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issue69:tutoriel_inkscape

Table des matières

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Having covered the use of groups in Inkscape, we're now going to move onto 'layers' – which are just like groups, but with a different interface for manipulating them. There's a good reason for the similarities between groups and layers: the SVG format has no concept of layers, so Inkscape actually implements each layer as a group with some extra bits of custom data. There are three parts of the Inkscape interface that are used for managing layers: the Layer menu, a dedicated Layers dialog, and some quick access tools in the status bar at the bottom of the screen. Let's start with the Layers dialog which can be opened via the Layer > Layers… menu entry, by pressing CTRL-SHIFT-L, or by using the View Layers button on the toolbox:

Après avoir parlé de l'utilisation des groupes dans Inkscape, nous allons maintenant passer aux « calques » - qui sont comme des groupes, mais avec une interface différente pour les manipuler. Il y a une bonne raison aux similitudes entre les groupes et les calques : le format SVG n'a pas de notion de calques et donc Inkscape met effectivement en œuvre chaque calque comme un groupe avec quelques données personnalisées supplémentaires.

Il y a trois parties de l'interface Inkscape qui sont utilisées pour la gestion des calques : le menu Calque, une boîte de dialogue Calques dédiée et des outils d'accès rapide dans la barre d'état au bas de l'écran. Commençons par la boîte de dialogue des calques que l'on peut ouvrir via le menu Calque > Calques…, en appuyant sur Ctrl-Maj-L, ou en utilisant le bouton Afficher les calques de la boîte à outils :

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The layers dialog is fairly sparse, consisting of a list of layers at the top, and a few buttons and other widgets at the bottom. For a new file, only a single layer will be present, usually named “Layer 1.” Create a few objects in your drawing, and they will become part of that layer. Now try clicking on the little eye icon to the left of “Layer 1,” and you'll notice that your objects vanish. Click it again and they reappear. Click on the lock icon and you'll be prevented from making any changes to the objects in your layer. A second click will unlock the layer. There are several ways to create a new layer, but the most obvious is simply to click the green + button at the bottom of the Layers dialog. You'll be prompted to give the layer a name, and pick a position for it. For now, let's call our new layer “Layer 2” and position it above the current layer.

La boîte de dialogue des calques est assez clairsemée, composée d'une liste de calques en haut et de quelques boutons et autres widgets en bas. Pour un nouveau fichier, un seul calque sera présent, habituellement nommé « Calque 1 ». Créez quelques objets dans votre dessin et ils feront partie de ce calque. Maintenant, cliquez sur la petite icône en forme d'œil à gauche de « Calque 1 » et vous remarquerez que vos objets disparaissent. Cliquez à nouveau et ils réapparaissent. Cliquez sur l'icône cadenas et vous ne pourrez plus modifier les objets dans votre calque. Un second clic va déverrouiller le calque.

Il y a plusieurs façons de créer un nouveau calque, mais la plus évidente est de cliquer sur le bouton « + » vert en bas de la boîte de dialogue Calques. Vous serez invité à donner un nom au calque et à sélectionner une position pour celui-ci. Pour l'instant, nous allons appeler notre nouveau calque « Calque 2 » et le placer au-dessus du calque actuel.

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The Layers dialog should appear much as you would expect, with two entries: “Layer 2” is at the top of the list and “Layer 1” is below it. The order of layers in the dialog represents their z-index within the drawing such that layers lower in the list will appear behind layers that are higher in the list. Check that “Layer 2” is selected and draw some more objects, ensuring that they overlap the previous objects from “Layer 1” and are in a suitably contrasting color. You should be able to see that your new objects are always drawn on top of the old objects. Using the arrow icons at the bottom of the Layers dialog, you can re-order your layers, which in turn alters the z-index of the objects in your drawing. You may recall that the contents of groups can't be interleaved, with each group occupying a single “slot” in the z-index. The same applies to layers: you can move them relative to one another, but their contents can't mix.

La boîte de dialogue des calques devrait ressembler à ce que vous attendez, avec deux entrées : « Calque 2 » au sommet de la liste et « Calque 1 » en dessous. L'ordre des calques dans la boîte de dialogue représente leur z-index dans le dessin, de sorte que les calques en bas de liste apparaîtront derrière des calques qui sont situés plus haut dans la liste. Vérifiez que « Calque 2 » est sélectionné et dessinez d'autres objets en vous assurant que ces nouveaux objets se superposent aux objets précédents de « Calque 1 » et en choisissant une couleur qui contraste. Vous devriez voir que les nouveaux objets sont toujours dessinés par dessus les objets anciens. En utilisant les flèches en bas de la boîte de dialogue Calques, vous pouvez réordonner vos calques, ce qui va modifier le z-index des objets dans votre dessin. Vous vous souvenez que le contenu des groupes ne peut pas être imbriqué, chaque groupe occupant un seul « emplacement » dans le z-index. C'est la même chose pour les calques : vous pouvez les déplacer les uns par rapport aux autres, mais leurs contenus ne peuvent pas se mélanger.

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When creating a new layer you can use the Position pop-up to choose whether the new layer should be above or below the current layer. There is also a third option, which is to make it a sublayer of the current layer. Sublayers appear below their parent layer in the dialog, slightly indented. The parent gains a small triangle icon that can be used to show or hide the list of sublayers. In the same way that groups can be nested down to deep levels, so it's possible to add sublayers to sublayers – although going more than two or three levels deep is likely to confuse more than it helps. This image shows our “Layer 1” with the addition of three sublayers, two of which also have sublayers of their own, one of which is collapsed using the triangle button: The order of sublayers within the dialog follows the same rules as for normal layers: the lower down the dialog a sublayer is, the lower down the z-index its contents will be in the drawing. From this, it follows that a sublayer's content will always appear below any content in its parent layer. Although this makes logical sense, it's often not what you want artistically, so I find that the best approach to using sublayers is simply to keep the parent layer empty of objects and construct an additional sublayer below the others to hold any background content.

Lorsque vous créez un nouveau calque, vous pouvez utiliser la pop-up Position pour choisir si le nouveau calque doit être au-dessus ou au-dessous du calque actuel. Il y a aussi une troisième option, qui est d'en faire un sous-calque du calque actuel. Les sous-calques apparaissent sous leur calque parent dans la boîte de dialogue, légèrement en retrait. Le parent gagne une petite icône en forme de triangle qui peut être utilisée pour afficher ou masquer la liste des sous-calques. De la même manière que les groupes peuvent être imbriqués à plusieurs niveaux de profondeur, il est possible d'ajouter des sous-calques à des sous-calques - même si dépasser deux ou trois niveaux de profondeur peut embrouiller plutôt qu'aider. Cette image montre notre « Calque 1 » avec l'ajout de trois sous-calques, dont deux ont également leurs propres sous-calques, dont l'un est réduit en utilisant le bouton triangle :

L'ordre des sous-calques dans la boîte de dialogue suit les mêmes règles que pour les calques normaux : plus un calque est bas dans la boîte de dialogue, plus son contenu aura un z-index bas dans le dessin. De cela, il s'ensuit que le contenu d'un sous-calque apparaîtra toujours au-dessous du contenu de son calque parent. Bien que cela soit logique, ce n'est souvent pas ce que vous voulez artistiquement, je trouve donc que la meilleure approche pour utiliser des sous-calques est de simplement garder le calque parent vide d'objets et de construire un sous-calque supplémentaire au-dessous des autres pour y placer le fond.

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The biggest advantage of sublayers is as a means to quickly hide several parts of an image at once. Considering our snowman from previous instalments, you could easily construct a parent layer to contain the snowman as a whole, with several sub-layers for each part of his body. Now you have the ability to hide or lock individual parts of him by using the icons next to each sublayer, or to quickly hide or lock the whole character using the icons by the parent layer. You may recall that the previous instalment suggested grouping the various parts of the snowman together to create a single object that you can easily move around. So which is better, grouping or layers? As is so often the case, the answer is “it depends”. For something like the snowman I would tend to use groups: the ability to move the whole character as one is usually more useful than the ability to easily hide it. For the background of the image – the snow, sky and stars – I would probably use a layer: you're unlikely to move the background much, but you may want to hide it when working on the snowman, or lock it to prevent it accidentally being modified once you're happy with it.

Le plus grand avantage des sous-calques est qu'ils sont un moyen de cacher rapidement plusieurs parties d'une image en même temps. Pour notre bonhomme de neige des articles précédents, vous pourriez facilement construire un calque parent pour y placer le bonhomme de neige dans son ensemble, avec plusieurs sous-calques pour chaque partie de son corps. Ce qui vous permet de masquer ou verrouiller certaines parties en utilisant les icônes à côté de chaque sous-calque, ou de cacher ou verrouiller rapidement le personnage entier à l'aide des icônes du calque parent.

Vous vous souvenez que l'article précédent a suggéré de regrouper les différentes parties du bonhomme de neige pour créer un objet unique que vous pouvez facilement déplacer. Alors, qu'est-ce qui est mieux, les groupes ou les calques ? Comme c'est souvent le cas, la réponse est « ça dépend ». Pour quelque chose comme le bonhomme de neige j'aurais tendance à utiliser des groupes : la possibilité de déplacer le personnage entier est généralement plus utile que la capacité de le cacher facilement. Pour le fond de l'image - la neige, le ciel et les étoiles - j'utiliserais sans doute un calque : il est peu probable que vous déplaciez souvent le fond, mais vous pouvez avoir envie de le cacher lorsque vous travaillez sur le bonhomme de neige, ou de le verrouiller pour empêcher une modification accidentelle une fois que vous en êtes satisfait.

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Let's look at a real-world example (shown below). This is a comic strip I drew in 2010, together with the corresponding Layers dialog. You can download the Inkscape source file from the URL at the end of the article. Working from the top layer downwards, we first have a Frame layer which is locked. This is a thick black border that sits as the topmost layer in most of my comics and hides the ends of lines that extend outside the main image, meaning that I don't have to be quite so careful when drawing objects near the edge of the scene. Next is the text layer, which holds both the caption for this comic, and the box it sits in. That layer is also locked to prevent me accidentally moving it when editing other parts of the comic.

Regardons un exemple concret (voir ci-dessous). C'est une bande dessinée que j'ai réalisée en 2010, avec la boîte de dialogue Calques correspondante. Vous pouvez télécharger le fichier source Inkscape à partir de l'URL à la fin de l'article.

En partant du calque d'en haut, nous avons d'abord un calque « Frame » (cadre) qui est verrouillé. Il s'agit d'une bordure noire épaisse qui se trouve dans le calque le plus haut dans la plupart de mes bandes dessinées et masque les extrémités des lignes qui dépassent à l'extérieur de l'image principale, ce qui me permet de ne pas devoir être très attentionné lorsque je dessine des objets près du bord de la case. Vient ensuite le calque de texte, qui contient à la fois la légende de cette bande dessinée, et la case dans laquelle elle se trouve. Ce calque est également verrouillé pour empêcher que je le déplace accidentellement lorsque je modifie d'autres parties de la bande dessinée.

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Below that is the Content layer. In many of my comics this is used as a normal layer in its own right, with all the main characters and props being placed directly into it. In this case, I wanted to be able to hide various parts of the drawing as I was working on it, so the Content layer is just a holder for various sub-layers. Inside each of those sub-layers the objects are grouped, such that the Towers layer contains three groups, one for each layer. That allowed me to move each tower individually, whilst still giving me the option to hide them all at once. The Background layer holds everything else that's visible within the comic image, including the arena walls and hilly horizon. The Border layer, locked once again, holds a common border that I use with my comics which contains license information, the URL of my website and a drop shadow.

En dessous se trouve le calque de contenu. Dans beaucoup de mes BD, il sert comme un calque normal autonome, contenant tous les personnages principaux et leurs accessoires. Dans ce cas, je voulais pouvoir masquer différentes parties du dessin pendant que je travaillais dessus, de sorte que le calque de contenu est juste un support pour divers sous-calques. À l'intérieur de chacun de ces sous-calques, les objets sont groupés, le calque « Towers » contient ainsi trois groupes, un pour chaque calque. Cela m'a permis de déplacer chaque tour individuellement, tout en me donnant la possibilité de les cacher toutes d'un seul coup.

Le calque de fond (« Background ») contient tout le reste de ce qui est visible dans la BD, en particulier les murs de l'arène et l'horizon vallonné. Le calque « Border », verrouillé à nouveau, contient une bordure commune à toutes mes BD qui contient des informations de licence, l'URL de mon site web et une ombre portée.

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Those last two layers are particularly interesting because they both contain heavily blurred objects. Blurs are implemented as SVG filters, which will be covered in a future article, but at this stage it's useful to know that filters can be mathematically intensive, and can significantly slow Inkscape's redraw speed. One of the best ways to avoid this slowdown is to hide the layer that contains the filtered objects. Inkscape doesn't have to draw them, so it doesn't do the mathematical operations required, and it can render your image much more quickly. When drawing a complex image, you may find that you need to move objects between layers. This can't be done from the layers dialog, but is instead handled from the Layer menu or a keyboard shortcut. Select the objects you want to move, and use Layer > Move Selection to Layer Above (SHIFT+PageUp) or Layer > Move Selection to Layer Below (SHIFT+PageDown).

Ces deux derniers calques sont particulièrement intéressants car ils contiennent tous les deux des objets très flous. Les flous sont mis en œuvre en tant que filtres SVG, qui seront traités dans un prochain article, mais, à ce stade, il est utile de savoir que les filtres peuvent être mathématiquement intensifs et peuvent ralentir considérablement la vitesse de rafraîchissement d'Inkscape. Une des meilleures façons d'éviter ce ralentissement est de cacher le calque qui contient les objets filtrés. Inkscape n'a pas à les dessiner, il ne fait donc pas les opérations mathématiques requises, et il peut afficher votre image beaucoup plus rapidement.

Lorsque vous dessinez une image complexe, vous aurez éventuellement besoin de déplacer des objets entre les calques. Vous ne pouvez pas le faire depuis la boîte de dialogue des calques ; il faut passer par le menu Calque ou un raccourci clavier. Sélectionnez les objets que vous voulez déplacer et utilisez Calque > Déplacer la sélection au calque supérieur (MAJ + PagePrécédente) ou Calque > Déplacer la sélection au calque inférieur (MAJ + PageSuivante).

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Another option you'll see in the Layer menu is Duplicate Current Layer. This not only duplicates the layer itself, but also all the objects within that layer, including any sub-layers and their contents. Because the duplicated objects appear directly on top of the originals, it's not always obvious that copies have been created, so be a little careful when using this option. You can also duplicate layers directly inside the Layers dialog by using the context menu on the layer name. Although the context menu offers up a “Rename Layer…” option, it's usually easier to just click on a selected layer name which turns it into an editable field. One odd omission from the context menu is the option for deleting a layer. This is available via the Layer > Delete Current Layer menu entry, or by the red minus button in the dialog. Be aware that this will delete the layer and everything within it, including sub-layers, without any further prompting. If you do inadvertently delete a layer then all is not lost, as Edit > Undo (CTRL-Z) will restore it.

Une autre option que vous verrez dans le menu Calque est Dupliquer le calque actuel. Cela ne duplique pas que le calque lui-même, mais aussi tous les objets à l'intérieur de ce calque, y compris les sous-calques et leur contenu. Les objets dupliqués apparaissant directement par-dessus les originaux, il n'est pas toujours évident que les copies ont été créées, alors faites attention lorsque vous utilisez cette option. Vous pouvez également dupliquer des calques directement dans la boîte de dialogue des calques en utilisant le menu contextuel sur le nom du calque. Le menu contextuel propose aussi une option « Renommer le calque… », mais il est généralement plus facile de cliquer sur le nom d'un calque sélectionné, ce qui le transforme en un champ modifiable.

Étrangement, il manque dans le menu contextuel l'option pour supprimer un calque. Elle est disponible via le menu Calque > Supprimer le calque actuel ou par le bouton « - » rouge dans la boîte de dialogue. Attention, cela supprime le calque et tout ce qu'il contient, y compris les sous-calques, sans aucune confirmation supplémentaire. Si vous supprimez par inadvertance un calque, tout n'est pas perdu, puisque Édition > Annuler (CTRL-Z) le restaurera.

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Let's finish our tour of the Layers dialog with the controls at the bottom. The Opacity slider works in the same manner as the one in the Fill and Stroke dialog, but applies to all the objects in the selected layer. It's yet another of Inkscape's many ways of making objects invisible. The Blend Mode pop-up defines how the selected layer is drawn with respect to the layers below it. Much like the Blur slider in the Fill and Stroke dialog, it's actually a shortcut for adding a filter. The blend modes on offer are Normal, Multiply, Screen, Darken, and Lighten – although there's rarely much reason to use anything other than Normal. I know of one artist who puts all the shadows in his images into a single layer which is set to Multiply, and I've also used the Multiple mode to produce an anaglyph 3D image of the space shuttle. In this image I've used that anaglyph space shuttle to demonstrate the differences between the blend modes, but the actual effect produced is highly dependent on the colours you start out with.

Terminons notre tour de la boîte de dialogue des calques avec les commandes du bas. Le curseur Opacité fonctionne de la même manière que celui de la boîte de dialogue Remplissage et contour, mais s'applique à tous les objets du calque sélectionné. C'est encore une autre des nombreuses façons que propose Inkscape pour rendre les objets invisibles.

Le pop-up Mode de fondu définit la façon dont le calque sélectionné est dessiné par rapport aux calques inférieurs. Tout comme le curseur Flou dans le dialogue Remplissage et contour, c'est en fait un raccourci pour ajouter un filtre. Les modes de fondu proposés sont Normal, Produit, Superposition, Obscurcir et Éclaircir - mais il n'y a pas souvent de raison d'utiliser autre chose que Normal. Je connais un artiste qui met toutes les ombres dans ses images dans un calque unique qui est réglé à Produit et j'ai aussi utilisé le mode Produit pour fabriquer une image 3D anaglyphe de la navette spatiale. Dans cette image, j'ai utilisé la navette spatiale anaglyphe pour démontrer les différences entre les modes de fondu, mais l'effet réel produit dépend fortement des couleurs utilisées au départ.

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There's one aspect of layer management left to mention: the pop-up menu on the status bar. This allows you to quickly switch between layers and to hide, show, lock, or unlock the current layer using the buttons to the left of the pop-up. The previous instalment introduced this pop-up in the context of managing groups. This is a side-effect of the fact that layers are just groups with a bit of extra metadata. In this case, the name in the button will actually be the internal ID of the group, and you can use the menu to exit a group by switching to a parent group, or straight to a different layer entirely. This can be particularly useful if you're in a deeply nested collection of groups as it provides a mechanism to jump back through several steps at once.

Il reste un aspect de la gestion des calques à mentionner : le menu pop-up dans la barre d'état. Il vous permet de basculer rapidement entre les calques et de masquer, afficher, verrouiller ou déverrouiller le calque actuel à l'aide des boutons situés à gauche de la fenêtre pop-up.

L'article précédent a introduit cette pop-up dans le cadre de la gestion des groupes. C'est un effet secondaire du fait que les calques ne sont que des groupes avec un peu de métadonnées supplémentaires. Dans ce cas, le nom du bouton sera en fait le numéro interne du groupe et vous pouvez utiliser le menu pour quitter un groupe en passant à un groupe parent, ou directement à un calque complètement différent. Cela peut être particulièrement utile si vous êtes dans une collection de groupes très profondément imbriquée car cela fournit un moyen de revenir plusieurs calques en arrière en une seule étape.

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Beware, however, that using the Hide or Lock buttons when you've got a group selected can be dangerous, resulting in hidden groups that you can't easily reveal or locked groups that you can't readily unlock. For this reason I tend to only use the Hide and Lock buttons in the Layers dialog, or at least double-check that I'm not inside a group before using them from the status bar. Links The comics used in this tutorial, plus their Inkscape source files, can be downloaded from: http://www.peppertop.com/fc/

Méfiez-vous, toutefois, car l'utilisation des boutons pour masquer ou verrouiller lorsque vous avez un groupe sélectionné peut être dangereuse, entraînant des groupes cachés que vous ne pouvez pas facilement afficher ou de groupes verrouillés que vous ne pouvez pas déverrouiller facilement. Pour cette raison, j'ai tendance à utiliser les fonctions Masquer et Verrouiller seulement dans la boîte de dialogue des calques, ou tout au moins à revérifier que je ne suis pas à l'intérieur d'un groupe avant de les utiliser à partir de la barre d'état.

Liens

Les BD utilisées dans ce tutoriel, ainsi que les fichiers sources Inkscape, peuvent être téléchargées à partir de : http://www.peppertop.com/fc/

issue69/tutoriel_inkscape.txt · Dernière modification : 2013/04/26 10:40 de auntiee