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59:critique_bodhi_linux

Those watching the Distrowatch page hit listings have probably noticed an oddly named entry that stayed in the top 25 for a good chunk of 2011. Called Bodhi (current version is 1.3.0) it not only made this level in just over a year of release (for all versions) but managed to do so using Enlightenment 17 (e17) as a desktop shell.

What is e17?

Ceux qui regardent la page listant les hits sur Distrowatch auront probablement remarqué une entrée au nom bizarre, trustant le top 25 depuis une bonne partie de 2011. Nommée Bodhi (la version actuelle est la 1.3.0), elle a non seulement atteint ce niveau en un peu plus d'un an depuis sa sortie, mais réussit à le faire en utilisant Enlightenment 17 (e17) comme environnement de bureau.

Qu'est-ce que e17 ?

Enlightenment is a desktop shell, much like Gnome and KDE, that has been in development for nearly 15 years. I've worked with just two versions, 16 and the current 17, the latter having been in various alpha/beta stages for the past 5 or so years (if you want to be technical, e17 is really 16.999 but what's .001 among friends?). Although initial development focused on low base spec computers, current testing is geared to multi-core processors with higher RAM counts, although e17 is at home in either setting. Base code is somewhere around 25MB (Gnome and KDE are 10 times that amount) with Bodhi's version undoubtedly being more due to eye candy and tweaking.

Enlightenment est un gestionnaire de bureau, similaire à Gnome et KDE, qui est en développement depuis près de 15 ans. Je n'ai travaillé qu'avec deux versions, la 16 et maintenant la 17, cette dernière étant passée par différentes versions alpha/bêta au cours des 5 dernières années (si vous voulez être technique, e17 est en réalité à la version 16.999 mais qu'est-ce que 0.001 entre amis ?).

Bien que le développement initial ciblait les ordinateurs de faibles caractéristiques (ordinosaures), les tests actuels sont menés sur des processeurs multi-cœurs avec de grandes capacités de RAM, bien que e17 se sente à l'aise avec l'un comme avec l'autre. Le code de base pèse environ 25 Mo (Gnome et KDE sont 10 fois plus gros), cette version de Bodhi étant sans doute plus grosse vu les effets graphiques et les personnalisations.

As options go, Enlightenment never really caught on, and was overshadowed by others in the “light”category such as Xfce or LXDE . Anybody care to remember the ill-fated gOS venture of 2007-08 or OpenGEU from 2009, both of which took a powder after relatively short runs? Even moonOS defected to Gnome after version 3, thereby abandoning e17. This is unfortunate, since e17 holds promise as a highly customizable shell, but an early, unreliable e16 version left a bad taste with many users, and the stigma still lingers. Of note, Synaptic still lists e16 although it's not advisable to consider using it. Although there may be others, I know of just one OS other than Bodhi that is Ubuntu and e17 based, and that's ExLight from Sweden (don't bother looking, it doesn't rate mention at Distrowatch).

En tant qu'option, Enlightenment n'a jamais réellement « pris » et a été éclipsé par d'autres dans la catégorie « léger », tels que Xfce ou LXDE. Qui se souvient de l'entreprise malheureuse gOS de 2007-2008 ou OpenGEU en 2009, lesquelles disparurent rapidement après une courte période ? Même MoonOS est parti rejoindre Gnome après sa version 3, en abandonnant e17.

The Basics

Bodhi is not quite as foreign as the name may indicate. Properly pronounced Bo-Dee (not Bod-Hi or Bod-He as I thought) it hails from the States, and the lead developer is Jeff Hoogland. The name is Sanskrit for enlightenment, appropriate given the shell. Unlike other distributions that change base code as Canonical does, Bodhi has always used 32-bit Lucid Lynx (10.04 LTS) and has a downloaded image of roughly 375MB. No other way to say it, but Bodhi is minimalistic and included programs are limited to the Midori browser (with private browsing), LXTerminal, PCManFM (file manager), Leafpad (akin to MS Notepad) and Synaptic Package Manager. The original Bodhi release, 0.1.6, came with Firefox 4 beta but that was discontinued, possibly to save space although the extra 40MB or so would still leave plenty of leftover room on a CD.

Les bases

Bodhi n'est pas aussi étrangère que son nom semble l'indiquer. Prononcée comme il faut Bo-Di (et non Beud-Haï ou Beud-Hei comme je le pensais), elle est originaire des États-Unis et son développeur en chef est Jeff Hoogland. Le nom correspond au mot « illumination » en sanskrit, ce qui est approprié compte tenu de l'environnement de bureau.

A l'inverse des autres distributions qui changent leur code de base comme le fait Canonical, Bodhi a toujours utilisé la version 32-bit de Lucid Lynx (10.04 LTS) et dispose d'une image téléchargeable d'environ 375 Mo.

Pas d'autre manière de le dire sinon que Bodhi est minimaliste et les programmes inclus se limitent au navigateur Midori (avec une navigation privée), LXTerminal (console), PCManFm (gestionnaire de fichiers), Leafpad (comparable à MS Notepad) et le gestionnaire de paquets Synaptic. La version originale de Bodhi, la 0.1.6, venait avec Firefox 4 bêta, qui n'a pas été reconduit, sans doute pour économiser de la place, mais il y aurait eu encore pas mal d'espace libre sur un CD, même avec les 40 Mo supplémentaires.

Website

After years of reviewing OS websites I've pretty much got the pattern down. Usually a home page, another to highlight the developers and sell paraphernalia and, finally, one that offers the actual download. Occasionally a forum or FAQ page is thrown in but most information is often stale and it has become obvious developers are phoning it in (the thrill is gone, baby). But www.bodhilinux.com is the rarity in the bunch, with comprehensive and relevant information, additional program offerings that rival many repositories, tutorials aplenty and well staffed forums with questions often answered in minutes. In addition, it's well designed and visually appealing. Whether or not they meant to, Bodhi developers have better Enlightenment tutorials on their website than the Enlightenment website itself (check it out at www.enlightenment.org).

Site web

Après des années à faire des critiques sur les sites web des systèmes d'exploitation, j'en suis arrivé au schéma habituel suivant : une page d'accueil, une autre pour mettre en avant les développeurs et vendre le produit et, enfin, une dernière proposant le téléchargement. Occasionnellement une page de forum ou type FAQ est présente, mais l'essentiel de l'information est souvent périmé et ça saute aux yeux que les développeurs ne s'y investissent plus vraiment (l'émotion est partie, bébé).

Mais www.bodhilinux.com est l’exception à la règle , avec des informations complètes et pertinentes, des offres de programmes additionnels rivalisant avec bon nombre de dépôts, des tutoriels en abondance et des forums bien maintenus, avec souvent des réponses dans les minutes qui suivent les questions. De plus, ce site est graphiquement bien conçu et visuellement attirant.

Que ce soit voulu ou non, les développeurs de Bodhi ont de meilleurs tutoriels sur Enlightenment que le site d'Enlightenment lui-même (visitez-le sur www.enlightenment.org).

Installation

Normally I don't elaborate on live mode since it's the usual CD/DVD spin and grind, but Bodhi has a couple of additions to the routine that merit attention. Two choices must be made prior to a complete boot, with the first being a profile, what you might call a desktop layout. These range from Bare (wallpaper and nothing else) to Compositing (a modified Compiz code for e17). In between, you'll see offerings for laptops, desktops, netbooks and tablets, with each showing specific engineering and design traits. There isn't a bad choice in the group, although Bare dispenses with everything but a background and may be too light for most. Then you have to pick a scheme from a palette of several, all of which are artistically pleasant, so just click on one since any choice from these two areas can easily be changed later.

Installation

Normalement, je ne donne pas de détails sur le mode live - c'est habituellement un support CD/DVD poussif, mais Bodhi a quelques suppléments à la routine qui méritent l'attention.

Deux choix doivent être effectués avant d'avoir un boot complet, à savoir le choix d'un profil, puis le choix d'un bureau. Cela va de « Bare » (nu) (papier-peint et rien d'autre) à Compositing (qui est du code modifié de Compiz pour e17). Entre les deux, vous verrez des options pour portables, ordinateurs de bureau, netbooks ou encore tablettes, chacune d'elles ayant des caractéristiques techniques et graphiques propres. Il n'y a pas de mauvais choix dans ce groupe, bien que « Bare » se passe de tout sauf d'un arrière-plan, ce qui peut paraître trop léger pour la plupart.

Ensuite, vous sélectionnez un thème parmi d'autres, tous plus plaisants artistiquement les uns que les autres ; donc faites votre choix, ce choix pouvant être facilement modifié ultérieurement.

The last stumbling block involves default backlight settings that are pegged to dark, for lack of a better description. This requires a trip to the settings menu, kind of hard when the screen resembles NYC during a blackout (have a light nearby). My previous e17 tests didn't exhibit this characteristic so I can only assume it's a Bodhi tweak. Even with all this, live mode boot times averaged 2 minutes; however, continued use of this mode is a bear since any changes made will disappear when the power does. Those desiring portability are advised to visit www.pendrivelinux.com for info on creating persistent USB drives (i.e. drives that retain changes).

La dernière pierre d'achoppement concerne les paramètres de rétroéclairage par défaut, réglés sur noir faute d'une meilleure description. Cela requiert un petit voyage dans le menu des paramètres, qui peut paraître ardu lorsque l'écran ressemble à New York City durant un blackout (ayez une torche à côté de vous). Puisque mes précédents tests de e17 ne montraient pas cette caractéristique, je peux penser qu'il s'agit d'une modification propre à Bodhi.

Malgré tout cela, le mode live démarre en 2 minutes en moyenne ; cependant, l'utilisation continue de ce mode est difficile car tout changement disparaîtra avec l'extinction. Celles et ceux désirant la portabilité sont amenés à visiter le site www.pendrivelinux.com pour obtenir des informations sur la création d'une clé USB persistante (c'est-à-dire une clé qui retient tous les changements).

So it was full installation, but there is a pleasant surprise in this option. Care to guess how long it takes – 30, 45 or 60 minutes? How about 8? You read right, 8 minutes. Resetting backlight settings and 50MB updates took a couple more, so I was out all of 15 minutes, tops. Quite impressive given that previous tests with e17 based distros never produced such stellar times. The only other issue is a final screen hang. When all is said and done, the CD ejects but the final splash screen (nicely designed with small green leaves cascading left to right) refuses to close. Let it do the leaf dance for a couple minutes and then hit enter. It never hangs again. If you're wondering, Bodhi takes roughly 2GB off your hard drive post-install.

Ainsi, j'ai opté pour une installation complète, mais il y a une agréable surprise derrière. Cela vous tente de deviner le temps d'installation ? 30, 45 ou 60 minutes ?

Que pensez-vous de 8 ? Vous lisez bien, 8 minutes. Bien régler les paramètres d'éclairage et faire une mise à jour de 50 Mo prennent quelques minutes de plus, ce qui fait moins de 15 minutes pour le tout. Maxi. Vraiment impressionnant, étant donné que mes précédents tests sur des distributions basées sur e17 n'avaient jamais produit de tels temps remarquables.

La seule autre ombre au tableau est le gel final de l'écran. Au bout du compte, le CD s'éjecte mais l'écran final (gentiment dessiné avec des petites feuilles vertes en cascade de gauche vers la droite) refuse de se fermer. Laissez danser les feuilles quelques minutes et ensuite appuyez sur Entrée. Il ne gèlera plus.

Si vous vous posez la question, Bodhi prend approximativement 2 Go sur votre disque dur après installation.

Desktop Design Even with entering user ID and password, cold boot times are a respectable 30 seconds or less. Those familiar with Fedora 12 will recognize the blue bar that creeps from left to right on the screen to indicate boot progress (no boot music, though). As much as I'd like to describe the first desktop, that's sort of difficult since so many choices are offered; however, some attributes are the same no matter what, and those I'll discuss.

Environnement graphique

Même en entrant le login et le mot de passe de l'utilisateur, le temps de démarrage à froid est respectable, de l'ordre d'une trentaine de secondes. Celles et ceux familiers de la Fedora 12 auront reconnu la barre bleue glissant de gauche à droite sur l'écran pour indiquer la progression du démarrage (pas de démarrage musical, cependant).

Pour autant que j'aimerais décrire le premier bureau, cela est rendu compliqué tant il y a de choix offerts ; toutefois, certains attributs restent les mêmes, peu importe les choix et je vais parler de ceux-là.

You can quit looking for desktop icons. There are none, nor does e17 allow for them. No trashcan or home folder icons, nor is there anything for attached external drives or cards. You'll have to access these via the home folder off the main menu. Instead, e17 uses shelves (a.k.a. docks), modules and gadgets. Shelves can be placed anywhere along the borders, and you can install several. Modules and gadgets can then be inserted into these shelves (such as iBar, a module that allows for program icons to be dragged and dropped). An unfortunate aspect of e17, and possibly one of the reasons it never became as popular as Gnome or KDE, is that the protocol for adding, deleting or modifying any of these areas can be overwhelming for the uninitiated. Settings under the main menu have roughly 14 categories, that open to expose nearly 80 subcategories. Hardly intuitive, and most will have to spend time just to get the menu map memorized. Once deciphered it becomes second nature.

Ce n'est pas la peine de chercher d'icônes sur le bureau. Il n'y en a aucune et e17 n'en permet pas. Pas d'icône de poubelle, ni celle du dossier personnel, ni même pour les périphériques externes ou les cartes. Vous aurez à accéder à ceux-ci via le dossier personnel situé dans le menu principal.

À la place, e17 utilise des « étagères » (« shelves » autrement dit, des docks), des modules et des gadgets. Les « étagères » peuvent être placées tout au long des bords de l'écran et vous pouvez en installer plusieurs. Les modules et les gadgets peuvent alors y être insérés (par exemple iBar, un module permettant de glisser-déposer des icônes de programme).

Un des aspects regrettable de e17 - et l'une des éventuelles raisons pour laquelle e17 n'est jamais devenu aussi populaire que Gnome ou KDE, est que la procédure pour ajouter, supprimer ou modifier n'importe lequel de ces zones, peut réellement décourager les non-initiés. Les paramètres du menu principal sont regroupés en 14 catégories, représentant pas loin de 80 sous-catégories. Ce n'est guère intuitif et vous devrez passer pas mal de temps rien que pour mémoriser les menus. Une fois déchiffré, cela devient naturel.

For example, changing backlight settings requires 7 to 8 clicks or mouse movements and is hardly intuitive. Most newbies will undoubtedly be overwhelmed the first time. As for main menu access, you have two choices, the first of which is to click the Enlightenment or Bodhi button found in the left corner of most shelves (except for the Bare design – it has no shelves). This opens a Gnome-like menu. The second option is to left-click an empty desktop area, but make sure you're not too close to the right side of your screen. E17 menus are limited to right-hand cascading and being too close to the edge will cause it to disappear into cyberspace. Move to the left to alleviate that issue.

Par exemple, changer les paramètres d'éclairage requiert 7 à 8 clics ou mouvements de souris et n'est guère intuitif. Beaucoup de débutants se sentiront totalement perdus la première fois.

Quant à l'accès au menu principal, deux choix sont possibles, le premier étant de cliquer sur le bouton Enlightenment ou Bodhi présent dans le coin gauche de la plupart des étagères (excepté pour l'environnement « Bare » (nu), puisqu'il n'a pas d'étagère). Cela ouvre un menu à la sauce « Gnome ».

La seconde méthode est de cliquer gauche sur une partie vide du bureau, tout en restant éloigné du côté droit de l'écran. Les menus de e17 sont délimités en cascades vers la droite, ce qui, en étant trop proche du bord de l'écran, les feraient disparaître dans le cyberespace. Pensez donc à cliquer plutôt vers la partie gauche de l'écran pour contourner ce problème.

One other peculiarity of the e17 menu design is that the main menu is not static in left-click mode, that is, both the main and secondary menus cascade up and down when scrolling through program listings, so it's possible to have the main menu disappear off the screen when scrolling. As for the right mouse button, it's active only when used on shelves, modules or gadgets and then only to reset or choose options for those areas; however, if programs are added to favorites, right-clicking an empty desktop area will produce a menu of those. In essence, plan on taking some time to learn these procedures.

Une autre particularité des menus de e17 est que le menu principal n'est pas statique dans le cas de la méthode “clic-gauche”; le menu principal tout comme les menus secondaires se présentent en cascade vers le haut, vers le bas lorsque les listes de programmes défilent, à tel point qu'il est parfois possible de faire disparaître le menu principal de l'écran.

Concernant le bouton droit de la souris, celui-ci est actif uniquement sur les étagères, les modules ou gadgets, et seulement pour les réinitialiser ou choisir des options ; Cependant, si des applications sont ajoutées aux favoris, un clic droit sur une zone vide du bureau affichera un menu pour ces dernières.

En substance, prévoyez de prendre un peu de temps pour apprendre toutes ces procédures.

Operational Efficiency E17 is fast. Amazingly, blazingly, blindingly fast. Without a doubt the fastest desktop shell I've ever used. Programs snap to attention within a few seconds. LibreOffice Writer opens within 5 seconds and Gimp is ready to use within 10. Either of these programs in Gnome or KDE would take 3 to 5 times longer to open on my system. Even more surprising is that resource usage rarely peaked above 20% and settings could dip as low as 2% at idle. Hardware acceptance was exemplary, with no downloads necessary, an oddity given that usually 1 or 2 are necessary with Gnome or KDE. Wireless, video and audio were operational from first boot, and I was happy to not see that aggravating “AMD Unsupported Hardware” pop-up. About the only thing missing is a printer driver set, but that can be added (read below for that). Wish I could give kudos for battery consumption and generated heat but Bodhi is no better than Gnome or KDE counterparts in this category, rather odd given that resource usage is so low.

Efficacité opérationnelle

E17 est rapide. Extraordinairement, incroyablement rapide. Sans aucun doute l'environnement graphique le plus rapide que j'ai jamais utilisé. Les programmes se chargent en quelques secondes. LibreOffice Writer s'ouvre en 5 secondes et Gimp est prêt à utiliser en 10. Les mêmes programmes mettront 3 à 5 fois plus de temps à s'ouvrir sur mon système sous Gnome ou KDE.

Plus surprenant encore est l'usage des ressources qui ne dépassent que très rarement les 20 % et peuvent descendre à 2 % au repos.

La compatibilité matérielle est exemplaire, sans aucun téléchargement nécessaire, une chose rare, étant donné que Gnome ou KDE en nécessitent 1 ou 2 d'habitude. Le wifi, la carte graphique, la carte audio sont opérationnels au premier démarrage, et j'ai été agréablement surpris de ne pas voir le message d'alerte « Matériel AMD non supporté ». La seule chose manquante est un ensemble de pilotes d'imprimante, qui peut, toutefois, être ajouté ultérieurement (voir ci-après).

J'espérais mettre en exergue la consommation des batteries et la chaleur générée, mais Bodhi ne fait pas mieux que ses homologues Gnome ou KDE dans ces catégories, malgré un usage des ressources bien plus bas.

Adding Programs Bodhi is purposely light, so users can make their own program additions, and believe me when I state you probably will. Midori is a mediocre browser and LeafPad is equally dismal as a text editor. Since e17 is neutral it will accept both Gnome and KDE programs, but there is a protocol that must be followed and is stressed at the Bodhi website. There are four ways of adding programs – apt-get, modified apt-get, the website or Synaptic. Of these, the website is my recommended first stop.

Ajout de programmes

Midori defaults to the Bodhi website. Go to AppCenter under the Resources heading and you'll see a boatload of program choices including the Nikhila and Pratibha packages. Nikhila (Sanskrit for “whole, entire, all, complete ) is 530MB and includes Mirage, Adobe PDF Reader, Cheese, Firefox, gEdit, Handbrake, k3b, LibreOffice, Okular, Openshot, Qalculate, Pidgin, Printing, Rhythmbox, Shotwell, Simple Scan, Thunderbird, Transmission, VLC, Xchat and Filelight. Pratibha (“light, splendour, intelligence) is 157MB and packs Claws, DeadBeef, ePDFView, ePhoto, Geany, Light Office (Abiword plus a couple others), Pinta, Qalculate, VLC, Xchat and Xfburn. Specific packages for Audio, Image, Scientific Publishing, Educational, Web Development, Online Media, Icon Sets and GTK Themes are also highlighted along with service packs, Internet specifics, graphics, kernel upgrades, multimedia, Enlightenment modules and assorted extras.

Although some apps are repeated in various categories, this all adds up to a whopping 2.5GB +/- larger than the initial Bodhi installation uses on the hard drive. Not only do your have programs galore but you'll see options to install or download them. “Install” downloads and installs chosen programs, with little user intervention, but is designed to be used by Midori or Firefox browsers (the files have .bod extensions). “Download” is not browser specific since it merely parks files in the Home folder for retrieval later. While this is simple enough, using Synaptic and/or apt-get can present difficulties. E17 has no problem accepting Gnome and KDE programs but it does find related dependencies and “recommended” files hard to digest, and both techniques load them by the bushel. This is where the modified apt-get comes into play. The usual command line would be “sudo apt-get install” along with the program name, but developers recommend you use a different approach with “sudo apt-get install –no-install-recommends” with the program name. This effectively halts those extra, unnecessary dependencies (this technique is also mentioned on the Ubuntu website).

Bodhi est léger à dessein, afin que les utilisateurs puissent ajouter les programmes qu'ils veulent et, croyez-moi, vous le ferez très probablement. Midori est un navigateur médiocre et Leafpad est tout aussi mauvais comme éditeur de texte. E17 étant neutre, il acceptera les programmes aussi bien de Gnome que de KDE, mais il faut respecter un protocole qui est souligné sur le site web de Bodhi.

Il y a quatre façons d'ajouter des programmes - apt-get, apt-get modifié, le site web ou synaptic. Parmi elles, je recommande le site web en priorité.

Midori s'ouvre par défaut sur le site web de Bodhi. Allez sur le AppCenter dans le menu Ressources et vous verrez une cargaison de programmes sélectionnés, incluant notamment les paquets Nikhila et Pratibha.

Nikhila (du sanskrit signifiant « ensemble,entier, tout, complet ») inclut dans 530 Mo, Mirage, Adobe PDF Reader, Cheese, Firefox, gEdit, Handbrake, k3b, LibreOffice, Okular, Openshot, Qalculate, Pidgin, Printing, Rhythmbox, Shotwell, Simple Scan, Thunderbird, Transmission, VLC, Xchat et Filelight. Pratibha (du sanskrit « lumière, splendeur, intelligence ») apporte dans 157 Mo, Claws, DeadBeef, ePDFView, ePhoto, Geany, Light Office (Abiword plus un ou deux autres), Pinta, Qalculate, VLC, Xchat et Xfburn. Des paquets spécifiques pour l'audio, la photo ou les images, la publication scientifique, l'éducation, le développement web, les médias en ligne, des jeux d'icônes et des thèmes GTK sont également proposés ainsi que des packs de services, trucs spécifiques à Internet, graphismes, mises à jour de noyau, multimedia, modules Enlightenment et d'autres extras.

Bien que certaines applications soient classées dans plusieurs catégories, le total de ces applications représente au bas mot 2.5 Go de plus que l'installation de Bodhi n'en utilise sur le disque dur.

Non seulement vous avez des programmes en abondance, mais vous avez également des options pour les installer ou les télécharger. « Installer » télécharge et installe les programmes sélectionnés avec un minimum d'intervention de l'utilisateur, mais cette méthode est conçue pour être utilisée avec Midori ou Firefox (les fichiers ont des extensions .bod).

« Télécharger » n'est pas une méthode spécifique au navigateur puisqu'elle copie simplement les fichiers dans le dossier personnel pour une utilisation ultérieure.

Alors que tout cela semble assez simple, utiliser Synaptic et/ou apt-get peut présenter des difficultés. E17 n'a aucun souci avec les programmes de Gnome ou KDE, mais il trouve que les fichiers dépendants et « recommandés » sont difficiles à digérer et ces deux dernières techniques les installent tous.

C'est ici que la méthode du apt-get modifié entre en jeu. La commande habituelle serait “sudo apt-get install” suivie du nom du programme, mais les développeurs vous recommandent une autre approche avec « sudo apt-get install –no-install-recommends » suivie du nom du programme. Cela met effectivement de côté les dépendances supplémentaires non nécessaires (cette technique est également mentionnée sur le site web d'Ubuntu).

Est-ce que cela fonctionne ? Synaptic et apt-get tentent d'installer 660 Mo de fichiers lorsque je télécharge Kile (environnement complet pour faire du LaTex), mais l'utilisation de la commande apt-get modifiée permet de réduire cela à 80 Mo seulement et le programme fonctionne parfaitement. Donc oui, ça marche !

Alors que vous pouvez ajouter Ailurus, la Logithèque Ubuntu ou Ubuntu Tweak comme gestionnaire de paquets, ils ne peuvent être utilisés que sous root (ce qui signifie que les entrées dans le menu principal ne serviront à rien), nécessitant donc la commande sudo dans un terminal (ailurus, software-center ou ubuntu-tweak précédé de sudo), mais le risque d'inclure des fichiers non nécessaires est alors bien présent.

J'ai appris à utiliser ces gestionnaires de paquets comme une ressource qui identifie des programmes sur un thème et ensuite je les installe via la commande modifiée dans un terminal.

Que se passe-t-il si vous ne suivez pas ce protocole ? Comme je l'ai découvert, vous remarquerez que les programmes commenceront à ralentir, e17 pourra se planter de temps en temps, et les options de login changeront peut-être pour inclure des bureaux Gnome et KDE (ce sont des versions très sobres sous Openbox avec le papier-peint et rien d'autre).

Bien que la lenteur des programmes soit un problème, le plantage d'e17 est une espèce de bénédiction perverse et est aux antipodes de l'écran bleu de Windows. Les étagères, les modules et les gadgets disparaissent totalement tout comme la possibilité d'arrêter la machine (à part en appuyant sur le bouton power), mais tous les programmes continuent à fonctionner et les documents ouverts peuvent être sauvegardés sans perte. Par exemple, je suis resté une fois plus d'une heure avec mon bureau en panne et je n'ai rien perdu (la seule remarque est que le menu du clic-gauche continue de fonctionner pour ouvrir des programmes, mais il ne peut plus servir pour la déconnexion ou l'arrêt - cette partie du menu disparaît). De temps en temps, il y a l'éternel grain de sable qui fait disparaître des étagères et un ou deux gadgets qui plantent sans raison, mais c'est la vie. J'ai eu les mêmes soucis sous Gnome, KDE ou Windows. Rien n'est parfait, même le plus vanté des systèmes d'exploitation, OS X, a ses soucis.

Par comparaison, j'ai installé Xfce en option dès la connexion ; j'ai été quelque peu surpris de voir qu'il utilisait le double de ressources et que les programmes étaient notablement plus lents à répondre. Bien que je n'aie pas eu à guetter des problèmes de dépendances de Gnome ou KDE, un usage continu devint assez vite laborieux comparé à e17.

Analyse finale

E17 est un choix étrange pour un environnement de bureau, mais pas mauvais dans le long terme. Il est rapide et, la plupart du temps, fiable. Respectez les règles, ajoutez des programmes comme il faut et vous n'aurez aucun souci.

Sincèrement, j'ai commencé cette critique avec des préjugés concernant Enlightenment et ses soucis passés, persuadé qu'ils me gêneraient ; cependant, je dois admettre que Bodhi est vraiment très impressionnante. Elle est rapide, agréable esthétiquement, et le site web n'a pas son pareil.

Tout bien considéré, Bodhi est un excellent choix pour celles et ceux qui cherchent à commencer avec un système minimal, en le construisant petit à petit avec ce qu'ils aiment. Il n'y a pas de contre-indication à un usage quotidien.

Je donné une note de 4 étoiles sur 5 à Bodhi, soit une étoile en moins seulement parce que sa courbe d'apprentissage pourra déboussoler certains et que les quelques bizarreries de l'environnement de bureau nécessitent une attention toute particulière lors de certaines actions, comme l'ajout de programmes.

Does it work? Both Synaptic and apt-get attempted to retrieve 660MB of files when I downloaded Kile, a LaTeX processor, but using the modified apt-get command reduced that figure to just 80MB and it works perfectly. So, yes, it does work. While you can add Ailurus, Ubuntu Software Center or Ubuntu Tweak as package managers, they can be used only as root (which means the added menu entries are for show only) necessitating a terminal sudo command (ailurus, software-center or ubuntu-tweak preceded by sudo), but the risk of including yet unnecessary files will still be there. I learned to use these package managers as a means of spotting programs of interest and then using the modified terminal command to actually install them.

What happens if you don't follow this protocol? As I discovered, you may notice programs start to slow down, e17 may occasionally crash and login options may change to include Gnome and KDE desktops (they are bare-bones Openbox versions with wallpaper and zero else). While slow programs are a problem, an e17 crash is a perverse blessing of sorts and is the polar opposite of a Windows BSOD. Shelves, modules and gadgets all disappear along with the capability of shutting down except by pushing the power button, but programs still work and open documents can be saved without any loss. In fact, I once went over an hour with a crashed desktop and lost nothing (the only oddity is that the left click menu still works to open programs but it can't be used to shut down or log out – that part of the menu vanishes).

Final Analysis E17 is an odd choice for a desktop shell but not a bad one in the long run. It's fast and, for the most part, reliable. Play by the rules, add programs properly and you'll have no problems. I did have the usual snafus with disappearing shelves and the odd gadget or two that failed to always work, but that's life. I've had the same issues with Gnome, KDE and Windows. Nothing is perfect, even the much-vaunted OS X has its issues. As a comparison I installed Xfce as a login option, and was somewhat surprised to see it used double the resources, and programs were noticeably slower to respond. While I didn't have to watch for Gnome or KDE dependency snafus, continued usage became laborious compared to e17.

Truthfully, I went into this review biased concerning Enlightenment's past issues and knew they would get in the way; however, I must admit Bodhi is really impressive. It's fast and well designed, and the website is second to none. All things considered, Bodhi is a stellar choice for those looking to start with a minimal system, and build it up with what they like. There is nothing to indicate it can't be a daily user. I'd give Bodhi 4 out of 5 stars with a drop of one only because it has a learning curve that may confuse some, and a desktop shell with a few quirks that necessitates caution when performing some actions, such as adding programs.

59/critique_bodhi_linux.txt · Dernière modification : 2012/04/29 15:52 de andre_domenech