dû abandonner l’Atom, puisqu’il a changé du tout au tout étant mal documenté. L’Atom avait été changé notamment pour ce qu’il pensait être un micro-ordinateur BBC. Mais pas tout à fait. J’étais obligé, d’abord, d’utiliser DOS et, plus tard, Windows pour mon boulot (l’enseignement). Je ne les ai jamais utilisés par choix. Avant cela je « bricolais » avec mes micro-ordinateurs Acorn Atom et BBC B. En tant que membre d’un club informatique, j’ai même « reprogrammé » le matériel de l’Atom avec un fer à souder, ce qui était amusant. J’ai même dû abandonner l’Atom, puisqu’il a changé du tout au tout étant mal documenté. L’Atom avait été changé notamment pour ce qu’il pensait être un micro-ordinateur BBC. Mais pas tout à fait.
  
-Mon Windows était toujours en panne « à cause de mes bricolages ». Si Linux était cassé, il suffisait de le réinstaller pour pouvoir continuer à jouer avec. Ou j’essayais de découvrir ce qui avait cassé le système, mais puisque je n’avais pas toujours réussi, il fallait opter pour le chemin le plus facile.+Mon Windows était toujours en panne « à cause de mes bricolages ». Si Linux était cassé, il suffisait de le réinstaller pour pouvoir continuer à jouer avec. Ou j’essayais de découvrir ce qui avait cassé le système, mais puisque je ne réussissait pas toujours, il fallait opter pour le chemin le plus facile.
  
 **RedHat offered free updates for a year (from the top of my head, may be confused with later trials of, for instance, Fedora, Suse and Mandrake), but all experiences ran down to the same thing: installing updates was very slow if they numbered more than just a few. So after some time, I tried other distros, among them, and the best and most beautiful of them all, was Mandrake: easy to install, easy to update, very nice to look at. But all of them had this very serious problem, which caused me to download only one, or at most two, CDs (out of the six or sometimes even more than that): after a number of updates it got very difficult to install applications from the CDs, as the change got larger and larger that the necessary installed dependencies were updated to a new version, and so could not be used by the software on the CDs, which needed the original versions: this is the real dependency hell.** **RedHat offered free updates for a year (from the top of my head, may be confused with later trials of, for instance, Fedora, Suse and Mandrake), but all experiences ran down to the same thing: installing updates was very slow if they numbered more than just a few. So after some time, I tried other distros, among them, and the best and most beautiful of them all, was Mandrake: easy to install, easy to update, very nice to look at. But all of them had this very serious problem, which caused me to download only one, or at most two, CDs (out of the six or sometimes even more than that): after a number of updates it got very difficult to install applications from the CDs, as the change got larger and larger that the necessary installed dependencies were updated to a new version, and so could not be used by the software on the CDs, which needed the original versions: this is the real dependency hell.**
  
-RedHat offrait des mises à jour gratuites pendant un an (je dis cela de mémoire, mais je l’ai peut-être confondu avec des essais ultérieurs de, par exemple, Fedora, Suse et Mandrake), mais toutes les expériences arrivaient aux mêmes résultats : si elles étaient nombreuses, l’installation des mises à jour était très lente. Aussi, après un certain temps, j’ai essayé d’autres distrib. et, parmi celles-ci, la meilleure et la plus belle était Mandrake : facile à installer, facile à mettre à jour, très agréable à regarder. Mais toutes avaient le problème très grave suivant, ce qui a fait que je téléchargeais seulement un, ou un maximum de deux, des CD (sur six ou parfois plus) : après un nombre de mises à jour, l’installation d’applications à partir du CD devenait très difficile, car les modifications sont devenues si grandes que les dépendances nécessaires étaient mises à jour vers une nouvelle version et ne pouvaient donc pas être utilisées par les logiciels sur les CD, qui avaient besoin des versions originales. C’est cela le vrai enfer des dépendances.+RedHat offrait des mises à jour gratuites pendant un an (je dis cela de mémoire, mais je l’ai peut-être confondu avec des essais ultérieurs de, par exemple, Fedora, Suse et Mandrake), mais toutes les expériences arrivaient aux mêmes résultats : s'il y en avait beaucoup, l’installation des mises à jour était très lente. Aussi, après un certain temps, j’ai essayé d’autres distrib. et, parmi celles-ci, la meilleure et la plus belle était Mandrake : facile à installer, facile à mettre à jour, très agréable à regarder. Mais toutes avaient le problème très grave suivant, ce qui a fait que je téléchargeais seulement un, ou un maximum de deux, des CD (sur six ou parfois plus) : après un nombre de mises à jour, l’installation d’applications à partir du CD devenait très difficile, car les modifications sont devenues si grandes que les dépendances nécessaires étaient mises à jour vers une nouvelle version et ne pouvaient donc pas être utilisées par les logiciels sur les CD, qui avaient besoin des versions originales. C’est cela le vrai enfer des dépendances.
  
 **Ubuntu **Ubuntu
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 En 2004, j’ai eu la chance de découvrir Ubuntu, sa toute première version, la 4.10 (« Warty Warthog »). Dès le départ, je savais qu’elle était vraiment ce qu’il me fallait, rien que cela ! Je l’avais essayé parce que c’était la seule distrib. Linux que j’avais trouvée qui offrait Kst, un programme pour les graphiques et diagrammes de très grands ensembles de données, que je traduisais en néerlandais pour KDE, mais j’en ai rapidement découvert davantage... En 2004, j’ai eu la chance de découvrir Ubuntu, sa toute première version, la 4.10 (« Warty Warthog »). Dès le départ, je savais qu’elle était vraiment ce qu’il me fallait, rien que cela ! Je l’avais essayé parce que c’était la seule distrib. Linux que j’avais trouvée qui offrait Kst, un programme pour les graphiques et diagrammes de très grands ensembles de données, que je traduisais en néerlandais pour KDE, mais j’en ai rapidement découvert davantage...
  
-Ubuntu était livrée sur un seul (Live) CD et d’autres logiciels gratuits devraient être téléchargés à partir des dépôts et étaient très faciles à installer. Les dépendances requises étaient également installées à partir de ces dépôts et, ainsi, les dépendances étaient toujours à jour. Adieu l’enfer des dépendances. Depuis, les dépôts étaient (et sont, mais je parle maintenant du début d’Ubuntu) disponibles sur des centaines de très rapides serveurs autour du monde ; ainsi, la mise à jour et l’installation étaient aussi rapides que votre propre connexion Internet. Et je ne sais toujours pas comment ça peut se faire, mais le processus était très rapide, même s’il y avait beaucoup de mises à jour (ou même une mise à niveau, qui est une mise à jour totale du système entier lui-même et des applications installées).+Ubuntu était livrée sur un seul (Live) CD et d’autres logiciels gratuits devraient être téléchargés à partir des dépôts et étaient très faciles à installer. Les dépendances requises étaient également installées à partir de ces dépôts et, ainsi, les dépendances étaient toujours à jour. Adieu l’enfer des dépendances. Depuis, les dépôts étaient (et sont, mais je parle maintenant du début d’Ubuntu) disponibles sur des centaines de serveurs très rapides dans le monde entier ; ainsi, la mise à jour et l’installation étaient aussi rapides que votre propre connexion Internet. Et je ne sais toujours pas comment ça peut se faire, mais le processus était très rapide, même s’il y avait beaucoup de mises à jour (ou même une mise à niveau, qui est une mise à jour totale du système entier lui-même et des applications installées).
  
 **All problems that I had had so far with the other Linux distributions were solved! The globally mirrored repositories in one clean sweep outmoded every other OS: Windows and the other Linux distros. No wonder Ubuntu became the most popular Linux distro almost overnight, leaving all the big names, such as RedHat, Fedora, Suse, Debian itself and Mandrake, far behind. Even if these had led the Linux scene for years and years. **All problems that I had had so far with the other Linux distributions were solved! The globally mirrored repositories in one clean sweep outmoded every other OS: Windows and the other Linux distros. No wonder Ubuntu became the most popular Linux distro almost overnight, leaving all the big names, such as RedHat, Fedora, Suse, Debian itself and Mandrake, far behind. Even if these had led the Linux scene for years and years.
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 Un autre domaine dans lequel Ubuntu brille, c'est la reconnaissance du matériel. De temps en temps, un élément d’un nouveau matériel n’est pas reconnu, mais après quelque temps il l’est, comme par magie : un pilote ad hoc est devenu disponible (aux développeurs, un grand merci!). Le vieux matériel standard est toujours reconnu sans problème. Sous Windows, on vous livre un CD avec les pilotes dont vous pourriez avoir besoin pour l’installation de votre nouveau matériel, ou il faut les rechercher et les télécharger. Sous Ubuntu, 99 % du temps, le nouveau matériel fonctionne tout simplement. Un autre domaine dans lequel Ubuntu brille, c'est la reconnaissance du matériel. De temps en temps, un élément d’un nouveau matériel n’est pas reconnu, mais après quelque temps il l’est, comme par magie : un pilote ad hoc est devenu disponible (aux développeurs, un grand merci!). Le vieux matériel standard est toujours reconnu sans problème. Sous Windows, on vous livre un CD avec les pilotes dont vous pourriez avoir besoin pour l’installation de votre nouveau matériel, ou il faut les rechercher et les télécharger. Sous Ubuntu, 99 % du temps, le nouveau matériel fonctionne tout simplement.
  
-J’ai essayé Linux Mint. C’est un fork d’Ubuntu et on pourrait penser donc qu’il est sans doute mieux, quelque chose qu'Ubuntu aurait dû être si Ubuntu était parfait. Mais j’ai beaucoup plus de mal avec mes cartes vidéo sous Mint que j’ai déjà rencontré sous Ubuntu. Je pense que LM, quoique beaucoup plus beau (vraiment), n’est rien de spécial. Ainsi, il n’y a aucune raison de remplacer Ubuntu par LM, tandis que le contraire est éventuellement plus vrai.+J’ai essayé Linux Mint (LM). C’est un fork d’Ubuntu et on pourrait penser donc qu’il est sans doute mieux, quelque chose qu'Ubuntu aurait dû être si Ubuntu était parfait. Mais j’ai beaucoup plus de mal avec mes cartes vidéo sous Mint que j’ai déjà rencontré sous Ubuntu. Je pense que LM, quoique beaucoup plus beau (vraiment), n’rien de particulier. Ainsi, il n’y a aucune raison de remplacer Ubuntu par LM, tandis que le contraire est éventuellement plus vrai.
  
 **In the earlier days, I used Kubuntu: Ubuntu using the KDE desktop. It was then when I started translating for KDE (or did I when using Mandrake?). The desktop at the time was KDE 3: really lovely, the desktop around at the time. But some unfortunate moment it was, very prematurely, replaced by KDE 4, which was no better than Windows: always broken, one failure after the other, and I soon dropped it, using the ordinary Ubuntu with the Gnome 2 desktop. A real setback after KDE 3, but, OK, it worked, and was very simple (as an OS should be: the best OS is the one you don’t notice using it: keeping your attention at what you are trying to do).** **In the earlier days, I used Kubuntu: Ubuntu using the KDE desktop. It was then when I started translating for KDE (or did I when using Mandrake?). The desktop at the time was KDE 3: really lovely, the desktop around at the time. But some unfortunate moment it was, very prematurely, replaced by KDE 4, which was no better than Windows: always broken, one failure after the other, and I soon dropped it, using the ordinary Ubuntu with the Gnome 2 desktop. A real setback after KDE 3, but, OK, it worked, and was very simple (as an OS should be: the best OS is the one you don’t notice using it: keeping your attention at what you are trying to do).**
  
-Jadis, j’utilisais Kubuntu, c’est-à-dire Ubuntu avec le bureau KDE. C'était alors que j’ai commencé mes traductions avec KDE (ou est-ce que c’était quand j’utilisais Mandrake ?). À l’époque, le bureau était KDE 3 – c’était vraiment beau, le bureau à ce moment-là. Mais à un autre, très malheureux, moment, c’était remplacé, très prématurément, par KDE 4, qui n’était pas meilleur que Windows : toujours cassé, un échec après l’autre et je l’ai rapidement abandonné pour l’Ubuntu standard avec le bureau Gnome 2. C’était un important recul après KDE 3, mais, OK, ça fonctionnait et c'était très simple (comme devrait l’être un OS : le meilleur OS est celui que vous ne remarquez pas lorsque vous l’utilisez, celui qui vous permet de garder votre attention sur ce que vous essayez de faire).+Jadis, j’utilisais Kubuntu, c’est-à-dire Ubuntu avec le bureau KDE. C'était alors que j’ai commencé mes traductions avec KDE (ou est-ce que c’était quand j’utilisais Mandrake ?). À l’époque, le bureau était KDE 3 – c’était vraiment beau, le bureau à ce moment-là. Mais à un autre, très malheureux, moment, il a été remplacé, très prématurément, par KDE 4, qui n’était pas meilleur que Windows : toujours cassé, un échec après l’autre et je l’ai rapidement abandonné pour l’Ubuntu standard avec le bureau Gnome 2. C’était un important recul après KDE 3, mais, OK, ça fonctionnait et c'était très simple (comme devrait l’être un OS : le meilleur OS est celui que vous ne remarquez pas lorsque vous l’utilisez, celui qui vous permet de garder votre attention sur ce que vous essayez de faire).
  
 **And after a while, Gnome 2 also got obsolete, and was, prematurely again, replaced by Gnome 3, which again was not the forward move. So when Ubuntu ditched Gnome 3 and launched Ubuntu with a new desktop, Unity, I was prepared to give that desktop a chance. After some time using it, I realized that I began to love Unity, even if I did not use all the features that it has. For that last reason I am quite prepared to give Ubuntu, with an evolved Gnome 3, from 18.04, a real chance again. **And after a while, Gnome 2 also got obsolete, and was, prematurely again, replaced by Gnome 3, which again was not the forward move. So when Ubuntu ditched Gnome 3 and launched Ubuntu with a new desktop, Unity, I was prepared to give that desktop a chance. After some time using it, I realized that I began to love Unity, even if I did not use all the features that it has. For that last reason I am quite prepared to give Ubuntu, with an evolved Gnome 3, from 18.04, a real chance again.
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 There are also the other, lighter, versions of Ubuntu: Xubunu, Lubuntu and more. Most of them I tried, on a netbook and older notebooks and desktops. They all work very well, but I always noted, after a while, these, oh so tiny, things that did not work as expected. Small things indeed, until you notice them: in Ubuntu (with Unity) giving no problem at all, but when noticed they get a bit irritating. But these versions keep these small and old machines going. And, to be honest: maybe Unity gives the same experience to a user who is accustomed to the lighter versions!** There are also the other, lighter, versions of Ubuntu: Xubunu, Lubuntu and more. Most of them I tried, on a netbook and older notebooks and desktops. They all work very well, but I always noted, after a while, these, oh so tiny, things that did not work as expected. Small things indeed, until you notice them: in Ubuntu (with Unity) giving no problem at all, but when noticed they get a bit irritating. But these versions keep these small and old machines going. And, to be honest: maybe Unity gives the same experience to a user who is accustomed to the lighter versions!**
  
-Et, au fil du temps, Gnome 2 est aussi devenu obsolète et, à nouveau prématurément, remplacé par Gnome 3, qui n'était pas du tout un progrès. Aussi, quand Ubuntu a abandonné Gnome 3 et lancé Ubuntu avec un nouveau bureau, Unity, j'étais prêt à donner ce bureau sa chance. Après l'avoir utilisé pendant quelque temps, je me suis rendu compte que je tombais amoureux d'Unity, même si je n'utilisais pas toutes ses fonctionnalités. Pour cette dernière raison, je suis tout à fait prêt à donner une vraie chance à Ubuntu à partir de la 18.04, avec un bureau Gnome 3 évolué.+Et, au fil du temps, Gnome 2 est aussi devenu obsolète et, à nouveau prématurément, remplacé par Gnome 3, qui n'était pas du tout un progrès. Aussi, quand Ubuntu a abandonné Gnome 3 et lancé Ubuntu avec un nouveau bureau, Unity, j'étais prêt à donner sa chance à ce bureau. Après l'avoir utilisé pendant quelque temps, je me suis rendu compte que je tombais amoureux d'Unity, même si je n'utilisais pas toutes ses fonctionnalités. Pour cette dernière raison, je suis tout à fait prêt à donner une vraie chance à Ubuntu à partir de la 18.04, avec un bureau Gnome 3 évolué.
  
 Il existe aussi d'autres versions d'Ubuntu, plus légères : Xubuntu, Lubuntu et plus. J'en ai essayé la plupart sur un netbook ou sur des portables vieillissants et des ordinateurs de bureau. Elles fonctionnent toutes très bien, mais, au fil du temps, je remarquais toujours ces trucs, tellement minimes, qui ne fonctionnaient pas comme attendu. De petits trucs, oui, jusqu'à ce que vous les remarquiez, qui ne posent aucun problème sous Ubuntu (avec Unity), mais, qui, quand vous les remarquez sont un peu agaçants. Mais ce sont ces versions qui font encore tourner de petites et anciennes machines. Et, pour être honnête : peut-être qu'Unity donne la même expérience à un utilisateur habitué aux versions plus légères ! Il existe aussi d'autres versions d'Ubuntu, plus légères : Xubuntu, Lubuntu et plus. J'en ai essayé la plupart sur un netbook ou sur des portables vieillissants et des ordinateurs de bureau. Elles fonctionnent toutes très bien, mais, au fil du temps, je remarquais toujours ces trucs, tellement minimes, qui ne fonctionnaient pas comme attendu. De petits trucs, oui, jusqu'à ce que vous les remarquiez, qui ne posent aucun problème sous Ubuntu (avec Unity), mais, qui, quand vous les remarquez sont un peu agaçants. Mais ce sont ces versions qui font encore tourner de petites et anciennes machines. Et, pour être honnête : peut-être qu'Unity donne la même expérience à un utilisateur habitué aux versions plus légères !
issue165/mon_histoire.1612193770.txt.gz · Dernière modification : 2021/02/01 16:36 de andre_domenech