Website: https://www.freeoffice.com/en/download Price: Supposedly free, but mine says it will expire in 6 days… Blurb: “The best free alternative to Microsoft Office“ Weighing in at only 125BMB (.deb-file), the download is quick, but the installation is painfully slow if you have a lot of themes (like me), as it seems to add updated icons to each one. The installer also tries to call home, best block it in your firewall. Linux office suites are a mixed bag, some offer better compatibility with M$ office, while others strive to be ahead of the curve. When it comes to looks, SoftMaker FreeOffice mimics Office 2013 onwards, the best. That said, the naming does not mimic M$ office at all. In my menu I see; not just “planmaker” but FreeOffice PlanMaker, FreeOffice TextMaker and FreeOffice Presentations. This now needlessly sets me on a mission to edit the names to pull my menu back to a reasonable size. PlanMaker is their version of Excel and not Visio, just so you know. Starting any of the office components, again, it immediately tries to phone home, regardless if the network is connected or not. (And here I thought the WPS office was bad!).
Site Web : https://www.freeoffice.com/en/download [Ndt : Apparemment, il n’y a pas de site en français]
Présentation : « La meilleure alternative gratuite à Microsoft Office »
Puisque le fichier .deb ne fait que 125 Mo, le téléchargement est rapide, mais l’installation est péniblement lente si, comme moi, vous avez beaucoup de thèmes, car cela semble ajouter des icônes mises à jour à chacun. L’installeur essaie aussi d’appeler la maison et il vaut mieux le bloquer dans votre pare-feu.
Les suites bureautiques dans Linux contiennent un peu de tout : certaines offrent une meilleure compatibilité avec M$ Office, alors que d’autres essaient d’être meilleures. Question apparence, Softmaker FreeOffice mime Office 2013 et ultérieure, la meilleure. Cela étant dit, les noms ne miment pas M$ Office du tout. Dans le menu, je ne vois pas seulement « planmaker », mais FreeOffice PlanMaker, FreeOffice TextMaker et FreeOffice Presentations. Cela m’envoie tout à fait inutilement sur une mission où j’édite les noms pour faire diminuer la taille du menu jusqu’à ce qu’elle soit raisonnable. Je vous préviens : PlanMaker est leur version d’Excel et pas Visio. Si je démarre l’un des composants, n’importe lequel, il essaie tout de suite à nouveau de téléphoner à la maison, que le réseau soit connecté ou non. (Et dire que je pensais que WPS Office était mauvais !).
I do not like the large Microshaft ribbon, but once folded away, it feels quite professional. Compatibility with Open document standards is perfect, but spellcheck is not on by default. For me, that is not a problem, but I can see some Sally at home having issues. (Oi!! What do you have against me? - Sally). Speaking of the ribbon, you choose the icon types when you launch it for the first time. Large or small, dark or light theme as seen here: However, as I am writing this article in TextMaker, I tried inserting images, and yes, it inherits all the bugs from Microshaft Orifice, refusing to insert the images where my cursor is, instead opting to insert them in the footer of the previous page. I had to revert to trusty LibreOffice to get the images inserted correctly, as it would not cooperate.
Je n’aime pas le grand ruban de Microshaft, mais, une fois plié, on a l’impression que le programme est très professionnel. La compatibilité avec les standards Open Document est parfaite, mais la vérification de l’orthographe n’est pas activée par défaut. Ce n’est pas un problème pour moi, mais je peux voir qu’une certaine Sally a des problèmes à la maison. (Oi !! Qu’as-tu contre moi ? - Sally.)
En parlant du ruban, vous choisissez le type d’icônes quand vous le lancez la première fois. Grande ou petite, sombre ou claire, comme illustrées ici :
Cependant, puisque j’écris cet article dans TextMaker, j’ai essayé d’insérer des images et, oui, il a hérité de tous les bogues de Microshaft Office et refuse d’insérer des images là où se trouve mon curseur ; à la place, il les mets dans le pied de la page précédente. J’ai dû revenir au fidèle LibreOffice pour insérer les images correctement, car il ne voulait pas coopérer.
Also, in TextMaker, the line spacing is bigger than other Office suites on my ‘puter, meaning the pages did not line up. (Font was standard Ubuntu Mono at 12pts). The plus side to this is that there are no visual artefacts when scrolling. Saving a document in TextMaker, automatically adds grey outlines to your page, that carry over to other editors. I am not sure if that is a good or bad thing. Opening a new document with a lot of images is where you may find a slight niggle, they take a while to load in, even on an SSD. You may find yourself flipping back and forth between the pages looking for a specific image to pop into one of the blank spots. Next, I gave Presentations the quick once-over. Immediately I was stuck trying to pattern the background. All the background “tiles” were blank. Now I am not sure if this is because I downloaded the free version, or if it is a bug, but this is where my woes started. Only after trying ALL the options, then circling back through them, did the patterns appear. I did not expect this level of sluggishness. Trying to add a blank slide quickly with CTRL+m, which resulted in the “inset slide” pop-up to appear with layouts. The blank slide is hidden two-thirds the way through. Again, I am not sure if this is a positive or negative, but it felt like my rhythm was interrupted. I would write that off to me being used to using LibreOffice, but even M$ office places the blank page / template first.
De plus, dans TextMaker, l’espacement des lignes est plus large que dans d’autres suites bureautiques sur ma machine, ce qui signifie que les pages ne s’alignent pas. (La police était Ubuntu Mono standard à 12 pts.) L’avantage de cela est qu’il n’y a pas d'artefacts visuels lors du défilement. L’enregistrement d’un document dans TextMaker ajoute automatiquement des contours gris à votre page, qui restent dans d’autres éditeurs. Je ne sais pas s’il s’agit d’une bonne ou d’une mauvaise chose. C'est avec l’ouverture d’un nouveau document avec beaucoup d’images que vous rencontrerez quelques défauts, car il faut pas mal de temps pour qu’il charge, même sur un SSD. Vous pouvez vous trouver en train de faire des allers-retours entre les pages pour trouver une image précise à mettre dans l’un des espaces vierges.
Ensuite, j’ai brièvement regardé Presentations. Et, immédiatement, j’ai été bloqué en essayant de décorer l’arrière-plan.
Tous les « carreaux » de l’arrière-plan étaient vides. Il faut dire que je ne suis pas sûr que cela soit dû au fait que j’ai téléchargé la version gratuite, ou s’il s’agit d’un bogue, mais c’est là qu’ont commencé les misères. Ce n’est qu’après avoir essayé TOUTES les options, puis y être retourné l’une après l’autre, que le décor est apparu. Je ne m’attendais pas du tout à ce niveau de lenteur. Le résultat d’un essai d’ajout rapide d'une diapositive vide avec CTRL+m, a été que le pop-up « insérer la diapo » s’est affiché avec des dispositions. La diapositive vierge est cachée bien en dessous, disons au deux-tiers.
À nouveau, je ne suis pas sûr que ce soit un avantage ou un inconvénient, mais j’avais l’impression que mon rythme était interrompu. Je pourrais dire que c’est parce que je suis habitué à LibreOffice, mais même M$ Office met la page vierge/le modèle d’abord.
I wanted to add a note as to what I did to get there, and could not find it. I hate having to scratch for the things you use the most. There is a “Comments” option, under the “insert” tab, but that kept saying it could not make the note without me entering my name and surname. *Le Sigh… I did find “notes” under the “view” tab, if you were wondering (same as MS office). Instead of the presentation just sliding up and me getting to type my note below my side, it narrowed the slide, and I could not just revert, even pressing CTRL+z. The space I was offered to put the note in, was in the right pane, where the slides / outline usually is. It said “note 1”, but I could not type in it. Suddenly it all just felt foreign. The ribbon is quite responsive and fairly easy to use once you get used to it. The tools on the ribbon are also quite useful, so don’t think that it is all bad. Choosing “transitions”, I opted for the “SoftMaker Transitions”, which netted me a back slide. Again, not ideal.
Je voulais ajouter une note sur ce qu’il fallait faire pour que j’y arrive et je ne pouvais pas trouver comment faire. Je déteste devoir gratter un max pour pouvoir trouver les choses que j’utilise le plus. Sous l’onglet « insert » il y a une option « Comments », mais cela n’arrêtait pas de dire qu’il ne pouvait pas faire une note sans que j'entre mon nom et prénom. *Le Sigh… J’ai fini par trouver « notes » sous l’onglet « view » (Affichage), si vous vous le demandiez (la même chose que dans MS Office). Au lieu du défilement simple de la présentation pour me permettre de taper ma note sous mon côté, il a rétréci la diapositive et je ne pouvais absolument pas tout simplement y revenir, même en appuyant sur CTRL+z. La place qu’on m’a offert pour la note était dans le bon panneau, ou les diapos/le plan se trouvent généralement. Il disait « note 1 », mais je ne pouvais rien taper. Tout à coup, tout me semblait étranger.
Le ruban est réactif et assez facile à utiliser une fois que vous vous y habituez. Les outils sur le ruban sont également très utiles, alors ne pensez pas que tout est mauvais. En choisissant « transitions », j’ai opté pour les « SoftMaker Transition » ce qui m’a donné la diapositive précédente. Encore une fois, pas l'idéal.
My whirlwind tour of SoftMaker Office was slowly starting to leave a bad taste in my mouth. I decided to leave it there, and we will see if the 2022 version got any better. I am trying to remember that I am used to LibreOffice, and should not compare the ease of use as my outlook may be skewed. I was not done, as Excel is usually the most “productive” application in the M$ office suite. I would import some “.xlsx” files to see how it went. PlanMaker looked a lot like M$ excel, except for the trolley. The same trolley is in the top bar too. I get it, they want you to buy it. If it had a mail client like Outlook, I would get all my clients to at least consider it. Not having to buy Office again because M$ decided that the version you had now does not work on server any more and you need to buy another licence, to justify some crap excuse, is reason enough. (I get it, M$, software makers need to be paid, but not over and over and over again, ad nauseam, for the same thing, because, EULA). So how does it perform in PlanMaker? Quite admirably, actually, all my macros worked, everything displayed properly.
Ma tournée éclair de SoftMaker Office commençait lentement à me laisser un mauvais goût. J’ai décidé de le laisser tel quel et nous verrons si la version de 2022 s’est améliorée. J’essaie de me souvenir que je suis habitué à LibreOffice et que je ne devrais pas comparer la facilité d’utilisation car mon regard peut être biaisé.
Mais je n’avais pas fini, car Excel est généralement l’application la plus « productive » de la suite bureautique M$. J’ai importé des fichiers « .xlsx » pour voir comment ça allait. PlanMaker ressemblait beaucoup à Excel de M$, sauf pour le panier. Le même panier est dans la barre du haut aussi. Je comprends qu'ils veulent que vous l’achetiez. S’il avait un client mail comme Outlook, je convaincrais tous mes clients d’au moins l’envisager. Ne pas devoir acheter Office à nouveau parce que M$ a décidé que la version que vous avez actuellement ne fonctionne plus sur le serveur et que vous devez acheter une autre licence, pour justifier quelque prétexte merdique, est un motif raisonnable. (Je comprends, chez M$, les développeurs de logiciels doivent être payés, mais pas encore et toujours, ad nauseam, pour la même chose, à cause du CLUF.)
Alors, comment sont ses performances dans PlanMaker ? Très admirables, en fait: toutes mes macros fonctionnaient et tout s’est affiché convenablement.
I did not have any Pivot tables to test, (I did test the sample ones from Microsoft, and had no issues with those, but I must admit, I am positive your own will work, as even the funny stuff with recursive formulas worked for me). To put this into perspective, they run out of memory in Excel and crash M$ office when you open them, but in SoftMaker FreeOffice they don’t crash. I pulled in a 34MB excel document from a client and PlanMaker idled at 100MB of memory usage. Running a report off the data, my CPU spiked to 70%. It is an i3, comparing it to the work Dell i5, where M$ Office ran 100% CPU usage on the same report and you could do nothing but wait, I continued writing my article on Linux. This may be a Linux / Windows thing, but the report finished at the same time as Excel, which makes one wonder. I am going to go out on a limb here and say that the performance of PlanMaker is better than any other Linux Office suite, including M$ Office. SoftMaker needs to add an email client and maybe something like Visio, and it will be a show stopper. (Or get sued out of existence by Microsoft). If they had put as much work into the presentation application as they put into PlanMaker, this release could have been the diamond in the rough. I do not use Presentation or Powerpoint anything, but it is the weakest link in the suite as it is now. Let’s hope it is fixed in the next release. For Windows, I would definitely buy this; for Linux, if you are not tied to M$ ribbon and layout, there are other options: WPS Office also did everything I wanted, without slowdowns and artifacts in the powerpoint application. OnlyOffice (Free version) does not give full functionality to the free version to test, you have to buy the paid version to test all there is. JoeOffice is alpha software, but usable. Uninstalling Softmaker Office also took its sweet time, giving me time to make a cuppa, smoke some ham, mow the lawn, paint the boathouse, and write my 420-page novel.
Je n’avais pas de tables Pivot à tester, mais j’ai testé les échantillons de chez Microsoft et n’ai pas eu de problèmes. Je dois avouer, cependant, que je suis certain que les vôtres fonctionneront, car même les trucs bizarres avec des formules récursives fonctionnaient pour moi. Pour remettre les choses dans leur contexte, dans Excel, elles manquent de mémoire et plantent M$ Office quand vous les ouvrez, mais dans SoftMaker FreeOffice, elles ne plantent pas. J’ai cherché un document Excel de 34 Mo appartenant à un client et PlanMaker tournait au ralenti à 100 Mo d’utilisation de mémoire. Quand j’ai exécuté un rapport des données, mon processeur est allé jusqu’à 70 %. C’est un i3, à comparer au travail d’un Dell i5, où M$ Office a utilisé le processeur à 100 % sur le même rapport et vous n’aviez pas d’autre choix que d’attendre, j’ai continué à écrire mon article sur Linux. Cela peut être un truc Linux/Windows, mais le rapport s’est terminé en même temps qu’Excel, ce qui vous interpelle. Je vais prendre un risque ici et dire que la performance de PlanMaker est meilleure que celle de toute autre suite bureautique sous Linux, y compris M$ Office.
SoftMaker devra ajouter un client mail et peut-être quelque chose comme Visio et il attirera tous les regards. (Ou ils seront poursuivis jusqu’à la mort par Microsoft.) S’ils avaient travaillé autant sur l’application de présentation que sur PlanMaker, cette publication aurait pu être la perle rare. Je n’utilise ni Presentation ni Powerpoint pour quoi que ce soit, mais c’est le chaînon le plus faible de la suite telle quelle. Espérons que ce sera corrigé dans la prochaine publication. Pour Windows, je l’achèterais sans hésiter ; sous Linux, si vous n’êtes pas lié au ruban et à la disposition de M$, il y a d’autres options : WPS Office a également fait tout ce que je lui demandais de faire, sans ralentis et artefacts dans l’application powerpoint. OnlyOffice (la version gratuite) ne donne pas toutes ses fonctionnalités à cette version gratuite pour les tests et vous êtes obligés d’acheter la version payante pour tout tester. JoeOffice est au stade alpha, mais utilisable.
La désinstallation de SoftMaker Office a bien pris son temps : j’ai pu me faire du thé, faire fumer un peu de jambon, tondre la pelouse, peindre le hangar à bateaux et écrire mon roman de 420 pages.