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issue157:inkscape

There’s some big news in the Inkscape world this month. Since the previous instalment, a couple of new Inkscape versions have become available: 0.92.5 and, after 17 years of development, version 1.0. The former mainly fixes some Windows issues, but does have a few general bug and crash fixes that will benefit Linux users. Perhaps the most significant change is that Inkscape extensions are now compatible with Python 3. Given that Python 2 formally reached its end-of-life at the start of this year, this is a welcome step forward along a path that many projects will need to take, as Linux distros begin to reduce their support for the legacy Python packages. The full release notes for 0.92.5 can be found here: https://inkscape.org/release/inkscape-0.92.5/

Il y a des grandes nouvelles dans le monde d'Inkscape ce mois-ci. Depuis le dernier numéro, de nouvelles versions du logiciel sont disponibles : la 0.92.5 et, après 17 ans de développement, la 1.0. La première résout principalement quelques défauts dans Windows, mais elle comporte quelques correctifs des défauts et bogues qui profitent aussi aux utilisateurs de Linux. Le changement le plus important est peut-être que les extensions d'Inkscape sont maintenant compatibles avec Python 3. Étant donné que Python 2 a atteint officiellement sa fin de vie au début de cette année, c'est une avancée bienvenue sur un chemin que beaucoup d'autres projets doivent suivre, alors que les distrib. Linux commencent à réduire leur support aux anciens paquets Python.

L'ensemble des notes de publication de la 0.92.5 peut être trouvé ici : https://inkscape.org/release/inkscape-0.92.5/

Of more interest to this column is version 1.0. As I’ve mentioned previously, it’s my intention to cover the new features and changes in this milestone release, starting this month. But the first feature I’m going to mention – as much to get it out of the way, as anything else – might seem a little odd for this Ubuntu-focused magazine: I’m going to talk about version 1.0 on MacOS, which represents one of the biggest changes in the history of the Inkscape project. Although earlier releases of Inkscape had MacOS versions, they were essentially just recompilations of the Linux version. They behaved in exactly the same manner as the Linux program, right down to the keyboard shortcuts. Most importantly, they still required an X server for their graphical output. Since MacOS doesn’t natively use X for its display, this meant installing another application, and understanding the relationship between operating system, X server, and Inkscape.

La version 1.0 a encore plus d'intérêt dans cette colonne. Comme je l'ai mentionné précédemment, j'ai l'intention de parler des nouvelles fonctionnalités et des modifications de cette version majeure, en commençant ce mois-ci. Mais la première fonctionnalité dont je vais parler - pour m'en débarrasser - pourrait paraître déplacée dans ce magazine ciblant Ubuntu : je vais parler de la version 1.0 sur MacOS, qui représente un des changements les plus importants de l'histoire du projet Inkscape.

Bien que les publications précédentes d'Inkscape avaient des versions pour MacOS, elles n'étaient, en gros, que des nouvelles compilations de la version pour Linux. Elles se comportaient exactement de la même manière qu'un programme pour Linux, jusqu'aux raccourcis clavier. Plus important, elles nécessitaient toujours un serveur X pour leur affichage graphique. Comme MacOS n'utilise pas nativement X pour son affichage, cela signifiait installer une autre application et comprendre la relation entre le système d'exploitation, le serveur X et Inkscape.

For several years, Apple were proud of the Unix underpinnings of OSX, and shipped their own X server, perhaps as a way to bolster the number of applications available for their fledgling new OS. Over time, this became less of a selling point, and the X server saw little love and attention. Since 2012, Apple no longer maintains their own X server, but does contribute to the Open Source XQuartz project. For the past few years, therefore, it has been necessary to install XQuartz in order to use Inkscape on MacOS. Although this works reasonably well, this combination does have a few idiosyncrasies, particularly when used on a Mac with multiple monitors. So much so, in fact, that I ended up writing my own shell script to rescue me from the “disappearing dialog” issue that plagues this setup (http://www.peppertop.com/blog/?p=1554).

Pendant plusieurs années, Apple fut fière qu'OS X ait étét construite sur des bases d'Unix, et elle livrait son propre serveur X, peut-être pour augmenter le nombre d'applications disponibles pour leur nouvel OS, tout juste sorti du nid. Avec le temps, ça a perdu son statut d'argument de vente et le serveur X ne reçut que peu d'affection et d'attention. Depuis 2012, Apple ne maintient plus son serveur X maison, mais contribue au projet Open Source XQuartz. Par conséquent, au cours des dernières années, il a été nécessaire d'installer XQuartz pour utiliser Inkscape dans MacOS. Bien que ça fonctionne raisonnablement bien, cette combinaison a quelques singularités, particulièrement quand il est utilisé sur un Mac avec plusieurs écrans. À tel point que j'ai fini, en fait, par écrire mon propre script shell pour me secourir lors du problème du « dialogue disparaissant » qui tourmente cette configuration (http://www.peppertop.com/blog/?p=1554).

With 1.0, however, Inkscape will be a native MacOS application which doesn’t require an X server. With this change also comes better support for the system clipboard, and keyboard shortcuts that more closely match the standards for the OS. Perhaps most importantly, it’s compiled as a 64-bit application, whereas earlier versions were 32-bit. Although this latter change doesn’t really have much of a bearing on Inkscape itself, it’s vital to note that the latest release of MacOS, “Catalina” (10.15), supports only 64-bit programs, so if you want to run Inkscape on that version of the OS, you have no choice but to use version 1.0. Note that it’s currently described as a “Preview”, which suggests that there are probably a few issues to iron out still, but in my testing, it’s proven to be pretty stable.

Avec la 1.0, cependant, Inkscape sera une application MacOS native qui ne nécessite pas de serveur X. Avec ce changement, on dispose d'un meilleur support du presse-papier système et des raccourcis clavier qui se rapprochent beaucoup plus des normes de cet OS. Peut-être le plus important est que l'application est compilée en 64-bit, alors que toutes les versions précédentes étaient en 32-bit. Bien que ce dernier changement n'ait pas grand chose à voir avec Inkscape lui-même, c'est vital, étant donné que la publication la plus récente de MacOS, « Catalina » (la 10.15), ne supporte que les programmes 64-bit ; aussi, si vous voulez faire tourner Inkscape sur cette version de l'OS, vous n'avez pas d'autre choix que la version 1.0. Notez qu'elle est décrite comme « Preview » (pré-version), ce qui suggère qu'il y a encore quelques aspérités a lisser. Mais, au cours de mes tests, elle s'est montrée très stable.

A native implementation makes Inkscape much easier for Mac users to install and use – which will hopefully boost its user base. As MacOS has a reputation as being an OS for “creatives”, Inkscape perhaps faces more competition on that platform than any other. Compared with most other vector graphics programs on OSX, it is Free Software, as well as free software. Whether that will be enough for it to carve out its own niche in the market remains to be seen, but it’s certainly a huge step forward by the developers that should be applauded. If you’re on OSX or Windows, you can download Inkscape 1.0 via links on this page: https://inkscape.org/release/inkscape-1.0/

Une implémentation native rend beaucoup plus faciles l'installation et l'utilisation d'Inkscape par les utilisateurs de Mac, ce qui, souhaitons-le, devrait amplifier sa base d'utilisateurs. Comme MacOS a la réputation d'être un OS pour « créatifs », Inkscape fait face à une compétition plus intense sur cette plateforme que sur d'autres. Par comparaison avec d'autres programmes de dessin vectoriel, sur OS X, c'est un logiciel Libre, et aussi un logiciel gratuit. Que ce soit suffisant pour qu'il crée sa niche au marché reste à voir, mais c'est certainement un énorme pas en avant des développeurs qui mérite d'être applaudi.

Si vous êtes sur OS X ou Windows, vous pouvez télécharger Inkscape 1.0 via les liens de cette page : https://inkscape.org/release/inkscape-1.0/

You’ll also find options for Linux downloads there, as an AppImage file or a Snap package. In practice, however, if you’re using Ubuntu or a derivative, the easiest way to get the new version is probably using a Snap installed via the command-line. Just run the following command in a terminal: sudo snap install inkscape One advantage of this approach is that the Snap-based version will be installed alongside the deb package version from the Ubuntu repositories, so you can try out the new release without having to relinquish the 0.92.x version you might be using currently. You will end up with two Inkscape entries in your menu, but surely the developers would have ensured they’re easy to distinguish from each other, wouldn’t they? Here’s what the entries on my menu look like on Ubuntu Mate, together with a version blown up to double size so you can more clearly see the difference between the icons:

Vous trouverez aussi des options pour les téléchargements pour Linux, ainsi qu’un fichier AppIimage ou un paquet Snap. Cependant, en pratique, si vous utilisez Ubuntu ou dérivés, la façon la plus facile d'obtenir la nouvelle version est probablement d'utiliser un Snap installé via la ligne de commnde. Il suffit de lancer la commande suivante dans un terminal :

sudo snap install inkscape

Un avantage de cette approche est que la version basée sur Snap sera installée à côté de la version en paquet deb venant des dépôts d'Ubuntu ; ainsi, vous pouvez essayer la nouvelle publication sans devoir vous séparer de la version 0.92.x que vous utilisez sans doute en ce moment. Vous vous retrouverez avec deux Inkscape dans votre menu, mais les développeurs ont sûrement prévu une manière aisée de les distinguer, n'est-ce pas ? Voici à quoi ressemblent les lignes de mon menu dans Ubuntu Mate, accompagnées d'une version au double de taille pour que vous puissiez facilement voir les différences entre les icônes.

The first entry is the old 0.92.x version, and has a crisper icon with a slightly blue tinge on the right. The second is 1.0, which has a shadow around it, giving a softer look, and no blue on the image. If possible, I recommend renaming one of the menu entries for clarity. The exact way to do this will vary across distributions; on Ubuntu Mate you can run the ‘mozo’ utility to edit your menu structure (also available by a right-click on the top-level menu button in the panel). With the 1.0 release installed, it’s time to begin playing with the new features. As you do so, please do consider reporting any issues you encounter to the Inkscape bug tracker ( https://inkscape.org/report ). This is a significant release, and there are bound to be some issues in it. Reporting them will help to improve the quality of the subsequent point releases.

La première ligne correspond à la version 0.92.x ; elle a une icône plus nette avec une légère nuance de bleu sur la droite. La seconde est la version 1.0 qui est ombrée, lui donnant un aspect plus doux, et sans bleu dans l'image. Si c'est possible, je vous recommande de renommer l'une des deux entrées pour plus de clarté. La façon exacte de le faire varie selon les distributions : dans Ubuntu Mate, vous pouvez lancer l'utilitaire « mozo » pour modifier la structure de votre menu (disponible aussi par un clic droit sur le bouton de plus haut niveau du menu dans le panneau).

La version 1.0. étant installée, il est temps de commencer à jouer avec les nouvelles fonctionnalités. Pendant que vous les essayez, merci de prendre le temps de remonter les erreurs au traqueur de bogue d'Inkscape (https://inkscape.org/report). C'est une version conséquente et il est fort à parier qu'il y a quelques erreurs dedans. La déclaration des erreurs aidera à améliorer la qualité des prochaines publications ponctuelles.

The new release updates the user interface toolkit to GTK3, which has resulted in a slightly different look and feel, but also in significant improvements for users of modern “retina” or “HiDPI” screens. It also brings greatly enhanced theme support, to the extent that there is a new, dedicated “Theme” panel in the “Interface” section of the Inkscape preferences dialog. The first menu in this panel lets you select from whatever GTK3 themes are available on your machine. On my box, this was a reasonably extensive list which included a number of dark themes, if that’s your thing. Selecting an option from this menu updates the Inkscape UI immediately, so it’s easy to audition the various styles that are available. Leaving it set to “Use system theme” does what you might expect – although the UI doesn’t immediately update if you change the system theme via your OS, and will only fall in line after restarting Inkscape. Here’s a representative sample of some of the available themes:

La nouvelle publication met à jour en GTK3 la trousse à outils de l'interface utilisateur (UI), ce qui entraîne un aspect et des sensations légèrement différents, mais aussi, des améliorations significatives pour les utilisateurs des écrans modernes « retina » ou « HiDPI ». Elle apporte aussi un support des thèmes largement amélioré, à un point tel qu'il y a un nouveau panneau dédié « Thèmes » dans la section « Interface » du dialogue des préférences d'Inkscape.

Le premier menu de ce panneau vous permet de sélectionner l'un des thèmes GTK3 disponibles sur votre machine. Sur ma machine, c'est une liste relativement étendue qui inclut de nombreux thèmes sombres, si ça vous intéresse. La sélection d'une des options du menu met à jour immédiatement l'UI d'Inkscape ; il est ainsi facile de tester les différents styles disponibles. Le laisser sur « Utiliser le thème du système » est explicite, bien que l'UI ne se mette pas immédiatement à jour si vous changez le thème du système via votre OS ; il ne sera utilisé que quand vous redémarrerez Inkscape. Voici un échantillon représentatif de certains thèmes disponibles :

The “Use dark theme” checkbox in the dialog seems a little redundant to me. As far as I can tell, if you select a named entry from the popup, and there’s a corresponding “-dark” theme, this checkbox lets you easily switch between the two. However, since all the different versions are listed in the popup, including the dark ones, there’s no need for this checkbox anyway. Worse still, some themes have three different entries: in the case of the “Yaru” theme, for example, there is “Yaru”, “Yaru-light” (those two appear to be the same), and “Yaru-dark”. This checkbox would make more sense if the suffixed versions were suppressed in the menu. You would then select a theme first (e.g. “Yaru”) before using the checkbox to toggle between the “-light” and “-dark” variants.

La case à cocher « Utiliser le thème foncé » dans le dialogue me paraît un peu redondante. À ma connaissance, si vous sélectionnez une entrée nommée dans la fenêtre pop-up, et qu'il y a un thème « -dark » (sombre) qui correspond, cette case à cocher vous permet de rapidement passer de l'un à l'autre. Cependant, comme toutes les différentes versions sont listées dans le pop-up, y compris les foncées, il n'y a aucun besoin de cette case à cocher. Encore pire, certains thèmes ont trois entrées différentes : dans le cas du thème « Yaru », par exemple, il y a « Yaru », « Yaru-light » (qui paraissent être identiques) et « Yaru-dark ». Cette case à cocher aurait plus de sens si les versions suffixées étaient supprimées du menu. Vous sélectionneriez alors d'abord un thème (par ex. « Yaru ») avant d'utiliser la case à cocher pour passer de la variante « -light » (claire) à celle « -dark » (sombre).

The GTK themes only affect the UI widgets – buttons, scrollbars, text entry boxes and so on – not the icons. The second section in the preferences panel deals with those. A popup lets you select the icon theme you want to use. In the case of my test installation there are four options: “hicolor”, “multicolor”, “Tango” and “Use system icons”. I’m not sure why the first two aren’t deserving of capital letters at the start, but that’s a minor niggle. Of those choices, three of them result in the same appearance, with only “Tango” looking any different, at least in the default configuration. There are actually two other icon styles available, though the UI for selecting them is not entirely straightforward. If you select either the “hicolor” or “multicolor” themes, you will then gain access to a checkbox labelled “Use symbolic icons”. With this checked, each theme renders flat icons with little or no shading, and either no additional color (ironically, this is the “hicolor” option), or specific highlight colors (“multicolor”). This screenshot shows all four options, from left to right: hicolor/multicolor (non-symbolic), Tango, hicolor symbolic, multicolor symbolic.

Les thèmes GTK n'affectent que les gadgets de l'UI : boutons, ascenseurs, champs de saisie de texte et ainsi de suite, mais pas les icônes. La seconde section du panneau des préférences s'en occupe. Une liste déroulante vous permet de sélectionner le thème d'icônes que vous voulez utiliser. Dans le cas de mon installation de test, il y a quatre options : « hicolor», « multicolor, », « Tango » et « Utiliser les icônes système ». Je ne suis pas sûr de comprendre pourquoi les deux premiers ne commencent pas par une majuscule, mais c'est un problème mineur. Parmi ces choix, trois ont la même apparence ; seul Tango semble différent, au moins dans la configuration par défaut.

Il y a en fait deux autres styles d'icônes disponibles, bien que les choisir dans l'UI ne soit pas simple. Si vous sélectionnez les thèmes « hicolor » ou « multicolor », vous aurez accès à une case à cocher « Utiliser les icônes symboliques ». Si vous la cochez, chaque thème sera affiché en icônes « plates » avec peu ou pas d'ombrage, et, soit aucune couleur additionnelle (ironiquement, c'est l'option « hicolor ») ou des couleurs spécifiques intenses (« multicolor »). Cette copie d'écran montre les quatre options, de la gauche vers la droite : hicolor/multicolor (non symbolique), Tango, hicolor symbolique, multicolor symbolique.

My personal preference is for a light theme with colorful icons. I’m of the view that icons with distinctive colors as well as shapes probably require a little less cognitive effort to recognise, leading to a UI that’s easier, and therefore faster to navigate with less conscious thought required. As the work I do in Inkscape generally ends up being printed on white sheets of paper, I usually use a white background in the drawing window. A light theme therefore leads to a less jarring difference between the light color of the canvas and the UI around it. But I know that some people do love their dark themes, and it’s for these users that I think the symbolic icons come into their own. Looking at the top-left corner of the Inkscape window with the default icons but a dark theme (Yaru-dark) shows the problem with using the default non-symbolic themes:

Ma préférence personnelle est pour le thème clair avec les icônes bien colorées. Mon point de vue est que reconnaître des icônes avec des couleurs et des formes distinctives nécessite probablement moins d'efforts cognitifs, conduisant à une utilisation de l'UI plus facile et, par conséquent, plus rapide avec un moindre besoin de réfléchir. Comme le travail que je fais avec Inkscape se termine généralement par une impression sur des feuilles de papier blanc, j'utilise habituellement un fond blanc dans la fenêtre de dessin. Un thème clair entraîne par conséquence une différence moins tranchée entre la couleur claire du canevas et celle de l'UI qui l'entoure. Mais je sais que des gens adorent les thèmes sombres et c'est pour ces utilisateurs que, je pense, les icônes symboliques ont tout leur sens. En regardant dans le coin en haut à gauche de la fenêtre d'Inkscape avec les icônes par défaut, mais avec un thème sombre (Yaru-dark), on voit le problème de l'utilisation des thèmes non symboliques par défaut :

Notice how jarring the colored icons are against the darkness of the toolbars. Conversely, there are some symbolic icons visible even with this icon set, which are too dark and difficult to make out (I’ve reported this as an issue, and the feedback is that it appears to be a packaging problem with the Snap). Switching to a symbolic theme makes the icons a lot more consistent: Although they’re consistent, they’re also a bit too bright. By un-ticking the “Use default colors for icons” checkbox, however, you can use the color buttons below to select the main icon color, as well as the highlight colors (for the multicolor theme). This makes it possible to knock the bright icons back to a darker grey – or even a color tint, should you wish.

Regardez comme les icônes colorées tranchent sur le foncé des barres d'outils. Inversement, certaines icônes symboliques sont visibles même dans ce jeu d'icônes, qui sont trop sombres et diffciles à distinguer (j'ai fait remonter cela comme un problème, et le retour est qu'il semble y avoir un problème dans les paquets avec Snap). En basculant sur un thème symbolique, les icônes paraissent beaucoup plus cohérentes :

Bien qu'elles soient plus cohérentes, elles sont un peu trop brillantes. Cependant, en décochant la case « Utiliser les couleurs par défaut pour les icônes », vous pouvez utiliser les boutons des couleurs pour sélectionner la couleur principale des icônes tout comme les couleurs de surbrillance (pour le thème multicolore). Cela rend possible de ramener les icônes brillantes vers un gris plus sombre, ou même une teinte colorée, si vous le souhaitez.

In the case of the multicolor theme, the three highlight colors are used in the toolbox icons as a means of grouping similar sets of tools together. Once again, this addition of color aids in reducing the cognitive effort required to identify an icon. What I’d really like is the ability to set each base color or highlight on a per-icon basis, so that I could make the tools I regularly use stand out more than those that see only occasional deployment. Perhaps in a future version. That’s enough for the stylistic changes in the UI. Next month, we’ll start a deeper dive into the new features and additions that have taken place in the actual drawing tools. If you can’t wait, and want a quick preview of some of the highlights of this release, take a look at the highly professional release video the project has posted: https://inkscape.org/release-video-1-0/

Dans le cas du thème multicolore, les trois couleurs de surbrillance sont utilisées dans les icônes des boîtes à outils comme un moyen de regrouper les jeux d'outils similaires. Une fois encore, cet ajout de couleur aide à réduire l'effort mental requis pour identifier une icône. Ce que j'aimerais vraiment, c'est de pouvoir régler chaque couleur de base ou de surlignement sur une base par icône, de sorte que je puisse faire ressortir les outils que j'utilise régulièrement plus que ceux qui ne sont que d'un emploi intermittent. Peut-être dans une version future.

En voilà assez sur les modifications stylistiques de l'UI. Le mois prochain, nous commencerons une plongée en profondeur dans les fonctionnalités et ajouts nouveaux qui ont eu lieu dans les vrais outils de dessin. Si vous ne pouvez pas attendre, et que vous voulez avoir un rapide aperçu de quelques points forts de cette publication, regardez cette vidéo très professionnelle sur cette version que l'équipe du projet a postée : https://inkscape.org/release-video-1-0

issue157/inkscape.txt · Dernière modification : 2020/06/11 18:40 de andre_domenech