Windows 3.0 was released in May of 1990, just one month before I graduated from high school. Previous to this, my experience with computers was limited to DOS operating systems and good old fashioned Tandy Basic, with a smattering of machine code here and there. Needless to say, for me Windows was a godsend, and I remained a faithful little fan-boy all the way up through Windows 98, where for financial reasons I stayed until the release of Windows XP. XP was missing a few of the features I liked from '98. It had some new quirks I had to get used to. And, until they came out with “service pack 2” it was rather unreliable. A few years go by and they finally get done shaking all (well most…) of the bugs out of XP just in time to release a new version called Vista. It was supposed to be faster, stronger, and just better in every possible way. They even beta tested the thing so it had to be good. Right? So, naturally, I ran right out and bought myself a new desktop, set it up and hit the power button. I didn't know it at the time, but that was the beginning of the end.
Windows 3.0 est sorti en mai 1990, juste un mois avant mon diplôme d'études secondaires. Avant cela, mon expérience en informatique était limitée aux systèmes d'exploitation DOS et à ce bon vieux Basic de Tandy, avec quelques échantillons de code machine ici et là. Inutile de dire que, pour moi, Windows était un cadeau du ciel et je suis resté un fidèle petit fan de version en version ; puis il y avait Windows 98, où, pour des raisons financières, je suis resté jusqu'à la sortie de Windows XP.
Dans XP, il manquait un certain nombre de fonctionnalités que j'aimais sous 98. Il avait quelques bizarreries nouvelles auxquelles j'ai dû m'habituer. Et, jusqu'à ce qu'ils arrivent au « Service Pack 2 », il était assez peu fiable. Quelques années passèrent et ils finirent par se débarrasser de tout les bugs de XP (ou plutôt d'une grande partie…) juste à temps pour sortir une nouvelle version appelée Vista. Il était censé être plus rapide, plus solide, et un peu mieux à tout point de vue. Ils ont même testé le truc en version bêta et, de ce fait, il se devait d'être bon. N'est-ce pas ? Alors, naturellement, je me suis dépêché d'acheter un nouvel ordinateur de bureau, je l'ai installé et j'ai appuyé sur le bouton d'alimentation. Je ne le savais pas à l'époque, mais c'était le début de la fin.
I could bore you with all the details about the massive amount of software incompatibilities, the BlackICE Defender program that constantly questioned everything I did, the glitches, jams and downright frustration of it all. But, I am sure that many of you have experienced them for yourself, so there's no real need. I think what I found most frustrating, however, was how much it seemed to coddle the user. It looked and felt like it was designed for toddlers. It forced features on me that I didn't even want, and those features that I did want were gone. Even most of the desktop customizing tools that I was used to using were now a ghost of the past. Three short months later it crashed. Hard. Total meltdown. It was inevitable, I suppose. It was Windows, after all. So, like a good little MS drone, I set about the all too familiar task of reinstalling the OS. 30 minutes later I get this lovely blue screen that read, “We're sorry, this computer is not compatible with Windows Vista.” Say what now? IT CAME WITH VISTA! Several unsuccessful tries later I had had it. I installed XP, fired up Explorer, made my way to Google, and typed “Windows Alternatives.”
Je pourrais vous ennuyer avec tous les détails sur la quantité massive d'incompatibilités logicielles, le programme BlackICE Defender qui remettait constamment en question tout ce que j'avais fait, les pépins, les déconfitures et l'énorme frustration de tout ça. Mais, je suis sûr que beaucoup d'entre vous en ont fait l'expérience par eux-même et ce n'est pas nécessaire. À mon avi,s ce que j'ai trouvé le plus frustrant, cependant, c'était la façon dont il semblait dorloter l'utilisateur. D'après son apparence et mes propres sensations, j'avais l'impression qu'il fut conçu pour les enfants en bas âge. Il m'a obligé d'accepter des fonctionnalités que je ne voulais même pas et les fonctionnalités que je voulais vraiment ne s'y trouvaient plus. Même la plupart des outils de personnalisation du bureau que j'avais l'habitude d'utiliser étaient devenus des fantômes du passé.
Trois petits mois plus tard il s'est planté. Irrémédiablement. Effondrement total. C'était inévitable, je suppose. C'était un Windows, après tout. Alors, comme un bon petit robot de chez Microsoft, je me suis mis à la tâche trop familière de réinstaller le système. 30 minutes plus tard j'ai eu ce charmant écran bleu qui disait: « Nous sommes désolés, cet ordinateur n'est pas compatible avec Windows Vista. » Que faire maintenant ? IL EST VENU AVEC VISTA! Plusieurs essais ratés plus tard, j'en ai eu assez. J'ai installé XP, lancé Explorer, trouvé mon chemin vers Google et tapé « Alternatives Windows ».
Thus began my exploration of this strange new world of Linux. I must have tried out 20 different distros and flavors. Some more than once. I finally settled on Ubuntu. It was the highest rated, most download, best reviewed, and most intuitive distro I found. After bouncing around between the three main desktops (Gnome, KDE and XFCE) for about a month I finally committed to Gnome because it was the most comfortable for me coming from a Windows OS background. My first full install was Ubuntu 7.04 LTS with the Gnome desktop. It was freedom, Baby. I could finally make my computer look how I wanted, and act how I wanted. I must have completely rebuilt my personal desktop 1000 times in the last 5 years. My wife is terribly grateful for her own Login, I'm sure, as I am constantly fiddling and tweaking and revamping. It's so in tune with my artistic nature, and the possibilities are seemingly endless. It's been everything to me that an OS should be. It's intuitive, responsive, logical, and, mostly, it gets out of the way and lets me do what I want.
C'est ainsi qu'a commencé mon exploration du nouveau monde étrange de Linux. Je dois avoir essayé 20 distrib. et versions dérivées différentes. Certaines plus d'une fois. J'ai finalement opté pour Ubuntu. Il était le mieux classé, le plus téléchargé, ayant les meilleures critiques, et la distrib. la plus intuitive que j'ai trouvée. Après avoir tourné autour des trois bureaux principaux (Gnome, KDE et XFCE) pendant environ un mois, j'ai finalement opté pour Gnome, le plus confortable pour moi, étant donné mon expérience des systèmes d'exploitation Windows.
Ma première installation complète a été Ubuntu 7.04 LTS avec le bureau Gnome. C'était la liberté, mon pote. Je pouvais enfin changer l'apparence de mon ordinateur à ce que je voulais, et le faire fonctionner comme je voulais. Je dois avoir entièrement reconstruit mon bureau personnel 1000 fois au cours des 5 dernières années. Ma femme me remercie quotidiennement pour sa propre session, j'en suis sûr, car je bidouille, peaufine et rénove la mienne constamment. Il est tellement en phase avec ma nature artistique et les possibilités sont apparemment sans fin. Il est pour moi tout ce qu'un système d'exploitation devrait être. Il est intuitif, réactif, logique et, la plupart du temps, il me laisse tranquille, me permettant de faire ce que je veux.
I've since installed every LTS version of Ubuntu that came out. Which naturally includes Ubuntu 12.04. I have to say, that it came as a bit of a shock to me when I saw the Unity desktop come up instead of Gnome. At first, I thought I had accidentally downloaded the wrong ISO. I hadn't. So, I gave this new desktop a trial run. After all, there's nothing wrong with change, if it's for the better. Unfortunately, this wasn't. It was cumbersome, counter intuitive, and slow. I think what I found most frustrating, however, was how much it seemed to coddle the user. It looked and felt like it was designed for toddlers. It forced features on me that I didn't even want, and those features that I did want were gone. Even most of the desktop customizing tools that I was used to using were now a ghost of the past… Now, where have I heard this before? Don't misunderstand. I'm not kicking Ubuntu to the curb just yet. I've found a desktop that works o.k. for me (Gnome classic… with quite a few tweaks added). But, I cannot help but question the wisdom behind the move to Unity. By swapping to Unity, they not only alienate their current fan base, but potentially alienate themselves from new converts who are used to a Windows style interface which has been around for 20 years. If we want to attract new users, we have to make that conversion easy and natural for them. Gnome accomplished this. Unity does not. I find it insanely ironic that a desktop environment which causes so much confusion, disharmony, and division is named “Unity.”
Depuis, j'ai installé toutes les versions LTS d'Ubuntu qui sont sorties. Ce qui inclut naturellement Ubuntu 12.04. Je dois dire que ce fut un peu un choc pour moi quand j'ai vu Unity s'afficher au lieu de Gnome. Au début, je pensais que j'avais accidentellement téléchargé le mauvais ISO. Mais non. Alors, j'ai fait un galop d'essai avec ce nouveau bureau. Après tout, le changement n'est pas une mauvaise chose, si c'est pour le mieux. Malheureusement, ce n'était pas le cas. Il était lourd, contre-intuitif et lent. Cependant, ce que j'ai trouvé le plus frustrant, je pense, c'était la façon dont il semblait dorloter l'utilisateur. D'après son apparence et mes propres sensations, j'avais l'impression qu'il fut conçu pour les enfants en bas âge. Il m'a obligé d'accepter des fonctionnalités que je ne voulais même pas et les fonctionnalités que je voulais vraiment ne s'y trouvaient plus. Même la plupart des outils de personnalisation du bureau que j'avais l'habitude d'utiliser étaient devenus des fantômes du passé. … Mais, où ai-je déjà entendu cela ?
Ne vous méprenez pas. Je ne jette pas Ubuntu au caniveau pour l'instant. J'ai trouvé un bureau qui est OK pour moi (Gnome Classic… avec pas mal de modifications). Mais, je ne peux pas m'empêcher de me demander si le changement vers Unity était vraiment judicieux. En changeant pour Unity, non seulement ils aliènent leur base de fans actuels, mais ils se mettent potentiellement à dos les nouveaux convertis qui sont habitués à une interface de type Windows, un système vieux d'au moins 20 ans. Si nous voulons attirer de nouveaux utilisateurs, nous devons faire ce changement facile et naturelle pour eux. Gnome l'a fait. Unity ne le fait pas. Je trouve cela incroyablement ironique qu'un environnement de bureau qui provoque tant de confusion, de discorde et de division soit nommé « Unity ».
IT HAS ARRIVED! The Full Circle Podcast Returns! It may be a new team of podcasters, but the format will be the same. We'll be talking about Full Circle Magazine, news, reviews and interviews. Your new team is: • Les Pounder • Tony Hughes • Jon Chamberlain • Oliver Clark All are members of the Blackpool (UK) LUG http://blackpool.lug.org.uk Debut episode is available from the FCM homepage.
IL EST lÀ !
La ballado-diffusion du Full Circle est de retour !
L'équipe des podcasteurs est sans doute nouvelle, mais le format restera le même.
Nous parlerons du magazine Full Circle ; il y aura des actualités, des critiques et des entretiens.
Notre nouvelle équipe: • Les Pounder • Tony Hughes • Jon Chamberlain • Oliver Clark
Tous sont membres du GUL de Blackpool (GB) http://blackpool.lug.org.uk
Le premier épisode est disponible sur la page d'accueil du FCM (anglais).