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issue57:critique

In the past, I've reviewed some unknown Ubuntu derivatives, but recently I came across one so obscure I'm not quite sure how I found it. I'm referring to openArtist 5th Incarnation (oA hereafter), an OS that has managed to stay hidden even though it's been out 3 years (DistroWatch and Wikipedia have zip). About the only information I could gather was limited to either the website (www.openartisthq.org) or 2009 developer posts on BlenderNation.com and BlenderArtists.org. But this transparency is largely on purpose as the developer (an Austrian student going by the name cellstorm) has opted to keep his OS underground until he's sure it's ready for wide release.

Dans le passé, J'ai fait des critiques de quelques dérivés inconnus d'Ubuntu, mais, récemment et par hasard, j'en ai trouvé un qui est tellement obscur que je ne sais plus très bien comment je l'ai découvert.

Je parle de openArtist 5th Incarnation (dorénavant oA), un système d'exploitation qui a réussi à rester caché bien qu'il existe depuis trois ans (ni Distrowatch ni Wikipedia ne le connaît). À peu près tout ce que j'ai pu apprendre à son sujet était juste soit le site Web (openartisthq.org), soit les messages des développeurs datant de 2009 sur BlenderNation.com et BlenderArtists.org.

Mais cette invisibilité est en large mesure voulue, car le développeur (un étudiant autrichien qui se fait appeler cellstorm), a choisi de garder son système d’exploitation dans la clandestinité totale jusqu'à ce qu'il soit certain qu'il est prêt pour une sortie à grande échelle.

Based upon 64-bit Ubuntu Maverick 10.10, oA packs the Linux 2.6.35 kernel with Gnome 2.32 desktop as default. 3 versions of Openbox are offered as alternates along with Hildon, all of which will be reviewed shortly. The website is largely a work-in-progress, so forums appear sporadically used while the news-page consists of a one-sentence entry from February 2011, stating a new version has been released (a revision several months later gets no mention). The download from this site links to SourceForge.net, and shows over 70 downloads per week (so why such little press?). Releases, as you may have gathered, get the title of “Incarnation,” and each new version gets a whole number instead of the usual decimal point system. I can find no 1st - instead 2nd, 3rd, and 4th Incarnations were released in March, June and December 2009, after which the pace slowed until 5th was issued in February 2011 (with a revision, but no number change, in October).

Basé sur Ubuntu Maverick 10.10 64-bit, oA contient le noyau Linux 2.6.35 avec le bureau Gnome 2.32 par défaut. Proposées comme alternatives il existe trois versions de Openbox, ainsi que Hildon, dont je parlerai d'ici peu.

Le site Web est, pour la plupart, un travail en cours, ainsi il semblerait que les forums ne sont utilisés que sporadiquement, alors que la page des Actualités contient en tout et pour tout une phrase de février 2011, annonçant la sortie d'une nouvelle version (une révision faite plusieurs mois plus tard ne reçoit aucune mention). Le téléchargement sur ce site est en fait un lien vers SourceForge.net et annonce 70 téléchargements par semaine (dans ce cas, pourquoi un tel silence radio ?).

Comme vous aurez peut-être compris, les sorties reçoivent le titre d'« Incarnation» et chaque nouvelle version a droit à un nombre entier au lieu du système habituel des décimaux. Je ne trouve aucune première - à la place les seconde, troisième et quatrième Incarnations sont sorties en mars, juin et décembre 2009, après quoi il y eut un ralentissement jusqu'à la sortie de la cinquième en février 2011 (avec une révision, mais sans modification du nombre, en octobre).

At 2.9GB, the ISO image may seem hefty, but this is 1GB less than ArtistX and 600MB less than oA 4th Incarnation, the previous release. Recommended HDD allotment is 10GB (it does take 9) but that's for live mode users (using a flash drive with persistence). Those opting for full installation would be wise to allocate no less than 20GB. I'll explain why later. I opted for full installation on my Acer laptop but there are oddities and warnings to watch for. First, the keyboard defaults to UK settings, so don't blindly click on the forward button unless you desire that (cellstorm is changing this to US). Second, pay heed to the pop-up warning box. Due to some programs being modified, they will not work properly - unless “tux” is used as both the user-ID and password, at least initially. Enter whatever you like but the installer automatically defaults to tux (the password can be changed post-installation but the user-ID must remain tux). Installation was breezy at 30 minutes, but what's really impressive is that the post-install updates were a minuscule 10MB indicating the latest updates were slipstreamed into the image. Hallelujah!

À 2,9 Go, l'image ISO peut paraître lourde, mais c'est 1 Go de moins qu'ARtistX et 600 Mo de moins qu'oA quatrième Incarnation, la sortie précédente. L'espace disque recommandé est de 10 Go (il en occupe effectivement 9), mais c'est pour les utilisateurs en mode live (au moyen d'un disque flash avec persistance). Ceux qui choisissent une installation complète feraient bien d'y allouer pas moins de 20 Go. J'expliquerai pourquoi plus tard.

J'ai choisi de faire une installation complète sur mon portable Acer, mais il faut être à l’affût de bizarreries et d'avertissements. D'abord, par défaut le clavier est configuré pour le Royaume-Uni ; ne cliquez donc pas aveuglément sur le bouton « suivant » à moins que ce ne soit ce que vous voulez (cellstorm est en train de changer ceci pour les USA).

Ensuite, prêtez attention à l'avertissement dans la fenêtre pop-up. Puisque certains programmes ont subi des modifications, ils ne fonctionneront pas comme il faut, à moins que vous n'utilisiez « tux » comme login et comme mot de passe, les deux, du moins au départ. Vous pouvez saisir tout ce que vous voudrez, mais l'installeur sélectionne automatiquement par défaut tux (vous pourrez changer le mot de passe après installation, mais le login devra rester tux).

À 30 minutes, l'installation fut très rapide, mais ce qui est vraiment impressionnant, c'est que les mises à jour après installation n'occupent que 10 Mo, ce qui laisse penser que les mises à jour récentes se sont glissées dans l'image au fur et à mesure. Alleluia !

By the way, you'll be prompted by the Canonical nag to upgrade to 11.04 but don't! I tried it just out of curiosity, and it not only failed but created an unusable OS. Unlike Ubuntu, where you'll see a splash screen and have no clue what's going on in the background, oA gives users scrolling hardware checks for roughly 45 seconds until the Gnome desktop appears. There is no musical ditty, either. As for drivers and codecs, let's just say if your file won't play or open, it's defective. There were no hardware issues, and resource usage was within reason (RAM rarely peaked above 20% of my 4GB, and processor stress averaged 20% too, with the occasional spike to 40%). Compiz settings are dialed down, which helps, but users can add all the flaming windows and wobbly menus they desire if their video card will take it. Wireless worked out of the box, and even my video card didn't need a driver (something that Ubuntu usually nails me for after the first boot).

Au fait, Canonical insistera encore et encore pour que vous fassiez une mise à niveau vers la 11.04, mais ne le faites point ! Je l'ai essayé par simple curiosité et cela a non seulement échoué, mais il a créé un système d'exploitation inutilisable.

Contrairement à Ubuntu, où vous verrez un écran d'accueil, mais ne saurez pas ce qui se passe à l'arrière-plan, oA affiche des vérifications du matériel durant environ 45 secondes, jusqu'à l'affichage du bureau. Il n'y a pas de son mélodique d'accueil non plus.

Quant aux pilotes et codecs, disons simplement que si votre fichier ne veut pas jouer ou s'ouvrir, il est défectueux. Il n'y avait pas de problèmes de matériel et l'utilisation des ressources était tout à fait raisonnable (il était rare que la RAM passe au-dessus de 20 % de mes 4 Go et la moyenne de l'utilisation processeur était de 20 % aussi, avec, de temps en temps, un pic à 40 %). Les réglages de Compiz étaient baissés, ce qui aide, mais les utilisateurs peuvent ajouter toutes les fenêtres en flamme et tous les menus gélatineux qu'ils veulent si leur carte graphique peut les gérer. Le wifi fonctionnait tout de suite et même ma carte graphique n'avait pas besoin d'un pilote (un truc qu'Ubuntu me demande habituellement, après le premier démarrage).

The desktop design consists of black and gray sweeps punctuated by the Ubuntu circle of friends dead center with the oA triple arrowhead logo in the center of that (think Mitsubishi logo with arrowheads instead of diamonds). Several alternate backgrounds are available including atomic bomb blast pics (odd for an artistic venture). Top and bottom panels are there, with the lower bunk reserved to park minimized apps or browser windows. It's the top that will catch your eye. To the left are menu entries for 2D, 3D, AUD, VID, VJ, hardware (represented by a video card icon) programming (shown as binary code), and collaboration (two hands clasped) along with the usual main menu button consisting of the oA arrowhead logo. Clicking on any one of these causes a menu to drop with the appropriate programs. To the right are the ubiquitous time, date, wireless, sound, and battery icons - with extras for Guake Terminal, Dropbox and easystroke.

Le bureau est fait de courbes noires et grises ponctuées par le cercle d'amis Ubuntu en plein milieu, avec le logo oA (une triple pointe de flèche) en son centre (comme le logo de Mitsubishi avec des pointes de flèches à la place de diamants). Plusieurs arrière-plans de rechange sont disponibles, y compris des photos de bombes atomiques (bizarre pour une entreprise artistique).

Les panneaux du haut et du bas sont présents et celui du bas est réservé aux applis ou aux fenêtres de navigateur minimisées. C'est le panneau du haut qui vous tapera dans l'œil. À gauche se trouvent des options de menu pour 2D, 3D, AUD, VID, VJ, matériel (représenté par une icône de carte graphique), la programmation (sous forme de code binaire) et la collaboration (deux mains jointes) ainsi que le bouton habituel du menu principal sous forme du logo en pointes de flèches d'oA. Un clic sur l'un d'entre eux fera apparaître un menu déroulant contenant les programmes appropriés.

À droite sont les icônes omniprésentes : l'heure, la date, le wifi, le son et la batterie avec, en plus, Guake Terminal, Dropbox et easystroke.

This does make for crowded real estate up top, but cellstorm includes alternate designs in the Switch Gnome Layout program ranging from XP lookalikes and Gnome standards to tablet oriented offerings. After you've got the desktop design decision settled, it's time to pay a visit to the main menu, but you had better be prepared. Synaptic Package Manager shows 3,400 installed packages along with 130 PPA sources while the website listing of applications shows 1,400 installed. As a side note, don't be like me and attempt to print the website applications listing – it's over 30 pages. In short, oA is a packed house. Let me give fair warning by stating the menu design is at first awkward.

Il est vrai que cela fait une foule d'icônes en haut, mais cellstorm a inclus des conceptions alternatives dans le programme Switch Gnome Layout (modifier la mise en page Gnome). Cela va d'un sosie d'XP et des standards Gnome à des propositions orientées vers les tablettes.

Une fois que vous aurez pris votre décision définitive sur le bureau, le moment est venu d'aller voir le menu principal, mais vous feriez mieux d'être prêt. Le gestionnaire de paquets Synaptic montre que 3 400 paquets sont installés ainsi que 130 sources PPA, alors que le listing des applications sur le site Web en affiche 1 400 d'installées.

Soit dit en passant, ne faites pas comme moi qui ai essayé d'imprimer le listing des applications sur le site Web, il fait plus de 30 pages.

Bref, oA est plein à craquer.

Il faut bien que je vous avertisse que la conception des menus semble, de prime abord, peu commode.

Opening the main menu produces the standard Gnome structure - with major division headings (and a few more), but cellstorm redesigned the sub-menus. Instead of alphabetical listings, programs are separated by specific use and put in blocks, each separated by a barely visible line. While each block is alphabetized, the sequence starts again for each block. As a result you may see programs starting with A after those starting with M. For example, Office is broken into 9 program blocks I call Creative Writing, LibreOffice, PDF Tools, Presentation, Slide Presentation, Mind-Mapping, Home Budgeting, Drawing, and Database. Relevant programs are in each block and alphabetized accordingly, but first-timers will be confused since the listing process starts anew for each block. While there is logic in this design (grouping programs by use instead of alphabetically but randomly), the dark theme all but obliterates the separator lines, and since there are no block sub-titles, users will have to play a guessing game until they get the gist of it. Changing to a lighter theme did make the separator lines stand out and that may help some.

Ouvrir le menu principal affiche la structure Gnome standard, les en-têtes majeurs (et quelques-uns de plus), mais cellstorm a remanié les sous-menus. Au lieu d'une liste par ordre alphabétique, les programmes sont divisés par utilisation spécifique et mis dans des groupes, séparés par une ligne à peine visible. L'ordre alphabétique règne dans chaque groupe, mais la séquence recommence à chaque nouveau groupe. Ainsi, vous pourrez voir des programmes commençant par un A après ceux commençant par un M.

Par exemple, la bureautique est divisée en 9 groupes de programmes que j'appelle Création littéraire, LibreOffice, Outils PDF, Présentation, Diaporama, Cartographie conceptuelle, Budget domestique, Dessin et Base de données. Les programmes concernés se trouvent par ordre alphabétique dans chaque bloc, mais, la première fois, les utilisateurs ne comprendront pas, puisque les listes recommencent pour chaque groupe.

La conception (organiser les programmes par utilisation au lieu de l'ordre alphabétique, mais au hasard) est, en fait, logique. Cela dit, le thème sombre rend les lignes séparatrices quasi invisibles et, puisqu'il n'y a pas de sous-titres de groupe, les utilisateurs participeront à un jeu de devinettes jusqu'à ce qu'ils en saisissent l'essentiel.

Opter pour un thème plus clair a fait ressortir les lignes de séparation et cela peut aider un peu.

An unintended consequence of program blocks is that adding new programs doesn't guarantee they'll be placed where you hope (or expect) and finding existing apps is something of a chore. GoldenDict is under Office but Dictionary got slapped into Utilities and when I installed Google Chrome the menu heading got tossed in a block containing BitTorrent clients instead of the one reserved for browsers. This means you'll have to play cat-and-mouse to find programs until you adjust to the sequence (I found it easier to park app icons on the desktop or panels). There is no easy way to change this menu structure, although you could go through Main Menu or alacarte and switch program locations (imagine doing that for 1,400 programs!).

Une conséquence imprévue des groupes ou blocs de programmes, c'est que le rajout de nouveaux programmes ne garantit pas qu'ils seront placés là où vous espérez (ou vous attendez) qu'ils le soient et trouver les applis existantes est quelque peu une corvée.

GoldenDict se trouve dans Bureautique, mais Dictionary est mis d'office dans les Utilitaires et, quand j'ai installé Google Chrome, il a été jeté dans un bloc avec des clients BitTorrent au lieu de celui réservé aux navigateurs.

Cela veut dire qu'il va falloir jouer au chat et à la souris pour retrouver des programmes jusqu'à ce que vous ajustiez la séquence vous-même (il était plus facile pour moi de « garer » les icônes d'applis sur le bureau ou les panneaux).

Il n'y a pas de moyen facile pour modifier la structure du menu, bien qu'il soit possible de passer par le Menu principal ou alacarte et de changer l'emplacement des programmes (imaginez faire cela pour 1 400 programmes !).

Any perceived shortcomings in such a design are outweighed by cellstorm's inclusion of heavily modified mouse-over program descriptions, some of which span several hundred words over several paragraphs as opposed to the usual Ubuntu cryptic one-liners. Mind you, he has done this for hundreds of programs, and it's really time to give up if you can't figure out what an app does after reading these mini-tutorials!

Design features aside, it's time to discuss what the menu contains. Below is a listing of maybe 5 to 10% of the total programs included in any category (forgive me if I misspell a few): 2D Graphics: Gimp, Inkscape, Skencil, vectormagic, Shotwell, Picasa, RawTherapee, Darkroom, gThumb, Rapid Photo Downloader, Karbon 14, Xara, DNGConverter, Stop Motion Capture, Agave, F-Spot, Fotowall, Cinepaint, Fotoxx, FontForge, Pixelize, GimPhoto, Gimp PaintersStudio, ArtRage, Disc Wrapper, Pencil, Hugin, Peacock, MyPaint, Krita. 3D Graphics: Blender 2.5 and 2.4, Houdini, Lodepaint, shaderlink, shaderdesigner, 3Delight, freestyle, Luxrender, Pantograph, Yararay, Librecad, Helios, DraftSight, Sweet Home 3D, Blender Game Engine, MeshLab, Wings3D, ArtofIllusion. Audio: Aqualung, Audacious, Amarok, Mixxx, aquaduo, Audacity, Patchage, Traverso, PsychoSynth, Hydrogen, Jackbeat, Qutesound, darksnow, Shoutcast, DeaDBeef, VLC, Banshee, Stretch Player, Renoise, SLTV, Oscilloscope, Flumotion, Ardour, Rosegarden, Jokosher, Ableton Live. Video: Cinelerra, OpenShot, Pitivi, Handbrake, DeVeDe, 2ManDVD, k9copy, make.tv, OGMRip, AcidRip, dvdisaster, Videoporama, Webcamstudio, Wxcam, Gimp Animation, Avidemux. VJ: Veejay, freej, freemix, fluxus. Hardware: Arduino, Fritzing, LightControl, Wacom Control Panel, Wiican. Collaboration: Chandler, Nixnote, AbiWord, Helga, DrawPile, Dropbox, celtx. Internet: Midori, Firefox, Thunderbird, utorrent, Minitube, JBidwatcher, Bid-O-Matic, Pidgin, Skype, Google Earth, Google Gadgets, Nicotine, Chromium, Opera, RSS Owl. Office: Storybook, BookWrite, TextRoom, Planner, OpenProj, GanttProject, Time Tracer, Install LibreOffice, AbiWord, TaskJuggler, PDF Mod, Impress!ve, iFreeBudget, HomeBank, PyCAD, LyX Document Processor. Programming: Qt Creator, Komodo-Edit, gedit, Aptana Studio, Python 2.6 and 3.1, BlueGriffon, Bluefish, Amaya, Thingamablog. Utilities: Gscrot, Parcellite, Searchmonkey, Furious ISO Mount, Screenlets Games: Yo Frankie!, Secret Mario Chronicles, dji Game Manager, SuperTuxKart, atanks System (Control Center): Ubuntu One, Wireshark, aircrack-ng, Gparted, Brasero, K3b, Turbojet CD/DVD, Lacie 4L Lightscribe, ISO Master, Furious ISO Mount, UNetbootin, mintUpdate, BleachBit, Ubuntu Tweak, conky, Remastersys, Clonezilla, luckyBackup, Firestarter, Vidalia Tor GUI, Seahorse, RamDefrag, Guake Terminal, Easystroke MouseGestures.

Outre les caractéristiques de conception, le moment est venu de discuter du contenu du menu. Ce-dessous vous trouverez une liste de peut-être 5 à 10 % des programmes inclus, peu importe la catégorie (pardonnez-moi d'avance si j'en ai mal orthographié quelques-uns) :

Graphismes 2D : Gimp, Inkscape, Skencil, Vectormagic, Shotwell, Picasa, RawTherapee, Darkroom, gThumb, Rapid Photo Downloader, Karbon 14, Xara, DNGConverter, Stop Motion Capture, Agave, F-Spot, Fotowall, Cinepaint, Fotoxx, FontForge, Pixelize, GimPhoto, Gimp PaintersStudio, ArtRage, Disc Wrapper, Pencil, Hugin, Peacock, MyPaint, Krita.

Graphismes 3D : Blender 2.5 et 2.4, Houdini, Lodepaint, Shaderlink, Shaderdesigner, 3Delight, Freestyle, Luxrender, Pantograph, Yararay, Librecad, Helios, DraftSight, Sweet Home 3D, Blender Game Engine, MeshLab, Wings3D, ArtofIllusion.

Audio : Aqualung, Audacious, Amarok, Mixxx, Aquaduo, Audacity, Patchage, Traverso, PsychoSynth, Hydrogen, Jackbeat, Qutesound, Darksnow, Shoutcast, DeaDBeef, VLC, Banshee, Stretch Player, Renoise, SLTV, Oscilloscope, Flumotion, Ardour, Rosegarden, Jokosher, Ableton Live.

Vidéo : Cinelerra, OpenShot, Pitivi, Handbrake, DeVeDe, 2ManDVD, k9copy, Make.tv, OGMRip, AcidRip, dvdisaster, Videoporama, Webcamstudio, Wxcam, Gimp Animation, Avidemux.

VJ : Veejay, Freej, Freemix, Fluxus.

Matériel : Arduino, Fritzing, LightControl, Wacom Control Panel, Wiican.

Collaboration : Chandler, Nixnote, AbiWord, Helga, DrawPile, Dropbox, Celtx.

Internet : Midori, Firefox, Thunderbird, utorrent, Minitube, JBidwatcher, Bid-O-Matic, Pidgin, Skype, Google Earth, Google Gadgets, Nicotine, Chromium, Opera, RSS Owl.

Bureautique : Storybook, BookWrite, TextRoom, Planner, OpenProj, GanttProject, Time Tracer, Install LibreOffice, AbiWord, TaskJuggler, PDF Mod, Impress!ve, iFreeBudget, HomeBank, PyCAD, LyX Document Processor. Programmation : Qt Creator, Komodo-Edit, gedit, Aptana Studio, Python 2.6 and 3.1, BlueGriffon, Bluefish, Amaya, Thingamablog.

Utilitaires : Gscrot, Parcellite, Searchmonkey, Furious ISO Mount, Screenlets.

Jeux : Yo Frankie!, Secret Mario Chronicles, dji Game Manager, SuperTuxKart, atanks.

Système (Centre de contrôle) : Ubuntu One, Wireshark, aircrack-ng, Gparted, Brasero, K3b, Turbojet CD/DVD, Lacie 4L Lightscribe, ISO Master, Furious ISO Mount, UNetbootin, mintUpdate, BleachBit, Ubuntu Tweak, conky, Remastersys, Clonezilla, luckyBackup, Firestarter, Vidalia Tor GUI, Seahorse, RamDefrag, Guake Terminal, Easystroke MouseGestures.

While this may appear impressive, what's really astounding is that another 1,000+ apps are not listed above! Naturally, there is a sense of redundancy in having this many programs, but they are there and users have the option of using what they want and ignoring or uninstalling the rest. The beauty of oA is that programs cover a wide range of categories and are not all artist-oriented. Most menu categories are well stocked, and some odd security apps are in the mix such as Wireshark and aircrack-ng. Even Firefox has the Scroogle Scraper add-on that cloaks web searches. Must be underground artists out there enjoying wireless code cracking - while remaining anonymous. But there is a bit of hocus-pocus in the menu. Not all of what you see is actually there.

Ceci peut paraître très impressionnant, mais ce qui est vraiment époustouflant, c'est qu'un autre millier - et plus - d'applis ne figurent pas sur la liste ci-dessus.

Tout naturellement, il y a un sens de redondance dans une telle quantité de programmes, mais ils sont là et les utilisateurs ont la possibilité d'utiliser ce qu'ils désirent et d'ignorer ou de désinstaller le reste.

La beauté d'oA est que les programmes couvrent une large gamme de catégories et ne sont pas tous orientés vers l'artistique. La plupart des catégories du menu sont bien garnies et quelques applis sécuritaires telles que Wireshark et aircrack-ng font partie du mélange. Même Firefox comprend l'extension Scroogle Scraper qui dissimule les recherches sur le Net. Il doit y avoir quelques artistes « underground » qui s'amusent à découvrir des clés wifi tout en restant anonymes.

Mais il y a un petit tour de passe-passe dans le menu. Tout ce que vous voyez n'est pas vraiment présent.

Although not an accurate count, nearly 60 programs have either gray question marks or white boxes with blue borders as icons, and these designate recommended but not installed programs (only one, LibreOffice, had “Install” in the title, the rest were just marked with icons). According to the website, these were not installed due to space or licensing issues (the design of icons for these programs also varied. Some got question marks, while others saw the blue and white boxes - so I can only guess each computer interprets the icons differently). Clicking on one of these “programs-to-be” initiates a process in which a terminal window opens to execute an automatic apt-get install command. There is no user interaction in most cases beyond this – just sit back and watch the show. While some are small and take little time, others are humongous. Ableton Live was 620MB to download, and took 900MB once installed, and a few others tipped the scales at 100MB+. When all was said and done, I saw my HDD usage balloon from 9GB to nearly 16GB, which is why I'd recommend no less than 20GB if you plan a full installation. Those opting to use persistence via a USB drive had better plan on buying the largest stick available. Would it be simpler to make a list of affected programs and perform a one-time bulk download via Synaptic Package Manager?

Bien que le chiffre ne soit pas exact, près de soixante programmes ont pour icône des points d'interrogation gris ou des boîtes blanches avec des bordures bleues et ceux-ci désignent des programmes recommandés, mais pas installés (dans le titre d'un seul, LibreOffice, figurait le mot « Install », les autres n'étaient identifiés que par l'icône). D'après le site Web, ceux-ci ne furent pas installés pour cause d'espace ou de problèmes de licence (l'apparence de l'icône pour ces programmes variait aussi. Certains étaients affublés d'un point d'interrogation, alors que d'autres avaients une boîte blanche et bleue - et ainsi je ne peux que supposer que chaque ordinateur interprète les icônes différemment).

Si vous cliquez sur un de ces « programmes-en-devenir », vous démarrez un processus pendant lequel une fenêtre de terminal s'ouvre pour exécuter une commande automatique apt-get install. Dans la plupart des cas, il n'y a plus d'interaction utilisateur - il suffit de vous détendre et de profiter du spectacle.

Tandis que certains sont petits et prennent très peu de temps, d'autres sont faramineux. Le téléchargement d'Ableton Live fut de 620 Mo, et il prit 900 Mo une fois installé. Quelques autres faisaient pencher la balance à plus de 100 Mo. Au bout du compte, j'ai vu l'utilisation de mon disque dur se gonfler de 9 Go à presque 16 Go, ce qui explique pourquoi je recommanderais pas moins de 20 Go pour une installation complète. Ceux qui choisissent la persistance via un disque USB devront acheter la clé la plus grande disponible.

Serait-il plus simple de faire une liste des programmes concernés et faire en une seule fois un téléchargement volumineux avec le Gestionnaire de paquets Synaptic ?

Sounds great, but it's not quite that easy. Some of these programs are not listed in the repositories, and a couple (like virtualdub and avisynth) are Windows programs designed to work in Wine. Try if you like but I seriously doubt it will shave much time off the procedure. How long did it take me to install these apps? Roughly 8 hours over 2 days. Of course there is nothing to say you must install these, but it's nice to know they are available should the need arise. There were a couple of installation failures, such as Remastersys and LibreOffice, but these turned out to be site problems or links pointing to out-of-date versions (the former has been discontinued while the latter apparently changed versions). In both cases, I merely found other outlets and got the programs from there. In most behemoths like oA, you can expect a raft of programs that don't work, but I had just one failure to cooperate, and that belonged to mintUpdate (it had a stroke during a repository update so I switched to Ubuntu Tweak and never had a problem again). These are not cellstorm problems, so I'm not going to ding him there.

Très bien, en théorie, mais ce n'est pas tout à fait aussi facile que ça en a l'air. Certains de ces programmes ne se trouvent pas dans les dépôts et deux ou trois (comme virtualdub et avisynth) sont des logiciels Windows conçus pour fonctionner avec Wine. Essayez-le si c'est ce que vous voulez faire, mais je doute fort que cela vous fasse gagner du temps.

Combien de temps m'a-t-il fallu pour installer ces applis ? Environ 8 heures sur 2 jours. Bien entendu, rien ne vous oblige à les installer, mais c'est agréable de savoir qu'ils sont disponibles en cas de besoin.

Il y a eu deux ou trois échecs à l'installation, tels Remastersys et LibreOffice, mais ceux-ci étaient dus en fait à des problèmes du site ou des liens vers des versions périmées (le premier ne se fait plus et l'autre a apparemment changé de version). Dans les deux cas, il m'a suffi de trouver d'autres sources et d'y récupérer les programmes.

Dans la plupart des mammouths comme oA, vous pouvez vous attendre à une foule de programmes qui ne fonctionnent pas, mais je n'ai eu qu'un programme qui ne voulait pas coopérer, mintUpdate (il a eu un AVC pendant une mise à jour de dépôt et j'ai donc opté pour Ubuntu Tweak et n'ai plus jamais rencontré de problème). Ce ne sont pas des problèmes dus à cellstorm et je ne vais donc pas le critiquer sur ce point.

Those preferring other than Gnome have four desktop choices – Hildon, Openbox, Ardour, and Blender (the last two being Openbox variations that autostart the listed program). Originally designed for Nokia devices using the Maemo.org OS, cellstorm admits Hildon is an experiment at this time and, quite frankly, it never worked for me. Consisting of a black background with a settings icon in the right corner, users will soon discover this icon disappears if a mouse click comes remotely close, and the only way out is Ctrl, Alt and backspace. Unless you like playing “chase the disappearing icon”, pass on Hildon. Openbox has the standard desktop or variations that open either Ardour or Blender automatically (but the underlying desktop is still Openbox). No matter the choice, Openbox operated much quicker than Gnome once booted (LibreOffice scooted to an open page in less than 5 seconds compared to 15 in Gnome); however, it was no quicker from a cold boot than Gnome (indicating it's the hardware checks that are dragging the process down). Logging out of Gnome to Openbox was a different story. Once your password is entered and okay is clicked, the ready desktop appears within 2 seconds.

Il y a quatre options de bureau pour ceux qui préfèrent autre chose que Gnome : Hildon, Openbox, Ardour et Blender (les deux derniers étant des variété d'Openbox qui démarrent le programme listé automatiquement).

Conçu originellement pour des appareils Nokia sous le système d'exploitation Maemo.org, ellstorm admet que Hildon est actuellement au stade d'expérimentation et, pour être honnête, il n'a jamais fonctionné pour moi. Il comprend un arrière-plan noir avec une icône paramètres dans le coin droit et les utilisateurs découvriront presque tout de suite que cette icône disparaît s'il y a un clic de la souris dans ses environs. La seule façon de s'en sortir est Ctrl + Alt + retour arrière.

À moins d'aimer jouer à « poursuivre l'icône invisible », oubliez Hildon.

Openbox comporte le bureau standard ainsi que des variations qui ouvrent soit Ardour soit Blender automatiquement (mais le bureau reste encore Openbox). Quel que soit votre choix, une fois démarré, Openbox a fonctionné beaucoup plus rapidement que Gnome. (LibreOffice s'est affiché dans une fenêtre en moins de 5 secondes, comparé à 15 dans Gnome) ; toutefois, après un démarrage à froid, ce n'était pas plus rapide que Gnome (ce qui laisse penser que ce sont les vérifications du matériel qui ralentissent le processus). Se déconnecter de Gnome pour aller dans Openbox était tout à fait différent. Une fois que vous aurez saisi votre mot de passe et cliqué sur OK, le bureau s'affiche dans les 2 secondes.

Curiously, CPU usage in Openbox was an almost non-existent 2% on average - with rare spikes above 5% - but RAM stayed at 14% at idle - with spikes to 25% (higher than Gnome). The Openbox menu structure is different than Gnome's, and that's both good and bad. The “block” style program listing is there, but the icons and separator lines are gone, and the theme goes to white letters on a black background. For whatever reason, I found this easier to comprehend than the Gnome version, but there is a slight hitch. Since there are no icons in Openbox (just program titles), users have no way of knowing which programs are not yet installed until they click and see the terminal box. I'd recommend starting with Gnome until the programs-to-be are installed, and then switch over to Openbox for the faster interface. At this point, some are undoubtedly itching to ask how oA compares with ArtistX, the other Ubuntu based distro for the artistically inclined. While ArtistX may be better known (they rate a DistroWatch mention), it's limited to 32-bit, admits to being Ubuntu with a boatload of unmodified repository programs, and stacks the deck with artistic apps to the detriment of other categories (such as deleting the Games entry completely).

De façon bizarre, l'utilisation du processeur dans Openbox était quasi inexistante - 2 % en moyenne, avec de rares pics au-delà de 5 % - mais la RAM restait à 14 % au ralenti - avec des pics à 25 % (plus que dans Gnome).

La structure du menu dans Openbox est différente de celle dans Gnome et c'est à la fois bon et mauvais. Le style « bloc » de la liste des programmes est présent, mais les icônes et les lignes de séparation ont disparu et le thème devient des lettres blanches sur fond noir. Je ne sais pas pourquoi exactement, mais je l'ai trouvé plus facile à comprendre que la version dans Gnome, cependant il y a un léger problème. Puisqu'il n'y a pas d'icônes dans Openbox (juste le titre des programmes), les utilisateurs ne peuvent pas savoir quels programmes n'ont pas été installés avant d'avoir cliqué dessus et de voir la fenêtre du terminal.

Je recommande de commencer avec Gnome, jusqu'à ce que les programmes-en-devenir soient installés et de passer ensuite à Openbox à cause de son interface plus rapide.

À ce stade, certains d'entre vous veulent sans doute demander où oA se situe comparé à ArtistX, l'autre distrib. basée sur Ubuntu pour les natures artistiques.

Alors que ArtistX est sans doute mieux connu (au point d'avoir une mention dans DistroWatch) il est limité à 32 bit, avoue être Ubuntu avec une foule de programmes non modifiés venant des dépôts et pipe les dés avec des applis artistiques au détriment d'autres catégories (notamment en supprimant purement et simplement la catégorie Jeux).

Given enough time and bandwidth, just about anybody can take base Ubuntu and pack enough programs to create an ArtistX clone. I seriously doubt many can create an oA knock-off, though, especially since some of the programs are for Windows, made to work in Ubuntu or heavily modified from what you'd normally expect. I let several friends test oA for just over a month, and most came to the same conclusion – oA is a powerhouse packed with programs you just won't find anywhere else. True, it's a little quirky, and takes some getting used to, but that's part of the fun. The truth remains that oA is packed to the rafters with programs, many of which are not to be found in any other Ubuntu derivative. Packing a Windows computer with apps like these - and you can count on draining your bank account quickly.

Avec assez de temps et de bande passante, n'importe qui, ou presque, peut prendre l'Ubuntu de base et y rajouter assez de programmes pour créer un clone d'ArtistX. La possibilité que beaucoup puissent créer une imitation bas de gamme d'oA me semble bien compromise cependant, surtout parce que quelques-uns des programmes sont pour Windows et sont taillés pour fonctionner sous Ubuntu ou fortement modifiés par rapport à ce à quoi vous pouvez normalement vous attendre.

J'ai accepté que plusieurs amis testent oA pendant un peu plus d'un mois et la plupart ont conclu comme moi que oA est un système très puissant, rempli de programmes introuvables ailleurs. Il est exact que c'est un peu insolite et il faut vous y habituer, mais cela contribue à votre plaisir.

La vérité est que oA est rempli à ras bord de programmes, dont beaucoup sont introuvables dans quelque autre dérivé d'Ubuntu que ce soit. Remplissez un ordinateur sous Windows d'applis comme celles-ci et votre compte en banque se mettra rapidement dans le rouge.

This isn't to say it's all roses with oA. Sure, you can install the OS, and ignore all the programs-to-be, but why? If you want something ready-made, go with plain Ubuntu or the lighter-weight ArtistX. If you want something unique, and yet stable, go with oA. Chances are you'll be the only one in your neighborhood (and possibly state) with this OS. Okay, the menu design is initially awkward, some menu programs aren't there until you force the issue (never saw that before), and OS documentation outside of the website is nearly non-existent (CIA classified missions get more coverage than oA), but remember you can't get that shiny pearl without shucking quite a few ugly oysters. Even with all the design peculiarities, I didn't have anybody give up on it (one user even cloned my hard drive thinking there was no way they could get it all for free), and I heard just a couple complaints (mainly about the menu design and slow boot times). Helping matters greatly is cellstorm's forum participation via the oA website. The forums may have sporadic usage, but if you post a question he responds within a day, and seems more than willing to assist those having problems (making me wonder why oA isn't better known). Given a few changes, mainly to structure and some procedures, oA could jump up in the pack to become a known entity instead of being the ghost it currently is.

Cela ne veut pas dire que tout est au beau fixe avec oA. Bien sûr, vous pouvez installer le système d'exploitation et ignorer tous les programmes-en-devenir, mais dans quel but ? Si vous voulez quelque chose de tout fait, choisissez Ubuntu tout court ou ArtistX qui est plus léger. Si vous voulez quelque chose d'unique, et pourtant stable, alors choisissez oA. Il y a de fortes chances que vous soyez le seul dans votre quartier (et sans doute dans l'État) qui possède ce système.

D'accord, la conception des menus est peu commode au départ et certains programmes listés ne sont pas présents à moins que vous n'insistiez (je n'ai jamais vu ça auparavant), et la documentation du système d'exploitation en dehors du site Web n'existe pratiquement pas (on parle plus des missions secrètes de la CIA que d'oA), mais il faut vous rappeler que vous n'aurez jamais une perle lumineuse sans ouvrir pas mal d'huîtres affreuses.

Même en tenant compte de toutes les bizarreries de conception, je n'ai vu personne l'abandonner par dépit (un utilisateur a même fait un clone de mon disque dur, car il pensait qu'il ne pourrait jamais tout avoir gratuitement) et je n'ai entendu que deux ou trois plaintes (la plupart au sujet de la conception des menus et du temps de démarrage).

Ce qui aide énormément est la participation sur le forum de cellstorm même, via le site Web d'oA. L'utilisation des forums peut être sporadique, mais si vous postez une question, il répond dans les 24 heures et semble vraiment heureux d'aider ceux qui rencontrent des problèmes (ce qui m'amène à me demander pourquoi oA n'est pas mieux connu).

Avec quelques modifications, principalement à la structure et à certaines procédures, oA pourrait grimper pas mal d'échelons et devenir une entité familière au lieu de rester un fantôme.

issue57/critique.txt · Dernière modification : 2012/03/06 17:25 de shinichi