I admit it, I’m a distro-hopper. I doubt it’s a stretch to estimate I’ve tried at least 100 Linux variants over the past 20 years. Normally, that means downloading an iso image, creating a bootable USB, firing up the virtual machine app (VMA), and going from there. Great if your computer has the hard drive space and horsepower to handle such work, not so hot otherwise. It’s also time consuming with roughly an hour to complete the whole process (plus another hour or so figuring out what you tested was either garbage or gold). For a while (around 2020, but nobody seems quite sure), there was a website called DistroTest.net that allowed you to try various operating systems via an online virtual machine (Qemu), but it disappeared roughly 3 years ago and the website is now occupied by a foreign gambling venture (appropriate given that either site was a gamble).
Je l’avoue, je saute de distrib. en distrib. Je doute qu’il soit exagéré de dire que j’ai essayé au moins 100 variantes de Linux au cours des 20 dernières années. Généralement, cela signifie le téléchargement d’une image ISO, la création d’une clé USB amorçable, le lancement de l’appli des machines virtuelles (VMA) et puis de continuer à partir de là.
C’est génial si votre ordinateur a l’espace disque et la puissance pour gérer un tel travail, pas si bien autrement. Cela prend aussi beaucoup de temps avec environ une heure pour terminer le processus entier (plus à peu près une autre heure ou davantage pour essayer de décider si ce que vous avez testé était, soit une ordure, soit de l’or).
Pendant un certain temps (aux environs de 2020, mais personne ne semble sûr), il y avait un site Web appelé DistroTest.net qui vous permettait d’essayer divers systèmes d’exploitation sur une machine virtuelle en ligne (Qemu), mais cela a disparu il y a environ 3 ans et le site Web héberge maintenant un truc de jeu étranger (approprié étant donné que les deux sites étaient chacun un pari).
DistroTest offered 800+ Linux variations (some of them repeated with different desktop designs) and, as I recall, others were outdated or nonfunctional when I tested them (hence the motto, “Test it before you hate it”). Might see names you’d recognize, yet others remained in the distant shadows of the Linux world. It did have a certain charm about it, though. Using Qemu as its testing platform, you could, OS permitting, take a peek at what was being offered in the Linux community. Bizarre and unknowns were treated equally there. After they disappeared (and I do mean disappear - no adios, au revoir, nothing), I just went back to running iso images off USB drives and thought nothing more of it.
DistroTest proposait plus de 800 variétés de Linux (dont certaines étaient répétées avec d’autres bureaux et, d’après mes souvenirs, d’autres étaient périmées ou ne fonctionnaient pas quand je les ai testées (d’où le slogan « Testez-la avant de la haïr ») Vous pouviez voir des noms connus, mais d’autres restaient dans les ombres distantes du monde Linux.
Toutefois, cela avait du charme en quelque sorte. En se servant de Qemu comme plateforme de test, vous pouviez, si l'OS le permettait, jeter un œil à ce qui était offert dans la communauté Linux. Les bizarres et les inconnus recevaient le même traitement.
Après leur disparition (et c’est bien le mot - pas d’adios, pas d’au revoir, rien), je suis tout simplement retourné à mes habitudes : exécuter des images sur des clés USB et ne plus y penser.
I recently heard about DistroSea.com, a similar testing site. I don’t believe they are the same company but I can state the website is better organized, at least visually (https://distrosea.com/). Instead of here, there and everywhere listings, you see icons for the following (all are Linux, so I’ll dispense with adding that word unless it’s part of the name):
J’ai récemment entendu parler de DistroSea.com, un site d’essai similaire. Je ne crois pas que ce soit la même société, mais je peux affirmer que le site Web est mieux organisé, au moins visuellement (https://distrosea.com/). Au lieu de listings éparpillés, vous voyez de icônes pour les distrib. suivantes (toutes sont Linux et je ne vais donc pas ajouter ce mot à moins qu’il ne fasse partie du nom) :
Alma Alpine Antix Arch Archcraft Arco Artix BlendOS Bodhi BunsenLabs CachyOS CentOS Chimera Debian Deepin DE* Devuan DragonflyBSD Edubuntu ElementaryOS EndlessOS Fedora FreeBSD Garuda Gentoo Haiku HoloISO KDE Neon KolibriOS Kubuntu Linux Lite Linux Mint Linux Mint Debian Lubuntu Mageia Manjaro MX Linux Nitrux NixOS OpenIndiana OpenSUSE PeppermintOS Pop!_OS Porteus PrimTux<nowiki≤</nowiki> PureOS RebornOS Rocky Siduction Slackware Slax SliTaz Solus SparkyLinux Tails Tiny Core Triquel VanillaOS Void Xubuntu ZorinOS Notes: * Chinese only, I let the website administrator know since there is an English version available. ** French only, but the description clearly states that. For the picky readers out there, I know that some of these OS titles are not capitalized, but I’m listing them as the DistroSea website does.
Ubuntu was left out because it gets 6 additional entries for Budgie, Cinnamon, Kylin (Chinese only), Mate Studio and Unity. Notes : * Seulement en chinois, mais une version en anglais est disponible et je l’ai indiqué à l’administrateur du site Web. ** Seulement en français, mais le descriptif le dit clairement. Pour nos lecteurs pointilleux, je sais que certains des titres d’OS ne commencent pas par une majuscule, mais je les liste tel que listés sur le site Web de DistroSea. Ubuntu n’y figure pas parce qu’il mérite 6 entrées de plus pour Budgie, Cinnamon, Kylin (chinois seulement), Mate Studio et Unity. As you can see, nearly every type of Linux OS is covered - Arch, Debian, Ubuntu, Gentoo, Slackware, BSD, and probably a couple I missed. Desktops represented include Pantheon, LXQt, Enlightenment, Deepin DE, Budgie, LXDE, Mate, Gnome, XFCE, Unity, and so on.
Maybe not as well stocked as DistroTest was, but at least these, so far, have turned out to be active OS offerings.
And, from what I can read on their Facebook page, this listing is ever changing so you can expect to see some obscure or long forgotten titles popping up. Comme vous pouvez le voir, presque tous les types d’OS Linux sont traités : Arch, Debian, Ubuntu, Gentoo, Slackware, BSD et probablement un ou deux que j’ai manqués. Parmi les bureaux représentés, il y a notamment Pantheon, LXQt, Enlightenment, Deepin DE, Budgie, LXDE, Mate, Gnome, XFCE, Unity et ainsi de suite. Peut-être pas aussi bien fourni que l’était DistroTest, mais au moins ceux-ci, jusqu’à présent, se sont révélés actifs. Et, d’après ce que je peux lire sur leur page Facebook, cette liste change en permanence ; ainsi vous pouvez vous attendre à y voir de temps en temps quelque titres obscurs ou oubliés. For each of these distros you’ll find the appropriate icon as shown below (which is a small screenshot of a much larger page).
To use DistroSea you have the option of signing in, but those who do not cannot use the browsers or app stores while testing - that is reserved for those who use their Google account to sign in (I tried both ways and saw no difference).
Users have their choice of language to include English, Spanish, German, French, Italian, and Portuguese; however, any choice you make influences the DistroSea website, not the OS. Choose Spanish as your language of choice and the description will show in Spanish but the OS itself will show and run in English (although users can change the language in many live versions, but not all). Pour chacune de ces distrib., vous trouverez l’icône appropriée comme montré ci-dessous (il s’agit d’une petite capture d’écran d’une page beaucoup plus grande). Pour pouvoir utiliser DistroSea, vous avez l’option de vous identifier ; ceux qui ne le font pas ne peuvent pas utiliser les navigateurs ou les magasins d’appli pendant les tests ; cela est réservé à ceux qui utilisent leur compte Google pour s’identifier. (J’ai essayé les deux façons et je n’ai vu aucune différence.). Les utilisateurs ont le choix d'une langue entre l’anglais, l’espagnol, l’allemand, le français, l’italien et le portugais. Toutefois, le choix que vous faites influence le site Web de DistroSea, pas l’OS. Choisissez espagnol comme langue et le descriptif sera affiché en espagnol, mais l'OS lui-même s’affichera et s’exécutera en anglais (bien que les utilisateurs puissent changer la langue dans beaucoup des versions Live, mais pas toutes). That applies to any language chosen with the exception of PrimTux (the OS is French - period), Ubuntu Kylin (Chinese), and DeepinOS (Chinese).
Beyond that language mystery, clicking on any of the icons results in the following:
A brief description of the OS along with desktop options, if any. You may be asked to choose from Gnome, Mate, Cinnamon, etc. In addition, you may find several versions ranging from old to new, stable and unstable.
You’ll then be asked to click on a box to prove you’re human. Fortunately, you won’t have to pick out bridges, fire hydrants, or whatever. Cela s’applique à n’importe quel langue choisie sauf pour ce qui concerne PrimTux (l’OS est français, point.), Ubuntu Kylin (chinois) et DeepinOS (chinois). Au-delà de ce mystère des langues, un clic sur n’importe laquelle des icônes donne le résultat suivant : Une brève description de l’OS avec les options de bureau, le cas échéant. On pourra vous demander de choisir entre Gnome, Mate, Cinnamon, etc. De plus, il se peut que vous trouviez plusieurs versions allant des vieilles vers les nouvelles, stables et instables. On vous demandera alors de cliquer sur une case pour prouver que vous êtes un humain. Heureusement vous n’allez pas devoir choisir des ponts, des bornes incendie ou n’importe quoi. Then comes the dreaded queue. No matter how many users it showed ahead of me, I never waited more than a minute with the longest waits being for Nitrux (no idea why) and nearly any form of Ubuntu.
When your turn is up, you’ll then be asked to click on Continue and off you go.
When you’re done, power off the OS and you’ll be returned to the start page where you can choose another OS or leave. Ensuite il y a la queue redoutée. Quelque soit le nombre de utilisateurs devant moi, je n’ai jamais attendu plus d’une minute ; les attentes les plus longues étant pour Nitrux (je ne sais pas pourquoi) et presque toutes les formes d’Ubuntu. Quand c’est votre tour, on vous invite à cliquer sur Continuer et c’est parti. Quand vous avez terminé, arrêtez l’OS et vous retournerez à la page de départ où vous pouvez choisir un autre OS ou quitter. Since you’re using DistroSea resources, you won’t be asked for RAM assignment, login credentials (unless the OS requests such and DistroSea will let you know), or how much drive space you want to sacrifice. These are all live versions.
As for OS speed, I’ll just say any you pick will act just like you’d expect a live version to - slower than normal. I asked the developer via email and Facebook about what VM app was used (even though I suspect Qemu) and RAM allocated, but got no response either way (the Facebook page hasn’t been updated since October, 2024).
Unlike VirtualBox or Gnome Boxes where you can allocate RAM and drive space to any tested OS, you’re at the mercy of resources provided by DistroSea. Puisque vous utilisez les ressources de DistroSea, on ne vous demandera pas la quantité de la mémoire, vos identifiants (à moins que l’OS demande de telles choses et DistroSea vous le dira), ou combien d’espace disque vous voudrez sacrifier. Ce sont toutes des versions Live. Quant à la vitesse de l’OS, je dirai tout simplement que quoi que vous choisissez, il agira comme n’importe quelle version Live, plus lent que le normal. J’ai demandé au développeur via email et Facebook quelle appli VM était utilisée (bien que je soupçonne Qemu) et quelle quantité de RAM devrait être allouée, mais je n'ai reçu aucune réponse (la page Facebook n’a pas été mise à jour depuis octobre 2024). Contrairement à VirtualBox ou Gnome Boxes où vous pouvez allouer de la RAM et de l'espace disque à tout OS testé, vous êtes à la merci des ressources fournies par DistroSea. For the most part, I found DistroSea to be a worthy alternative to downloading multiple iso images, especially if you offered desktop options and don’t have a clue what the difference is between Mate and Cinnamon or Gnome. And, since you’re using their resources, you don’t have to worry about sacrificing RAM or drive space to a VM.
Where this comes in handy is when an OS offers multiple desktop choices, but not in the same package. SpiralLinux offers Mate, Gnome, XFCE, Cinnamon, etc, for choices, but you’d have to download each iso image to test all of them. With DistroSea, pick your package choice, play with it, and then move on to the next one.
On that same topic, DistroSea saves the hassle of having to wait for downloads. Using SourceForge as its download source means getting multiple copies of the SpiralLinux OS can be a painfully long affair (nearly a half hour for me - and I have a high speed connection). Pour la plupart, j’ai trouvé que DistroSea est une bonne alternative au téléchargement d’images ISO multiples, surtout si vous devez choisir un bureau et ne savez pas du tout la différence entre Mate et Cinnamon ou Gnome. De plus, puisque vous utilisez leurs ressources, vous n’avez pas à vous préoccuper des sacrifices en RAM ou en espace disque pour une machine virtuelle. Là où ceci est vraiment utile, c'est quand un OS propose de multiples choix de bureau, mais pas dans le même paquet. SpiralLinux propose Mate, Gnome, XFCE, Cinnamon, etc. comme choix, mais il faudrait télécharger chaque image ISO pour les tester toutes. Avec DistroSea, vous choisissez votre paquet, jouez avec, puis passez au prochain. De même, DistroSea vous épargne la tracasserie d’attendre les téléchargements. Avec SourceForge comme source de téléchargement, cela veut dire qu’obtenir de multiples exemplaires de SpiralLinux OS peut être long, péniblement long (presqu’une demi-heure pour moi… et j’ai une connexion très rapide). It has also let me discover that some distros are smoke and mirrors and really stink during testing. Yet others I tried, like RebornOS and Siduction turned out to be better than I anticipated.
However, nothing is perfect and DistroSea does occasionally bog down and I can only surmise it’s because users are throttling the resources available. And, in some cases, I think the OS I was trying just failed. Ubuntu Cinnamon was a big flop - twice. Apps failed to open and I got failure warnings galore.
Then you have the uncooperative OS that refuses to shut down. That’s where the little pop-out (shown left) comes into play. Ça m’a également permis de découvrir que certaines distrib. ne sont en fait que de la poudre aux yeux et sont abominables pendant les tests. Pourtant, d’autres que j’ai essayées, comme RebornOS et Siduction se sont avérées être mieux que ce à quoi je m’attendais. Toutefois, rien n’est parfait et DistroSea se bloque parfois ; je ne peux que supposer que c’est parce que des utilisateurs étranglent les ressources disponibles. Et, dans certains cas, je pense que l’OS que j’essayais n’a tout simplement pas fonctionné. Par deux fois, Ubuntu Cinnamon n’a pas fonctionné du tout. Les applis ne s’ouvraient pas et j’ai eu d'abondants avertissements d’échec. Puis, il y a l’OS non coopératif qui refuse de s’arrêter. C’est là où le petit message s’affiche (à gauche). The top part is for expanding the main window, the settings gear is there to tweak the incidentals, and the bottom is to kill the signal when the OS just won’t take a hint and quit when you tell it to.
And what happens if you don’t shut down or disconnect? You’ll get a reminder that the OS is still running and that session will be cancelled if you attempt to pick another OS to run.
Why did I include that little sidebar screenshot? It’s nearly identical to the one DistroTest used. Main reason: I’m sure DistroSea is using Qemu, just like DistroTest did. La partie du haut sert à agrandir la fenêtre principale, l’engrenage des paramètres est là pour ajuster les à-côtés et le bas sert à tuer le signal quand l’OS refuse carrément de quitter quand vous lui dites de le faire. Et qu’est-ce qui se passe si vous n’arrêtez pas ou ne vous déconnectez pas ? Un rappel s’affichera vous disant que l’OS s’exécute toujours et que la session sera annulée si vous essayez de choisir un autre OS à exécuter. Pourquoi est-ce que j’ai inclus la petite capture d’écran de l’encadré ? Elle est pratiquement identique à celle utilisée par DistroTest. La raison principale : je suis certain que Distrosea se sert de Qemu, exactement comme DistroTest. Remember earlier when I made a comment about app stores? Of all the live versions I tried (at least 10), not one would allow me to install apps and all but one locked up when trying to review apps; however, when I ran most of those via my USB stick as a live boot, I could use individual app stores (although, of course, everything disappears upon shutting down unless you’re using a persistent drive).
There are small goofs here and there. For example, DeepinOS from China is downloadable in English from their website, but the DistroSea version is in Chinese with a smattering of English here and there (good thing there is an international symbol for shut down). Vous souvenez-vous quand j’ai dit quelque chose au sujet des boutiques d’appli ? Parmi toutes les versions Live que j’ai essayées (au moins dix), pas une seule ne me permettait d’installer des applis et toutes sauf une se sont gelées quand j’ai essayé de faire une critique des applis ; cependant, quand j’ai exécuté la plupart via ma clé USB dans un démarrage Live, j'ai pu utiliser les boutiques d’appli individuelles (bien que, comme il se doit, tout disparaît quand vous quittez, à moins d'utiliser une clé persistante). Il y a de petites erreurs ici et là. Par exemple, DeepinOS de la Chine peut être téléchargé en anglais de leur site Web, mais la version DistroSea est en chinois avec un peu d’anglais ici et là (c’est une bonne chose que le symbole « arrêter » soit international). However, DistroSea is worth a try now and then whenever I see a new OS, and it allows me to do a brief look around before deciding to download the iso image for additional testing.**
Toutefois, DistroSea vaut l’essai de temps en temps, chaque fois que je vois un nouvel OS, et il me permet de regarder celui-ci brièvement avant de décider de télécharger l’image ISO pour des tests supplémentaires.