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issue73:jeux_ubuntu

Table des matières

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First off, if you haven’t heard the sad news a few months ago, LGP (Linux Gaming Publishers) lost the rights to sell Egosoft's X series of games (X2-The Threat and X3-Reunion); the good news is Egosoft is now actively developing its games for Linux—so, if anyone has purchased the X-series superbundle or X3-Reunion on Steam, you have access to the Linux version as well. Work continues on X-Beyond, X2 and X3-Terran Conflict, but is not yet available outside of closed beta. Next up, Unigine has finally released Oil Rush and its DLC on Steam for Linux this week, meaning if you purchased the game directly from them, it’s now available for installation via the Steam for Linux client. Now for the games that are coming soon. Most come from Steam's Project Greenlight and all are from Indie Developer Studios.

Tout d'abord, si vous n'avez pas entendu la triste nouvelle il y a quelques mois, LGP (Linux Gaming Publishers) a perdu les droits de vendre la X série de jeux d'Egosoft (X2-The Threat et X3-Reunion) ; la bonne nouvelle est que, maintenant, Egosoft développe activement ses jeux pour Linux, alors, si vous avez acheté le « superbundle » de la X série ou X3-Reunion sur Steam, vous avez accès à la version Linux également. Le travail continue sur X-Beyond, X2 et X3-Terran Conflict, mais ces jeux ne sont pas encore disponibles en dehors d'une bêta fermée.

Ensuite, Unigine a enfin sorti Oil Rush et son DLC (contenu téléchargeable) sur Steam pour Linux cette semaine, ce qui veut dire que, si vous avez acheté le jeu auprès d'eux directement, il est maintenant disponible à l'installation via le client Steam pour Linux.

Et maintenant pour les jeux à venir prochainement : la plupart viennent du Project Greenlight de Steam et ils sont tous des studios Indie Developer.

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First up is Starbound (www.playstarbound.com) from Chucklefish. This is a 2D sidescroller in the vein of Terrarria and Minecraft, except this time, along with an open sandbox world, you also get a single player storyline. The game is available now for pre-order, and those who do pre-order get beta access. Read more here http://playstarbound.com/about/, Next up we have Legends Of Aethereus from Three Gates Studios. This Action RPG was successfully funded last year via Kickstarter, has beta access for Kickstarter backers, and has now been Greenlit by the Steam Community. See more here http://www.aethereusgame.com/index.html. Finally, the developers are now taking pre-orders for the game. Third on the list is Hammerwatch from HipShot. In the developer's own words about the game: “A hack and slash action adventure, set in a fantasy pixel art environment. Solo or cooperate in this adventure from bottom to top of Castle Hammerwatch. Kill hordes of enemies with varied looks and features, through four unique environments with traps, hidden secrets and puzzles. The game is inspired by the old Gauntlet-series, but adds a lot with online support, character development, complex levels, bosses, and much more. Like gauntlet, the focus is fast paced action, but with elements that force you to think just a bit more!” A playable demo (unfortunately, for the Windows OS ) is available; another greenlit steam game; find out more here http://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=122788084

Le premier est Starbound (www.playstarbound.com) de Chucklefish. C'est un jeu en 2D à défilement horizontal dans la même veine que Terrarria et Minecraft, sauf que, cette fois-ci, un monde bac à sable ouvert est accompagné d'une histoire à un joueur. Le jeu est actuellement disponible en pré-commande et ceux qui font une telle commande peuvent accéder à la bêta. Pour d'autres renseignements : http://playstarbound.com/about/

Ensuite, nous avons Legends of Aethereus des studios Three Gates. Cet Action RPG qui a été financé avec succès l'année dernière via Kickstarter, propose un accès à la bêta pour des gens ayant participé au financement sur Kickstarter, et vient de recevoir le feu vert de la Communauté Steam. Pour plus d'informations : http://www.aethereusgame.com/index.html. Enfin, les développeurs acceptent actuellement des pré-commandes pour le jeu.

Le troisième sur la liste est Hammerwatch de HipShot. Dans les mots du développeur du jeu : « Il s'agit d'un jeu « hack and slash » d'aventure et d'action, dans un environnement fantaisie en pixel-art. Jouez seul ou coopérez dans cette aventure de la base au sommet du Castle Hammerwatch. Tuez des hordes d'ennemis qui ont des apparences et des fonctionnalités diverses, en traversant quatre environnements uniques avec des pièges, des secrets cachés et des énigmes.

« L'inspiration du jeu vient de la vieille série Gauntlet, mais avec plein de choses ajoutées : une prise en charge en ligne, le développement des personnages, des niveaux complexes, des boss et beaucoup plus encore. Comme c'est le cas de Gauntlet, l'accent est mis sur l'action rapide, mais avec des éléments qui vous obligent à réfléchir un peu plus que d'habitude ! »

Une démo jouable (malheureusement sous Windows) est disponible ; un autre jeu avec le feu vert de Steam : en apprendre davantage ici : http://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=122788084

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“Legend of Dungeon is part Beat'Em'Up, like those awesome old-school 4-player arcade games (it plays a little like TMNT and X-Men), and it's part RogueLike in its setting and content generation.” So states the introduction for the next Greenlit Game Legend of Dungeon from developer RobotLovesKitty. The game is set for a summer 2013 release, and is currently taking pre-orders that grant access to a playable version of the game. Read more here http://www.robotloveskitty.com/LoD/ and here http://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=108895757 And that’s it for games that are projected for a 2013 summer release date. There are several other games on the horizon, but their release dates are either early next year or December 2013. So nothing much to talk about since the dates are so far out.

« Legend of Dungeon est, en partie, un beat-them-up, comme ces jeux d'arcade de la vieille école à quatre joueurs, qui étaient géniaux (il se joue un peu comme TMNT et X-Men) et c'est en partie rogue-like, quant à la génération de son lieu et son contenu. » Ce sont les paroles de la présentation du prochain Green Light Game (jeu au feu vert), Legend of Dungeon du développeur RobotLovesKitty. Le jeu devra sortir en été 2013 et accepte actuellement des pré-commandes qui donnent accès à une version jouable du jeu. Vous pouvez en lire davantage ici : http://www.robotloveskitty.com/LoD/ et ici http://steamcommunity.com/sharedfiles/filedetails/?id=108895757.

Et c'est tout pour les jeux qui devront sortir au cours de l'été 2013. Plusieurs autres jeux pointent le bout de leur nez, mais la date de leur sortie est soit au début de l'année prochaine, soit décembre 2013. Ainsi, je n'ai pas grand chose à dire, puisque les dates sont si lointaines.

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DEUXIÈME ARTICLE

When the opportunity to try out for the position of game reviewer at FCM came up, I jumped at it for three reasons. I am a huge fan of the Ubuntu operating system and its variants, I have had a love for gaming since I was about 10 years old and typed ‘open door’ in my first Sierra adventure, and, for a long time, I’ve been keen to somehow capture my thoughts on the topics of gaming and Ubuntu in one place. The chance to actually do this was too good to pass up. But what game would I review? FCM has been running for quite some time now. Do I take an older game, or find something new to review? Fortunately the gaming gods took pity on me, and, just over a week ago, Valve announced that they would be releasing their 2007 smash hit Portal on Steam for Linux. I was too busy with other FPS games at the time when Portal was initially released (sigh, I’m looking at you Call of Duty 4: Modern Warfare), so this presented the perfect chance to complete and review a game that was freshly released to the Ubuntu world. At this point I am ashamed to admit that I missed out on the big launch of Steam on Ubuntu. Due to various factors in my life at the time, I wasn’t involved in Ubuntu gaming in any way over the course of 2010/2012. My memories of Ubuntu gaming were either open source games developed by the community, or porting Counter Strike over to Ubuntu using Wine for office lunch time frags. The launch of Portal on Steam in Ubuntu would be the perfect opportunity to get back into Ubuntu gaming and I grabbed it.

Quand l'occasion de postuler pour le poste de critique de jeu au FCM s'est présentée, je l'ai saisie pour trois raisons. Je suis grand amateur du système d'exploitation Ubuntu et ses variétés, j'aime jouer et ce, depuis que j'ai eu 10 ans, ou à peu près, quand j'ai tapé « ouvre la porte » dans ma première aventure Sierra et, depuis longtemps, je veux vraiment rassembler mes réflexions au sujet d'Ubuntu et des jeux en un seul endroit. Je ne pouvais pas laisser passer la possibilité de le faire pour de vrai, car c'était bien trop alléchant.

Mais de quel jeu ferais-je la critique ? Le FCM est publié depuis pas mal de temps maintenant. Est-ce que je prends un jeu plus ancien, ou devrais-je trouver quelque chose de nouveau pour ma critique ? Fort heureusement, les dieux des jeux ont pris pitié de moi et, il y a un peu plus d'une semaine, Valve annonça qu'ils sortiraient leur jeu au succès fulgurant, Portal (2007) sur Steam pour Linux. J'étais trop occupé par d'autres jeux FPS au moment où Portal est sorti initialement (soupir - je te vois Call of Duty 4 : Modern Warfare), et c'était donc l'occasion rêvée de terminer et faire la critique d'un jeu nouvellement sorti dans le monde Ubuntu.

À ce stade, j'ai honte d'avouer que j'ai manqué le grand lancement de Steam sous Ubuntu. À cause de divers facteurs dans ma vie à l'époque, je n'étais pas du tout impliqué, de quelque façon que ce soit, et surtout pas en tant que joueur, au cours des années 2010 à 2012. Mes souvenirs de jeux sous Ubuntu étaient soit de jeux Open Source développés par la communauté, soit d'avoir porté Counter Strike à Ubuntu en utilisant Wine pour des parties féroces à l'heure du déjeuner. Le lancement de Portal sur Steam sous Ubuntu serait l'occasion parfaite de me remettre dans le bain des jeux Ubuntu et je l'ai vite saisie.

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However, what I planned to be a review of a great Valve game on a different platform turned out to be an exploration into the world of gaming on Steam in Ubuntu. As soon as I booted up my Ubuntu partition on my gaming PC (with a fresh install of 12.10) and proceeded with the Steam installation, I found myself finding the process of installing Steam and the actual implementation of it on an Ubuntu system way more interesting than the game itself. Suddenly I found myself rewriting my first article – from a review of a game to a review of the gaming delivery platform itself. The first thing I found interesting was how Steam is listed in the Ubuntu software manager. I know that the product is free to download, but why the $0.00 price tag? As I had not installed software on Ubuntu for a few years, I assumed this was just the usual practice. I guess I just expected it to say ‘Free’ or similar. What I did find refreshing was that it was available in the Software manager and didn't require me to run any terminal commands. As a user of Steam on ‘that other OS,’ I was pleased to find myself on familiar ground once the install had completed. The login screen was an exact replica of what I was used to. In fact, once I was logged in, the actual client itself was unchanged, even the window buttons were the same, which made things a little tricky, as the default Ubuntu install I was running was utilising the new Unity interface which means other windows’ buttons were on the opposite side.

Toutefois, ce que je pensais être la critique d'un jeu Valve génial sur une autre plateforme s'est révélé être l'exploration du monde des jeux sur Steam sous Ubuntu. Dès le démarrage de la partition Ubuntu du PC sur lequel je joue (avec une installation propre de la 12.10) et l'installation de Steam, je me suis rendu compte que je trouvais le processus d'installation de Steam et son implémentation sur un système Ubuntu beaucoup plus intéressant que le jeu même. Tout d'un coup, je me suis vu en train de refaire mon premier article - ce ne serait plus la critique d'un jeu, mais une critique de la plateforme de livraison même du jeu.

La première chose intéressante est la façon dont Steam apparaît dans le gestionnaire de logiciels Ubuntu. Je sais que le produit est gratuit au téléchargement, mais je ne comprends pas le prix fixé à 0,00 $. Puisque cela faisait plusieurs années depuis que j'avais installé des logiciels sous Ubuntu, j'ai supposé que c'était la pratique habituelle. Je pense que je me suis attendu à un simple « Gratuit » ou similaire. Ce que j'ai trouvé de nouveau - et bien - était que c'était disponible dans le gestionnaire de logiciels et que je n'avais pas besoin d'utiliser le terminal.

En tant qu'utilisateur de Steam sous « cet autre système exploitation-là », j'étais heureux de me retrouver en terrain connu une fois l'installation terminée. L'écran de connexion était la réplique exacte de ce à quoi je m'étais habitué. En fait, une fois connecté, le client lui-même était inchangé, et même les boutons des fenêtres étaient pareils, ce qui a rendu les choses un peu délicates, puisque l'installation par défaut d'Ubuntu utilisait la nouvelle interface Unity, ce qui voulait dire que les boutons d'autres fenêtres étaient sur l'autre côté.

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Once I logged in I realised the reason for this. Valve had merely ported the Steam client directly to Ubuntu, without making any major changes to the interface (none at all as far as I can see). Some small part of me was hoping it would be all shiny and new and specific to Ubuntu, but I understand why this is not the case. That doesn’t mean to say I am happy about it… I was interested to find out that due to the direct port of the Steam software, it meant that all the games I had purchased via Steam over the years where listed as part of my library on Ubuntu. Obviously all these games weren’t going to run (I’m too scared to try in case something explodes), but it would have been nice if Valve had made it so that Steam detects what OS you are running on and then filters the games you can play. As it is, I had to select ‘Linux Games’ from the ‘Library’ menu before I could filter the games I was actually going to be able to play. Sure enough, right there between Half Life : Opposing Force and Ricochet was the Portal (Beta) game. It must be noted that I had already purchased Portal previously, and I was pleased to see I wasn't going to have to repurchase it to be able to play it on Ubuntu.

Une fois connecté, j'en ai compris la raison. Valve n'avait fait que porter le client Steam directement sous Ubuntu, sans faire de modifications majeures à l'interface (aucune, d'après ce que je peux voir). J’espérais, dans un petit coin de mon cerveau, que ce serait tout brillant et nouveau et spécifique à Ubuntu, mais je comprends pourquoi ce n'est pas le cas. Cela ne signifie pas que j'en suis heureux…

Cela ma intéressé de découvrir que, à cause du port direct du logiciel Steam, tous les jeux que j'avais achetés au cours des années au moyen de Steam figuraient dans ma bibliothèque sous Ubuntu. Il est évident que tous ces jeux ne fonctionneraient pas (j'ai trop peur d'essayer au cas où quelque chose explose), mais ça aurait été sympa si Valve avait fait en sorte que Steam détecte votre système d'exploitation, puis filtre les jeux auxquels vous êtes en mesure de jouer. Tel qu'il est actuellement, j'ai dû sélectionner « Linux Games » dans le menu de la bibliothèque, avant de pouvoir filtrer les jeux auxquels je pouvais vraiment jouer.

ET, bien entendu, là entre Half Life : Opposing Force, et Ricochet était le jeu Portal (Bêta). Il faut noter que j'avais déjà acheté Portal et j'étais content de voir qu'il ne me fallait pas l'acheter à nouveau pour pouvoir y jouer sous Ubuntu.

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At this point, after the Ubuntu OS reinstall, installing the third party graphics drivers for my nVidia card, and installing and logging into Steam, it was just too late to start playing Portal on Ubuntu with enough time to complete the game and write a review. So I poked around a bit more to see what else I could find. What I did come across is the fact that there are, at the time of this article, 180 Steam games that can be installed and played on your copy of Ubuntu. I take this as a serious step in the right direction. As a gamer I am tired of having to own a copy of Windows just to play my favourite titles. I really, truly hope that Gabe and the boys over at Valve are successful in turning game developers on to the idea of selling/porting their products to Linux through Steam. Part of me wants to jump up and run to the highest hilltop and scream and shout for joy. But for now, I have some Portal to play. Apparently there’s cake!

À cette heure-ci, après la ré-installation du système d'exploitation Ubuntu, l'installation des pilotes graphiques propriétaires pour ma carte nVidia, et l'installation de, ainsi que la connexion à Steam, il était vraiment trop tard pour commencer à jouer à Portal sous Ubuntu, avec assez de temps pour terminer le jeu et en faire une critique. J'ai donc investigué un peu plus pour voir ce que je pouvais trouver d'autre. Ce que j'ai découvert, c'est que, au moment où j'écris cet article, il y a 180 jeux Steam qui peuvent être installés et auxquels vous pouvez jouer sous Ubuntu.

Je crois que c'est un pas important dans la bonne direction. En tant que joueur, je suis fatigué de devoir être propriétaire de Windows tout simplement pour pouvoir jouer à mes jeux préférés. J'espère de tout cœur que Gabe et les mecs à Valve réussiront à convaincre les développeurs de jeux de vendre/porter leur produits sous Linux au moyen de Steam. Je veux presque courir d'emblée en haut de la colline la plus haute pour crier et hurler de joie.

Mais, maintenant, je dois jouer à Portal.

Il paraît que c'est du gâteau !

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TROISIÈME ARTICLE

Strategy games are known for their steep learning curves and long play times. Aeon Command, however, is a casual strategy game that is easy to learn and fun to play. It combines casual arcade gaming with resource management, research, and ship production to produce an unique gaming experience. The main goal of the player is to defend his or her mothership and to destroy the enemy’s mothership. There is a brief tutorial to teach you how to manage resources. From there one can either play in campaign, skirmish or multiplayer mode. Campaign mode unlocks more ships, more technology, and more abilities as you play through each mission. There are three factions: the Alliance, the Exiles and the Cyborgs. Each faction has its own ships and abilities. The factions are fighting over the resources contained in a particularly resource-rich nebula. In the beginning of campaign mode, the player cannot do research until given charge of the fleet by defeating the current commander. As Campaign mode unfolds, the player is given access to new abilities such as an EMP, and the ability to heal ships in combat. These abilities depend on energy taken from enemy ships, which appears after they are destroyed. A player needs to click on the leftover energy before it disappears, similar to bonuses in arcade games.

Les jeux de stratégie sont connus pour avoir des courbes d'apprentissage raides et un très long temps de jeu. Aeon Command, toutefois, est un jeu de stratégie simple qui s'apprend facilement et est amusant. Ici, un jeu simple de type arcade est associé à la gestion des ressources, la recherche et la production de vaisseaux pour offrir une expérience de jeu unique. L'objectif principal du joueur ou de la joueuse est de défendre son vaisseau-mère et de détruire celui de l'ennemi.

Il y a un court tutoriel pour vous apprendre la gestion des ressources. À partir de là vous pouvez jouer en mode Campagne, ou en mode Escarmouche ou en mode Multi-joueurs. Le mode Campagne déverrouille plus de vaisseaux, plus de technologie et plus de compétences pendant que vous jouez chaque mission. Il y a trois factions : l'Alliance, les Exiles et les Cyborgs. Chaque faction a ses propres vaisseaux et compétences. Les factions se battent pour les ressources contenues dans une nébuleuse particulièrement riche en ressources. Au début du mode Campagne, le joueur ne peut pas faire de recherches jusqu'à ce qu'il vainque le commandant actuel et assumera son poste de responsable de la flottille.

Selon sa progression dans le mode Campagne, le joueur a accès à de nouvelles compétences telles qu'un EMP (impulsions électromagnétiques) et la capacité de guérir des vaisseaux pendant le combat. Ces compétences dépendent de l'énergie prise sur des vaisseaux ennemis ; elle apparaît après leur destruction. Un joueur doit cliquer sur l'énergie qui reste avant sa disparition, un peu comme pour les primes dans les jeux d'arcade.

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In order to build ships and conduct research, the player must collect mineral resources from asteroids. A player is allowed only 10 mining ships so resource collection in later stages of the game must be supplemented by capturing enemy vessels with tow ships. It is imperative to protect tow ships as they bring back their cargo. There are shield ships that can project a field around tow ships and other vessels to protect them from enemy fire for a short time. The graphics in the game are nothing special, but they get the job done. It can sometimes be difficult to tell which ships are of which type, especially when fighting the cyborgs. This a problem, because in order to adequately defend your mothership, you need to know which ships to build to engage certain enemy vessels. The audio is fitting to the genre, and of fairly high quality. The sound effects are traditional space battle sounds. The music is neither repetitive nor boring. The game is currently $2.99 at Desura. If you like strategy games, or if you’d like an interesting casual game, I highly recommend Aeon Command, both for its value and its playability. If you’re curious about strategy games, Aeon Command is a great and simple introduction to the genre. Pros: Low price, good sound, fun, and easy to learn. Cons: Graphics that make it difficult to distinguish ship types.

Pour pouvoir construire des vaisseaux et faire des recherches, le joueur doit récupérer des ressources minérales sur les astéroïdes. Un joueur ne peut avoir que 10 vaisseaux de mines et la collection des ressources quand vous progressez dans le jeu doit être supplémentée par la capture de vaisseaux ennemis qui ont des vaisseaux-remorques. Vous devez absolument protéger les vaisseaux-remorques pendant qu'ils ramènent leur fret. Il y a des vaisseaux-boucliers qui peuvent projeter un champ autour des vaisseaux-remorques et d'autres vaisseaux pour les protéger des tirs ennemis pendant un court laps de temps.

Les graphismes du jeu ne présentent rien de particulier, mais ils font le boulot. Il peut parfois être difficile de voir quels vaisseaux sont de quel type, surtout quand vous combattez des cyborgs. Ceci est ennuyeux, parce que, afin de défendre votre vaisseau-mère de façon adéquate, vous avez besoin de savoir quels vaisseaux construire pour se battre contre certains vaisseaux ennemis. Le son est ce qu'il faut pour le genre et d'assez haute qualité. Les effets sonores sont les bruits habituels de batailles spatiales. La musique n'est ni répétitive ni ennuyeuse.

Le jeu coûte actuellement 2,99 $ US (un peu plus de 2 euros) chez Desura. Si vous aimez les jeux de stratégie, ou si vous avez envie d'un jeu simple, mais intéressant, je recommande vivement Aeon Command, à la fois pour son rapport qualité/prix et pour sa jouabilité. Si vous recherchez des jeux de stratégies, Aeon Command offre une simple et très bonne introduction au genre.

Avantages : Bas coût, bon son, amusant et facile à apprendre. Inconvénients : Des graphismes qui rendent la reconnaissance des types de vaisseaux difficile.

issue73/jeux_ubuntu.txt · Dernière modification : 2013/10/28 23:02 de tiboo