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issue168:tutoriel1

Website: https://www.latex-project.org/ Prerequisites: A willingness to learn. Target audience: N00bs You may ask, “Why another Latex tutorial when there are so many Youtube videos?” And my answer would be, after watching countless outdated videos that were badly planned, and badly executed, and gave me no answers, THIS tutorial was born. I am no expert; this is what I wish the tutorials actually taught me. When it comes to typesetting, LaTeX is the undisputed champ. It outweighs its opponents in the sheer number of options alone. At first, LaTeX is a bit confusing and difficult to use. Not to scare you, but I suggest looking here: http://tug.ctan.org/info/symbols/comprehensive/symbols-a4.pdf

Site Web : https://www.latex-project.org/

Conditions préalables : Avoir la volonté d'apprendre.

Public cible : débutants

Vous vous demandez peut-être : « Pourquoi encore un tutoriel sur le latex alors qu'il y a tant de vidéos sur Youtube ? » Et ma réponse serait la suivante : « après avoir regardé d'innombrables vidéos dépassées, mal planifiées, mal exécutées et ne me donnant aucune réponse, CE tutoriel est né. Je ne suis pas un expert ; voici ce que j'aimerais que les tutoriels m'apprennent réellement ».

En matière de composition, LaTeX est le champion incontesté. Il l'emporte sur ses adversaires par le seul nombre d'options qu'il offre. Au début, LaTeX est un peu déroutant et difficile à utiliser. Je ne veux pas vous effrayer, mais je vous suggère de regarder ici : http://tug.ctan.org/info/symbols/comprehensive/symbols-a4.pdf.

However, our intent with these tutorials is to help you unravel its mysteries and become a wizard at your Ubuntu computer. To help you get there, TeX studio is our IDE of choice. An IDE is a helper tool, nothing more. You actually do not even need it, but it makes things a lot easier. So fire up Tex studio, click the new tab button, and let’s get started. (If this seems foreign to you, see last issue). This is where I left you last issue. Which is fine and well for a cover page, but you may want to break up your writing into sections, so let's do just that. You can simply add a “/section” identifier and that will be the heading of your section. See, it’s not as crazy as it first seems.

Cependant, notre intention avec ces tutoriels est de vous aider à percer ses mystères et à devenir un magicien sur votre ordinateur Ubuntu. Pour vous aider à y parvenir, TeX studio est notre IDE de prédilection. Un IDE est un outil d'aide, rien de plus. En fait, vous n'en avez même pas besoin, mais il rend les choses beaucoup plus faciles. Alors lancez TeX studio, cliquez sur le bouton d'un nouvel onglet, et commençons. (Si vous n'avez aucune idée de quoi je parle, consultez le dernier numéro.)

C'est là que je vous ai laissé dans le dernier numéro. C'est très bien pour une page de couverture, mais vous voudrez peut-être diviser votre texte en sections, alors faisons-le. Vous pouvez simplement ajouter un identifiant « /section » et ce sera le titre de votre section. Vous voyez, ce n'est pas aussi fou que ça en a l'air.

If you missed our last issue, it is available to download in the back issues section: https://fullcirclemagazine.org/downloads/ You can make as many sections as you like. Try it now. You can even copy-paste them if you like. As you add sections, you will see them in the left-most pane in a tree view. This can be handy for writers wanting to keep their scenes or chapters together. If you used the auto-complete function, you may have noticed there was more than one ‘section’. If you added more sections, you may have noticed that they were numbered. If you would not like them numbered, you choose the option with the ‘*’ , or you can simply insert a star in front of the curly braces.

Si vous avez manqué notre dernier numéro, vous pouvez le télécharger dans la section des anciens numéros : https://www.fullcirclemag.fr/?pages/Num%C3%A9ros

Vous pouvez créer autant de sections que vous le souhaitez. Essayez-le maintenant. Vous pouvez même les copier-coller si vous le souhaitez.

Au fur et à mesure que vous ajoutez des sections, vous les verrez apparaître dans le volet le plus à gauche sous forme d'arborescence. Cela peut s'avérer pratique pour les auteurs qui souhaitent conserver leurs scènes ou chapitres ensemble. Si vous avez utilisé la fonction d'auto-complétion, vous avez peut-être remarqué qu'il y avait plus d'une « section ». Si vous avez ajouté d'autres sections, vous avez peut-être remarqué qu'elles étaient numérotées. Si vous ne voulez pas qu'elles soient numérotées, vous pouvez choisir l'option avec le « * », ou vous pouvez simplement insérer une astérisque devant les accolades.

Here is our ‘code’ so far: Voici notre “code” jusqu'à présent : documentclass[a4paper]{article} \title{Your FCM bootcamp for \LaTeX} \author{ErikTheUnready} \begin{document} \maketitle \section{How I got hold of Bill Gates's balls… or, how to evade golf course security} \section{Autographs in the rear} \section*{Disguises you need to wear} \end{document}

Voici notre « code » jusqu'ici :

\documentclass[a4paper]{article}

\title{Votre bootcamp FCM pour \LaTeX}

\author{ErikTheUnready}

\begin{document}

\maketitle

\section{Comment j'ai mis la main sur les c… de Bill Gates… ou, comment échapper à la sécurité d'un terrain de golf}

\section{Autographes dans le dos}

\section*{Déguisements que vous devez porter}

\end{document} So far we have done nothing difficult to remember or difficult to grasp. The same is true for making subsections. It is simply ‘\subsection{}’

Go on, make a few, we know you want to. The same principle applies here regarding the ‘*’ before your curly braces.

Say you want a subsection of a subsection, then you need to use the ‘\subsubsection{}’ command. So far, so good. Now the odd one; it’s the ‘\paragraph{title}’ - this will not make a paragraph, but a highlighted title, before your next sentence. Go ahead and try that now. To make a paragraph, you still need to do it in the old fashioned way. Jusqu'à présent, nous n'avons rien fait de difficile à retenir ou à appréhender. Il en va de même pour la création de sous-sections. Il s'agit simplement de « \subsection{} » Allez-y, faites-en quelques-unes, nous savons que vous en avez envie. Le même principe s'applique à l'utilisation de l'astérisque (*) devant les accolades. Si vous voulez une sous-section d'une sous-section, vous devez utiliser la commande « \subsubsection{} ». Jusqu'à présent, tout va bien. Ce qui suit est bizarre : il s'agit de la commande « \paragraph{title} ». Elle ne crée pas un paragraphe, mais un titre en surbrillance, avant votre prochaine phrase. Allez-y, l'essayez maintenant. Pour créer un paragraphe, vous devez toujours le faire à l'ancienne. If you listen to a lot of music, you will know what I am talking about when I use the word “tags”. When making a latex document, you will often put pictures in. You can “tag” these with a label, like ‘figure1’ or ‘fig:1’. These types of labels are not seen, but searchable. You can now reference this figure (fig:1) you tagged from anywhere in the document and it will always match up. Yes, even though this is a section. (We will get to images later). Instead of fig for figure, you can use sec: for section. You use the \ref command to reference a label you created.

As you can see in our example, our label is under heading 3.2 now, but if I were to add a section before that, the pointer will now point to 3.3 or whatever it becomes. The key name does not matter, but it is good to stick to something standardised. The key: \label{pinkmoonmonkeys} - is just as valid as our example. Go ahead and tag a section with a label. Si vous écoutez beaucoup de musique, vous saurez de quoi je parle lorsque j'utilise le mot « étiquettes » (tags). Lorsque vous créez un document latex, vous y ajoutez souvent des images. Vous pouvez les « étiqueter » avec une étiquette, comme « figure1 » ou « fig:1 ». Ces types d'étiquettes ne sont pas visibles, mais peuvent être recherchées. Vous pouvez maintenant faire référence à cette figure (fig:1) que vous avez étiquetée depuis n'importe quel endroit du document et elle correspondra toujours. Oui, même s'il s'agit d'une section. (Nous aborderons les images plus tard.) Au lieu de fig pour figure, vous pouvez utiliser sec: pour section. Vous utilisez la commande \ref pour faire référence à une étiquette que vous avez créée. Comme vous pouvez le voir dans notre exemple, notre étiquette se trouve actuellement sous la rubrique 3.2, mais si j'ajoute une section avant celle-ci, le pointeur indiquera désormais 3.3 ou ce qu'il deviendra. Le nom de la clé n'a pas d'importance, mais il est bon de s'en tenir à quelque chose de standardisé. La clé : \label{pinkmoonmonkeys} - est tout aussi valable que notre exemple. Allez-y et marquez une section avec une étiquette. Moving along. If you want to insert a text symbol that was not on your keyboard, you can do so. For example \textdollar will insert the dollar symbol. I suggest doing a search in the comprehensive symbols list as there is no way you will remember them all. Just remember the format: \command[option]{argument}

If the symbol is already on your keyboard, just like in BASH, you need to escape the character.

Here is our ‘code’ so far, you can copy to see it in action: I want you to notice spaces. What caught your eye? Answers to: misc@fullcirclemagazine.org

Unlike a word processor, we do not see Bold or Italic in the menu. My suggestion to newbies is to type \text in the IDE, and wait for the dropdown menu and scroll through that. To emphasise something, use /emph. Continuons. Si vous voulez insérer un symbole de texte qui n'était pas sur votre clavier, vous pouvez le faire. Par exemple, \textdollar insérera le symbole du dollar. Je vous suggère de faire une recherche dans la liste complète des symboles car il est impossible de se souvenir de tous. Retenez simplement le format : \command[option]{argument} Si le symbole est déjà présent sur votre clavier, tout comme dans BASH, vous devez utiliser échap sur le caractère. Voici notre « code » jusqu'à présent ; vous pouvez le copier pour le voir en action : Je veux que vous remarquiez les espaces. Qu'est-ce qui a attiré votre attention ? Envoyez vos réponses à : misc@fullcirclemagazine.org Contrairement à un traitement de texte, nous ne voyons pas de Gras ou Italique dans le menu. Je conseille aux débutants de taper \text dans l'IDE, d'attendre le menu déroulant et de le faire défiler. Pour accentuer quelque chose, utilisez /emph. TIP: beware of using /emph as an option to something like a section, as it will move the word onto a new line.

We have choices of \textit and \textsl – italics and slanted text. You can even try \textsc to change the word to small caps. Note that bold is \textbf for bold font. The catch comes when you need more than one option. What do you do? This problem is taken care of by nesting. We ‘nest’ our commands inside each other.

Open a new window with CTRL+N or click the ‘new’ button and enter the following:

\documentclass[a4paper]{article} \begin{document} Let us emphasize some \emph{emphasized text}.

Commands can be \textsl{\textbf{nested}}. \emph{Note how \emph{emphasizing} changes when nested.}

\end{document} ASTUCE : attention à ne pas utiliser /emph comme option de quelque chose comme une section, car cela déplacera le mot sur une nouvelle ligne. Nous avons le choix entre \textit et \textsl - italique et texte incliné. Vous pouvez même essayer \textsc pour mettre le mot en petites majuscules. Notez que le gras est \textbf pour la police en gras. Un problème se manifeste quand vous avez besoin de plus d'une option. Que faire ? Ce problème est résolu par l'imbrication. Nous « imbriquons » nos commandes les unes dans les autres. Ouvrez une nouvelle fenêtre avec CTRL+N ou cliquez sur le bouton « Nouveau » et entrez ce qui suit : \documentclass[a4paper]{article} \begin{document} Mettons en valeur certains \emph{texte mis en valeur}. Les commandes peuvent être \textsl{\textbf{nichées}}. \emph{Remarquez comment \emph{la mise en valeur} change lorsqu'elle est imbriquée.} \end{document} Compile and preview this new document. Notice how each command is ‘nested’ in its own curly braces inside the other command’s curly braces (see image below).

So what did we learn in this issue?

1. a ‘*’ can negate automatic numbering. 2. When you refer to something, rather tag it with a \label 3. You can insert symbols, but also escape them. 4. We can nest commands. 5. Some things change, depending on their location.

Is Latex becoming less cryptic? Did we make a mistake? Know of a better way? Then we would like to hear from you – misc@fullcirclemagazine.org **

Compilez et prévisualisez ce nouveau document. Remarquez comment chaque commande est « imbriquée » dans ses propres accolades à l'intérieur des accolades de l'autre commande (voir l'image ci-dessous).

Qu'avons-nous appris dans ce numéro ?

1. un « * » peut annuler la numérotation automatique. 2. Lorsque vous faites référence à quelque chose, il est préférable de l'étiqueter avec un \label. 3. Vous pouvez insérer des symboles, mais aussi y appliquer « échap ». 4. On peut imbriquer des commandes. 5. Certaines choses changent en fonction de leur emplacement.

Latex devient-il moins occulte ? Avons-nous fait une erreur ? Vous connaissez une meilleure méthode ? Dans ce cas, nous aimerions avoir de vos nouvelles - misc@fullcirclemagazine.org

issue168/tutoriel1.txt · Dernière modification : 2021/05/06 19:06 de auntiee