One interesting aspect of the new ‘Live Path Effects’ Selector dialog is a small toggle at the right of the toolbar, labelled “Show Experimental”. Turn this on, and your collection of LPEs will be augmented by a few others, each with a classic cherry bomb as its icon. The cherry bomb has a long history in computer interfaces as a means to indicate something has gone wrong – the most famous instances being in the crash dialog of earlier MacOS releases, and to indicate boot problems on the Atari ST (whose GEM interface took rather a lot of “inspiration” from MacOS). In the case of Inkscape, however, it serves as a warning that using these LPEs is risky. Not only are they likely to be buggy, but there’s also no guarantee that images you create using them will be supported in future versions. Generally, therefore, I recommend leaving the Show Experimental switch disabled – unless you wish to engage in the selfless act of actually trying the experimental LPEs in order to provide some useful feedback to the developers. Definitely don’t use them for real work though. The good news is that the best LPEs can, in time, be promoted out of the “experimental” stage and into the suite of fully supported effects. Such is the case with the Boolean Operation effect, which was experimental in version 1.0, but received enough polish and stability fixes to make it to the big time in Inkscape 1.1.
Un aspect intéressant de la nouvelle boîte de dialogue de sélection des LPE (« Live Path Effects » - Effets de chemin intéractifs ou ECI) est un petit bouton à bascule à droite de la barre d'outils, intitulé « Montrer les ECI expérimentaux ». Activez-le, et votre collection de LPE sera augmentée de quelques autres, chacun avec une bombe cerise classique comme icône.
La bombe cerise a une longue histoire dans les interfaces d'ordinateur comme moyen d'indiquer que quelque chose a mal tourné - les exemples les plus célèbres étant dans la boîte de dialogue de crash des premières versions de MacOS et pour indiquer les problèmes de démarrage sur l'Atari ST (dont l'interface GEM s'est beaucoup « inspirée » de MacOS). Dans le cas d'Inkscape, cependant, cela sert à avertir que l'utilisation de ces LPE est risquée. Non seulement ils sont susceptibles d'être bogués, mais il n'y a également aucune garantie que les images que vous créez en les utilisant seront prises en charge dans les versions futures. En général, je recommande donc de laisser l'interrupteur Montrer les ECI expérimentaux désactivé - à moins que vous ne souhaitiez vous engager dans l'acte désintéressé d'essayer les LPE expérimentaux afin de fournir un retour d'information utile aux développeurs. Ne les utilisez surtout pas pour un travail réel.
La bonne nouvelle est que les meilleurs LPE peuvent, avec le temps, passer du stade « expérimental » à celui d'effets entièrement pris en charge. C'est le cas de l'effet Opération booléenne, qui était expérimental dans la version 1.0, mais qui a reçu suffisamment d'améliorations et de corrections de stabilité pour passer au stade supérieur dans Inkscape 1.1.
Boolean Operation I’m going to assume that anyone reading this is already familiar with the existing boolean operations in Inkscape, found under the Path menu. If not, then you may wish to have a read of part 7 of this series, from way back in FCM #67! In short, boolean operations take two paths and manipulate them in different ways – such as joining them together into a single object (the “union” operation), cutting the shape of one out of the other (“difference”) and keeping just the parts where they overlap (“intersection”), or where they don’t overlap (“exclusion”). Using these operations from the Path menu is as simple as selecting two paths and then choosing the appropriate menu entry. You may also need to alter the stacking order of your paths, depending on the operation you’re performing, as some of them produce different results if the roles of first and second operand are reversed. Inkscape uses the z-index of the paths to determine which is which. With LPEs, things aren’t quite so simple when multiple paths are required. You can’t just select your two paths and add the effect. Instead, you have to begin by selecting your first operand path and add the Boolean Operation LPE to it in the normal manner. This will bring up the effect’s parameters:
Opération booléenne
Je vais supposer que toute personne lisant ceci connaît déjà les opérations booléennes existantes dans Inkscape, trouvées dans le menu Chemin. Si ce n'est pas le cas, vous pouvez lire la partie 7 de cette série, dans le numéro 67 du FCM ! En bref, les opérations booléennes prennent deux chemins et les manipulent de différentes manières - comme les joindre en un seul objet (l'opération « union »), couper la forme de l'un dans l'autre (« différence ») et ne garder que les parties où ils se chevauchent (« intersection »), ou celles où ils ne se chevauchent pas (« exclusion »).
Pour utiliser ces opérations à partir du menu Chemin, il suffit de sélectionner deux chemins, puis de choisir l'entrée de menu appropriée. Vous devrez peut-être modifier l'ordre d'empilement de vos chemins, en fonction de l'opération que vous effectuez, car certaines d'entre elles produisent des résultats différents si les rôles du premier et du second opérande sont inversés. Inkscape utilise l'indice z des chemins pour déterminer à quoi correspond chacun.
Avec les LPE, les choses ne sont pas aussi simples lorsque plusieurs chemins sont nécessaires. Vous ne pouvez pas simplement sélectionner vos deux chemins et ajouter l'effet. Au lieu de cela, vous devez commencer par sélectionner votre premier chemin d'opérande et y ajouter l'opération booléenne LPE de la manière habituelle. Cela fera apparaître les paramètres de l'effet :
With just one path, a boolean operation won’t do anything, so we need to add the second operand. This is done with the usual complex and frustrating method of copying it to the clipboard and “linking” it into the LPE: 1. Select the second operand path on the canvas. This will de-select the first one, so you’ll lose access to the LPE parameters. 2. Copy the selected path to the clipboard (Ctrl-C). 3. Re-select the first operand path in order to re-enable the LPE parameters. 4. Click on the “Link to item” button in the LPE controls (the one that looks like a clipboard). Note that you’re not actually pasting the second path into the LPE, but rather using this convoluted technique in order to add a reference to the path – a “link” in the terminology used in LPEs. That means you are still free to make changes to the second path, and don’t need to go through this rigmarole each time: the link is live, so changes propagate automatically. With two paths added, the actual result will largely depend on the value selected in the “Operation” pop-up menu. The “Swap operands” checkbox can be used to change Inkscape’s notion of which order the operands should be applied in (equivalent to swapping the z-index order when using the traditional boolean path operations). For some cases this will have no effect on the output. The image below gives you an idea of how these two controls work when applied to a pair of simple shapes.
Avec un seul chemin, une opération booléenne ne fera rien, nous devons donc ajouter le second opérande. Pour ce faire, la méthode habituelle, complexe et frustrante, consiste à le copier dans le presse-papiers et à le « lier » au LPE : 1. Sélectionnez le chemin du second opérande sur le canevas. Cela désélectionnera le premier, vous perdrez donc l'accès aux paramètres du LPE. 2. Copiez le chemin sélectionné dans le presse-papiers (Ctrl-C). 3. Sélectionnez à nouveau le premier chemin d'accès de l'opérande afin de réactiver les paramètres LPE. 4. Cliquez sur le bouton « Lier à l'élément » dans les contrôles LPE (celui qui ressemble à un presse-papiers).
Notez que vous ne collez pas réellement le deuxième chemin dans le LPE, mais que vous utilisez plutôt cette technique alambiquée afin d'ajouter une référence au chemin - un « lien » dans la terminologie utilisée dans les LPE. Cela signifie que vous êtes toujours libre d'apporter des modifications au second chemin et que vous n'avez pas besoin de passer à chaque fois par tout ce fatras : le lien est vivant, donc les modifications se propagent automatiquement.
Avec deux chemins ajoutés, le résultat réel dépendra largement de la valeur sélectionnée dans le menu déroulant « Opération ». La case à cocher « Swap operands » (Intervertir les opérandes) peut être utilisée pour modifier la notion d'Inkscape quant à l'ordre dans lequel les opérandes doivent être appliqués (ce qui équivaut à intervertir l'ordre de l'indice z lors de l'utilisation des opérations de chemin booléennes traditionnelles). Dans certains cas, cela n'aura aucun effet sur le résultat. L'image ci-dessous vous donne une idée de la façon dont ces deux contrôles fonctionnent lorsqu'ils sont appliqués à une paire de formes simples.
At the top of the image is the original pair of paths. In each case, the LPE was applied to the orange square, with the teal circle being linked via the clipboard. The columns below show the effect of applying each operation, with the top object being the default output, and the bottom one showing the effect of ticking the “Swap Operands” checkbox. The results are fairly self-explanatory, especially if you’re already familiar with the standard boolean operations in Inkscape. It’s worth noting that the operation referred to in the LPE as “Symmetric Difference” is, as far as I can tell, the equivalent of Path > Exclusion. I have no idea why the developers opted for different names, as it just adds unnecessary confusion. One significant difference between the historical boolean operations and this LPE is with the output from the Division operation. With the old-style path operations the result is a pair of objects which can be dragged apart. You can see this in the image below, which shows the original objects, the immediate result of the Path > Division operation, and the effect of dragging the top-right object away. With the LPE version, the initial output looks similar, however trying to move the top-right part actually just changes the position of the second operand path. In order to separate the parts (i.e. to actually divide them), you have to take the additional step of “fixing” the LPE by using Path > Object to Path. Of course, once you’ve done that, you no longer have the benefit of any “liveness”, so you may as well have just used the older approach in the first place.
En haut de l'image se trouve la paire de chemins d'origine. Dans chaque cas, le LPE a été appliqué au carré orange, le cercle sarcelle étant lié via le presse-papiers. Les colonnes ci-dessous montrent l'effet de l'application de chaque opération, l'objet du haut étant le résultat par défaut, et celui du bas montrant l'effet de la sélection de la case « Swap Operands ».
Les résultats sont assez explicites, surtout si vous êtes déjà familiarisé avec les opérations booléennes standard d'Inkscape. Il est intéressant de noter que l'opération désignée dans la LPE comme « Différence symétrique » est, pour autant que je sache, l'équivalent de Chemin > Exclusion. Je ne sais pas pourquoi les développeurs ont opté pour des noms différents, car cela ne fait qu'ajouter une confusion inutile.
Une différence significative entre les opérations booléennes historiques et ce LPE concerne la sortie de l'opération « division ». Avec les anciennes opérations de chemin, le résultat est une paire d'objets que l'on peut séparer en les faisant glisser. Vous pouvez le voir dans l'image ci-dessous, qui montre les objets d'origine, le résultat immédiat de l'opération Chemin > Division, et l'effet du déplacement de l'objet en haut à droite.
Avec la version du LPE, le résultat initial est similaire, mais en essayant de déplacer la partie supérieure droite, on ne fait que changer la position du deuxième chemin opérande. Afin de séparer les parties (c'est-à-dire de les diviser réellement), vous devez franchir l'étape supplémentaire consistant à « fixer » le LPE en utilisant Chemin > Objet en chemin. Bien sûr, une fois que vous avez fait cela, vous ne bénéficiez plus de l'avantage de l'« interactivité », donc vous pouvez tout aussi bien utiliser l'ancienne approche dès le départ.
Moving on with the parameters for the effect, next we have a checkbox labelled “Remove Inner” – but only if you’re using version 1.1. This checkbox only had an effect on some operations that were ultimately removed from this LPE for the 1.1 release due to stability issues, so there’s no need to consider it further. It’s been removed entirely from Inkscape version 1.2. The last two parameters concern the fill rule which is applied to each path. The first pop-up governs the path that the LPE is applied to, while the second is for the one added via the clipboard. Fill rules are one of the more obscure parts of vector graphics, and essentially set the rules for how complex paths with self-intersections or sub-paths should be treated when applying the fill color. You may have encountered them via the toggle buttons in the Fill & Stroke dialog (see part 95 of this series, in FCM #155). In this image, you can see what happens when I turn the original objects into complex paths with several sub-paths. The top image shows the objects with no LPE applied (with the “evenodd” fill rule applied via the Fill & Stroke dialog). The second image shows the effect of applying the “Symmetric Difference” (aka Exclusion) effect with both pop-ups set to “non-zero”; the third is the same but with them both set to “even-odd”.
En ce qui concerne les paramètres de l'effet, nous avons ensuite une case à cocher intitulée “Remove Inner” (Retirer l'intérieur) - mais seulement si vous utilisez la version 1.1. Cette case à cocher n'avait un effet que sur certaines opérations qui ont finalement été supprimées de ce LPE pour la version 1.1 en raison de problèmes de stabilité ; il n'est donc pas nécessaire de l'examiner plus avant. Elle a été entièrement supprimée de la version 1.2 d'Inkscape.
Les deux derniers paramètres concernent la règle de remplissage qui est appliquée à chaque chemin. Le premier pop-up régit le chemin sur lequel le LPE est appliqué, tandis que le second est pour celui ajouté via le presse-papiers. Les règles de remplissage sont l'une des parties les plus obscures des dessins vectoriels et définissent essentiellement les règles de traitement des chemins complexes avec des auto-intersections ou des sous-chemins lors de l'application de la couleur de remplissage. Vous les avez peut-être rencontrées via les boutons de basculement de la boîte de dialogue Remplissage et Contour (voir la partie 95 de cette série, dans le FCM n° 155).
Dans cette image, vous pouvez voir ce qui se passe lorsque je transforme les objets originaux en chemins complexes avec plusieurs sous-chemins. L'image du haut montre les objets sans LPE (avec la règle de remplissage « even-odd » appliquée via la boîte de dialogue Remplissage et Contour). La deuxième image montre l'effet de l'application de l'effet « Différence symétrique » (autrement dit Exclusion) avec les deux pop-ups réglés sur « non-zero » ; la troisième image est la même, mais avec les deux réglages sur « even-odd ».
In my experience, the “positive” option just makes the objects disappear, but that might simply be an effect of the paths I’m using. The “take from object” option honours the setting in the Fill & Stroke dialog, so, in this case, the output is the same as the bottom image. My advice is to leave these pop-ups set to “take from object”, and only fiddle with them if you have complex paths and aren’t getting the result you would like in terms of the areas being filled. As we’ve seen, the Boolean Operation effect will accept only two paths: the first operand (on which the LPE is applied) and the second operand (added via the clipboard). This is unlike some other LPEs which allow you to add multiple linked paths into a list. This is a shame, because some boolean operations could easily be extended to multiple objects, while others could simply treat a list of paths as a sequence of operands, applying them one at a time to the output from the previous operation. Instead, should you wish to apply multiple boolean operations using this LPE, you’ll have to add several instances of it to your effects list. In itself, this isn’t a problem, but you can quickly end up with a series of entries, all just labelled as “Boolean operation”, which can make it hard to keep track of what each operation is for. Personally, I’m more likely to stick to the old-fashioned boolean operations. While it’s great to have a “live” version of these, allowing for subsequent tweaks and changes, the means of applying them is a little fiddly (as with all multi-path LPEs, to be fair), and their liveness means that they not only require more processing power to display, but are also more likely to expose bugs in the implementation (I suffered several hard crashes while creating the screenshots for this article!). LPEs also aren’t recognised by other applications, or web browsers, so although the output should look the same in theory, you get a better guarantee of that with the older operators that make permanent changes to the underlying paths.
D'après mon expérience, l'option « positif » fait tout simplement disparaître les objets, mais cela peut être simplement un effet des chemins que j'utilise. L'option « à partir de l'objet » respecte le réglage de la boîte de dialogue Remplissage et Contour ; donc, dans ce cas, le résultat est le même que celui de l'image du bas. Je vous conseille de laisser ces fenêtres contextuelles réglées sur « à partir de l'objet », et de ne les manipuler que si vous avez des chemins complexes et que vous n'obtenez pas le résultat souhaité en termes de zones à remplir.
Comme nous l'avons vu, l'effet Opération booléenne n'accepte que deux chemins : le premier opérande (sur lequel le LPE est appliqué) et le second opérande (ajouté via le presse-papiers). Cela est différent de certains autres LPE qui vous permettent d'ajouter plusieurs chemins liés dans une liste. C'est dommage, car certaines opérations booléennes pourraient facilement être étendues à plusieurs objets, tandis que d'autres pourraient simplement traiter une liste de chemins comme une séquence d'opérandes, en les appliquant un par un à la sortie de l'opération précédente. Au lieu de cela, si vous souhaitez appliquer plusieurs opérations booléennes en utilisant ce LPE, vous devrez ajouter plusieurs instances de celui-ci à votre liste d'effets. En soi, ce n'est pas un problème, mais vous pouvez rapidement vous retrouver avec une série d'entrées, toutes étiquetées « opération booléenne », ce qui peut rendre difficile de savoir à quoi sert chaque opération.
Personnellement, je suis plus enclin à m'en tenir aux bonnes vieilles opérations booléennes. Bien que ce soit génial d'avoir une version « vivante » de ces opérations, permettant des ajustements et des changements ultérieurs, les moyens de les appliquer sont un peu compliqués (comme avec toutes les LPE à chemins multiples, pour être juste), et leur vivacité signifie qu'elles nécessitent non seulement plus de puissance de traitement pour être affichées, mais qu'elles sont aussi plus susceptibles d'exposer des bugs dans l'implémentation (j'ai souffert de plusieurs plantages pendant la création des captures d'écran pour cet article !). Les LPE ne sont pas non plus reconnus par d'autres applications ou par les navigateurs Web, donc, bien que la sortie doive avoir la même apparence en théorie, vous en avez une meilleure garantie avec les anciens opérateurs qui apportent des changements permanents aux chemins sous-jacents.
Slice For many use cases, the Slice LPE will likely give a better result than the Boolean Operation effect in Division mode. As noted above, this mode does not actually produce separate objects until you “fix” the effect. The Slice effect, on the other hand, does split your object into two separate parts that can be moved, and even styled, independently of each other. It is limited to splitting along a straight line, however, so the “square and circle” example I used for Division can’t be replicated using Slice. It’s a pretty easy LPE to use. Just select your object and add the effect. The object will be broken into two with a vertical split down the middle, and the two parts can be moved and styled separately, as shown in this simple example of applying the Slice LPE to a star. The parameters for this effect are pretty simple, too. The three buttons do exactly what you would expect from their labels: • Remove any style changes that have been applied to the individual parts • Use a vertical slicing line • Use a horizontal slicing line I’ve used the term “slicing line” to indicate that this is a straight line, not an SVG-style path that could have corners and curves. But you’re not limited to horizontal and vertical slicing: the coordinate boxes below can be used to set any start and end points for the line, allowing angled slicing lines to be used as well. In practice, nobody is likely to fill in the numbers here, though, as you can switch to the Node tool (F2) in order to move and rotate the slicing line on-canvas instead. This approach makes it easy and intuitive to adjust the line to suit your needs.
Camembert
Pour de nombreux cas d'utilisation, le LPE Camenbert (en anglais, Slice) donnera probablement un meilleur résultat que l'effet Opération booléenne en mode Division. Comme indiqué ci-dessus, ce mode ne produit pas réellement d'objets distincts tant que vous n'avez pas « fixé » l'effet. L'effet Camembert, en revanche, divise votre objet en deux parties distinctes qui peuvent être déplacées, et même stylisées, indépendamment l'une de l'autre. Il est toutefois limité à la division le long d'une ligne droite, de sorte que l'exemple « carré et cercle » que j'ai utilisé pour la division ne peut pas être reproduit avec Camembert. C'est un LPE assez facile à utiliser. Il suffit de sélectionner votre objet et d'ajouter l'effet. L'objet sera divisé en deux avec une division verticale au milieu, et les deux parties peuvent être déplacées et stylisées séparément, comme le montre cet exemple simple d'application du LPE Camembert à une étoile.
Les paramètres de cet effet sont également très simples.
Les trois boutons font exactement ce que vous attendez de leurs étiquettes : ••Supprimer toutes les modifications de style qui ont été appliquées aux parties individuelles. ••Utiliser une ligne de découpage verticale ••Utiliser une ligne de découpage horizontale
J'ai utilisé le terme « ligne de découpe » pour indiquer qu'il s'agit d'une ligne droite, et non d'un chemin de style SVG qui pourrait avoir des angles et des courbes. Mais vous n'êtes pas limité au découpage horizontal et vertical : les cases de coordonnées ci-dessous peuvent être utilisées pour définir les points de départ et d'arrivée de la ligne, ce qui permet d'utiliser également des lignes de découpe angulaires. Dans la pratique, personne n'est susceptible de remplir les chiffres ici, car vous pouvez passer à l'outil Nœuds (F2) afin de déplacer et de faire pivoter la ligne de découpe sur le canevas. Cette approche rend facile et intuitive l'adaptation de la ligne à vos besoins.
The “Allow Transforms” checkbox is a vital part of this effect – and one you’ll most likely want to leave enabled all the time. If this is unchecked then you won’t be able to move the individual parts around (nor skew, scale or rotate them). They’ll stay in their original location, relative to the source path, which may be useful if you want to style only parts of the shape differently, but don’t want to adjust their positions. For most people, however, slicing a path implies a need to move the pieces around, for which this needs to remain checked. If you do want your shape cut into more than two parts you can apply the Slice effect more than once. Here’s how our star looks with an additional set of angled slicing lines applied to each half, and a bit more variation in the styling. Of course, the Slice LPE can be combined with other effects. Here are our earlier complex paths, with the Boolean Operation effect applied (“Symmetric Difference” mode, “even-odd” for both operands), followed by a pair of Slice effects to produce four complex paths, each with a different fill color. After several months, we’re now finished with the new LPEs that were added in Inkscape 1.0 and 1.1 (and that’s without considering the experimental ones!). But we’re not quite done yet: next month, I’ll take a look at some important new features that were added to an existing LPE, before moving on to the new extensions that were added in version 1.0.
La case à cocher « Autoriser les transformations » est un élément essentiel de cet effet - et vous voudrez probablement la laisser activée en permanence. Si elle n'est pas cochée, vous ne pourrez pas déplacer les pièces individuelles (ni les incliner, les mettre à l'échelle ou les faire pivoter). Elles resteront à leur emplacement d'origine, par rapport au chemin source, ce qui peut être utile si vous voulez donner un style différent à certaines parties de la forme, sans vouloir ajuster leurs positions. Pour la plupart des gens, cependant, le découpage d'un chemin implique un besoin de déplacer les pièces, pour lequel cela doit rester coché.
Si vous souhaitez que votre forme soit coupée en plus de deux parties, vous pouvez appliquer l'effet Camembert plus d'une fois. Voici à quoi ressemble notre étoile avec un ensemble supplémentaire de lignes de découpe angulaires appliquées à chaque moitié, et un peu plus de variation dans le style.
Bien entendu, le LPE Camembert peut être combiné à d'autres effets. Voici nos premiers chemins complexes, avec l'effet Opération booléenne appliqué (mode « Différence symétrique », « even-odd » pour les deux opérandes), suivi de deux effets Camembert pour produire quatre chemins complexes, chacun avec une couleur de remplissage différente.
Après plusieurs mois, nous en avons maintenant terminé avec les nouveaux LPE qui ont été ajoutés dans Inkscape 1.0 et 1.1 (et c'est sans compter les expérimentaux !). Mais nous n'avons pas encore tout à fait terminé : le mois prochain, je jetterai un coup d'œil à quelques nouvelles fonctionnalités importantes qui ont été ajoutées à un LPE existant, avant de passer aux nouvelles extensions qui ont été ajoutées dans la version 1.0.
Update from Inkscape.org Important Release of Inkscape version 1.2.1 fixes data loss and crash issues We've just resolved some critical issues in Inkscape 1.2 that were identified by our community. If you're currently using Inkscape 1.2 then this is an important update to install on your device. It provides a fix for a number of critical bugs in the 1.2 release: • drawing data about filters, markers, gradients and more, now saves to file after performing a simple sequence of copy-paste-undo with the Export dialog open; • startup is smoother when many fonts are installed, and • rasterized (filtered) objects now show up on any page of a multipage document exported to PDF. This release brings back the built-in ability to open PostScript/Encapsulated PostScript (.ps / .eps) files with Inkscape on macOS. Improvements were also made to user interface translations and documentation translations. Linux users using the snap packaging format will once again be able to import and export images. Windows users will now see the correct Inkscape version image on install, while users of macOS 10.13-10.15 will be able to open extensions without them crashing.
Mise à jour de Inkscape.org
La version importante d'Inkscape 1.2.1 corrige des problèmes de perte de données et de plantage.
Nous venons de résoudre certains problèmes critiques dans Inkscape 1.2 qui ont été identifiés par notre communauté. Si vous utilisez actuellement Inkscape 1.2, il s'agit d'une mise à jour importante à installer sur votre appareil.
Elle fournit une correction pour un certain nombre de bogues critiques dans la version 1.2 : ••les données de dessin concernant les filtres, les marqueurs, les dégradés et autres, sont désormais enregistrées dans un fichier après une simple séquence de copier-coller-annuler avec la boîte de dialogue d'exportation ouverte ; ••le démarrage est plus fluide lorsque de nombreuses polices sont installées, et ••les objets tramés (filtrés) apparaissent désormais sur toutes les pages d'un document multipage exporté au format PDF.
Cette version rétablit la capacité intégrée d'ouvrir des fichiers PostScript/Encapsulated PostScript (.ps/.eps) avec Inkscape sur macOS. Des améliorations ont également été apportées aux traductions de l'interface utilisateur et aux traductions de la documentation.
Les utilisateurs de Linux utilisant le paquet snap pourront à nouveau importer et exporter des images. Les utilisateurs de Windows verront désormais l'image correcte de la version d'Inkscape lors de l'installation, tandis que les utilisateurs de macOS 10.13-10.15 pourront ouvrir les extensions sans que celles-ci ne se plantent.