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issue69:certifie_linux

Table des matières

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Chapter 2 of my LPIC-1 study book deals with managing software. More specifically, with package management, managing shared libraries, and managing processes. My coverage here of chapter 2 content will be limited to a brief treatment of package management, as I am already after only one month of studying, lagging well behind. Hofstadter's Law comes to mind as I write. The law states, and please excuse my paraphrasing, that everything takes longer than expected, even when you account for Hofstadter's Law. For Exam 101 of LPIC-1, you must be familiar with both RedHat and Debian package management, as well as knowing how to convert between the two. Ubuntu, as it's Debian-based, uses dpkg, the apt command suite or Synaptic. I shan't bore you with the details, but essentially one needs to learn many of the common package management command options by heart. For example, the difference between dpkg -r (–remove) and dpkg -p (–purge). dpkg -p removes both package and configuration files while dpkg -r removes the package files but leaves the configuration files intact.

Le chapitre 2 du cahier d'études pour le LPIC-1 aborde la gestion des logiciels et, plus particulièrement, la gestion de paquets, celle de bibliothèques partagées et celle des processus. Je vais ici limiter mon traitement du contenu du chapitre 2 à une courte discussion de la gestion des paquets, puisque, après seulement un mois d'études, j'accuse déjà un sérieux retard. La Loi d'Hofstadter me vient à l'esprit pendant que j'écris ces lignes. Elle dit, et veuillez excuser ma paraphrase, que tout prend plus de temps que prévu, même en tenant compte de la Loi d'Hofstadter.

Pour pouvoir espérer réussir Exam 101 de LPIC-1, vous devez connaître la gestion des paquets et sous RedHat et sous Debian, aussi bien que la façon de convertir entre les deux. Puisqu'Ubuntu est basé sur Debian, il utilise dpkg, la suite des commandes apt ou Synaptic. Je ne vais pas vous ennuyer avec les détails, mais, en un mot, il faut apprendre par cœur beaucoup des options des commandes habituelles utilisées dans la gestion des paquets. Par exemple, la différence entre dpkg -r (–remove) et dpkg -p (–purge). dpkg -p enlève les fichiers de configuration ainsi que le paquet, alors que dpkg -r enlève les fichiers du paquet, mais laisse les fichiers de configuration intacts.

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Learning for Exam 101 I cannot stress enough how specific one's knowledge must be for this exam, and this is responsible for my slow progress, in part at least. I don't use Ubuntu, or any distribution, in my daily work, where I could practice and apply my Linux knowledge. Furthermore, my personal needs don't require me to address many of the higher-level functions needed for Exam 101. Hence, I have produced sets of flashcards and learn by rote. The flashcards are effective, but they take some time to produce. Yet repeatedly transferring information from text books to flashcards is mind-numbing at best. There are test questions at the end of the book chapters, but not enough to point out knowledge gaps and foster learning. My style of learning throws up a few oddities. A case in point, I've learned that the main two user configuration files are located at ~/.bashrc and ~/.profile (global configuration files are located elsewhere). I don't know how to interpret the contents of the files nor what to do with them, but I do know where they're located. Having said that, one general feeling has stuck with me, which is a sense of awe at the complexity of this operating system: whatever you may want to alter, it can be done.

Préparer Exam 101

Je ne peux pas dire à quel point vos connaissances doivent être pointues si vous voulez réussir cet examen, et c'est ce qui est responsable de la lenteur de mes progrès, du moins en partie. Dans mon travail quotidien, où je pourrais m’entraîner et appliquer mes connaissances sur Linux, je n'utilise ni Ubuntu ni aucune autre distribution. En outre, je ne suis pas obligé d'appréhender beaucoup des fonctions de niveau supérieur nécessaires pour Exam 101, dans ma vie personnelle. C'est pourquoi je crée des ensembles de fiches et apprends leur contenu par cœur. Les fiches sont efficaces, mais les produire prend beaucoup de temps. Transférer des informations dans des manuels, encore et encore, est, au mieux, assommant.

Il y a des questions types à la fin de chaque chapitre, mais pas assez pour vous aider à identifier des lacunes éventuelles et à favoriser l'apprentissage.

Le style de mon apprentissage révèle quelques bizarreries. En voici un bon exemple : j'ai appris que les deux principaux fichiers de configuration de l'utilisateur se trouvent à ~/.bashrc et à ~/.profile (les fichiers de configuration globaux sont ailleurs). Je ne sais pas comment interpréter le contenu de ces fichiers, ni ce qu'il faut faire avec, mais j'ai appris où ils se trouvent. Cela étant dit, un sentiment général m'a particulièrement marqué ; il s'agit d'un sentiment de profond respect pour les complexités de ce système d'exploitation : vous avez la possibilité de changer tout ce que vous voulez.

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Some commands, however, have proven to be very useful. For example, coding errors often refer to a line number. A simple cat -n file.txt > file_lines.txt will produce file_lines.txt with line numbers (blank lines also numbered). Alternatively, with a short piece of code, one could print directly to the screen with: cat -n file.txt. I've also found some pieces of knowledge that have been conceptually very helpful. For instance, ever wondered why commands in man pages are numbered? The top left corner of all man pages, shows the command to which the man page refers (e.g. passwd) and a number (e.g. passwd[1]). At the bottom of the man page, you can sometimes see the command together with more numbers (e.g. passwd[5]). This number refers to the man section in which the command is to be found. passwd[1] is a shell command and passwd[5] is a file format: sections 1 and 5 of the man page categorization are 'bash and shell commands' and 'file formats', respectively. By default, the man command takes the lowest number categorisation. If you want to access the man page for passwd that relates to file formats, type: man 5 passwd. [1] In short, I've still got a way to go, but I'm integrating this knowledge into my daily usage. I need to find more resources though.

Toutefois, certaines commandes se sont révélées très utiles. Par exemple, les erreurs de codage font souvent référence à un numéro de ligne. Une simple cat -n file.txt > file_lines.txt produira un file_lines.txt où les lignes sont numérotées (les lignes blanches ont des numéros aussi). Par ailleurs, avec une courte ligne de code, on peut afficher du texte immédiatement :

cat -n file.txt.

J'ai aussi découvert quelques éléments de connaissances qui me sont très utile sur le plan conceptuel. Par exemple, vous êtes-vous jamais demandé pourquoi les commandes dans les pages man sont numérotées ? Dans le coin en haut à gauche de toutes les pages man, il y a le nom de la commande à laquelle la page man fait référence (par ex. passwd[1]) En bas de la page man, vous verrez parfois la commande avec d'autres numéros (par ex. passwd[5]). Ce numéro fait référence à la section man dans laquelle la commande se trouve. passwd[1] est une commande shell et passwd[5] est le format d'un fichier : Les sections 1 et 5 de la catégorisation page man sont, respectivement, des « commandes bash et shell » et des « formats de fichiers ». Par défaut, la commande man possède le numéro de catégorisation le plus bas. Si vous voulez accéder à la page man pour passwd qui porte sur les formats de fichier, saisissez :

man 5 passwd. [1]

Bref, il me reste encore beaucoup à faire, mais j’intègre ces connaissances dans mon utilisation quotidienne. Cependant, j'ai besoin de découvrir plus de ressources.

issue69/certifie_linux.txt · Dernière modification : 2013/04/14 15:16 de andre_domenech