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issue132:actus

Table des matières

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Linus Torvalds Releases Linux Kernel 4.16 I guess Linus Torvalds doesn’t like to make tons of jokes. That’s why after shipping seven release candidates for Linux kernel 4.16, he decided to released the final kernel on April Fools’ Day. He might have shipped RC8 just for the heck of it, with no changes, but that’s not his style. At the time of RC7 release, he called it a bigger release than usual. About half of the code update was networking. The final release looks a lot like RC7. There are many usual driver updates as well. “If it wasn’t for networking, it would all be very small and calm,” Torvalds said in his announcement. Overall, Linux 4.16 has been a heavy release with improvements and fixes for various architectures, drivers, etc. A lot of work has been done to tighten the security with the help of Spectre and Meltdown fixes and code cleanups. On the CPU front, improvements have been made to bring support to newer features. There were RISC-V updates, KVM support for AMD Secure Encrypted Virtualization, mainlined Oracle DAX driver, etc. Work has also been done to improve the support for Cannonlake Gen 10 graphics, Jetson TX2 display, and AMDKFD improvements. Source: https://fossbytes.com/linux-kernel-4-16-released-features-download/

Linus Torvalds publie le noyau Linux 4.16

Je suppose que Linus Torvalds n'aime pas faire des tas de blagues. C'est pourquoi, après avoir livré sept versions candidates pour le noyau Linux 4.16, il a décidé de publier le noyau final le 1er avril. Il aurait pu sortir la RC8 juste pour s'amuser, sans aucune modification, mais ce n'est pas sa façon de faire.

Au moment de la publication de la RC7, il la qualifiait de version encore plus importante qu'à l'accoutumée. Environ la moitié de la mise à jour du code concernait les réseaux. La version finale ressemble beaucoup à la RC7, mais contient aussi, comme d'habitude, beaucoup de mises à jour de pilotes. « S'il n'y avait pas eu les réseaux, tout serait très petit et très tranquille », a déclaré Torvalds dans son annonce.

Globalement, Linux 4.16 est une version lourde contenant des améliorations et des correctifs pour diverses architectures, pilotes, etc.

Beaucoup de travail a été effectué afin de renforcer la sécurité à l'aide de correctifs pour Spectre et Meltdown, ainsi que du nettoyage de code.

Quant aux CPU, des améliorations apportent une prise en charge de fonctionnalités plus récentes. Il y a eu des mises à jour pour RISC-V, du support KVM pour la Secure Encrypted Virtualization (la virtualisation chiffrée) d'AMD, du pilote DAX d'Oracle, etc.

Du travail a été également mené pour améliorer la prise en charge des graphismes sur Cannonlake Gen10, l'affichage avec Jetson TX2, ainsi qu'en faveur de l'AMDKFD.

Source : https://fossbytes.com/linux-kernel-4-16-released-features-download/

“Safespaces” Is The First Open Source VR Desktop Environment For Linux When it comes to VR, we are mostly familiar with Google Daydream and other popularized names. But VR has made its way into the Linux as well. Although, people’s experience of things like SteamVR hasn’t been that great. But how about getting your hands on a Linux desktop environment in virtual reality? The minds who developed the Arcan display server are now up to something new: Safespaces. It’s a 3D/VR desktop environment currently in development. It’s designed to run on top of the Arcan display server. You can see it in action on a VR headset compatible with OpenHMD. According to a blog post, the Safespaces is designed in a way that its code can be reused with little changes. The developers have made sure they don’t end up imitating or repeating the design model of Windows, Android, Xorg, etc. The details of the open source VR desktop are available on GitHub. The developers warn that while testing the infant project, you might want to vomit. So, keep a bucket at hand. The idea of using a Linux desktop in VR sounds good. But in reality, it’s going to be a lot more than just playing games and watching roller coaster videos. It would be interesting to see how people manage to use their keyboard while putting on a headset unless one is a trained typist. Source: https://fossbytes.com/safespaces-first-open-source-vr-desktop-linux/

« Safespaces » est le premier environnement de bureau Open Source VR pour Linux

Pour ce qui est de la réalité virtuelle (VR), nous connaissons surtout Google Daydream et d'autres noms populaires. Mais la VR s'est frayé un chemin dans Linux aussi. Bien que l'expérience des gens avec des trucs comme SteamVR ne soit pas si géniale que cela.

Mais que diriez-vous de mettre la main sur un environnement de bureau Linux en réalité virtuelle ? Les cerveaux qui ont développé le serveur d'affichage Arcan s'occupent maintenant de quelque chose d'entièrement nouveau : Safespaces (Espaces sûrs).

Il s'agit d'un environnement de bureau en 3D/VR actuellement en développement, conçu pour tourner par-dessus le serveur d'affichage Arcan. Vous pouvez le voir fonctionner avec un casque de VR compatible avec Open HMD.

D'après le billet du blog, Safespaces est conçu de façon à ce que son code puisse être réutilisé avec peu de modifications. Les développeurs se sont assurés qu'ils ne finissent pas par imiter ou répéter le modèle de conception de Windows, Android, Xorg, etc.

Vous trouverez les détails du bureau VR Open Source sur GitHub. Les développeurs vous avertissent que pendant les tests du projet, qui est encore un bébé, vous pourriez avoir envie de vomir et voudrez sans doute garder un seau à portée de main.

L'idée d'utiliser un bureau Linux en VR a l'air bien. Mais, en réalité, il ne s'agit pas seulement de jouer à des jeux ou regarder des vidéos de montagnes russes. Ce serait intéressant de voir comment les gens arrivent à utiliser leur clavier tout en mettant un casque, à moins d'avoir une formation de dactylographe.

Source : https://fossbytes.com/safespaces-first-open-source-vr-desktop-linux/

Linux 4.17 Shredding 500,000 Lines Of Code, Killing Support For Older CPUs Whenever a new Linux kernel is released, it adds tons of new code to support some new hardware. Coupled with driver changes, fixes, and networking code, each release gets bulkier by thousands of lines of code. In case of upcoming Linux 4.17, the kernel is expected to lose some weight. This change will take place as this release will drop the support for a number of old CPU architectures, like Blackfin, Tile or MN10300. Along with the removal of CPU ports, the drivers exclusive to them will also be kicked out of the kernel’s code. From the above list, architectures like Tile, MN10300, and Blackfin are still being shipped in some products with older kernels. However, they won’t be updated to newer Linux releases. Unicore32 and Qualcomm’s Hexagon are two more architectures that are facing the risk of losing support; they both have outdated GCC releases. However, their developers have promised to improve the situation. As a result of this change, Linux 4.17 kernel will ship with 500,000 lesser lines of code. Currently, the kernel has 20.3 million lines of code. Source: https://fossbytes.com/linux-kernel-dropping-support-older-cpus-reducing-size/

Linux 4.17 détruira 500 000 lignes de code et abandonnera le support de CPU vieillissant

Chaque fois qu'un nouveau noyau Linux est publié, des tonnes de nouveau code sont ajoutées pour la prise en charge du matériel neuf. Avec des modifications de pilotes, des correctifs et du code réseau, chaque publication devient plus grosse de milliers de lignes de code.

Dans le cas de Linux 4.17, dont la sortie est imminente, on s'attend à ce que le noyau perde du poids. Ce changement aura lieu car cette publication abandonnera le support de nombreux processeurs à l'architecture vieillissante, comme Blackfin, Tile ou MN10300.

Accompagnant la suppression du portage de CPU, leurs pilotes exclusifs seront également chassés du code du noyau.

Étant donné la liste ci-dessus, des architectures comme Tile, MN10300 et Blackfin sont encore livrées dans des systèmes avec d'anciens noyaux qui ne seront pas mis à jour pour les nouvelles versions de Linux.

Unicore32 et Hexagon de Qualcomm sont deux autres architectures qui risquent de perdre leur prise en charge ; elles ont, toutes les deux, des versions de GCC périmées. Toutefois, leurs développeurs ont promis d'améliorer la situation.

Suite à ce changement, le noyau Linux 4.17 sera livré avec 500 000 lignes de code en moins. Actuellement, le noyau comporte 20,3 millions de lignes de code.

Source : https://fossbytes.com/linux-kernel-dropping-support-older-cpus-reducing-size/

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Mozilla Just Announced An Open Source Virtual Reality Browser: “Firefox Reality” There is a new version of Firefox for experiencing virtual and augmented realities. Known as Firefox Reality, the new open source web browser can work on stand-alone AR and VR headsets. It’s not the first in line; dedicated browsers for VR already exist. We have Edge on Hololens, an experimental Chrome version for DayDream, and more. Just like the normal Firefox, the open source web browser is designed to work across different platforms rather than limiting it to one or two headsets. However, there is no word from Mozilla about the platform compatibility. Mozilla said that they’ve built the Firefox Reality from scratch and worked hard to bring the browser from their years of experience and the technology they had put into Firefox Quantum. While they aren’t entirely aware of the privacy implications of mixed reality, privacy is one of the prime focal points during the development. Mozilla puts emphasis on the fact that web browsers will play an important role in shaping the future of AR, VR, and mixed reality. In the past, they’ve already added WebVR support with the release of Firefox 55. Firefox Reality is their effort to bring some openness in the mostly walled garden of the ‘reality’ ecosystem. Source: https://fossbytes.com/mozilla-firefox-reality-vr-ar-browser/

Mozilla vient d'annoncer un navigateur Open Source en réalité virtuelle : « Firefox Reality »

Une nouvelle version de Firefox permettant d'expérimenter les réalités virtuelles et augmentées, existe. Appelé Firefox Reality, ce nouveau navigateur Web Open Source peut fonctionner sur des casques AR et VR autonomes.

Ce n'est pas le premier : des navigateurs dédiés pour la réalité virtuelle existent déjà, notamment Edge sur Hololens et une version expérimentale de Chrome pour DayDream.

Tout comme la version standard de Firefox, le navigateur Web Open Source est conçu pour fonctionner sur diverses plateformes au lieu d'être limité à un ou deux casques. Cependant, Mozilla n'a pas donné de précisions sur la compatibilité entre les plateformes.

Mozilla dit que Firefox Reality a été créé à partir de zéro ; les équipes ont travaillé dur pour faire naître le navigateur de leurs années d'expérience et de la technologie qu'elles ont mise dans Firefox Quantum. Bien qu'elles ne soient pas tout à fait conscientes des implications pour la vie privée de la réalité mixte, la protection de la vie privée était l'un de leurs objectifs principaux pendant le développement.

Mozilla souligne le fait que les navigateurs Web jouent un rôle important dans la définition de l'avenir d'AR, VR et de la réalité mixte. Dans le passé, ils ont déjà ajouté le support de WebVR lors de la sortie de Firefox 55. Avec Firefox Reality, ils essaient d'apporter un peu d'Open Source dans le jardin souvent clos de l'écosystème « reality ».

Source : https://fossbytes.com/mozilla-firefox-reality-vr-ar-browser/

Valve insists there’s still life in Steam Machines and Linux gaming Valve has posted a spirited defence of both Steam Machines and the future of gaming on Linux on its Steam Community forums. Valve’s response comes after news that the company had removed prominent links on its Store to Steam Machines. These are compact, console-like gaming PCs that run a customised version of Linux called SteamOS. Many people took Valve’s move as a sign that the company was giving up on Steam Machines, as well as SteamOS, and while these were rather niche products, many people who were looking for a viable gaming alternative to Microsoft’s Windows 10 operating system were disappointed. The forum post, written by Valve employee Pierre-Loup Griffais, insists that the removal of any reference to Steam Machines was simply “a routine cleanup of the Steam Store navigation”, which was “removed from the main navigation bar based on user traffic”. Because this move sparked a large number of people to speculate on the future of Steam Machines, Valve decided to set the record straight. As the post acknowledges, “While it's true Steam Machines aren't exactly flying off the shelves, our reasons for striving towards a competitive and open gaming platform haven't significantly changed.” This means that Valve's commitment to Linux remains intact. Many gamers and developers aren’t too happy with the dominance of the Windows operating system for gaming PCs. Microsoft’s push to make its own Microsoft Store, a rival to Valve’s Steam store, an integral part of Windows 10 could be seen as a major reason why Valve wants to set up an alternative operating system. Source: https://www.techradar.com/news/valve-insists-theres-still-life-in-steam-machines-and-linux-gaming

Valve maintient que les Steam Machines et les jeux sous Linux sont encore en vie

Valve a posté une défense fougueuse des Steam Machines et de l'avenir des jeux sous Linux sur ses forums Steam Community.

Cette réponse de Valve arrive après la nouvelle que la société avait enlevé des liens bien visibles dans son Store vers les Steam Machines. Ce sont des PC pour jeux, qui sont compacts et similaires à des consoles qui exécutent une version personnalisée de Linux appelée SteamOS.

Beaucoup de gens ont compris l'annonce de Valve comme une indication que la société abandonnerait les Steam Machines, ainsi que SteamOS et, bien que ce soit des produits de créneau, beaucoup de gens qui cherchaient une bonne alternative au système d'exploitation Windows 10 de Microsoft pour jouer, étaient déçus. Le billet du forum, écrit par un employé de valve Pierre-Loup Griffais, insiste que la suppression de toute référence à Steam Machines n'était que le « nettoyage routinier de la navigation sur le site du Steam Store » ; on « l'avait supprimé de la barre de navigation principale, sur la base du trafic des utilisateurs ».

Parce que cela avait incité de nombreuses personnes à spéculer sur l'avenir des Steam Machines, Valve a décidé de rétablir la vérité. Comme le reconnaît le message, « Alors qu'il est vrai que les Steam Machines ne se vendent pas comme des petits pains, les motivations pour lesquelles nous nous efforçons d'obtenir une plate-forme de jeu compétitive et ouverte n'ont pas changé de manière significative. »

Cela signifie que l'engagement de Valve envers Linux reste entier. La suprématie du système d'exploitation Windows pour les PC de jeu rend beaucoup de joueurs et de développeurs assez malheureux. L'offensive de Microsoft pour faire de son propre Microsoft Store, un concurrent du Steam Store de Valve, une partie intégrante de Windows, pourrait être considérée comme une raison majeure pour laquelle Valve souhaite mettre sur pied un système d'exploitation alternatif.

Source : https://www.techradar.com/news/valve-insists-theres-still-life-in-steam-machines-and-linux-gaming

MIT Researchers Create ‘AlterEgo’ Headset That Interprets User’s Thoughts Many of us, at some point, have wished for a gadget that could perform tasks without so much as lifting a finger to type or even speaking. Our wish might just come true because researchers from MIT have built a computer interface that can read your thoughts. They have developed a headset named AlterEgo that can interpret words that are spoken out loud in mind without actually speaking. This invention outdoes virtual assistants like Siri or Alexa that require voice commands to trigger a response. AlterEgo is a wearable headset that wraps around the user’s ear and jaw, and the computing system integrated in the device processes the data picked up by its sensors. When we speak in mind, neuromuscular signals are generated in our jaw and face. These signals are fed to the machine-learning system of AlterEgo which can later correlate particular signals with particular words. The idea was to develop a computing platform that “melds human and machine” in a certain way and acts as “an internal extension of our own cognition,” said Arnav Kapur, the lead researcher on this project. Source: https://fossbytes.com/mit-researchers-alterego-headset-silent-speech/

Les chercheurs du MIT créent un casque « AlterEgo » qui interprète les pensées de l'utilisateur

À un moment quelconque, beaucoup parmi nous ont désiré un gadget qui pourrait accomplir des tâches sans que nous n'ayons besoin de faire quoi que ce soit, sans taper sur le clavier, sans même parler. Ce vœu pourrait peut-être se réaliser, car des chercheurs du MIT ont construit une interface d'ordinateur qui peut lire dans vos pensées.

Ils ont développé un casque appelé AlterEgo qui sait interpréter des mots énoncés dans votre tête sans que vous parliez réellement. Cette invention fait mieux que les assistants virtuels comme Siri ou Alexa, qui nécessitent des commandes vocales pour déclencher une réponse.

AlterEgo est un casque qui se porte et qui entoure l'oreille et la mâchoire de l'utilisateur ; le système informatique intégré au dispositif traite les données récupérées par des capteurs.

Quand nous parlons dans notre tête, des signaux neuromusculaires sont générés dans nos mâchoire et visage. Ces signaux sont transmis au système d'apprentissage machine d'AlterEgo qui peut, plus tard, mettre des signaux précis en corrélation avec des mots spécifiques.

L'idée était de développer une plateforme informatique qui, d'une certaine manière, « fusionne l'humain et la machine » et agit comme « une extension interne de notre propre cognition », a dit Arnav Kapur, le chercheur principal du projet.

Source : https://fossbytes.com/mit-researchers-alterego-headset-silent-speech/

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Slimbook Curve: Enjoy Using Linux On This 24“ Curved Screen All-In-One Powerhouse Slimbook has added another machine to their PC lineup which lets people experience Linux on quality machines. Their latest offering is an All-In-One desktop computer called Slimbook Curve. As the name suggests, it lets you use your favorite Linux distro on a 24-inch FHD curved screen display that is enclosed in a beautiful aluminum body. Slimbook Curve comes with all the features and enough power a regular user would want from their PC. Users can pick between an Intel Core i7-7500 and Core i5-7200 CPUs, add up to 16 gigs of DDR4 RAM, and up to 1TB of SSD storage. A secondary storage can be added as well. It also includes built-in speakers, Bluetooth 4, 6 USB ports, and a WiFi-AC chip onboard. An Intel HD 620 chip handles the graphics department. The absence of a discrete GPU could be a turn down for many. It somewhat digestible as dedicated graphics chips aren’t a common sight on AIOs. Another drawback could be its 7th generation Intel chip, but given the compatibility needs of Linux operating systems, again this could be acceptable. Source: https://fossbytes.com/kde-slimbook-curve-aio-24-inch-curved-screen/

Slimbook Curve : utilisez Linux avec grand plaisir sur cette véritable locomotive tout-en-un à écran courbé de 24”

Slimbook a ajouté une autre machine à sa gamme de PC qui permet d'expérimenter Linux sur des machines de qualité. Sa dernière en date est un ordinateur de bureau tout-en-un appelé le Slimbook Curve.

Comme son nom le laisse supposer, il vous permet d'utiliser votre distribution Linux préférée sur un écran courbe FHD de 24“ dans un beau corps en aluminium. Slimbook Curve est livré avec toutes les caractéristiques et la puissance suffisante qu'un utilisateur lambda voudrait trouver dans son PC.

Les utilisateurs peuvent choisir entre un processeur Intel Core i7-7500 et un Core i5-7200, ajouter jusqu'à 16 Go de RAM DDR4 et jusqu'à 1 To de stockage sur SSD. Un stockage secondaire peut aussi être ajouté. Il comprend également des haut-parleurs incorporés, Bluetooth 4, 6 ports USB et une puce WiFi-AC incorporée.

Les graphismes sont traitées par une puce Intel HD 620 ; l'absence d'un processeur graphique dédié peut être une cause de rejet pour beaucoup. C'est plus ou moins acceptable puisqu'on ne trouve pas souvent de puces graphiques dédiées dans des ordinateurs tout-en-un. Un autre désavantage pourrait être sa puce Intel de la 7e génération, mais, étant donné les besoins de compatibilité des systèmes d'exploitation Linux, à nouveau, cela pourrait être acceptable.

Source : https://fossbytes.com/kde-slimbook-curve-aio-24-inch-curved-screen/

Update for Ubuntu 16.04 LTS patches security vulnerabilities Canonical has released a kernel update for Ubuntu 16.04 LTS. The “important update” patches 39 security vulnerabilities, according to a report by Softpedia. The update covers Ubuntu 16.04 LTS and its official derivatives, including Kubuntu, Lubuntu, and Xubuntu. Security fixes contained in the update cover a wide range of issues, such as vulnerabilities in the Linux kernel’s USB over IP implementation – which allowed remote attacks. The kernel update is available for 64-bit and 32-bit Linux kernel packages of Ubuntu 16.04 LTS using the Linux 4.4 kernel, along with Raspberry Pi 2 and Amazon Web Services systems. Source: https://mybroadband.co.za/news/security/255213-update-for-ubuntu-16-04-lts-patches-security-vulnerabilities.html

Une mise à jour d'Ubuntu 16.04 LTS corrige des vulnérabilités de sécurité

Canonical a publié une mise à jour du noyau pour Ubuntu 16.04 LTS. D'après un rapport de Softpedia, la « mise à jour importante » corrige 39 vulnérabilités sécuritaires.

La mise à jour concerne Ubuntu 16.04 LTS et ses dérivés officiels, notamment Kubuntu, Lubuntu et Xubuntu.

Les correctifs de sécurité contenus dans la mise à jour couvrent un large éventail de problèmes, tels que les vulnérabilités dans le noyau Linux de l'implémentation d'« USB over IP » qui permettait des attaques à distance.

La mise à jour du noyau est disponible pour les paquets de noyau Linux 64- et 32-bit d'Ubuntu 16.04 LTS utilisant le noyau Linux 4.4, ainsi que pour les systèmes Raspberry Pi 2 et Amazon Web Services.

Source : https://mybroadband.co.za/news/security/255213-update-for-ubuntu-16-04-lts-patches-security-vulnerabilities.html

Should Ubuntu Linux Replace Alpha/Beta Release Model With “Testing Weeks”? One of the biggest advantages of open source technology projects is that everybody from the community is free to float an idea and if it gains community support, it could be turned into reality. Along the similar lines, well-known Ubuntu developer Simon Quigley has suggested an idea that might change the Ubuntu Linux development process. In an Ubuntu mailing list post, he has proposed to get rid of Alpha and Beta 1 milestones entirely. But, why has he made this proposal? Well, a couple of recent developments made him question the usefulness of the current milestone model. First was the cancellation of alpha releases and then missing of Lubuntu Beta 1 due to some bugs. He also said that while Alpha 1 images are time bound and shipped as “safe to install” for testing. But that’s not the case; most of the time, due to a given timeline, these releases are shipped with bugs which could have been fixed with some effort. Instead of the current model, he proposed a monthly “testing week” that would go from Tuesday to Thursday. It won’t involve existing milestones like archive freeze or formally released ISOs. Throughout the week, the users would be able to download bleeding edge ISOs. As per Quigley, he has discussed the proposal with developers of Xubuntu, Ubuntu MATE, Kubuntu, and Ubuntu Budgie. Source: https://fossbytes.com/ubuntu-linux-replace-alpha-beta-release-model-test-weeks/

Traduction retirée à la demande du Scribeur et l'acceptation des parties prenantes, car le même article paraît plus loin aussi !!!

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Red Hat Enterprise Linux 7.5 Officially Released, Enhances Hybrid Cloud Security The fifth maintenance update of Red Hat's enterprise-ready Linux-based operating system, Red Hat Enterprise Linux 7.5 is here to add yet another layer of performance and security enhancements to existing installations, as well as a plethora of new features with new deployments, which would mostly benefit enterprise customers on the desktop, server, and cloud infrastructures. Fully patched against the Meltdown and Spectre security vulnerabilities, Red Hat Enterprise Linux 7.5 integrates the Red Hat Ansible Automation tool with OpenSCAP, a collection of Open Source utilities for implementing and enforcing the Security Content Automation Protocol (SCAP) standard, and provides further integration with Microsoft's Windows infrastructure in Microsoft Azure and on-premise. Red Hat Enterprise Linux 7.5 also adds support for more securely unlock of Network Bound Disk Encrypted devices during boot up, process, implements a virtual data optimizer (VDO) technology designed to reduce data redundancy through inline deduplication and compression, leading to massive cost reductions for active storage and storing of monthly snapshots, and brings a much simplified management web-based interface for IT admins. Source: http://news.softpedia.com/news/red-hat-enterprise-linux-7-5-officially-released-enhances-hybrid-cloud-security-520611.shtml

Sortie officielle de Red Hat Enterprise Linux 7.5 qui augmente la sécurité du Nuage hybride

La cinquième mise à jour de maintenance du système d'exploitation basé sur Linux et prêt pour les entreprises de Red Hat, Red Hat Enterprise Linux 7.5, est arrivée pour ajouter encore une couche d'améliorations de performance et de sécurité à des installations existantes, ainsi qu'une pléthore de nouvelles fonctionnalités avec de nouveaux déploiements, au bénéfice, pour la plupart, des clients d'entreprise sur des infrastructures de bureau, serveur et nuage.

Entièrement patchée contre les vulnérabilités sécuritaires Meltdown et Spectre, Red Hat Enterprise Linux 7.5 intègre l'outil d'automatisation Ansible de Red Hat avec OpenSCAP, une collection d'utilitaires Open Source pour implémenter et appliquer le Protocole d'automatisation des contenus de sécurité (SCAP) standard, et fournit une intégration plus poussée avec l'infrastructure Windows de Microsoft dans Microsoft Azure et sur site.

Red Hat Enterprise Linux 7.5 ajoute également la prise en charge du déverrouillage sûr des dispositifs Network Bound Disk Encrypted (dont le disque est crypté avec Network Bound) pendant le démarrage et les processus, implémente une technologie d'optimisation des données virtuelles (virtual data optimizer VDO) conçue pour réduire la redondance des données par déduplication et compression en ligne, amenant des réductions massives de coûts pour du stockage actif et le stockage d'instantanés mensuels et fournit une interface de gestion basée sur le Web et très simplifiée pour les administrateurs informatiques.

Source : http://news.softpedia.com/news/red-hat-enterprise-linux-7-5-officially-released-enhances-hybrid-cloud-security-520611.shtml

Disappearing data under ZFS on Linux sparks small, swift upgrade Maintainers of ZFS on Linux have hustled out a new version after the previous release created the impression of data loss. ZFS on Linux 0.7.7 only landed on March 21st, but as this GitHub thread titled “Unlistable and disappearing files”, users experienced “Data loss when copying a directory with large-ish number of files.” The bug meant that attempts copies produced errors that claimed the filesystem was full and resulted in files just not arriving at their intended destinations. Users verified the problem under a few Linuxes and quickly debated whether to roll back or wait for relief. The new version was created with impressive speed: the thread reporting the bug was started on April 7th 2018 and the fix landed three days later. So even though three reviewers signed off on the cruddy commit, the speedy response may mean it’s possible to consider this a triumph of sorts for open source. Source: https://www.theregister.co.uk/2018/04/10/zfs_on_linux_data_loss_fixed/

Disparition de données sous ZFS on Linux déclenche une petite mise à niveau rapide

Les mainteneurs de ZFS on Linux n'ont pas attendu pour sortir une nouvelle version après que la publication précédente a créé l'impression d'une perte de données.

ZFS on Linux 0.7.7 n'est arrivé que le 21 mars, mais, comme signalé par ce fil sur GitHub, appelé « Unlistable and disappearing files » (des fichiers impossibles à lister et qui disparaissent) des utilisateurs ont eu « une perte de données quand ils ont copié un répertoire avec un assez grand nombre de fichiers ».

Le bogue signifiant que des tentatives de copier des fichiers produisaient des erreurs qui prétendaient que le système de fichiers était plein, le résultat étant que des fichiers ne sont jamais arrivés à destination.

Des utilisateurs ont vérifié le problème sous quelques distributions Linux et ont essayé rapidement de décider s'il valait mieux revenir en arrière ou attendre les secours.

La vitesse de création de la nouvelle version a été impressionnante : le fil qui rapportait le bogue fut commencé le 7 avril 2018 et le correctif fut livré trois jours plus tard. Ainsi, bien que trois critiques aient signé un commit rudimentaire, cette réponse rapide peut être considérée, en quelque sorte, comme un triomphe pour l'Open Source.

Source : https://www.theregister.co.uk/2018/04/10/zfs_on_linux_data_loss_fixed/

KDE Connect receives Nautilus connection For quite some time, several developers working around the KDE project have been working on a new system that will unify notifications from Android smartphones and the plasma desktop. KDE Connect is to bring some notifications and other features of the smartphone to the KDE desktop. These include, among other things, the display of incoming calls and short messages, notifications or an alarm of an app and the battery status. But also the reverse way is possible. For example, plasma messages can be displayed on a smartphone, which can exchange clipboard contents or even files between the various devices. In addition, the phone can be used as a remote control for multimedia applications under Linux. With the now announced version 1.3, the team has opened the interface further towards Gnome and KDE Connect donated a connection to Nautilus. Among other things, the extension extends the file manager with a menu that allows the transmission of files. Also new in the current version is the handling of »tel:« links and the support of album output via MPRIS. Furthermore, wildcards can now be used to distribute files, and notifications no longer cause the extension to crash. Source: http://www.pro-linux.de/news/1/25784/kde-connect-erh%C3%83%C2%A4lt-nautilus-anbindung.html

KDE Connect reçoit une connexion Nautilus

Depuis pas mal de temps, plusieurs développeurs travaillant au sein du projet KDE sont en train de développer un nouveau système qui unifiera les notifications des smartphones Android et l'environnement de bureau plasma. KDE Connect va apporter quelques notifications et autres fonctionnalités du smartphone au bureau KDE. Elles comprennent, notamment, l'affichage d'appels entrants et de courts messages, des notifications ou un avertissement d'une application et du statut de la batterie. Mais il est possible d'aller en sens contraire. Par exemple, des messages plasma peuvent être affichés sur un smartphone qui peut échanger le contenu du presse-papier ou même des fichiers entre les divers dispositifs. En plus, on peut utiliser le téléphone comme télécommande pour des applications multimédia sous Linux.

Avec la version 1.3, annoncée actuellement, l'équipe a ouvert l'interface un peu plus vers Gnome et KDE Connect et a donné une connexion à Nautilus. Entre autres, l'extension étend le gestionnaire de fichiers avec un menu qui permet la transmission de fichiers. Également nouveau dans la version actuelle est le traitement des liens »tel:« et le support de la sortie d'album via MPRIS. Qui plus est, des jokers peuvent maintenant servir à la distribution des fichiers et les notifications ne provoquent plus le plantage de l'extension.

Source : http://www.pro-linux.de/news/1/25784/kde-connect-erh%C3%83%C2%A4lt-nautilus-anbindung.html

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GameMode: Boost Your Linux Gaming Performance With This Open Source Tool If you use Linux or macOS and you’re into gaming, the chances are that you might have heard about Feral Interactive. They’re known to develop and port games from their partners to other platforms, including Tomb Raider, Batman: Arkham, etc. To make sure that you can utilize your Linux machine’s horsepower to the fullest, Feral has released a new open source tool named GameMode. As the name suggests, this tool tells the CPU to run in Performance Mode whenever a game is being played. Once you’re done with your gaming session, Feral automatically brings down the performance level to the normal. “GameMode is a daemon/lib combo for Linux that allows games to request a set of optimizations be temporarily applied to the host OS,” the GitHub page of tool describes. The first gaming title to integrate GameMode optimization is Rise of the Tomb Raider, which is a new action-adventure title coming to Linux. GameMode developers have recommended the users to grab the tool directly from your distro repositories. At the moment, AUR and Solus packages have been made available. Source: https://fossbytes.com/gamemode-boost-linux-gaming-performance-open-source-tool/

GameMode : augmenter vos performances aux jeux sous Linux avec cet outil Open Source

Si vous utilisez Linux ou macOS et que les jeux vous passionnent, il est probable que vous ayez entendu parler de Feral Interactive. Ils sont connus pour le développement et le portage de jeux de leurs partenaires vers d'autres plateformes, y compris Tomb Raider, Batman: Arkham et ainsi de suite.

Pour s'assurer que vous pouvez utiliser pleinement la puissance de votre machine sous Linux, Feral a sorti un nouvel outil Open Source nommé GameMode. Comme son nom l'indique, l'outil dit au processeur de se mettre en mode Performance chaque fois qu'un jeu est en cours.

Une fois la session de jeu terminée, Feral ramène automatiquement le niveau des performances à la normale.

« GameMode est une combinaison de démon/bibli pour Linux qui permet aux jeux de demander qu'un ensemble d'optimisations soit temporairement appliqué à l'OS hôte », affirme la page GitHub de l'outil.

Le premier jeu à intégrer l'optimisation GameMode est Rise of the Tomb Raider, un nouveau titre d'action/aventure qui arrive sous Linux.

Les développeurs de GameMode recommandent aux utilisateurs de récupérer l'outil directement depuis les dépôts de votre distribution. Pour l'instant, les paquets AUR et Solus sont disponibles.

Source : https://fossbytes.com/gamemode-boost-linux-gaming-performance-open-source-tool/

System76 becomes GNOME Foundation Advisory Board member System76 has long been a huge champion of both Linux and open source. If you aren't familiar, the company sells premium computers running the Ubuntu operating system. Recently, the company decided to create its own Ubuntu-based distro called “Pop!_OS” which uses the GNOME desktop environment. Today, Denver, Colorado-based System76 takes its commitment to GNOME even further by becoming a Foundation Advisory Board member. It joins other respected companies on the board such as Google, Red Hat, and Canonical to name a few. Louisa Bisio, Marketing Director, System76 explains, “Less than a year ago, we launched Pop!_OS, and the community that's grown up around it has been fantastic and continues to evolve. We're excited to join the GNOME Foundation Advisory board and continue our engagement with the wider free software community.” System76 joining the GNOME Foundation Advisory Board is very appropriate, as the company doesn’' just use GNOME for its operating system, but it contributes back to the desktop environment too. In other words, System76 has positive influence over the future of GNOME, and its joining the board should prove quite beneficial. Source: https://betanews.com/2018/04/11/system76-gnome-foundation-advisory-board/

System76 devient membre du conseil consultatif de la GNOME Foundation

Depuis longtemps, System76 est un énorme défenseur de Linux et de l'Open Source. Si vous ne la connaissez pas, l'entreprise vend des ordinateurs haut de gamme incluant le système d'exploitation Ubuntu. Récemment, l'entreprise a décidé de créer sa propre distribution, basée sur Ubuntu et nommée « Pop!_OS » qui utilise l'environnement de bureau GNOME.

Aujourd'hui, System76, basée à Denver dans le Colorado, s'engage encore davantage envers GNOME en devenant un membre du conseil consultatif de la Foundation. Ainsi, elle rejoint d'autres entreprises reconnues, membres du conseil, notamment Google, Red Hat et Canonical.

Louisa Bisio, Directrice de la vente à System76 explique : « Il y a moins d'un an, nous avons lancé Pop!_OS et la communauté qui s'accroît autour est fantastique et continue à évoluer. Nous sommes ravis de faire partie du conseil consultatif de la GNOME Foundation et de continuer ainsi notre implication dans la communauté élargie des Logiciels libres. »

Devenir membre du conseil consultatif de la GNOME Foundation est très pertinent, car l'entreprise fait beaucoup plus qu'utiliser GNOME pour son système d'exploitation, en contribuant également à l'environnement de bureau. En d'autres termes, System76 a une influence positive sur l'avenir de GNOME et le fait qu'elle fasse partie du conseil ne peut que profiter à GNOME.

Source : https://betanews.com/2018/04/11/system76-gnome-foundation-advisory-board/

Google Fuchsia is not Linux: So, what is it and who will use it? Fuchsia, Google tells us in some recently revealed documentation, is not Linux. So, what is it then? And what's it good for? Google has been working on this open-source operating system since the summer of 2016. At first, we thought Fuchsia was for Internet of Things (IoT) devices. We now know it can also power Chromebooks and smartphones. Is it a replacement for Android and Chrome OS? Good question. It's not clear what Google plans for it. We do know it runs on Google's high-end, Chrome-OS powered Pixelbook. You can also install it on Acer Switch 12 and Intel NUC and, eventually, on a Raspberry Pi 3. Fuchsia developer Travis Geiselbrecht said in a Fuchsia IRC discussion that Fuchsia isn't “a toy thing.” He added that it's not a 20-percent project – and “it's not a dumping ground of a dead thing that we don't care about anymore.” A 20-percent project is when Google developers work on something because it interests them rather than because it's part of their job. The most popular theory is to “replace Android and Chrome OS.” No. Just no. Both operating systems are popular with users and developers. Android is the world's most popular operating system. Besides, if you're a programmer, would you want to move literally over a million Android apps to a new platform? I don't think so! I suspect Fuchsia will find its home in virtual reality, augmented reality, or other “still to come” technologies. It's not a replacement for what we already have; it's a door to a future we're not living in yet. Source: https://www.zdnet.com/article/google-fuchsia-is-not-linux-so-what-is-it-and-who-will-use-it/

Google Fuchsia n'est pas Linux : qu'est-ce donc et qui va l'utiliser ?

Google nous dit dans des documents révélés récemment que Fuchsia n'est pas Linux. Alors qu'est-ce que c'est ? Et à quoi sert-il ?

Google travaille sur ce système d'exploitation Open Source depuis l'été 2016. Nous pensions d'abord que Fuchsia servirait aux dispositifs connectés (IoT - Internet of Things). Nous savons maintenant qu'il peut faire fonctionner les Chromebooks et smartphones.

S'agit-il d'un remplaçant d'Android et de Chrome OS ? C'est une bonne question. Les projets de Google le concernant ne sont pas clairs. Nous sommes sûrs qu'il tourne sur le Pixelbook, haut de gamme propulsé par Chrome OS de Google. Il peut être installé sur des Acer Switch 12 et Intel NUC et, un jour ou l'autre, sur un Raspberry Pi 3.

Travis Geiselbrecht, l'un des développeurs de Fuchsia, a dit, lors d'une discussion IRC sur Fuchsia, que Fuchsia n'est pas « un truc pour jouer ». Il ne s'agit pas d'un projet à 20 pour cent, et « ce n'est pas le dépotoir d'un truc mort qui ne nous préoccupe plus ». Un projet à 20 pour cent est quand les développeurs de Google travaillent sur quelque chose qui les intéresse plutôt que sur leur boulot réel. La théorie la plus populaire, c'est qu'il doit « remplacer Android et Chrome OS ». Non. Non tout court.

Les deux systèmes d'exploitation sont populaires parmi les utilisateurs et les développeurs. Android est le système d'exploitation le plus populaire au monde. D'ailleurs, si vous êtes programmeur voudriez-vous faire migrer littéralement plus d'un million d'applis Android vers une nouvelle plateforme ? Je n'y crois pas une seconde !

Je suppose que Fuchsia trouvera sa place dans la réalité virtuelle, la réalité augmentée ou dans d'autres technologies pas encore inventées. Il ne viendra pas remplacer ce que nous connaissons déjà ; c'est une porte vers un avenir dans lequel nous ne vivons pas encore.

Source : https://www.zdnet.com/article/google-fuchsia-is-not-linux-so-what-is-it-and-who-will-use-it/

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Ubuntu 18.04 LTS Integrates Canonical Livepatch for Rebootless Kernel Updates Canonical Livepatch is a free and commercial solution for applying Linux kernel updates without rebooting your Ubuntu computer. Initially designed for the Ubuntu 16.04 LTS (Xenial Xerus) operating system series, Canonical's kernel livepatch service is coming in an easier-to-use form in Ubuntu 18.04 LTS, due for release on April 26. The Software & Updates utility found in the default Ubuntu installation now integrates the Canonical Livepatch service in the Updates tab, but, to use it, you'll have to create an Ubuntu SSO (Single Sign-On) account and login with it by clicking on the “Sign In” button (see the screenshot gallery below for details). Promising to increase the security of your Ubuntu Linux computer between restarts, the Canonical Livepatch provides a more convenient method for installing kernel patches, which Canonical releases on a regular basis for all of its supported Ubuntu releases. However, it's functionality is limited to only three machines. If you need to use Canonical Livepatch on more than three computers, you'll have to purchase an Ubuntu Advantage subscription. As expected, the Canonical Livepatch service uses Canonical's Snappy technologies to apply kernel security patches without restarts via Snap packages. Source: http://news.softpedia.com/news/ubuntu-18-04-lts-integrates-canonical-livepatch-for-rebootless-kernel-updates-520680.shtml

Ubuntu 18.04 LTS intègre le Canonical Livepatch pour des mises à jour du noyau sans redémarrage

Canonical Livepatch est une solution gratuite et commerciale pour l'application de mises à jour du noyau Linux sans redémarrer votre ordinateur sous Ubuntu. Conçu au départ pour la série de systèmes d'exploitation Ubuntu 16.04 LTS (Xenial Xerus), le service livepatch du noyau de Canonical arrive dans Ubuntu 18.04 LTS, annoncé pour le 26 avril, où il sera plus facile à utiliser.

L'utilitaire Software & Updates (Ndt : Logiciels et mises à jour) dans l'installation par défaut d'Ubuntu intègre maintenant le service Canonical Livepatch dans l'onglet Mises à jour ; mais, pour l'utiliser, il faut créer un compte Ubuntu SSO (Single Sign-On, à authentification unique) et s'y connecter en cliquant sur le bouton « Se connecter » (voir la galerie de captures d'écran ci-dessous pour les détails).

Promettant d'augmenter la sécurité de votre ordinateur Ubuntu Linux entre les redémarrages, le Canonical LivePatch fournit une méthode plus commode d'installation des correctifs du noyau, que Canonical publie régulièrement pour toutes ses versions d'Ubuntu supportées. Cependant, sa fonctionnalité est limitée à seulement trois machines.

Si vous devez utiliser Canonical Livepatch sur plus de trois ordinateurs, il faut acheter un abonnement à Ubuntu Advantage. Comme attendu, le service Canonical Livepatch utilise les technologies Snappy de Canonical pour appliquer les correctifs sécuritaires du noyau sans redémarrage avec des paquets Snap.

Source : http://news.softpedia.com/news/ubuntu-18-04-lts-integrates-canonical-livepatch-for-rebootless-kernel-updates-520680.shtml

Microsoft Creates Its Own Version of Linux For The First Time, Launches Azure Sphere OS With the onslaught of Internet of Things devices, ensuring its security has become a major concern among the makers. In a bid to safeguard IoT products, Microsoft has introduced Azure Sphere, a technology that will revamp the security of microprocessors that powers the smart appliances and gadgets we use. Azure Sphere is a package of products which includes a new design for chips that could be integrated with smart devices. And the most interesting part is Microsoft, which once called Linux a “cancer,” has used the open-source operating system to create this technology. However, Microsoft’s love for Linux has increased in the recent years. A proof which has been the addition of robust support for Linux in its Azure cloud platform, which allows developers to integrate Linux with Windows 10. Microsoft has adopted a combined approach through Azure Sphere which uses hardware, software and the cloud to secure internet-connected devices. Source: https://fossbytes.com/microsoft-introduces-azure-sphere-customized-linux-kernel/

Pour la première fois, Microsoft crée sa propre version de Linux et lance Azure Sphere OS

Avec l'avalanche des dispositifs connectés (IoT, Internet of Things), assurer leur sécurité est devenu une préoccupation majeure pour les fabricants. Dans une recherche pour sécuriser les produits IoT, Microsoft a présenté Azure Sphere, une technologie qui restructurera la sécurité des microprocesseurs qui propulsent les appareils et gadgets connectés que nous utilisons.

Azure Sphere est un ensemble de produits qui comporte une nouvelle conception pour les puces qui pourrait s'intégrer aux dispositifs connectés. Et le plus intéressant est que Microsoft, qui jadis disait que Linux était un « cancer », s'est servi du système d'exploitation Open Source pour créer cette technologie.

Cependant, l'amour de Microsoft pour Linux a augmenté au cours des dernières années. Une preuve en est l'ajout d'un support solide de Linux dans sa plateforme Azure Cloud, qui permet aux développeurs d'intégrer Linux à Windows 10. Microsoft utilise une approche combinée avec Azure Sphere qui sécurise des dispositifs connectés avec le matériel, les logiciels et le nuage.

Source : https://fossbytes.com/microsoft-introduces-azure-sphere-customized-linux-kernel/

Linus Torvalds Kicks Off Linux 4.17 Development, Teases the Linux 5.0 Release At the end of every Linux kernel development cycle, the merge window opens for the next release, in this case, Linux 4.17. Now, two weeks later, the merge window is closed, and public testers can start downloading, compiling, and installing the upcoming Linux 4.17 kernel on their favorite GNU/Linux distributions. As this is a development version, it's not recommended for deployment in production machines. Linux kernel 4.17 doesn't look to be a big release, and it won't include any major new features, according to Linus Torvalds, which teased the Linux community with the future release of the Linux 5.0 kernel series. While the Linux 5.0 kernel release would happen someday, we're talking a closer look at Linux kernel 4.17 series in this article, as the first Release Candidate (RC) milestone removes support for a bunch of hardware architectures, including M32R, Metag, FR-V, Blackfin, CRIS, MN10300, TILE, and S+core. On the other hand, it adds support for a new architecture, namely NDS32, a 32-bit RISC architecture developed by Andes Technology. In numbers, the Linux 4.17 kernel series changes a total of 13538 files, with 627723 insertions and 818855 deletions. Source: http://news.softpedia.com/news/linus-torvalds-kicks-off-linux-4-17-development-teases-the-linux-5-0-release-520712.shtml

Linus Torvalds lance le développement de Linux 4.17 tout en donnant un avant-goût de Linux 5.0

À la fin de chaque cycle de développement du noyau Linux, la fenêtre de fusion s'ouvre pour la prochaine version, dans ce cas, Linux 4.17. Maintenant, deux semaines plus tard, la fenêtre de fusion s'est fermée et les testeurs publics peuvent commencer à télécharger, compiler et installer le prochain noyau Linux 4.17 sur leurs distributions GNU/Linux préférées.

Comme il s'agit d'une version de développement, son déploiement sur des machines de production n'est pas recommandé. Le noyau Linux 4.17 ne donne pas l'impression d'être une version conséquente : elle ne comportera aucune nouvelle fonctionnalité majeure, d'après Linux Torvalds, aguichant la communauté Linux avec la sortie à venir de la série 5.0 du noyau Linux.

Bien que la version 5.0 du noyau Linux arrivera un jour ou l'autre, dans cet article, nous regardons la série 4.17 du noyau Linux de plus près, puisque la première version RC (Release Candidate), une étape importante, supprime le support pour un tas d'architectures matérielles, y compris M32R, Metag, FR-V, Blackfin, CRIS, MN10300, TILE et S+core.

En revanche elle ajoute le support d'une nouvelle architecture, à savoir la NDS32, une architecture RISC à 32 bits développée par Andes Technology. Quant aux chiffres, la série 4.17 du noyau Linux modifie 13 538 fichiers au total, avec 627 723 insertions et 818 855 suppressions.

Source : http://news.softpedia.com/news/linus-torvalds-kicks-off-linux-4-17-development-teases-the-linux-5-0-release-520712.shtml

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Resolve issues between Python and Linux with virtualenv Developers and system administrators need to use Python and Linux together while these two versions of Python are available. The best path for many IT organizations is to run version 2.x and 3.x at the same time on a system. Linux and Python run into messy situations due to the two versions. To illustrate, the request which python on a new Ubuntu server yields the response: /usr/bin/python The Ubuntu server runs Python 2. An admin can install Python 3 in addition and use Python 3. To run a Linux system with Python 3, always include python3 instead of python, or create an alias that points to python3 or a soft link that enables the user simply to type python. When users install Python packages, they go into two folders, depending on whether they use the package manager pip2 or pip3. Put the wrong version of Python into the wrong folder on the Linux box, and you can end up with an unrecoverable situation . An admin might drill down and try to install the Depends on packages in an attempt to fix the situation, but that can create a further mess (see Figure 2). Admins typically fix broken dependencies via sudo apt-get install -f, but this method is usually ineffective with Python and Linux. To resolve Python and Linux problems, install the virtualenv Python environment isolation tool. Virtualenv creates multiple Python environments for multiple users. It works by installing Python 2 and Python 3 binaries in the target folder, which is preferably the user's home folder. Then, it installs Python packages in (target folder)/lib. It also can share system wide packages. Source: https://searchitoperations.techtarget.com/tutorial/Resolve-issues-between-Python-and-Linux-with-virtualenv

Résoudre les problèmes entre Python et Linux avec virtualenv

Les développeurs et les administrateurs système doivent utiliser Python et Linux ensemble alors que deux versions de Python sont disponibles. La meilleure solution pour de nombreuses organisations informatiques est d'exécuter les versions 2.x et 3.x parallèlement sur un même système.

Linux et Python s'exécutent dans des environnements désordonnés en raison des deux versions. Pour illustrer, la requête qui lance python sur un nouveau serveur Ubuntu donne la réponse :

/usr/bin/python

Le serveur Ubuntu exécute alors Python 2. Un administrateur peut installer Python 3 en complément et utiliser Python 3. Pour exécuter un système Linux avec Python 3, incluez toujours python3 au lieu de python, ou créez un alias qui pointe vers python3 ou un lien logiciel qui permette à l'utilisateur de simplement taper python.

Lorsque les utilisateurs installent des paquets Python, ils vont dans deux dossiers, selon qu'ils utilisent le gestionnaire de paquets pip2 ou pip3.

Mettez la mauvaise version de Python dans le mauvais dossier sur un système Linux, et vous pouvez vous retrouver avec une situation irrémédiable.

Un administrateur peut forcer un retour en arrière et essayer d'installer les dépendances des paquets dans l'espoir de corriger la situation, mais cela peut créer un autre désordre (voir figure 2). Les administrateurs corrigent généralement les dépendances cassées via sudo apt-get install -f, mais cette méthode est généralement inefficace avec Python et Linux.

Pour résoudre les problèmes avec Python et Linux, installez l'outil d'isolation de l'environnement Python virtualenv, qui va créer différents environnements Python pour plusieurs utilisateurs. Il fonctionne en installant les binaires Python 2 et Python 3 dans le dossier cible, qui est de préférence le dossier personnel de l'utilisateur. Ensuite, il installe les paquets Python dans (dossier cible)/lib. Il peut aussi partager des paquets à l'échelle du système.

Source : https://searchitoperations.techtarget.com/tutorial/Resolve-issues-between-Python-and-Linux-with-virtualenv

Federal administration relies on Nextcloud In order to save and exchange documents, the German federal administration will use Nextcloud in the future. The open-source cloud should run on its own server infrastructure, project staff do the support. Around 300,000 users are members of the federal administration, which has been looking for a file-sharing and sync solution in a call for tenders via its IT service provider ITZ Bund (Federal Information Technology Center). It is all about the fact that the employees quickly and easily exchange documents and keep, but also work together on these. The contract was awarded Nextcloud. The ITZ Bund has been running the cloud solution since October 2016 with about 5,000 users in the test. Thanks to a Nextcloud Enterprise subscription, the Nextcloud project will also provide support for the cloud in the future. It was important to the federal administration that the cloud solution can be hosted on its own servers, which the IT service provider controls. The “federal cloud”, as Nextcloud calls it in its announcement, is also compliant with the General Data Protection Regulation (DSGVO), which comes into force on 1 May 2018. Another crucial point for the selection was the security. After the Bundestag hack the authorities are particularly worried about potential security gaps. The Nextcloud code is certified by Open Chain, a Linux Foundation project that verifies the compliance of open source software. There is also a bug bounty program. Source: http://www.linux-magazin.de/news/bundesverwaltung-setzt-auf-nextcloud/

L'administration fédérale compte sur Nextcloud

Afin de pouvoir sauvegarder et échanger des documents, l'administration fédérale allemande utilisera Nextcloud à l'avenir. Le nuage Open Source devrait tourner sur sa propre infrastructure serveur et le personnel du projet s'occupera du support.

Environ 300 000 utilisateurs sont membres de l'administration fédérale, laquelle recherchait une solution de partage et de synchronisation de fichiers avec un appel d'offres fait par son fournisseur de services informatiques ITZ Bund (Federal Information Technology Center). Il s'agit du fait que les employés puissent échanger, puis garder, des documents rapidement et facilement, mais aussi qu'ils puissent travailler dessus ensemble.

C'est Nextcloud qui a gagné le contrat. Depuis octobre 2016, l'ITZ Bund s'occupe du nuage avec environ 5 000 utilisateurs participant au test. Grâce à un abonnement à Nextcloud Enterprise, le projet Nextcloud fournira également le support du nuage à l'avenir. L'administration fédérale jugeait important le fait que la solution dans le nuage puisse être hébergée sur ces propre serveurs contrôlés par le fournisseur de services informatiques. Le « nuage fédéral », ainsi que Nextcloud le définit dans son annonce, est conforme à la General Data Protection Regulation (GDPR - Directive générale pour la protection des données), qui s'applique à partir du 1er mai 2018.

Un autre point déterminant pour la sélection était la sécurité. Après le piratage du Bundestag, l'existence potentielle de failles sécuritaires inquiète beaucoup les autorités. Le code de Nextcloud est certifié par Open Chain, un projet de la Linux Foundation qui vérifie la conformité des logiciels Open Source. Un programme de récompense pour les bogues trouvés existe également.

Source : http://www.linux-magazin.de/news/bundesverwaltung-setzt-auf-nextcloud/

Linux Kernel 4.15 Reached End of Life, Users Urged to Move to Linux 4.16 Now After a very busy cycle due to the Meltdown and Spectre security vulnerabilities, which were publicly disclosed earlier this year and later discovered to put billions of devices using modern processors at risk of attacks, the Linux 4.15 kernel series was released at the of January heavily redesign against two critical hardware bugs. Now, nearly three months and only eighteen maintenance updates later, the Linux 4.15 kernel series reached end of life and it will no longer receive support. As such, all those using a kernel from the Linux 4.15 branch on their GNU/Linux distributions are urged to upgrade to the latest Linux 4.16 kernel series as soon as possible. While the Linux 4.15 kernel series included Spectre and Meltdown mitigations for the 64-bit and 32-bit hardware architectures, the recently released Linux kernel 4.16 branch appears to be fully patched against those nasty vulnerabilities, bringing support for 64-bit ARM (AArch64) and IBM System z (s390) hardware. Besides that, Linux kernel 4.16 comes with numerous updated and new drivers to support the latest hardware components and devices, so those with modern computers must upgrade to it immediately. Source: http://news.softpedia.com/news/linux-kernel-4-15-reached-end-of-life-users-urged-to-move-to-linux-4-16-now-520787.shtml

Le noyau Linux 4.15 a atteint sa fin de vie et les utilisateurs doivent impérativement migrer vers Linux 4.16

Après un cycle très chargé à cause des vulnérabilités sécuritaires Meltdown et Spectre, révélées publiquement au début de cette année, mais dont la dangerosité ne fut découverte que plus tard, car des milliards de dispositifs avec des processeurs récents risquent d'être attaqués par elles, la série 4.15 du noyau Linux fut publiée à la fin du mois de janvier, fortement remaniée contre les deux bogues critiques du matériel.

Maintenant, presque trois mois et seulement dix-huit mises à jour de maintenance plus tard, la série 4.15 du noyau Linux a atteint sa fin de vie et ne recevra plus de support. Ainsi, tous les utilisateurs d'un noyau de la branche de la 4.15 sur leurs distributions GNU/Linux sont vivement encouragés à mettre à niveau vers la plus récente série du noyau Linux - la 4.16 -, dès que possible.

Alors que la série 4.15 du noyau Linux comportait des mitigations de Spectre et Meltdown pour les architectures 64- et 32-bit, la branche 4.16 du noyau Linux, récemment publiée, semble entièrement corrigée contre ces vulnérabilités méchantes, avec du support pour du matériel ARM 64-bit (AArch64) et IBM System z (s390).

En outre, le noyau Linux 4.16 intègre de nombreux pilotes nouveaux ou mis à jour pour une prise en charge des composants et dispositifs les plus récents. Aussi, ceux qui ont des ordinateurs modernes devront faire la mise à niveau immédiatement.

Source : http://news.softpedia.com/news/linux-kernel-4-15-reached-end-of-life-users-urged-to-move-to-linux-4-16-now-520787.shtml

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Ubuntu Linux Replaces Alpha/Beta Release Model With “Testing Weeks” One of the biggest advantages of open source technology projects is that everybody from the community is free to float an idea and if it gains community support, it could be turned into reality. Along the similar lines, well-known Ubuntu developer Simon Quigley has suggested an idea that might change the Ubuntu Linux development process. In an Ubuntu mailing list post, he has proposed to get rid of Alpha and Beta 1 milestones entirely. But, why has he made this proposal? Well, a couple of recent developments made him question the usefulness of the current milestone model. First was the cancellation of alpha releases and then missing of Lubuntu Beta 1 due to some bugs. He also said that while Alpha 1 images are time bound and shipped as “safe to install” for testing. But that’s not the case; most of the time, due to a given timeline, these releases are shipped with bugs which could have been fixed with some effort. Instead of the current model, he proposed a monthly “testing week” that would go from Tuesday to Thursday. It won’t involve existing milestones like archive freeze or formally released ISOs. Throughout the week, the users would be able to download bleeding edge ISOs. As per Quigley, he has discussed the proposal with developers of Xubuntu, Ubuntu MATE, Kubuntu, and Ubuntu Budgie. Simon Quigley’s proposal to drop Alpha and Beta milestones hasn’t received any downvotes. As a result, the Ubuntu 18.10 release cycle will feature testing weeks and Alpha and Beta milestones will be dropped. Source: https://fossbytes.com/ubuntu-linux-replace-alpha-beta-release-model-test-weeks/

Ubuntu Linux remplace le modèle de versions Alpha/Bêta par des « semaines de tests »

L'un des avantages les plus importants des projets Open Source est que toute la communauté est libre de lancer une idée et, si elle gagne le support de la communauté, elle pourrait devenir une réalité. C'est ainsi que le développeur d'Ubuntu bien connu Simon Quigley a suggéré une idée qui pourrait modifier le processus de développement d'Ubuntu Linux.

Dans un message sur la liste de discussion d'Ubuntu, il a proposé de se débarrasser entièrement des étapes clés alpha et bêta 1.

Mais pourquoi a-t-il fait cette proposition ? Il se trouve que deux développements récents l'ont amené à s'interroger sur l'utilité du modèle actuel par étapes. Le premier était l'annulation de versions alpha et le second était le manque de bêta 1 de Lubuntu en raison de quelques bogues.

Il a également précisé que que les images alpha 1, contraintes par des délais, sont livrées comme étant « sûres à installer » pour des tests, alors que ce n'est pas le cas. La plupart du temps, étant donné des délais précis, ces versions sont livrées avec des bogues qui auraient pu être éliminés avec quelques efforts.

À la place du modèle actuel, il a proposé une « semaine de tests » (en fait, de mardi à jeudi) par mois. Cela n'impliquera pas des étapes existantes comme le gel des archives ou des ISO publiées officiellement. Au cours de cette semaine, les utilisateurs pourraient télécharger les ISO les plus récentes.

D'après ses dires, Quigley en a discuté avec des développeurs de Xubuntu, Ubuntu MATE, Kubuntu et Ubuntu Budgie. Puisque la proposition de Simon Quigley visant à abandonner les étapes alpha et bêta n'a pas reçu de votes négatifs, le cycle de versions d'Ubuntu 18.10 comprendra des semaines de tests et les étapes alpha et bêta seront abandonnées.

Source : https://fossbytes.com/ubuntu-linux-replace-alpha-beta-release-model-test-weeks/

Chrome OS Terminal app hints at upcoming Linux support Who needs a combined Android and Chrome OS when Chrome OS can pretty much run it all. There’s native Chrome OS, of course, and official Android support via Google Play Store. There’s even preliminary Windows support via WINE for Android on Chrome OS. And, soon, Chromebooks might be able to run Linux programs as well. That possibility already was hinted at last February but might be coming really soon with the appearance of the Terminal app in Chrome OS’ dev channel. It almost feels ironic that Linux support is still coming to the Linux-based Chrome OS. But like with Android, which also uses the Linux kernel, Google has modified it so much that there is very little semblance to Linux. Coming full circle, Chrome OS could soon run Linux software somewhat directly, opening the OS and Chromebooks to use cases beyond education or enterprise. Spotted and confirmed by some Redditors, the Terminal app advertises the ability to run “your favorite native apps and command line tools” while warning that a 200 MB download is required to install it. For now, however, clicking on Install only ends in failure. THe fact that there is already a Terminal app ready to be installed does imply that the feature is close to being available, at least for alpha and beta testing. Source: https://www.slashgear.com/chrome-os-terminal-app-hints-at-upcoming-linux-support-23528192/

L'appli Terminal de Chrome OS suggère une prochaine prise en charge de Linux

À quoi sert une combinaison d'Android et Chrome OS quand Chrome OS peut presque tout faire tourner. Bien entendu, il y a le natif Chrome OS et le support officiel d'Android via le Google Play Store. Il y a même du support préliminaire de Windows via WINE pour Android sur Chrome OS. Et, bientôt, les Chromebooks pourront peut-être faire tourner des programmes Linux aussi. Cette possibilité-là a été évoquée déjà en février dernier, mais pourrait arriver rapidement avec l'apparence de l'appli terminal dans le canal dev de Chrome OS.

Le fait qu'on attende encore le support de Linux sur Chrome OS, basé sur Linux, semble presque ironique. Mais, comme c'est le cas pour Android, qui utilise également le noyau Linux, Google l'a tellement modifié qu'il ne ressemble guère à Linux. Bouclant la boucle, Chrome OS pourrait bientôt faire tourner les logiciels pour Linux plus ou moins directement, ouvrant ainsi l'OS et les Chromebooks aux cas d'emploi au-delà de l'éducation ou l'entreprise.

Repéré et confirmé par des Redditors, l'appli Terminal annonce la capacité de faire tourner « vos applis natives et outils en ligne de commande préférés » tout en soulignant que, pour l'installer, il faut télécharger un fichier de 200 Mo. Pour l'instant, cependant, un clic sur Install n'aboutit qu'à un échec. Mais le fait qu'une appli Terminal soit prête à être installée suggère que la fonctionnalité est bel et bien presque disponible, au moins pour des tests des versions alpha et bêta.

Source : https://www.slashgear.com/chrome-os-terminal-app-hints-at-upcoming-linux-support-23528192/

Linux developers: Kernel community will collapse under its own bureaucracy Maintainers of the Linux kernel will not be able to comply in a few years to process submitted patches. The system faces collapse if they fail to distribute the workload, claims kernel developer Daniel Vetter. Anyone can join the Linux kernel, but only a group of privileged developers are allowed to touch the actual source code. These so-called maintainers should ensure that patches and new functions that end up in the kernel, the usual quality. However, the system does not work as well as it often advertises, says kernel developer Daniel Vetter. He points out that maintainers are adopting less and less of their own code and instead, in his view, becoming a bureaucratic bottleneck. In addition, he wants to have observed that the patches of the maintainer are not as closely examined as those of the normal developers. Vetter, himself maintainer of the Intel i915 graphics driver in the Linux kernel, has analyzed pull requests in the kernel to get his insights. As he admits, this allows only a glimpse of the subsystem level of the kernel with its various maintainers, not individual patches. However, he is mainly interested in exactly this subsystem level and he strongly advertises how he and his colleagues in the graphics subsystem have improved the maintainer situation. He recommends that other maintainers tackle kernel-scale growth, train junior maintainers, and spread the work over more shoulders. Source: https://www.heise.de/newsticker/meldung/Linux-Entwickler-Kernel-Community-wird-unter-eigener-Buerokratie-zusammenbrechen-4030460.html

Développeurs Linux : la communauté du noyau s'effondrera sous sa propre bureaucratie

Dans quelques années, les mainteneurs du noyau Linux ne pourront pas se conformer à la procédure du traitement des correctifs soumis. Le système pourrait s'effondrer s'ils n'arrivent pas à distribuer la charge de travail, prétend le développeur du noyau Daniel Vetter.

N'importe qui peut rejoindre le noyau Linux, mais un seul groupe de développeurs privilégiés peut manier le code source. Ces soi-disant mainteneurs devraient s'assurer de la qualité des correctifs et des nouvelles fonctionnalités qui arrivent dans le noyau. Toutefois, « le système ne fonctionne pas aussi bien qu'annoncé souvent », dit le développeur du noyau Daniel Vetter. Il souligne que des mainteneurs adoptent de moins en moins leur propre code et, à la place, selon lui, deviennent un goulot d'étranglement bureaucratique. En plus, il fait remarquer que les correctifs d'un mainteneur ne sont pas examinés d'aussi près que ceux des développeurs normaux.

Vetter, lui-même mainteneur du pilote graphique Intel i915 dans le noyau Linux, a analysé les requêtes en retour dans le noyau pour donner son point de vue. Comme il l'admet, cela ne permet qu'un aperçu du niveau du sous-système du noyau avec ses différents responsables, et non des correctifs individuels. Cependant, il s'intéresse surtout à ce niveau de sous-système et il démontre clairement comment lui et ses collègues du sous-système graphique ont amélioré la situation du mainteneur. Il recommande que les autres responsables de la maintenance s'attaquent à la croissance à l'échelle du noyau, forment les jeunes responsables de la maintenance et répartissent le travail sur un plus grand nombre de personnes.

Source : https://www.heise.de/newsticker/meldung/Linux-Entwickler-Kernel-Community-wird-unter-eigener-Buerokratie-zusammenbrechen-4030460.html

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Librem 5 Linux smartphone will support Ubuntu Touch, PureOS, or PureOS with KDE Plasma Mobile After raising more than $2 million last year to build a Linux-powered smartphone with a focus on privacy and open source software, Purism hopes to deliver the first Librem 5 smartphones early next year. One of the biggest challenges is software: the phone won’t ship with Android or iOS. Instead, it will run free and open source Linux-based software, which doesn’t have a great track record with being phone friendly. But now Purism has announced that the Librem 5 will support at least three different operating systems and user interfaces at launch: PureOS, a version of PureOS with the KDE Plasma Mobile environment, and Ubuntu Touch. PureOS is the company’s own Linux distribution, which the team is adapting to work on touchscreen devices with phone-sized screens. KDE Plasma Mobile is a mobile project from the team behind the KDE desktop environment for GNU/Linux. And Ubuntu Touch… is the version of Ubuntu Linux that Canonical developed for phones and tablets, and then scrapped when the company decided to shift direction.

Librem 5, un smartphone Linux, supportera Ubuntu Touch, PureOS ou PureOS avec KDE Plasma Mobile

Après avoir collecté plus de 2 millions de dollars l'année dernière pour la construction d'un smartphone sous Linux en mettant l'accent sur la vie privée et les logiciels Open Source, Purism espère livrer les premiers smartphones Librem 5 au début de l'année prochaine.

L'un des plus grands défis est le logiciel : le téléphone ne sera pas livré avec Android ou iOS. Au lieu de cela, il exécutera des logiciels gratuits et Open Source basés sur Linux, qui n'a pas une bonne réputation de convivialité sur un téléphone. Mais, maintenant, Purism a annoncé que le Librem 5 supportera au moins trois systèmes d'exploitation et interfaces utilisateurs différents lors de son lancement : PureOS, une version de PureOS avec l'environnement KDE Plasma Mobile et Ubuntu Touch.

PureOS est la distribution Linux de la société même et l'équipe est en train de l'adapter pour qu'elle fonctionne sur des dispositifs à écran tactile avec des écrans d'une taille de téléphone. KDE Plasma Mobile est un projet mobile de l'équipe derrière l'environnement de bureau KDE pour GNU/Linux. Et Ubuntu Touch… est la version d'Ubuntu Linux que Canonical a développée pour les téléphones et les tablettes, pour l'abandonner quand la société a décidé de changer d'orientation.

But Ubuntu Touch is an open source project, so when Canonical stopped developing it, another team of developers calling themselves UBports decided to pick up the torch, continuing to working on the operating system, making it available for users to download and install on a handful of devices, including the Google Nexus 5, Fairphone 2, OnePlus One, and MQ Aquaris M10 tablet. Now you can add the Librem 5 to that list… or at least you’ll be able to when the phone ships. UBports and Purism are working together to ensure that Ubuntu Touch is fully supported on the phone and that future software updates remain compatible. Source: https://liliputing.com/2018/04/librem-5-linux-smartphone-will-support-ubuntu-touch-pureos-or-pureos-with-kde-plasma-mobile.html

Mais Ubuntu Touch est un projet Open Source et, quand Canonical a arrêté son développement, une autre équipe de développeurs qui s'appelait UBports a décidé de reprendre le flambeau et de continuer de travailler sur le système d'exploitation. Il sera rendu disponible au téléchargement et à l'installation sur une poignée de dispositifs, notamment le Nexus 5 de Google, le Fairphone 2, le OnePlus One et la tablette MQ Aquaris M10.

Vous pouvez maintenant ajouter le Librem 5 à la liste… du moins, vous pourrez le faire dès la sortie du téléphone.

UBports et Purism travaillent ensemble pour assurer qu'Ubuntu Touch soit entièrement supporté sur le téléphone et que les mises à jour logicielles à venir restent compatibles.

Source : https://liliputing.com/2018/04/librem-5-linux-smartphone-will-support-ubuntu-touch-pureos-or-pureos-with-kde-plasma-mobile.html

ONNX: the Open Neural Network Exchange Format An open-source battle is being waged for the soul of artificial intelligence. It is being fought by industry titans, universities and communities of machine-learning researchers world-wide. This article chronicles one small skirmish in that fight: a standardized file format for neural networks. At stake is the open exchange of data among a multitude of tools instead of competing monolithic frameworks. The good news is that the battleground is Free and Open. None of the big players are pushing closed-source solutions. Whether it is Keras and Tensorflow backed by Google, MXNet by Apache endorsed by Amazon, or Caffe2 or PyTorch supported by Facebook, all solutions are open-source software. Unfortunately, while these projects are open, they are not interoperable. Each framework constitutes a complete stack that until recently could not interface in any way with any other framework. A new industry-backed standard, the Open Neural Network Exchange format, could change that. Now, imagine a world where you can train a neural network in Keras, run the trained model through the NNVM optimizing compiler and deploy it to production on MXNet. And imagine that is just one of countless combinations of interoperable deep learning tools, including visualizations, performance profilers and optimizers. Researchers and DevOps no longer need to compromise on a single toolchain that provides a mediocre modeling environment and so-so deployment performance. What is required is a standardized format that can express any machine-learning model and store trained parameters and weights, readable and writable by a suite of independently developed software. Enter the Open Neural Network Exchange Format (ONNX). Source: https://www.linuxjournal.com/content/onnx-open-neural-network-exchange-format

ONNX : le format Open Neural Network Exchange

Un combat Open Source est actuellement livré pour l'âme de l'intelligence artificielle. Il est mené par des titans de l'industrie, des universités et des communautés de chercheurs en apprentissage machine partout dans le monde. Cet article relate une petite escarmouche dans cette lutte : un format de fichier standardisé pour les réseaux neuronaux. L'enjeu est l'échange ouvert de données parmi une multiplicité d'outils au lieu de frameworks monolithiques rivaux.

La bonne nouvelle est que le champ de bataille est libre et ouvert. Aucun des acteurs majeurs n'appuie des solutions à source fermée. Qu'il s'agisse de Keras et Tensorflow soutenus par Google, MXNet d'Apache approuvé par Amazon ou Caffe2 ou PyTorch soutenu par Facebook, toutes les solutions sont des logiciels Open Source.

Malheureusement, bien que ces projets soient ouverts, il ne sont pas interopérables. Chaque framework constitue une pile complète qui, jusqu'il y a peu, ne pouvait pas interagir de quelque façon que ce soit avec n'importe quel autre framework. Une nouvelle norme, soutenue par l'industrie, le format Open Neural Network Exchange, pourrait changer cela.

Maintenant, imaginez un monde où vous pouvez dresser un réseau neural en Keras, exécuter le modèle dressé au travers du compilateur optimisant NNVM et le déployer pour la production sur MXNet. Et imaginez que ce n'est qu'une des innombrables combinaisons d'outils interopérables d'apprentissage de réseaux de neurones profonds, y compris des visualisations, des profileurs de performance et des optimiseurs. Les chercheurs et DevOps n'ont plus besoin de faire de compromis sur une seule chaîne d'outils qui fournit un environnement de modélisation médiocre et des performances quelconques au déploiement.

Ce qui est nécessaire est un format standardisé qui peut exprimer n'importe quel modèle d'apprentissage machine et stocker des paramètres et poids entraînés, ouverts à la lecture et à l'écriture par une suite de logiciels développés de manière indépendante.

C'est ici que l'Open Neural Network Exchange Format (ONNX) entre en scène.

Source : https://www.linuxjournal.com/content/onnx-open-neural-network-exchange-format

Ubuntu 18.04 LTS (Bionic Beaver) Is Now Available to Download The wait is finally over, and you can now download Ubuntu 18.04 LTS (Bionic Beaver) if you want to install it on your personal computer (see download links below). This is Canonical's seventh LTS (Long Term Support) Ubuntu release, supported until April 2023 with security and software updates. Ubuntu 18.04 LTS is only available for 64-bit PCs on the Desktop, but it supports the 64-bit (amd64), ARM64 (AArch64), IBM System z (s390x), PPC64el (Power PC 64-bit Little Endian), and Raspberry Pi 2/ARMhf architectures on the Server. All official derivatives, including Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Studio, Ubuntu MATE, Ubuntu Kylin, and Ubuntu Budgie, support both 32-bit and 64-bit hardware architectures. Ubuntu 18.04 LTS is powered by the Linux 4.15 kernel, which reached end of life. Without any further ado, you can download Desktop 18.04 LTS, Ubuntu Server 18.04 LTS, Kubuntu 18.04 LTS, Xubuntu 18.04 LTS, Lubuntu 18.04 LTS, Ubuntu MATE 18.04 LTS, Ubuntu Kylin 18.04 LTS, Ubuntu Studio 18.04 LTS, and Ubuntu Budgie 18.04 LTS. Source: https://news.softpedia.com/news/ubuntu-18-04-lts-bionic-beaver-is-now-available-to-download-520855.shtml

Ubuntu 18.04 LTS (Bionic Beaver) est maintenant disponible au téléchargement

L'attente se termine enfin et vous pouvez télécharger Ubuntu 18.04 LTS (Bionic Beaver) dès à présent si vous voulez l'installer sur votre ordinateur personnel (voir les liens de téléchargement ci-dessous). C'est la septième version LTS (à support à long terme) d'Ubuntu, de Canonical, qui sera supportée jusqu'en avril 2023 avec des mises à jour de sécurité et de logiciels.

La version Desktop d'Ubuntu 18.04 LTS n'est disponible que pour les PC 64-bit, mais il supporte les 64-bit (amd64), ARM64 (AArch64), IBM System z (s390x), PPC64el (Power PC 64-bit Little Endian) et les architectures Raspberry Pi 2/ARMhf sur la version Server.

Tous les dérivés officiels, y compris Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Studio, Ubuntu MATE, Ubuntu Kylin et Ubuntu Budgie, supportent les architectures matériel 32- et 64-bit. Ubuntu 18.04 LTS est piloté par le noyau Linux 4.15 qui a atteint sa fin de vie.

Sans plus tarder, vous pouvez télécharger Desktop 18.04 LTS, Ubuntu Server 18.04 LTS, Kubuntu 18.04 LTS, Xubuntu 18.04 LTS, Lubuntu 18.04 LTS, Ubuntu MATE 18.04 LTS, Ubuntu Kylin 18.04 LTS, Ubuntu Studio 18.04 LTS et Ubuntu Budgie 18.04 LTS.

Source : https://news.softpedia.com/news/ubuntu-18-04-lts-bionic-beaver-is-now-available-to-download-520855.shtml

issue132/actus.txt · Dernière modification : 2018/05/22 22:12 de andre_domenech