Last month, we took a look at vintage console gaming with the emulators Stella and ColEm for the Atari 2600 and Colecovision. This month, we’re going to set up a couple of the best game consoles of the mid-1980’s home console renaissance: the Nintendo Entertainment System and the Sega Genesis.
Le mois dernier, nous avons regardé les jeux sur ancienne console avec les émulateurs Stella et ColEm pour l'Atari 2600 et la Colecovision. Ce mois-ci, nous allons paramétrer deux des meilleures consoles de jeu apparues lors de la renaissance de la console de salon, au milieu des années 80 : la NES ( Nintendo Entertainment System) et la Sega Genesis.
In 1983, the home video gaming industry had one of the most spectacular crashes of any individual industry in American economic history. Sales that had hit $3.2 billion industry-wide in 1983 plummeted to a total of $100 million by 1985. Most people attribute this to a market glut of poor quality games, put out by fly-by-night companies, and exacerbated by the truly dreadful Atari titles ‘Pac-Man’ and ‘E.T., the Extraterrestrial’. Atari made the inexplicable decision to manufacture more ‘Pac-Man’ cartridges than the existing number of Atari consoles (why?!), and ‘E.T.’ was so unpopular that many unsold cartridges literally wound up in a landfill (recently determined to be located in Alamogordo, New Mexico). The negative response to these titles (although ‘Pac-Man’ sold extremely well, it’s fair to say the game was very poorly regarded and a massive disappointment) seemed to set off a domino effect throughout the industry, resulting in massive bankruptcies and multiple companies closing in 1983 through 1985.
En 1983, l'industrie du jeu vidéo familial a fait un des plus spectaculaires plongeons d'une industrie particulière de toute l'histoire économique américaine. Les ventes qui avaient atteint 3.2 milliards de dollars en 1983 pour toute cette industrie s'effondrèrent à 100 millions de dollars en 1985. La plupart des gens l'attribuent à une saturation du marché avec des jeux de piètre qualité, sortis par des entreprises véreuses, et exacerbées par les titres d'Atari vraiment affreux, « Pac-Man » et « E.T. l'extraterrestre ». Atari prit la décision inexplicable de fabriquer plus de cartouches de « Pac-Man » qu'il n'existait de consoles Atari. (pourquoi ?!) et « E.T. » était tellement boudé que de nombreuses cartouches invendues s'entassaient littéralement dans une décharge (récemment trouvé à Alamogordo, au Nouveau Mexique). La réponse négative à ses titres (bien que « Pac-Man se vendait extrêmement bien, il est juste de dire que le jeu était peu apprécié et a beaucoup déçu) semble avoir déclenché un effet domino à travers toute l'industrie, entraînant une quantité de banqueroutes et la fermeture de nombreuses entreprises entre 1983 et 1985.
After their experience partnering with Coleco to license Donkey Kong onto the Colecovision console (see FCM #140’s Everyday Ubuntu column for more on that particular game system), Nintendo wanted to get into the home gaming market themselves. In 1985, they released the original Nintendo Entertainment System in the North American market. The NES wound up being a huge hit, with the fantastic ‘Super Mario Brothers’ inclusion as the pack-in cartridge as a major factor. Many games would come out from a myriad of publishers for the NES. Their main competitor, the Sega Master System, had some truly outstanding licenses from Sega’s parent corporation, but the first round knock-out in this battle definitely went to Nintendo. The NES’s success was a huge factor in reviving the home gaming industry.
Après leur expérience de partenariat avec Coleco pour une licence de Donkey Kong sur la console Colecovision (voir, dans le FCM n°140, la rubrique Ubuntu au quotidien pour en savoir plus sur ce système de jeu particulier). Nintendo voulait s'introduire sur le marché des jeux familiaux. En 1985, il publia son premier Nintendo Entertainment System (NES) sur le marché nord-américain.
La NES fit un carton, avec l'inclusion du fantastique « Super Mario Brothers » dans une cartouche intégrée comme facteur principal. Beaucoup de jeux par une myriade d'éditeurs sortirent pour le NES. Leur principal compétiteur, le système Sega Master, avait des licences vraiment extraordinaires de son groupe parent Sega, mais le KO du premier round de cette bataille vint de Nintendo. Le succès de la NES a été un facteur énorme dans la résurrection de l'industrie du jeu familial.
The emulator we’ll use for the NES is FCEUX. It can be installed via Synaptics Package Manager (see FCM #130’s Everyday Ubuntu column for more on Synaptics). Use the search function at the top of the Synaptics window and look for FCEUX. Click the checkbox to select it and then Apply to install. Like the other emulators we’ve covered, you’ll need ROM images for the games you want to play. These are readily downloadable from multiple websites, but what is or isn’t legal to do in that regard is an open question. At the very least, you probably need to own a copy of the game in question. Once FCEUX is installed, you can search for it in the Dash to run it. Go to the Dash (first item on your Launcher to the left of your screen). Type in ‘fce’ where it says ‘Search Your Computer’. This should be sufficient to find FCEUX. Click it to launch.The interface is pretty sparse.
L'émulateur de la NES que nous utiliserons est FCEUX. Il peut être installé via le gestionnaire de paquets Synaptic (voir la rubrique Ubuntu au quotidien du FCM n° 130 pour plus de détails sur Synaptic). Utilisez la fonction de recherche en haut de la fenêtre de Synaptic pour chercher FCEUX. Cliquez sur la case à cocher pour le sélectionner puis sur Appliquer pour l'installer. Comme les autres émulateurs dont nous avons parlé, vous aurez besoin d'images en ROM pour les jeux auxquels vous voulez jouer. Ils sont prêts à être téléchargés sur de nombreux sites Web, mais est-ce légal, ou pas, de faire ainsi reste une question ouverte. Au minimum, vous devez probablement posséder une copie du jeu en question.
Une fois que FCEUX est installé, vous pouvez le chercher dans le Dash pour le lancer. Allez dans le Dash (le premier élément de votre lanceur à gauche sur votre écran). Tapez « fce » à l'endroit où il est indiqué « Rechercher… ». Ce devrait être suffisant pour trouver FCEUX. Cliquez dessus pour le lancer. L'interface est assez maigre.
Click ‘File’, then ‘Open ROM’, and navigate to the folder where your ROM images are stored. Press the Return key to start your game, arrow keys to move, and D and F as fire buttons, and you can heroically once again rescue Princess Toadstool from Bowser! After the NES trounced the competing Sega Master System in the marketplace, it was time for round 2 of the mid-1980’s home game console wars, and Sega had an answer: the Sega Genesis. There was no question that Sega had a huge comeback, as the Genesis definitely out-performed the next-generation Super Nintendo in their head-to-head battle. The Genesis has a number of emulators available on Linux, and we’re going to go with a CLI, or Command Line Interface, application called DGEN. We’ll install DGEN using apt-get. Start a Terminal session (look up ‘term’ in the Dash if you don’t already have Terminal on your Launcher). In the Terminal, type in: sudo apt-get install dgen and hit Enter. Respond to any prompts, including the password request.
Cliquez sur « File » (fichier), puis « Open ROM » (ouvrir la ROM) et naviguez jusqu'au dossier où les images en ROM sont stockées. Appuyez sur la touche Entrée pour lancer votre jeu, les touches fléchées pour se déplacer et D et F comme boutons de tir, et vous pourrez à nouveau sauver héroïquement la princesse Toadstool des griffes de Bowser !
Après que la NES a étrillé le système Sega Master sur le marché, vint le temps, au milieu des années 80, du second round de la guerre des consoles de salon, et Sega avait une réponse : la Sega Genesis. Il n'y a pas de doute que Sega fit un retour fracassant, parce que la Genesis a vraiment dépassé la Super Nintendo de nouvelle génération dans leur bataille l'un contre l'autre.
La Genesis a bon nombre d'émulateurs disponibles sous Linux, et nous allons utiliser une application en ligne de commande (CLI - Command line interface) appelée DGEN. Nous installerons DGEN en utilisant apt-get. Lancez une session de terminal (regardez dans le Dash avec le mot « term » si vous n'avez pas déjà le terminal dans votre lanceur). Dans le terminal tapez :
sudo apt-get install dgen
puis faites Entrée. Répondez à toutes les questions, y compris la demande de votre mot de passe.
Now, this is an older game emulator and does not have a GUI, much like last month’s ColEm Colecovision emulator. Open File Manager from the Launcher and go to the folder where you have stored any game ROM files that you have downloaded. Right-click a blank area in the Files pane, and select Open In Terminal. This will open a Terminal session with the directory location already set to the current directory. Type in: dgen filename where filename is the name of the ROM file you want to run (case sensitive!), then hit Enter. The DGEN emulator will open with the desired game loaded and ready to play: Use arrow keys to move, and D and F keys as fire buttons. Defeat Dr. Robotnik and rescue the fluffy creatures!
En fait, c'est un vieil émulateur de jeux et il n'a pas d'interface graphique (GUI), tout comme l'émulateur ColEm pour la Colecovision, du mois dernier. Ouvrez le gestionnaire de fichiers à partir du lanceur et allez jusqu'au dossier où vous avez stocké tous les fichiers de ROM que vous avez téléchargés. Faites un clic droit sur une zone vierge dans le panneau des fichiers et sélectionnez ouvrir dans un terminal. Cela ouvrira une session de terminal avec l'emplacement du répertoire déjà positionné sur le répertoire courant. Tapez :
dgen filename
où filename est le nom du fichier de ROM que vous voulez lancer (attention à la casse majuscules/minuscules !) puis appuyez sur Entrée. L'émulateur DGEN s'ouvrira avec le jeu souhaité chargé et prêt à jouer :
Utilisez les touches fléchées pour vous déplacer, et D et F comme boutons de tir. Battez Dr. Robotnik et sauvez les créatures cotonneuses !