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issue104:labo_linux

I had always fancied buying a 3D printer, and did some preliminary research. Unfortunately, most of them didn’t support Linux, so I wasn’t spending a couple of hundred pounds on one. One day, while scrolling through my Google+ feed, I saw that fellow Linux user Alan Lord had been building a 3D printer with his son. I enquired about the printer, and its compatibility, and with it being around the £200 mark… it was perfect! The RepRapPro Fisher 1 uses an Arduino compatible board as a controller, which has a micro-SD port. You can either store files to print on the SD card, or you can upload to the SD card from the Fisher’s interface. You connect the printer to your router or, in my case, connect it directly to a desktop/laptop PC. More on direct connections near the end of this series when I show how I connected mine directly to my laptop.

J'ai toujours imaginé d'acheter une imprimante 3D et j'avais fait quelques recherches préliminaires. Malheureusement, la plupart d'entre elles n'était pas prise en charge par Linux ; aussi, je n'ai pas dépensé quelques centaines de livres pour en acheter une. Un jour, en parcourant mon fil Google+, j'ai vu que l'utilisateur Linux, Alan Lord, était en train de construire une imprimante 3D avec son fils. Je me suis renseigné au sujet de cette imprimante et de sa compatibilité, et, étant donné qu'elle valait autour de 200 £ (env. 273 €), … C'était parfait !

La RepRapPro Fisher 1 utilise une carte compatible Arduino comme contrôleur ; elle comporte un port micro-SD. Vous pouvez, soit stocker les fichiers à imprimer sur la carte SD, soit les téléverser sur cette carte SD par l'interface de la Fisher. Vous connectez l'imprimante à votre routeur ou, dans mon cas, directement à l'ordinateur de bureau/portable. Vous en saurez plus sur les connexions directes vers la fin de cette série quand je montrerai comment j'ai connecté la mienne directement à mon portable.

What’s In The Box? Opening that box, and seeing all those bits, is quite intimidating. Thankfully RepRapPro has some excellent build instructions: https://reprappro.com/documentation/fisher-1. Those of you who bought an earlier Fisher, which was still in beta, will notice that some parts, and the build, are different. I should also mention that the Fisher 1 comes in two flavors. The first, the more expensive, is a full kit with everything you need. This is the one I bought. The second, slightly cheaper, is a kit with some parts not included. The idea behind this is that if you already have a 3D printer you can print some parts yourself.

Dans la boîte

L'ouverture de la boîte - et la vision de toutes ces pièces - est intimidante. Par bonheur, RepRapPro a d'excellentes instructions de montage : https://reprappro.com/documentation/fisher-1. Ceux d'entre vous qui ont acheté une Fisher moins récente, qui était encore en bêta, noteront que certaines pièces et le montage sont différents.

Je dois aussi dire que la Fisher 1 existe en deux versions. La première, la plus chère, est un kit complet avec tout ce dont vous avez besoin. C'est celle que j'ai achetée. La seconde, légèrement moins chère, est un kit dans lequel certaines pièces ne sont pas incluses. L'idée est que, si vous avez déjà une imprimante 3D, vous pouvez imprimer certaines pièces vous-même.

The Base The first thing that needs to be built is the base. This is a triangular shaped plastic base which has three pairs of rods connected to a motor. This is the first hurdle as you must make sure that of the three motors, two must have their connection pointing to the left, and the third should be pointing right. Thankfully, RepRap does highlight this in the instructions. Next, the actual base. Everything that’s black plastic has a thin film over both sides. It may not look like it, but it does. You must peel it off. The Duet (the Arduino style board) is screwed to the base and the three pairs of rods are fed through holes in the base and screwed into place.

La base

La première partie à construire est la base. C'est une pièce plastique de forme triangulaire qui a trois paires de barres reliées à un moteur. C'est le premier obstacle, car vous devez être sûr que, sur les trois moteurs, deux ont leurs connexions pointant vers la gauche et le troisième vers la droite. Heureusement, RepRap souligne ce point dans ses instructions.

Ensuite, la vraie base. Tout ce qui est en plastique noir est recouvert d'un film fin sur les deux faces. Il ne se voit peut-être pas bien, mais il est là. Vous devez l'enlever.

La Duet (la carte de style Arduino) est vissée à la base et les trois paires de barres sont passées dans la base et vissées.

The Tower Three carriages are used to move three arms up and down (and effectively, in and out). These are created using two metal cylinders, one of the (in my case) supplied printed parts, and several screws and bolts. All the screws, bolts and washers are in ziplock bags with part numbers on them. Each stage of the build instructions will tell you exactly which screw or washer to use. For example: Using an M3x16mm cap head screw, fit this into the carriage as shown. Put an M3 plain washer, then an M3 Nylock nut, to hold it in place. Looking at the components list at the start of the section it says what is shown in the box above. That tells you exactly which bag to go for (Fastener), part number (which is on the bag), the name of the component, and how many you’ll need.

La tour

Trois chariots sont utilisés pour déplacer les trois bras vers le haut et le bas (et effectivement, vers l'intérieur et l'extérieur). Ils sont créés en utilisant deux cylindres de métal, une (dans mon cas) des pièces imprimées fournies et plusieurs vis et écrous.

Tous les vis, écrous, rondelles, sont dans des sachets zippés avec les numéros de pièces dessus. Chaque étape des instructions de montage précise exactement quelle vis et quelle rondelle utiliser. Par exemple : utiliser une vis à tête six pans creux M3*16 mm et la monter dans le chariot comme indiqué. Placez une rondelle plate M3, puis un écrou Nylock M3, pour le maintenir en place.

La liste des composants au début de la section indique ce qui est montré dans l'encart ci-dessus.

Ceci vous précise quel sachet pour quel usage (Fastener - Fixation), le numéro de la pièce (qui est sur le sachet), le nom du composant et de combien vous en aurez besoin.

The carriages are tricky and you really need to take time to get these spot on. Ideally you’ll need digital callipers for this as you need to screw a couple of threaded steel balls on either end and the width from ball to ball is specified and needs to be exact. If needed, you may have to file down the screws to bring the balls inwards to meet the target. With three carriages made, you slide them down the pairs of rods. At the top of each pair of rods is an idler bracket. Nearer the end you’ll wrap the toothed belt through carriages and over these idler brackets. Next month, it’ll be side panels, more rods, and (the rather tricky) effector assembly.

Le montage des chariots est difficile et vous aurez vraiment besoin de prendre votre temps pour y arriver. Idéalement, vous aurez besoin d'un pied à coulisse numérique car vous devez visser une paire de billes filetées en acier à chaque bout et la distance de bille à bille est spécifiée et doit être exacte. Au besoin, vous pourriez avoir à limer les vis pour insérer les billes et obtenir le bon résultat.

Une fois les trois chariots montés, vous les glissez sur les trois paires de barres.

Un support d'axe de renvoi est placé au sommet de chaque paire de barres. Vers la fin, vous insérerez la courroie crantée dans le chariot et sur l'axe de renvoi.

Le mois prochain, ce seront les panneaux latéraux, encore des barres et l'assemblage (plutôt difficile) de la tête d'impression.

issue104/labo_linux.txt · Dernière modification : 2016/01/08 09:05 de d52fr