Website: https://www.noprophet.com/ Price: 24.99 USD on GOG and Steam Blurb: “Prepare your decks and go on a pilgrimage through the wasteland! Nowhere Prophet is a unique single-player card game. Travel across randomly generated maps, and lead your followers in deep tactical combat. Discover new cards and build your deck as you explore this strange, broken world.“ “Survive the wastes and find a new home for your people. A roguelike with tactical, card-based combat.”
Site Web : https://www.noprophet.com/
Prix : 24,99 $ US sur GOG et Steam
Aperçu : « Préparez vos jeux de cartes et commencez un pèlerinage à travers le désert ! Nowhere Prophet est un jeu de cartes unique à un joueur. Voyagez sur des plans générés de façon aléatoire et menez vos ouailles dans un combat profond et tactique. Découvrez de nouvelles cartes et construisez votre jeu pendant que vous explorez ce monde étrange et brisé.
« Survivez sur cette terre désolée et trouvez un nouveau foyer pour votre peuple. Similaire à Rogue avec des combats tactiques basés sur des cartes. »
I am not big on card-based battle games, probably because I never invested any time in learning any of them. There is usually a complex set of rules you need to remember, and you need to find ways to stay within those rules and still win the game. One of the telegram groups I joined posted a tune, very haunting and trippy, and I had to know more. That led me to this game. At first, the artwork put me off. It is the kind I don’t like. It is sort of similar to the Banner saga / Darkest Dungeon, but worse. Aesthetically, it may please someone, but I am not that person; if it appeals to you, great. So - I may have been a bit negative in the beginning, until I started playing…
Les jeux de combat basés sur des cartes ne m’ont jamais beaucoup plu, sans doute parce que je n’ai jamais investi de temps dans leur apprentissage. Habituellement, il y a un ensemble complexe de règles dont il faut se souvenir et vous devez découvrir comment les respecter tout en gagnant au jeu. Un des groupes sur Telegram, que j’ai rejoint, a posté une mélodie très envoûtante et psychotronique et je me devais d’en apprendre plus. C’est cela qui m’a conduit à ce jeu.
Au départ, les graphismes m’ont dérangé. Je n’aime pas ce genre-là. Il est un peu similaire à celui de la saga Banner/Darkest Dungeon, mais en pire. Esthétiquement, ça peut plaire à certains, mais je n'en suis pas ; si vous l’aimez, alors c’est parfait. J’ai pu donc être un peu négatif au début, jusqu’à ce que je commence à y jouer…
Just so you know, this is not Pac-man, where you can just start playing. You need to read the rulebook (it is prominently in the menu), or be punished… Severely! Just like Darkest Dungeon, it is ugly, with tough gameplay, and, as Jaffar would say, “a diamond in the rough”. The game specs are pretty low, and it runs on my potato laptop at full graphics. There is a lot to like and a lot to dislike, let’s get started: You need to navigate a map to reach your goal, to make it to the next section. There are, however, only a few branches and routes you can take. When I say this, I don’t mean that you cannot go to each point, but you should not – for the risk of running out of food and hope. There are a lot of resources to keep track of and currently I am not 100% sure if the risk / reward thing butters my buns.
Il faut savoir qu'il ne s’agit pas de Pac-man, où il suffit de commencer à jouer. Il faut lire le recueil de règles (qui figure éminemment dans le menu), ou vous serez puni… Sévèrement ! Tout comme Darkest Dungeon, le jeu est laid, y jouer est difficile et comme dirait Jaffar, c'est « un diamant brut ». Les spécifications du jeu sont assez basses et il tourne sur mon portable bas de gamme en plein écran. Il y a beaucoup de choses qui plaisent et beaucoup qui sont déplaisantes. Commençons :
Vous devez naviguez sur une carte pour atteindre votre objectif, aller à la prochaine section. Il n’y a cependant que peu de branchements et de routes que vous pouvez emprunter. Quand je dis cela, je ne veux pas dire que vous ne pouvez pas aller à chaque point, mais que vous ne devez pas le faire – au risque de ne plus avoir ni nourriture, ni espoir. Vous devez surveiller beaucoup de ressources et actuellement je ne suis pas sûr à 100 % que le rapport risque/récompense mette du beurre dans mes épinards.
Each of the points on the board leads you to an encounter – that could be positive or negative, depending on how you handle it. The game gives you multiple options here, and the choice is yours, as they say on TV. Though I understand that this is a card game first and story second, forging relationships with the characters you meet does not benefit you. This was something I did not like, as I like to be engaged in my games. Also, how cool would it not be for the Fremen to come dashing down a dune? I also have to mention that there needs to be more cards, the graphic for the gang leader with the cigarette in the mouth, that you just killed, will be the same portrait for the beggar you just fed. The conversations seem to have a basic pattern that you can learn. Your cards are your followers, so you need to collect them from towns and encounters, but you need to tread a thin line here, as food is not in abundance. The same can be said for ability cards. You need to acquire as many as you can, but you will find that some cards just don’t do anything. That is because the buff or debuff does not work with the target, but you don’t know that until you play it. A little circle with a line through it would have sufficed. Wasting cards like this grates my gherkin (any waste actually), and is one of the reasons the game is interesting, but not fun to play. The hard-as-nails part is great, for a change, but it is a bit of a party-pooper in the end. The card combat is intricate and brutal. The downers you get from dying all the time makes you not want to have another go at it, I’d rather do something happy. So there is re-playability, but not that you would want to immediately. This is where the game resembles Darkest Dungeon even more than just the artwork. I don’t want to play that any more either.
Chacun des points sur le plateau vous mène à une rencontre, qui pourrait être positive ou négative selon votre façon de la gérer. Ici, le jeu vous donne de multiples options et, comme ils disent à la télé, c’est à vous de choisir. Bien que je comprenne qu’il s’agit d’abord d’un jeu de cartes et d’une histoire en second lieu, créer des liens avec les personnages que vous rencontrez ne vous apporte rien. C’était quelque chose que je n’ai pas aimé, car j’aime être impliqué dans mes jeux.
De plus, ce serait très chouette si des Fremen descendaient une dune à fond la caisse, non ? Je dois aussi mentionner qu’il devrait y avoir davantage de cartes, car l’illustration du chef de gang avec une cigarette au bec, que vous venez de tuer, est la même que le portrait du mendiant que vous venez de nourrir. Les conversations semblent faites toutes sur le même modèle de base que vous pouvez apprendre. Vos cartes sont vos ouailles et vous devez donc les collectionner dans des villes et lors de rencontres, mais il y a une ligne fine à négocier ici, car il n’y a pas beaucoup de nourriture. On peut dire la même chose des cartes d’aptitude. Vous devez en amasser autant que possible, mais vous trouverez que certaines cartes ne font tout simplement rien. C’est parce que l’amélioration ou l’affaiblissement ne fonctionne pas avec cette cible, mais vous ne le savez pas avant de l’avoir jouée. Un petit cercle traversé par une ligne aurait fait l’affaire. Gaspiller des cartes ainsi est déplaisant (en fait, n'importe quel gaspillage), et c’est l’une des raisons pour laquelle le jeu est intéressant, mais pas amusant. La partie très difficile est géniale, pour changer, mais à la longue cela devient décourageant. Le combat de cartes est complexe et violent. Les dépressions, dues au fait que vous mourrez tout le temps, font que vous ne voulez pas faire des essais à répétition ; je préférerais faire quelque chose de joyeux. Bon, la re-jouabilité existe, mais vous ne voudrez pas rejouer tout de suite. C’est par ici que le jeu ressemble à Darkest Dungeon, plus qu’avec les graphismes. Je ne veux plus jouer à ce jeu-là non plus.
With that, back to the music. I think this is the main attraction for me, as the graphics just feel iffy. Do yourself a favor and grab the OST with the game. The wallpapers are nothing to write home about, and the art book actually will give you some insights into the game, but also nothing to write home about. The sitar features heavily in the music and notes are drawn out creating a feeling of space and adventure, suiting this game perfectly, very much like the music in Fallout did for that game. (minus the Inkspots). Have a listen here: https://www.youtube.com/watch?v=Yuh4ozopEu8 I am seriously in limbo here: 50 / 50 – 50% I like and 50% I don’t. A game needs to be fun, and, at the end of the day, this is not, for multiple reasons. Challenging, yes, interesting, yes, emotional, yes, even the graphics can grow on you, but the element of fun is missing.
Cela étant dit, pour revenir à la musique, je pense que c’est l’aspect du jeu qui m’attire le plus, car les graphismes donnent l’impression d’être incertains. Rendez-vous un grand service et obtenez la bande son avec le jeu. Les arrière-plans ne valent pas le coup d’en parler et le livre d’art vous donnera en fait quelques nouvelles perspectives sur le jeu, mais les illustrations ne valent pas le coût d’en parler non plus. Il y a beaucoup de sitar dans la musique et les notes sont allongées pour créer un sentiment d’espace et d’aventure, ce qui convient parfaitement au jeu, tout comme la musique de Fallout pour ce jeu-là (moins les Inkspots). Écoutez-le ici : https://www.youtube.com/watch?v=Yuh4ozopEu8
Je suis sérieusement dans les limbes ici : 50/50 – 50 % je l’aime bien et 50 % je le déteste. Un jeu doit être amusant et, en fin de compte, celui-ci ne l’est pas pour de multiples raisons. Exigeant, oui, intéressant, oui, émotionnel, oui, même les graphismes finissent par vous plaire un peu, mais l’élément amusement est manquant.