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issue167:mon_histoire

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issue167:mon_histoire [2021/04/01 12:30] auntieeissue167:mon_histoire [2021/04/04 15:48] (Version actuelle) andre_domenech
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 **A while ago, a friend announced that he was planning to write a book about the Australian Army's involvement in France during the First World War. Having recently retired with plenty of time on my hands, I volunteered to produce some maps to be included in the book. During my working life, I had been involved with Geographic Information Systems (GIS) and assumed that the open-source product QGIS would be just what was needed. Very soon I realised that was not the case. It does an excellent job of storing and editing the location and overlaying of masses of geographic information. What I needed as well was full control over the layout of textual information such as town names, military positions, and movements.** **A while ago, a friend announced that he was planning to write a book about the Australian Army's involvement in France during the First World War. Having recently retired with plenty of time on my hands, I volunteered to produce some maps to be included in the book. During my working life, I had been involved with Geographic Information Systems (GIS) and assumed that the open-source product QGIS would be just what was needed. Very soon I realised that was not the case. It does an excellent job of storing and editing the location and overlaying of masses of geographic information. What I needed as well was full control over the layout of textual information such as town names, military positions, and movements.**
  
-Il y a quelque temps, un ami m’a dit qu’il prévoyait d’écrire un livre sur la participation de l’armée australienne en France pendant la Première guerre mondiale. Nouvellement retraité avec pas mal de temps libre, j’ai offert de produire quelques cartes à inclure dans le livre. Avant de prendre ma retraite, j’avais participé aux Geographic Information Systems (GIS), et j’ai supposé que le logiciel Open Source QGIS ferait parfaitement l’affaire. Je me suis rapidement rendu compte que ce n’était pas le cas. Il fait un boulot superbe de stockage et édition d’un emplacement et de la superposition de quantités énormes d’informations géographiques. Ce dont j’avais également besoin était le contrôle complet de la disposition des informations textuelles telles que le nom des villages et les positions et mouvements militaires.+Il y a quelque temps, un ami m’a dit qu’il prévoyait d’écrire un livre sur la participation de l’armée australienne en France pendant la Première guerre mondiale. Nouvellement retraité avec pas mal de temps libre, je lui ai offert de produire quelques cartes à inclure dans le livre. Avant de prendre ma retraite, j’avais participé aux Geographic Information Systems (GIS), et j’ai supposé que le logiciel Open Source QGIS ferait parfaitement l’affaire. Je me suis rapidement rendu compte que ce n’était pas le cas. Il fait un boulot superbe de stockage et d'édition d’un emplacement et de la superposition de quantités énormes d’informations géographiques. Ce dont j’avais également besoin était le contrôle complet de la disposition des informations textuelles telles que le nom des villages et les positions et mouvements militaires.
  
 **So I turned to Inkscape and worked my way through the first dozen or so instalments of Mark Crutch’s tutorials starting in Full Circle issue 61 back in May 2012. This gave me all I needed to get started – sorry Mark but black-and-white maps printed on paper don’t make use of the latest 100+ episodes. What follows is the basic outline of how I produced the maps together with some tips I picked up along the way.** **So I turned to Inkscape and worked my way through the first dozen or so instalments of Mark Crutch’s tutorials starting in Full Circle issue 61 back in May 2012. This gave me all I needed to get started – sorry Mark but black-and-white maps printed on paper don’t make use of the latest 100+ episodes. What follows is the basic outline of how I produced the maps together with some tips I picked up along the way.**
  
-J’ai donc pensé à Inkscape et j’ai suivi avec grande attention les premiers tutoriels (au moins une douzaine) de Mark Crutch en commençant par le numéro 61 du Full Circle, celui de mai 2012. Cela me donnait tout ce dont j’avais besoin pour commencer – désolé, Mark, mais des cartes en noir et blanc imprimées sur du papier ne nécessitent pas les derniers 100+ épisodes. Ce qui suit est un résumé succinct de comment j’ai produit les cartes accompagné de quelques astuces que j’ai acquis au fur et à mesure.+J’ai donc pensé à Inkscape et j’ai suivi avec grande attention les premiers tutoriels (au moins une douzaine) de Mark Crutch en commençant par le numéro 61 du Full Circle, celui de mai 2012. Cela me donnait tout ce dont j’avais besoin pour commencer – désolé, Mark, mais des cartes en noir et blanc imprimées sur du papier ne nécessitent pas les derniers 100+ épisodes. Ce qui suit est un résumé succinct de comment j’ai produit les cartesaccompagné de quelques astuces que j’ai acquises au fur et à mesure.
  
 **Getting Started **Getting Started
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 Commencer Commencer
  
-La première chose à faire est de trouver une carte existante de la zone concernée. L’étendu de la carte change selon qu’il s’agit d’une bataille spécifique ou si c’est une plus grande zone où l'on montre le déplacement des troupes. Parfois l’auteur a pu fournir un exemplaire de la « Carte des tranchées » utilisée par l’armée à l’époque, mais, le plus souvent, je commençais avec une liste des villages dans la région. J’ai trouvé qu’un site Web « Map of France » (www.map-france.com) était très utile à ce stade, car il permet la recherche de villages français par leur nom, mais beaucoup d’autres sites Web peuvent servir. J’ai était étonné de constater que le même nom s’utilisait pour deux ou trois villages dans différentes parties du pays. Quand j’avais trouvé la région voulue, je faisais une capture d’écran et la sauvegardais comme fichier .jpg.+La première chose à faire est de trouver une carte existante de la zone concernée. L’étendue de la carte change selon qu’il s’agit d’une bataille spécifique ou si c’est une plus grande zone où l'on montre le déplacement des troupes. Parfois l’auteur a pu fournir un exemplaire de la « Carte des tranchées » utilisée par l’armée à l’époque, mais, le plus souvent, je commençais avec une liste des villages dans la région. J’ai trouvé que le site Web « Map of France » (www.map-france.com) était très utile à ce stade, car il permet la recherche de villages français par leur nom, mais beaucoup d’autres sites Web peuvent servir. J’ai été étonné de constater que le même nom s’utilisait pour deux ou trois villages dans différentes parties du pays. Quand j’avais trouvé la région voulue, je faisais une capture d’écran et la sauvegardais en fichier .jpg.
  
-Maintenant, lancez Inkscape et importez le fichier JPG sauvegardé. Dans le dialogue Import, choisissez « Imbed » et « From File ». Cela importe notre carte de base et l’affiche à l’écran. Dans la liste des couches sur le côté gauche de l’écran, vous la verrez sous le nom de « Couche 1 ». Faites un clic droit sur le nom et renommez-la quelque chose comme Arrière-plan. Cette couche ne figurera pas sur la carte finale, mais les éléments nécessaires seront transférées sur de nouvelles couches.+Maintenant, lancez Inkscape et importez le fichier JPG sauvegardé. Dans le dialogue Importer, choisissez « Incorporer » et « Déduire du fichier ». Cela importe notre carte de base et l’affiche à l’écran. Dans la liste des calques sur le côté gauche de l’écran, vous la verrez sous le nom de « Calque 1 ». Faites un clic droit sur le nom et renommez-la quelque chose comme Arrière-plan. Ce calque ne figurera pas sur la carte finale, mais les éléments nécessaires seront transférés sur de nouveaux calques.
  
 **Layers **Layers
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 Even though the final result was to be a black-and-white map, I often used colors while capturing the linework – blue for water, red for roads, black for railways, etc, then changed them to black later. Having all of the one feature on its own layer allows you to select all those features and change the size, line style, text font, or whatever, in one step.** Even though the final result was to be a black-and-white map, I often used colors while capturing the linework – blue for water, red for roads, black for railways, etc, then changed them to black later. Having all of the one feature on its own layer allows you to select all those features and change the size, line style, text font, or whatever, in one step.**
  
-Les couches+Les calques
  
-J’ai trouvé que plus j’avais de couches, mieux c’était. En commençant avec la première couche de l’arrière-plan j’ai ajouté des couches distinctes pour chaque sorte d’élément à afficher : les côtes, routes, voies ferrées, rivières, lacs, bois, les positions des troupes au départ et à la fin, des flèches de mouvement et plus encore. Les routes et les voies ferrées avaient en fait deux couches – voir ci-dessous. À la fin, j’avais habituellement jusqu’à vingt couches sur chaque carte.+J’ai trouvé que plus j’avais de calques, mieux c’était. En commençant avec le premier calque de l’arrière-planj’ai ajouté des calques distincts pour chaque sorte d’élément à afficher : les côtes, routes, voies ferrées, rivières, lacs, bois, les positions des troupes au départ et à la fin, des flèches de mouvement et plus encore. Les routes et les voies ferrées avaient en fait deux calques – voir ci-dessous. À la fin, j’avais habituellement jusqu’à vingt calques sur chaque carte.
  
-Bien que le résultat final soit en principe une carte en noir et blanc, j’ai souvent utilisé des couleurs pour les dessins au trait : bleu pour l’eau, rouge pour les routes, noir pour les voies ferrées, etc., puis je les convertissais à noir plus tard. Avoir un élément complet sur sa propre couche vous permet de sélectionner toutes ces éléments-là et d'en changer la taille, le style du trait, la police, ou n’importe quoi, en une seule étape.+Bien que le résultat final soit en principe une carte en noir et blanc, j’ai souvent utilisé des couleurs pour les dessins au trait : bleu pour l’eau, rouge pour les routes, noir pour les voies ferrées, etc., puis je les convertissais en noir plus tard. Avoir un type d'élément sur son propre calque vous permet de sélectionner toutes ces éléments-là et d'en changer la taille, le style du trait, la police, ou n’importe quoi, en une seule étape.
  
 **Capturing Linework **Capturing Linework
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 Les dessins au trait Les dessins au trait
  
-J’utilisais l’outil « Draw Bezier Curves and Straight Lines » et j'ai cliqué sur le début d’une ligne, puis j'ai double-cliqué à sa fin. Cela me donnait une ligne droite entre deux points. Faites un zoom sur un bout et, avec l’outil « Edit Paths by Nodes », double-cliquez sur la nouvelle ligne pour créer un nœud, puis glissez-le à la bonne position. Répétez ce processus jusqu’à ce que vous arriviez à l’autre bout. Voici à quoi cela ressemblait quand j’étais en train de reproduire une partie de la frontière franco-belge.+J’utilisais l’outil « Tracer des courbes de Bézier et des segments de droites » et j'ai cliqué sur le début d’une ligne, puis j'ai double-cliqué à sa fin. Cela me donnait une ligne droite entre deux points. Faites un zoom sur un bout et, avec l’outil « Éditer les nœuds... d'un chemin », double-cliquez sur la nouvelle ligne pour créer un nœud, puis glissez-le à la bonne position. Répétez ce processus jusqu’à ce que vous arriviez à l’autre bout. Voici à quoi ça ressemblait quand j’étais en train de reproduire une partie de la frontière franco-belge.
  
 **Roads and Railways **Roads and Railways
Ligne 46: Ligne 46:
 Routes et voies ferrées Routes et voies ferrées
  
-Selon l’échelle de votre carte, une route peut être une simple ligne, mais la plupart des plans de bataille étaient dessiner à une plus grand échelle et les routes devaient être représentées par deux lignes parallèles avec un écart entre les deux. Après une série d’essais, j’ai trouvé que cela pouvait se faire facilement en commençant avec une seule ligne noire, dont l’épaisseur couvrait toute la largeur de la route sur ma couche des Accotements. Puis dupliquez cette couche et la renommez Centres des routes, changez-en la couleur en blanc et diminuez la largeur un peu pour que les bords de la couche des accotements paraissent. Comme vous pouvez le voir ci-dessous, les intersections routières sont traitées comme il faut.+Selon l’échelle de votre carte, une route peut être une simple ligne, mais la plupart des plans de bataille étaient dessinés à une plus grand échelle et les routes devaient être représentées par deux lignes parallèles avec un écart entre les deux. Après une série d’essais, j’ai trouvé que cela pouvait se faire facilement en commençant avec une seule ligne noire, dont l’épaisseur couvrait toute la largeur de la route sur mon calque des Éléments routiers. Puis dupliquez ce calque et renommez-le Centres des routes, changez-en la couleur en blanc et diminuez un peu la largeur pour que les bords du calque des Éléments routiers transparaissent. Comme vous pouvez le voir ci-dessous, les intersections routières sont traitées comme il faut.
  
-Les voies ferrées sont tout aussi facile ; il suffit d’utiliser une ligne blanche en pointillées pour leur centre.+Les voies ferrées sont tout aussi faciles ; il suffit d’utiliser une ligne blanche en pointillés pour leur axe.
  
 **Towns **Towns
Ligne 58: Ligne 58:
 Les villes Les villes
  
-Leur représentation change aussi avec l’échelle : elles sont parfois représentées avec des points, parfois avec une bordure noire et une nuance de gris à l’intérieur. Il faut être conscient de l’emplacement de la couche des villes dans la liste, selon que vous voulez voir d’autres éléments au travers de la ville ou que vous voulez que la ville obscurcisse tout ce qui est en-dessous. Quand je montrais les villes comme des points, j’utilisais l’outil cercle pour en dessiner une et le remplissais de noir, puis je le copiais pour toutes les autres villes pour m’assurer qu’elles étaient toutes de la même taille.+Leur représentation change aussi avec l’échelle : elles sont parfois représentées avec des points, parfois avec une bordure noire et une nuance de gris à l’intérieur. Il faut être attentif à l’emplacement du calque des villes dans la liste, selon que vous voulez voir d’autres éléments au travers de la ville ou que vous voulez que la ville obscurcisse tout ce qui est en-dessous. Quand je montrais les villes comme des points, j’utilisais l’outil cercle pour en dessiner une et la remplissais de noir, puis je le copiais pour toutes les autres villes pour m’assurer qu’elles étaient toutes de la même taille.
  
-Les noms des villes (et tout autre texte) doivent généralement être sur un niveau supérieur, afin que le nom ne soit pas camouflé par d’autres éléments. J’étais surpris de constater qu’il fallait beaucoup de temps pour avoir la bonne taille et position du texte.+Les noms des villes (et tout autre texte) doivent généralement être sur un niveau supérieur, afin que le nom ne soit pas camouflé par d’autres éléments. J’étais surpris de constater qu’il fallait beaucoup de temps pour avoir les bonnes taille et position du texte.
  
 **Woods, Trenches and Special Symbols **Woods, Trenches and Special Symbols
Ligne 68: Ligne 68:
 Bois, tranchées et symboles spéciaux Bois, tranchées et symboles spéciaux
  
-Bien que Inkscape soit livré avec une bonne sélection de styles de trait et de tons de remplissage, il ne comporte pas grand’ chose pour le mappage de symboles. À ce stade, j’ai fait des recherches dans la gamme des tutoriels d’Inkscape et j’ai réussi à trouver ce dont j’avais besoin. Par exemple, une zone boisée est généralement couverte de petits symboles d’arbres. Pour pouvoir faire cela, j'ai fait un zoom avant et, sur une autre couche encore, j’ai dessiné un petit arbre, puis en ai fait un double un peu au-dessus et à droite. Puis, en utilisant la technique décrite dans le tutoriel d’Inkscape sur les « patterns-for-mechanical-drawings », j’ai pu arriver à un résultat convenable. Un autre tutoriel sur comment dessiner des cordes m’a aidé à créer et à utiliser un symbole pour montrer des tranchées (il y en avait beaucoup pendant cette guerre).+Bien qu'Inkscape soit livré avec une bonne sélection de styles de trait et de tons de remplissage, il ne comporte pas grand chose comme étendue de symboles. À ce stade, j’ai fait des recherches dans la gamme des tutoriels d’Inkscape et j’ai réussi à trouver ce dont j’avais besoin. Par exemple, une zone boisée est généralement couverte de petits symboles d’arbres. Pour pouvoir faire cela, j'ai fait un zoom avant et, à nouveau sur un autre calque, j’ai dessiné un petit arbre, puis en ai fait un double un peu au-dessus et à droite. Puis, en utilisant la technique décrite dans le tutoriel d’Inkscape sur les « patterns-for-mechanical-drawings » (motifs pour des dessins de mécanique), j’ai pu arriver à un résultat convenable. Un autre tutoriel sur comment dessiner des cordes m’a aidé à créer et à utiliser un symbole pour montrer des tranchées (il y en avait beaucoup pendant cette guerre).
  
 **Output and Edits **Output and Edits
Ligne 79: Ligne 79:
 Résultat et modifications Résultat et modifications
  
-La seule façon d’enregistrer votre travail dans Inkscape, afin de pouvoir travailler dessus plus tard, est sous la forme d’un fichier SVG. Toutefois, quand j’ai envoyé mes cartes (des brouillons) à l’auteur, il avait besoin de fichiers JPG. Inkscape ne sait exporter que vers des fichiers PNG, que j’ai ensuite converti en JPG avec GIMP ; après je les lui ai envoyés par mail.+La seule façon d’enregistrer votre travail dans Inkscape, afin de pouvoir travailler dessus plus tard, est sous la forme d’un fichier SVG. Toutefois, quand j’ai envoyé mes cartes (des brouillons) à l’auteur, il avait besoin de fichiers JPG. Inkscape ne sait exporter que vers des fichiers PNG, que j’ai ensuite convertis en JPG avec GIMP ; après je les lui ai envoyés par mail.
  
-Souvent (en fait, toujours), il fallait des modifications et il imprimait les cartes, indiquait les changements au crayon, scannait cela, et me le renvoyait comme un autre fichier JPG ; J’ajouterais celui-ci à Inkscape comme une nouvelle couche en le redimensionnant pour qu’il ait la même taille que l’original, en prenant bien soin de garder le même rapport d’aspect. J’ai souvent dû répéter cette étape plusieurs fois.+Souvent (en fait, toujours), il fallait des modifications et il imprimait les cartes, indiquait les changements au crayon, scannait cela, et me les renvoyait dans un autre fichier JPG ; j’ajouterais celui-ci à Inkscape comme un nouveau calque en le redimensionnant pour qu’il ait la même taille que l’original, en prenant bien soin de garder le même rapport d’aspect. J’ai souvent dû répéter cette étape plusieurs fois.
  
 Finalement, nous étions tous les deux contents et un fichier JPG final a été produit et envoyé à l’éditeur. En tout, plus de 30 cartes étaient créées pour le livre qui, maintenant, attend sa publication. Voici un échantillon d’une carte complète. Finalement, nous étions tous les deux contents et un fichier JPG final a été produit et envoyé à l’éditeur. En tout, plus de 30 cartes étaient créées pour le livre qui, maintenant, attend sa publication. Voici un échantillon d’une carte complète.
  
issue167/mon_histoire.1617273025.txt.gz · Dernière modification : 2021/04/01 12:30 de auntiee