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HP Is The New OpenStack Leader: What Does It Mean For Red Hat? Red Hat (NYSE:RHT) is the largest distributor of commercial Linux products and the undisputed leader in the Linux enterprise market. The company also was the first to achieve the psychological billion dollars in open-source product sales. It therefore comes as a surprise to learn that Red Hat could slowly be losing its grip on the open-source universe. A recent report on the top OpenStack contributors revealed that HP (NYSE:HPQ), the leading server vendor, has, for the first time, surpassed Red Hat, long-time leader of the OpenStack platform, as the top contributor of code to the open-source platform. HP contributed 20% of new code to the OpenStack platform over the last year compared to Red Hat's 17%. That's quite a big change from a year ago when Red Hat was the top contributor with 19% and HP generated just 13% of code. OpenStack is a set of open-source software tools that allows users to build and manage their own cloud platforms Source: http://seekingalpha.com/article/2523745-hp-is-the-new-openstack-leader-what-does-it-mean-for-red-hat?source=cc Submitted by: Arnfried Walbrecht

HP est le nouveau leader OpenStack : que signifie cela pour Red Hat ?

Red Hat (NYSE : RHT) est le plus grand distributeur de produits commerciaux Linux et le leader incontesté sur le marché entreprise de Linux. La société fut également la première à atteindre le seuil psychologique du milliard de dollars pour la vente de produits Open Source.

Il est donc surprenant d'apprendre que Red Hat pourrait lentement perdre son emprise sur l'univers Open Source. Un récent rapport sur les principaux contributeurs à OpenStack a révélé que HP (NYSE : HPQ), le premier fournisseur de serveurs, a pour la première fois dépassé Red Hat, leader de longue date sur la plate-forme OpenStack, comme premier contributeur de code à la plate-forme Open Source. HP a contribué pour 20 % du nouveau code de la plate-forme OpenStack au cours de l'année écoulée par rapport aux 17 % de Red Hat. C'est un grand changement par rapport à il y a environ un an où Red Hat avait contribué le plus avec 19 % et HP avait généré seulement 13 % du code. OpenStack est un ensemble d'outils logiciels Open Source qui permet aux utilisateurs de créer et de gérer leurs propres plates-formes d'informatique dans le nuage.

Source : http://seekingalpha.com/article/2523745-hp-is-the-new-openstack-leader-what-does-it-mean-for-red-hat?source=cc Proposé par : Arnfried Walbrecht.

IBM wants enterprises to consider Power 8 During the event, the IBM Power Architecture folks discussed the Power 8 architecture and how it can accelerate performance for many workloads. They also discussed IBM's work with several Linux distributors, using Flash memory as extensible memory rather than either cache or as a replacement for rotating storage media for processing on some new System p computers, and how the combined platform can easily support many Web, Big Data and Analytics, and “system of record” processing – without customers feeling the pain of a migration. IBM has worked with SUSE and other Linux distributors to make sure that many Linux tools and applications are available on both X86 and Power-based systems, and that they work in exactly the same way. This means that using Power might be as simple as moving data or changing a pointer to where data might be found. Does this mean enterprises of all sizes might be well served by re-hosting their X86 applications? Source: http://www.zdnet.com/ibm-wants-enterprises-to-consider-power-8-7000034100/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

IBM veut que les entreprises s'intéressent à Power 8

Pendant le salon, les gens d'IBM Power Architecture ont discuté de l'architecture Power 8 et de comment elle peut accélérer les performances de nombreux travaux. Ils ont également discuté du travail d'IBM avec plusieurs distributeurs de Linux, en utilisant de la mémoire Flash comme mémoire extensible plutôt que comme du cache ou comme moyen de remplacement pour faire tourner les supports de stockage pour le traitement sur certains nouveaux ordinateurs System p, et de comment la plate-forme combinée peut facilement prendre en charge de nombreux traitements Web, Big Data, des analyses, et un « système d'enregistrement » ; sans que les clients ne soient désarçonnés par une migration. IBM a travaillé avec SUSE et d'autres distributeurs Linux pour s'assurer que de nombreux outils et applications Linux soient disponibles à la fois sur X86 et les systèmes à base de Power, et qu'ils fonctionnent exactement de la même façon. Cela signifie qu'utiliser Power pourrait être aussi simple que de déplacer des données ou de changer un pointeur vers l'endroit où les données peuvent être trouvées. Est-ce que ça signifie que les entreprises de toutes tailles peuvent être bien servies en ré-hébergeant leurs applications X86 ?

Source : http://www.zdnet.com/ibm-wants-enterprises-to-consider-power-8-7000034100/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

MK902 II LE is a tiny Ubuntu PC with a Rockchip RK3288 CPU Rikomagic launched a new TV box with a Rockchip RK3288 processor and Google Android software this summer. It’s called the MK902 II, and I’ve got one sitting on my desk waiting for me to find the time to put it through the paces. While the box is designed to let you run Android apps on a TV, it’s basically a tiny computer… and, if you don’t want to use Android, there’s a Linux model. Rikomagic UK is now selling the MK902 II LE (Linux Edition) at its Cloudsto store for £110 ($179) and up. That price may seem a bit high when you can get an Android model for $115. But at least you won’t have to install Linux yourself, and Rikomagic UK tells me there are a few small differences in the hardware for the Linux Edition model. The MK902 II LE features a RK3288 quad-core processor, 2GB of RAM, 8GB to 16GB of storage, a microSd card reader, 802.11n WiFi, HDMI output, 4 USB ports, Gigabit Ethernet, AV, and SPDIF jacks. It ships with Xubuntu 14.04, which is basically Ubuntu Linux with the Xfce desktop environment. Source: http://liliputing.com/2014/09/mk902-ii-le-tiny-ubuntu-pc-rockchip-rk3288-cpu.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

MK902 II LE est un petit PC Ubuntu avec un processeur Rockchip RK3288

Cet été, Rikomagic a lancé une nouvelle box TV avec un processeur Rockchip RK3288 et le logiciel Android de Google. On l'appelle le MK902 II, et j'en ai un sur mon bureau attendant que je trouve le temps de le tester. Alors que la box est conçue pour vous permettre d'exécuter les applications Android sur un téléviseur, c'est en fait un petit ordinateur… et, si vous ne voulez pas utiliser Android, il y a un modèle Linux. Rikomagic UK vend actuellement le MK902 II LE (Linux Edition) en ligne sur sa boutique Cloudsto pour 110 £ (180 $ - 150 €) et plus. Ce prix peut sembler un peu élevé étant donné que vous pouvez obtenir un modèle Android pour 115 $. Mais au moins vous n'aurez pas à installer Linux vous-même, et Rikomagic UK me dit qu'il y a quelques petites différences dans le matériel pour le modèle Linux Edition. Le MK902 II LE dispose d'un processeur quad-core RK3288, 2 Go de RAM, 8 Go à 16 Go de stockage, un lecteur de carte microSD, WiFi 802.11n, une sortie HDMI, 4 ports USB, Gigabit Ethernet, AV, et des jacks SPDIF. Il est livré avec Xubuntu 14.04, qui est simplement un Linux Ubuntu avec l'environnement de bureau Xfce.

Source : http://liliputing.com/2014/09/mk902-ii-le-tiny-ubuntu-pc-rockchip-rk3288-cpu.html Submitted by : Arnfried Walbrecht.

Linux-ready industrial PCs are tough as nails MEN Micro announced two rugged, Linux-ready box PCs with 3rd Gen. Intel Core i7 CPUs: the video storage oriented “BL70S”, and the wireless focused “BL70W.” The BL70S and BL70W are fanless industrial computers that operate from -40 to 85°C, and feature aluminum fins that facilitate conduction cooling. Earlier MEN Micro box computers had much the same appearance, including the circa-2011, AMD G-Series based BC1. Both computers support Linux, as well as Windows 7 and WES7. Although the computers have many features in common, the BL70S is designed for storage applications such as video recorders or content servers, while the BL70W supports wireless computing, “whether used alone or connected to a display computer,” says MEN Micro. The BL70S is notable for its 4-port gigabit Ethernet switch, Power over Ethernet (PoE) support, and external, hot-pluggable HDD/SSD shuttles. The BL70W stands out with its four mini-PCI Express slots, each with a dual SIM card, and its wide support for wireless technologies. Source: http://linuxgizmos.com/linux-ready-industrial-pcs-are-tough-as-nails/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Des PC industriels prêts pour Linux et très robustes

MEN Micro a annoncé deux PC robustes, prêts pour Linux, avec des CPU Intel Core i7 de 3e génération : le « BL70S » orienté vers le stockage vidéo, et le « BL70W » tourné vers le sans-fil.

Les BL70S et BL70W sont des ordinateurs industriels sans ventilateur qui fonctionnent de -40°C à 85°C, et disposent d'ailettes en aluminium qui facilitent le refroidissement par conduction. Les ordinateurs MEN Micro précédents avaient à peu près la même apparence, y compris le circa-2011, AMD G-Series basé sur le BC1. Les deux ordinateurs prennent en charge Linux, ainsi que Windows 7 et WES7.

Bien que les ordinateurs aient de nombreuses caractéristiques en commun, le BL70S est conçu pour les applications de stockage comme les magnétoscopes ou des serveurs de contenu, tandis que le BL70W est dédié à l'informatique sans fil, « utilisé seul ou connecté à un ordinateur d'affichage », dit MEN Micro. Le BL70S est caractérisé par son commutateur 4 ports Ethernet Gigabit, la capacité de faire du Power over Ethernet (PoE - Électricité sur une prise Ethernet), et des casiers HDD/SSD externes enfichables à chaud. Le BL70W se distingue par ses quatre ports mini-PCI Express, chacun ayant une carte double SIM, et par son large support des technologies sans fil.

Source : http://linuxgizmos.com/linux-ready-industrial-pcs-are-tough-as-nails/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

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A Norsified Linux for Windows and OS X wobblers First things first: the name. The next Elementary OS was codenamed Isis – as in the Egyptian goddess of magic and life. That was until Islamic State became a thing, and the distro’s team decided such associations were unwanted. Now it’s Freya, as in the Norse goddess of love and, er, war. Conflict aside, what a nice update to last year's Luna release of Elementary Freya is shaping up to be. The Norsified Elementary builds on Ubuntu 14.04, though, as always, the Elementary developers pick and choose when it comes to the distro's base tools. You'll find all the updated hardware support in Ubuntu 14.04, but Elementary replaces GTK 3.10 with the more cutting edge GTK 3.12, which gets Elementary a nice combined window bar/title bar that saves a bit of space and looks great with the rest of Elementary's very polished desktop theme. You'd be forgiven for thinking Elementary is based on GNOME Shell. It looks a bit like GNOME Shell, with a clock in the middle of the top bar, an Applications menu to the left, and some indicator apps to the right. In Luna, the top bar was black by default, which made it look even more like GNOME Shell. Source: http://www.theregister.co.uk/2014/09/26/elementary_freya_review/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Un Linux « nordifié » pour wobblers Windows et OS X

Tout d'abord : le nom. Le nom de code du prochain OS d'Elementary était Isis (comme la déesse égyptienne de la magie et de la vie). C'était jusqu'à ce que l'État Islamique soit devenu une réalité, et l'équipe de la distribution a décidé que cette association était indésirable. Maintenant, c'est Freya, comme la déesse nordique de l'amour et, euh…, de la guerre.

Le conflit mis à part, Elementary Freya promet d'être une très belle mise à jour de la version Luna de l'an dernier ! L'Elementary nordifié s'appuie sur Ubuntu 14.04, mais, comme toujours, les développeurs d'Elementary choisissent soigneusement les outils de base de la distrib.

Vous y trouverez tout le support matériel mis à jour dans Ubuntu 14.04, mais Elementary remplace GTK 3.10 avec le tout nouveau GTK 3.12, qui donne à Elementary une jolie barre composée de la barre de fenêtre combinée avec la barre de titre, qui gagne un peu de place et ressemble beaucoup au reste du thème de bureau très élégant d'Elementary.

Vous seriez pardonné de penser qu'Elementary est basé sur GNOME Shell. Il ressemble un peu à GNOME Shell, avec une horloge au milieu de la barre supérieure, un menu Applications vers la gauche, et certains indicateurs vers la droite. Dans Luna, la barre supérieure était noire par défaut, ce qui lui donnait l'air encore plus GNOME Shell.

Source : http://www.theregister.co.uk/2014/09/26/elementary_freya_review/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

Web Software vs. Native Linux Software In years past, it wasn't uncommon to rely on a particular operating system because of the software it provided. Mind you, this was before the popularity of web-based applications that can work on any Internet-capable platform. Back then, any task – ranging from word processing down to video editing – had to be done from locally installed software. Flash forward to now; web applications today have the ability to offer office suite functionality and make live edits to various forms of video/audio media. In this article, I'll explore the differences between locally installed Linux applications and their web-based counterparts. Source: http://www.datamation.com/open-source/web-software-vs.-native-linux-software-1.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

Logiciel Web et logiciel Linux natif

Les années précédentes, il n'était pas rare de s'appuyer sur un système d'exploitation particulier à cause des logiciels qu'il fournissait. Rappelez-vous, c'était avant la popularité des applications basées sur le Web, qui peuvent fonctionner sur n'importe quelle plate-forme capable d'aller sur Internet. À l'époque, n'importe quelle tâche, du traitement de texte jusqu'au montage vidéo, devait être faite à partir d'un logiciel installé localement.

Avance rapide au présent : les applications Web d'aujourd'hui ont la capacité d'offrir des fonctionnalités d'une suite bureautique et de faire des modifications en direct sur diverses formes de média vidéo/audio. Dans cet article, je vais explorer les différences entre les applications Linux installées localement et leurs homologues basées sur le Web.

Source : http://www.datamation.com/open-source/web-software-vs.-native-linux-software-1.html Proposé par : Arnfried Walbrecht.

Building a Linux lab and its great potential in education It was 1995, and I had received an email from my brother James asking if I’d ever heard of Linux. I had, but barely. A high school student at my alma mater had built a web server with Linux. Eventually, out of curiosity, I purchased a copy of Red Hat 6.0 (which pre-dates Red Hat Enterprise Linux or RHEL), and got it running with GNOME on a Hewlett-Packard Vectra 75, which had a Cyrix processor upgrade installed. RHEL 6.0 had a Mozilla browser, OpenOffice 1.0, and some other software I’d never heard of. At that time, I was the technology director at Franklinville Central School in western New York State. I worked there for 26 years and retired in August 2013. I shared it with my IT staff, and we built a machine that we toyed around with that could read Yahoo Mail using the browser, but we couldn’t use it with Lotus Notes which was our workplace official email system. Then, in early 2001, after talking to a content filtering vendor about my displeasure with content filters in general, the vendor said, “Why don’t you build your own?” So, I said, “With what?” And, he answered, “Linux!” Source: https://opensource.com/education/14/9/linux-education-public-school Submitted by: Arnfried Walbrecht

Construire un laboratoire Linux et son grand potentiel en matière d'éducation

C'était en 1995 et j'avais reçu un courriel de mon frère James me demandant si j'avais déjà entendu parler de Linux. C'était le cas, mais à peine. Un élève de mon lycée avait construit un serveur Web avec Linux. Finalement, par curiosité, j'ai acheté un exemplaire de Red Hat 6.0 (qui date d'avant Red Hat Enterprise Linux - RHEL) et j'ai réussi à le faire fonctionner avec GNOME sur un Hewlett-Packard Vectra 75, qui avait une mise à niveau du processeur Cyrix installée. RHEL 6.0 avait un navigateur Mozilla, OpenOffice 1.0, et d'autres logiciels dont je n'avais jamais entendu parler.

A cette époque, j'étais directeur technique à Franklinville Central School, à l'ouest de l'État de New York. J'y ai travaillé pendant 26 ans et suis parti à la retraite en août 2013. J'ai partagé mon idée avec le personnel informatique et nous avons construit une machine avec laquelle nous avons joué pour qu'elle puisse lire Yahoo Mail en utilisant le navigateur, mais nous ne pouvions pas utiliser Lotus Notes, qui était le système officiel de messagerie à l'école. Puis, au début de 2001, après avoir parlé à un vendeur de filtrage de contenu à propos de mon mécontentement à propos des filtres de contenu en général, le vendeur a dit : « Pourquoi ne pas construire le vôtre ? » J'ai répondu : « Avec quoi ? » Et il a dit : « Linux » !

Source : https://opensource.com/education/14/9/linux-education-public-school Proposé par : Arnfried Walbrecht.

Linux Foundation launches reference platform for ‘carrier-grade’ NFV The Linux Foundation launched its Open Platform for NFV Project, designed as a “carrier-grade, integrated, open-source reference platform intended to accelerate the introduction of new products and services.” Founding members of the program include a long list of companies participating in the software-defined networking and network function virtualization space, including “Platinum” members AT&T, Brocade, China Mobile, Cisco, Dell, Ericsson, Hewlett-Packard, Huawei, IBM, Intel, Juniper Networks, NEC, Nokia Networks, NTT DoCoMo, Red Hat, Telecom Italia, and Vodafone. “Silver-level” founding members include 6Wind, Alcatel-Lucent, ARM, CableLabs, Cavium, CenturyLink, Ciena, ClearPath, ConteXtream, Coriant, Cyan, Dorado Software, Ixia, Metaswitch Networks, Mirantis, Orange, Sandvine, Sprint, and Wind River. Source: http://www.rcrwireless.com/20140930/bssoss/linux-foundation-launches-reference-platform-for-carrier-grade-nfv-tag2 Submitted by: Arnfried Walbrecht

La Fondation Linux lance la plate-forme de référence pour la virtualisation des fonctions réseau (NFV) de « classe opérateur »

La Fondation Linux a lancé sa plate-forme ouverte pour le projet NFV, conçue comme une « plate-forme de classe opérateur, intégrée, Open Source, et de référence, destinée à accélérer l'introduction de nouveaux produits et services ».

Les membres fondateurs du programme comprennent une longue liste d'entreprises participant au réseau défini par logiciel et un espace de virtualisation des fonctions réseau, avec les membres « Platine » AT&T, Brocade, China Mobile, Cisco, Dell, Ericsson, Hewlett-Packard, Huawei, IBM, Intel, Juniper Networks, NEC, Nokia Networks, NTT DoCoMo, Red Hat, Telecom Italia, et Vodafone. Les membres fondateurs « niveau Argent » comprennent 6Wind, Alcatel-Lucent, ARM, CableLabs, Cavium, CenturyLink, Ciena, ClearPath, ConteXtream, Coriant, Cyan, Dorado Software, Ixia, Metaswitch Networks, Mirantis, Orange, Sandvine, Sprint, et Wind River.

Source : http://www.rcrwireless.com/20140930/bssoss/linux-foundation-launches-reference-platform-for-carrier-grade-nfv-tag2 Proposé par : Arnfried Walbrecht.

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Linux micro computer runs Android and Ubuntu We have discovered another Linux computer module, the HummingBoard from Israeli firm SolidRun. The HummingBoard allows you to run many open-source operating systems – such as Ubuntu, Debian and Arch, as well as Android and XBMC. It is powered by single or dual ARM9 core Freescale i.MX6 processor with 512Mbyte or 1Gbyte of memory. Graphics comes from a Vivante GC880 GPU core which supports OpenGL ES 3.0 API, and capable of outputting multiple 1080p videos. There are two USB ports and an Ethernet network port, as well as a standard array of interfaces for UART, GPIO, SPI with two CS, I2C. There is also an optional 802.11 Wi-Fi interface. Source: http://www.electronicsweekly.com/news/design/embedded-systems/linux-micro-computer-runs-android-ubuntu-2014-10/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Un micro ordinateur Linux tourne sous Android et Ubuntu

Nous avons découvert un autre module d'ordinateur Linux, HummingBoard de la firme israélienne SolidRun.

Le HummingBoard vous permet d'exécuter plusieurs systèmes d'exploitation Open Source, comme Ubuntu, Debian et Arch, ainsi qu'Android et XBMC. Il possède un processeur ARM9 Freescale i.MX6 simple ou double cœur avec 512 Mo ou 1 Go de mémoire. Les graphismes viennent d'un cœur GPU Vivante GC880 qui est compatible avec l'API OpenGL ES 3.0, et peut afficher plusieurs vidéos 1080p. Il y a deux ports USB et un port réseau Ethernet, ainsi qu'une gamme standard d'interfaces pour UART, GPIO, SPI avec deux CS, I2C. Il y a aussi une interface optionnelle Wifi 802.11.

Source : http://www.electronicsweekly.com/news/design/embedded-systems/linux-micro-computer-runs-android-ubuntu-2014-10/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

EVIL patent TROLLS poised to attack OpenStack, says Linux protection squad A group established to shield Linux from patent trolls has warned OpenStack will be the next big target for intellectual property hoarders. The Open Invention Network (OIN) reckons the open-source cloud is ripe for plucking by trolls, who would easily be able to box off and claim core technologies as their own. That would see developers and customers using OpenStack forced to hand over fistfuls of cash in royalties – following either cases or, more likely, closed-door deals that avoid the expense of court. Keith Bergelt, OIN chief executive, told The Reg OpenStack lacks an IP rights protection policy beyond its basic Apache licences to protect itself. “It creates a potential situation for mischief and for people to start inventing ahead of where core technology is being invented,” he said. “I have more than a little concern this could be a flash point or a battleground.” According to Bergelt, there’s nothing to protect the cross licensing of technologies between OpenStack’s sub projects. That’s a problem because OpenStack meetings are open, so anybody can attend, take notes and walk away to file a patent in an area of prospective development. It’s a problem Bergelt said he’s raised with OpenStack’s legal affairs committee, whose official members are drawn from Canonical, SUSE, Hewlett-Packard, AT&T, and Rackspace, with two unofficial members from IBM and Red Hat. Source: http://www.theregister.co.uk/2014/10/02/oin_openstack_warning/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Le chasseur de brevets EVIL s'apprête à attaquer OpenStack, dit l'équipe de protection de Linux

Un groupe mis en place pour protéger Linux des chasseurs de brevets a averti qu'OpenStack sera la prochaine grande cible pour accapareurs de propriété intellectuelle.

L'Open Invention Network (OIN) estime que la technologie de nuage Open Source est mûre pour une attaque par des trolls, qui pourrait facilement être en mesure de tout emprisonner et réclamer ses technologies fondamentales comme étant les leurs. Ce qui impliquerait que les développeurs et les clients qui utilisent OpenStack soient forcés de verser des sommes faramineuses en redevances suite à des procès ou, plus probablement, à des tractations à huis clos qui évitent les dépenses des tribunaux. Keith Bergelt, chef de la direction d'OIN, a déclaré que The Reg OpenStack n'a pas d'autre protection des droits de propriété intellectuelle que ses licences Apache de base.

« Cela crée une situation potentielle pour des méfaits et permet aux gens de commencer à inventer sans attendre toute nouvelle technologie de base », dit-il. « Je suis très inquiet à l'idée que ceci puisse être un prétexte de conflit ou un champ de bataille. »

Selon Bergelt, il n'y a rien pour protéger la concession réciproque de licences de technologies entre les sous-projets d'OpenStack. C'est un problème parce que les réunions OpenStack sont ouvertes et tout le monde peut y assister, prendre des notes et aller tranquillement déposer un brevet dans un domaine de développement en devenir.

Bergelt dit qu'il a soulevé le problème avec le comité des affaires juridiques d'OpenStack, dont les membres officiels sont issus de Canonical, SUSE, Hewlett-Packard, AT&T, et Rackspace, avec deux membres non officiels d'IBM et Red Hat.

Source : http://www.theregister.co.uk/2014/10/02/oin_openstack_warning/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

How GNOME 3.14 is winning back disillusioned Linux users GNOME 3.14 is now out. It’s a release full of polish from the desktop environment once preferred by most Linux distributions – and almost a story of redemption. After arguably losing its way around GNOME 3.0, GNOME is back with a vengeance. GNOME Shell has matured immensely since their immature launch. Thanks to solid releases like GNOME 3.14, GNOME will once again be the default desktop on Debian, pushing out Xfce. GNOME 3’s “classic mode” offers enough familiarity to be the default desktop on Red Hat Enterprise Linux 7, too. GNOME 3.14 includes several redesigned applications. The Weather app has been reworked with a new layout, and now uses GNOME’s built-in geolocation features to automatically display the weather for your current location. The Evince app – GNOME’s PDF viewer – now has less interface getting in the way so it can display more of your documents at once. It also supports high-resolution displays and offers improved accessibility features. GNOME now has multitouch support, too. Gestures involving multiple fingers can be used to navigate the desktop interface. Evince, and GNOME’s image viewer, Eye of GNOME, now support pinch-to-zoom. The Photos app gained support for Google accounts, meaning photos uploaded from Android, through Google+ or via Picasa, are now integrated. It already allows you to access photos from Facebook and Flickr. Photos can also now access local photo servers over the DLNA protocol. Source: http://www.pcworld.com/article/2691192/how-gnome-3-14-is-winning-back-disillusioned-linux-users.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

Comment GNOME 3.14 regagne les utilisateurs de Linux désabusés

GNOME 3.14 est désormais disponible. C'est une version très peaufinée de l'environnement de bureau qui était autrefois préférée par la plupart des distributions Linux, et presque une histoire de rédemption. Après s'être égaré, selon certains, avec GNOME 3.0, GNOME est de retour en force.

GNOME Shell a immensément mûri depuis son lancement immature. Grâce aux versions solides comme GNOME 3.14, GNOME sera de nouveau le bureau par défaut sur Debian, poussant Xfce vers la sortie. Le « Mode classique » de GNOME 3 offre suffisamment de familiarité pour être aussi le bureau par défaut sur Red Hat Enterprise Linux 7.

GNOME 3.14 comprend plusieurs applications redessinées. L'application météo a été retravaillée avec une nouvelle mise en page et utilise désormais les fonctions de géolocalisation intégrées de GNOME pour afficher automatiquement le temps de votre position actuelle.

L'application Evince, la visionneuse de PDF de GNOME, a maintenant moins d'interface intrusive et peut afficher une plus grande partie de vos documents à la fois. Il prend également en charge des écrans haute résolution et offre des fonctionnalités améliorées d'accessibilité.

GNOME supporte maintenant aussi le multi-tactile. Les gestes impliquant plusieurs doigts peuvent être utilisés pour naviguer dans l'interface de bureau. Evince et la visionneuse d'images de GNOME, Eye of GNOME, supportent désormais le zoom à deux doigts.

L'application Photos prend maintenant en charge l'intégration des comptes Google, ce qui signifie que des photos téléchargées sur Android, via Google+ ou via Picasa, sont désormais intégrées. Il vous permet déjà d'accéder à des photos de Facebook et Flickr. Les photos peuvent désormais accéder à des serveurs de photos locaux via le protocole DLNA.

Source : http://www.pcworld.com/article/2691192/how-gnome-3-14-is-winning-back-disillusioned-linux-users.html Proposé par : Arnfried Walbrecht.

IBM Power Systems get a boost with Suse Linux and MariaDB backing IBM's Power Systems platform has been given a boost with the announcement of a partnership between Linux firm Suse and database developer MariaDB to drive a wider variety of applications on its Power8 systems. Announced at the IBM Enterprise2014 event in Las Vegas, the first fruit of the partnership is set to be a version of the MariaDB Enterprise MySQL database optimised for the Suse Linux Enterprise Server 12 platform on Power8 servers. The partnership agreement will also provide customers with access to enterprise-class support from both Suse and MariaDB. Suse Linux Enterprise Server 12 is due for release sometime in the fourth quarter of 2014, but the two firms did not indicate when the optimised version of MariaDB is set to be available. However, Suse and MariaDB stated that their intention is to go further and enable IBM customers to be able to run a wider variety of applications on Power8, and have more flexibility and choice within their existing IT infrastructure. Nils Brauckmann, president and general manager of Suse, said that the partnership is an example of the opportunity that open-source brings to the IBM Power Systems ecosystem. “Working with MariaDB in our strong ecosystem of partners offers our customers new and innovative ways to make the most from their existing IT investments, while accessing the latest and most powerful computing applications and technologies.” Source: http://www.v3.co.uk/v3-uk/news/2374246/ibm-power-systems-get-a-boost-with-suse-linux-and-mariadb-backing Submitted by: Arnfried Walbrecht

Les Power Systems d'IBM obtiennent un coup de pouce avec le soutien de Suse Linux et MariaDB

La plate-forme Power Systems d'IBM a reçu un coup de pouce avec l'annonce d'un partenariat entre l'entreprise Suse Linux et le développeur de base de données MariaDB pour porter une plus grande variété d'applications sur ses systèmes Power 8. Annoncé lors de l'événement IBM Enterprise2014 à Las Vegas, le premier fruit du partenariat devrait être une version de la base de données Enterprise MySQL de MariaDB optimisée pour la plate-forme Suse Linux Enterprise Server 12 sur des serveurs Power 8.

L'accord de partenariat sera également de fournir aux clients l'accès à un support de classe entreprise à la fois de Suse et de MariaDB. La sortie de Suse Linux Enterprise Server 12 est prévue dans le courant du quatrième trimestre de 2014, mais les deux entreprises n'ont pas indiqué quand la version optimisée de MariaDB sera disponible. Cependant, Suse et MariaDB ont déclaré que leur intention est d'aller plus loin et permettre aux clients d'IBM de pouvoir lancer une plus grande variété d'applications sous Power 8, et d'avoir plus de souplesse et de choix au sein de leur infrastructure informatique existante.

Nils Brauckmann, président-directeur général de Suse, a déclaré que le partenariat est un exemple des possibilités que l'Open Source apporte à l'écosystème des Power Systems d'IBM.

« Travailler avec MariaDB dans notre solide écosystème de partenaires offre à nos nouveaux clients des moyens novateurs pour tirer le meilleur parti de leurs investissements informatiques existants, tout en accédant aux plus récentes et plus puissantes applications et technologies informatiques. »

Source : http://www.v3.co.uk/v3-uk/news/2374246/ibm-power-systems-get-a-boost-with-suse-linux-and-mariadb-backing Submitted by : Arnfried Walbrecht.

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Linux Foundation: Certification More Popular But Tough to Get The Linux Foundation's “Introduction to Linux” MOOC on edX has enjoyed impressive popularity since launching in the summer. And the organization's Certification Program for open-source engineers, which went live in August, is also rising in stature, according to data the Foundation has made available. The Linux Foundation and edX never publicly set any specific targets for the Introduction to Linux MOOC, but it's a pretty safe bet they're happy with the response so far. As of this week, 270,000 users, representing more than 100 countries, have registered in the course, according to the Linux Foundation. That's solid evidence of the demand for free, Internet-based, instruction in using Linux. And while taking the MOOC may impress some employers, the Linux Foundation is hoping its Certification Program will prove more persuasive as a measure of expertise in open-source systems administration and programming. One figure that may help convince employers and the channel that the certification means something is the sub-60 percent rate at which applicants have successfully completed the exams to date, according to the Linux Foundation. That statistic may reflect, in part, a low level of preparation among students in the course, but it also speaks to the certification's seriousness, and bodes well for candidates who are hoping a certificate will mean something to employers. Source: http://thevarguy.com/open-source-application-software-companies/100714/linux-certification-rising-popular-tough-get-says-linux-f Submitted by: Arnfried Walbrecht

Fondation Linux: Une certification très populaire, mais difficile à obtenir

Le MOOC « Introduction à Linux » de la Fondation Linux sur edX jouit d'une popularité impressionnante depuis son lancement cet été. Et le programme de certification de l'organisation pour les ingénieurs 0pen Source, qui est devenu opérationnel en août, devient de plus en plus visible, selon les données que la Fondation a mises à disposition.

La Fondation Linux et edX n'ont jamais publié d'objectifs spécifiques pour le MOOC d'Introduction à Linux, mais on peut parier sans crainte qu'ils soient satisfaits de la réponse jusqu'à présent. Depuis cette semaine, 270 000 utilisateurs, représentant plus de 100 pays, se sont inscrits au cours, selon la Fondation Linux. C'est une preuve solide qu'il existe une demande d'enseignement de l'utilisation de Linux, gratuite et en ligne.

Et tandis qu'avoir suivi le MOOC peut impressionner certains employeurs, la Fondation Linux espère que son programme de certification sera une preuve plus convaincante comme mesure d'expertise dans l'administration et la programmation des systèmes Open Source. Le chiffre qui peut aider à convaincre les employeurs et ses recruteurs que la certification signifie quelque chose, est que le taux du nombre des candidats ayant réussi les examens à ce jour est inférieur à 60 pour cent, selon la Fondation Linux. Cette statistique peut refléter, en partie, un bas niveau de préparation des étudiants inscrits, mais elle démontre le sérieux de la certification, et c'est de bon augure pour les candidats qui espèrent qu'un certificat signifie quelque chose pour les employeurs.

Source : http://thevarguy.com/open-source-application-software-companies/100714/linux-certification-rising-popular-tough-get-says-linux-f Proposé par : Arnfried Walbrecht.

What's CoreOS? An existential threat to Linux vendors Open-source has never been shy about eating its young – or, in the case of CoreOS, its old. While sometimes dismissed as the newest entrant in the “just enough operating system” pageant, CoreOS threatens to displace incumbent Linux distributions with a minimalist approach that seeks to emulate how Google and other Web companies manage distributed systems. CoreOS uses Docker to handle the addition and management of applications and services on a system. Indeed, by changing the very definition of the Linux distribution, CoreOS is an “existential threat” to Red Hat, Canonical, and Suse, according to some suggestions. The question for Red Hat in particular will be whether it can embrace this new way of delivering Linux while keeping its revenue model alive. Linux vendors, particularly Red Hat, have built their businesses on meeting the needs of operations professionals. Developers, as I wrote recently, have been a secondary concern. That strategy worked great while operations ruled, but as developers have increasingly taken control, the ops-first strategy looks increasingly suspect. Indeed, Gartner estimates that 38 percent of total IT spend comes from outside IT today, and will balloon to 50 percent by 2017 as lines of business take more responsibility for their systems. Source: http://www.infoworld.com/article/2692889/open-source-software/coreos-an-existential-threat-to-linux-vendors.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

Qu'est ce que CoreOS ? Une menace existentielle pour les vendeurs Linux

L'Open Source n'a jamais été timide quand il s'agissait de manger ses petits ou, dans le cas de CoreOS, ses parents.

Bien que parfois rejeté en tant que nouveau venu dans le paysage des « systèmes d'exploitation minimaux », CoreOS menace de faire bouger les distributions Linux en place avec une approche minimaliste qui cherche à imiter la façon dont Google et d'autres sociétés d'Internet gèrent les systèmes distribués. CoreOS utilise Docker pour gérer l'ajout et la gestion des applications et des services sur un système.

En effet, en changeant la définition même de la distribution Linux, CoreOS est une « menace existentielle » pour Red Hat, Canonical, et Suse, selon certains. La question pour Red Hat en particulier sera de savoir si elle peut adopter cette nouvelle façon de distribuer Linux tout en gardant actif son modèle de revenus.

Les distributeurs de Linux, notamment Red Hat, ont construit leurs entreprises pour répondre aux besoins des professionnels des opérations. Les développeurs, comme je l'écrivais récemment, ont été une préoccupation secondaire.

Cette stratégie a très bien fonctionné tant que les opérationnels faisaient la loi, mais depuis que les développeurs ont pris de plus en plus le contrôle, la stratégie de privilégier l'opérationnel semble de plus en plus suspecte. En effet, Gartner estime que 38 pour cent des dépenses totales en informatique proviennent de l'extérieur de l'informatique aujourd'hui, et va grimper à 50 % en 2017, pendant que les secteurs d'activité prennent plus de responsabilités sur leurs systèmes.

Source : http://www.infoworld.com/article/2692889/open-source-software/coreos-an-existential-threat-to-linux-vendors.html Proposé par : Arnfried Walbrecht.

Drone developers get big open-source boost from Linux Foundation, vendors like 3D Robotics and Box Drones are a hot topic right now, attracting not just big names like Amazon and Google, but thousands of independent developers who want to use aerial technology for fields like conservation, commerce, search and rescue, and scientific research. On Monday, those developers got a big piece of good news: the Linux Foundation and ten companies announced the “Dronecode Project,” which will offer a huge repository of open-source code for people to build aerial operating systems, navigation tools and other features for unmanned aircraft. While Linux code is already part of many drone-related projects, the new initiative consolidates many of these assets under one roof, providing a common platform as well as communications and governance tools. And, of course, the code will be available to anyone who wants to use it. The Dronecode Project will be overseen by the Linux Foundation, but it is also receiving some high-profile industry support, including from Chris Anderson, the former Wired editor who now runs the robot company 3D Robotics, and Box CEO Aaron Levie. The project is moving quickly, according to Jim Zemlin, executive director of the Foundation, who says 1,200 developers are already working on Dronecode, and that some projects are receiving 150 contributions of code a day. Source: https://gigaom.com/2014/10/13/drone-developers-get-big-open-source-boost-from-linux-foundation-vendors-like-3d-robotics-and-box/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Les développeurs de drones obtiennent un gros coup de pouce Open Source de la Fondation Linux, des fournisseurs comme 3D Robotics et Box

Actuellement, les drones sont un sujet brûlant et attirent non seulement des grands noms comme Amazon et Google, mais aussi des milliers de développeurs indépendants, qui veulent utiliser la technologie aérienne dans des domaines tels que la préservation, le commerce, la recherche et le sauvetage, et la recherche scientifique.

Lundi, ces développeurs ont eu une grande bonne nouvelle : la Fondation Linux et dix sociétés ont annoncé le « Projet Dronecode », qui offrira un grand référentiel de code Open Source pour que les gens puissent construire des systèmes d'exploitation aériens, des outils de navigation et d'autres fonctions pour les avions sans pilote.

Alors que le code Linux fait déjà partie de nombreux projets concernant les drones, la nouvelle initiative consolide un certain nombre de ces actifs sous un même toit, offrant une plate-forme commune ainsi que des outils de communications et de gouvernance. Et, bien sûr, le code sera disponible à quiconque veut l'utiliser.

Le projet Dronecode sera supervisé par la Fondation Linux, mais il reçoit également le soutien de l'industrie de pointe, y compris de Chris Anderson, l'ancien rédacteur en chef de Wired qui dirige maintenant la société de robotique 3D Robotics, et Aaron Levie, PDG de Box.

Le projet avance rapidement, selon Jim Zemlin, directeur exécutif de la Fondation, qui dit que 1 200 développeurs travaillent déjà sur Dronecode et que certains projets reçoivent 150 contributions de code par jour.

Source : https://gigaom.com/2014/10/13/drone-developers-get-big-open-source-boost-from-linux-foundation-vendors-like-3d-robotics-and-box/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

ChromeOS disses Linux users, drops ext2/3/4 Sometimes people make decisions that are so baffling – and so far out of left field – that you are left simply… dumbstruck. Case in point: ChromeOS is dropping support for ext2, ext3 and ext4 file systems – the file systems used by the vast majority of Linux systems. Now, I hear what you're saying. “Isn't ChromeOS… Linux? Don't they simply get full support for these file systems for free?” Yes, it is. And, yes, they do. Which begs the question… why, on Earth, would anyone think this is a good idea? After digging through issue #315401 (titled “Drop support for ext2/3/4 from Files.app”) a bit, it turns out there are two reasons given for dropping ext2/3/4 from ChromeOS. One, as stated by one contributor, is that it is simply an unnecessary feature: “Every feature comes with complexity. Complexity adds maintenance cost, QA cost, slows down development, and adds surface of security exploits. We should add a feature only if its benefit clearly outweighs its cost, but this particular feature was slipped in for some historical reason.” Two things made me giggle there: • The notion that having support for ext3 is a possible security issue is just plain silly. Note that there isn't actually any security exploit that people are concerned about there – just the nebulous threat of possible security problems because, you know, software is involved. In other words… pointing at an invisible boogie man that nobody has reason to believe even exists. Also, if there is an exploit in these critical file systems, it would undoubtedly be fixed at an astounding speed. • The idea that ext2/3/4 support was a feature that was added to ChromeOS “for some historical reason.” Maybe that historical reason is that, just maybe, you got it for free. You know. 'Cuz Linux. Source: http://www.networkworld.com/article/2824764/opensource-subnet/chromeos-disses-linux-users-drops-ext2-3-4.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

ChromeOS se fout des utilisateurs de Linux et laisse tomber ext2/3/4

Parfois les gens prennent des décisions qui sont si déroutantes, et si loin du chemin tracé, que vous vous retrouvez simplement… abasourdi. Un exemple : ChromeOS laisse tomber la compatibilité avec les systèmes de fichier ext2, ext3 et ext4 (les systèmes de fichiers utilisés par la grande majorité des systèmes Linux).

Mais, je vous entends dire: « ChromeOS n'est-il pas… un Linux ? N'obtiennent-ils pas tout simplement une complète compatibilité avec ces systèmes de fichiers gratuitement ? » Oui, il l'est. Et, oui, ils l'obtiennent. Ce qui pose la question : …Mais pourquoi donc, quelqu'un penserait-il que c'est une bonne idée ?

Après avoir creusé un peu l'article numéro 315401 (intitulé « Débarrasser Files.app de la compatiblité avec ext2/3/4 »), il s'avère qu'il y a deux raisons invoquées pour abandonner ext2/3/4 dans ChromeOS.

L'une des deux, comme l'a déclaré un des contributeurs, c'est que cette fonctionnalité est tout simplement inutile : « Chaque fonction apporte sa complexité. La complexité ajoute des coûts de maintenance, des coûts d'assurance qualité, ralentit le développement, et ajoute à l'exposition aux failles de sécurité. Nous devrons ajouter une fonctionnalité seulement si ses avantages l'emportent clairement sur ses inconvénients, mais cette fonctionnalité particulière a été introduite subrepticement pour des raisons historiques. »

Deux choses m'ont fait rire ici :

• La notion qu'avoir une compatibilité avec ext3 est un problème de sécurité possible est tout simplement ridicule. Notez qu'il n'y a pas réellement de faille de sécurité dont les gens se préoccupent ici, juste la menace nébuleuse de problèmes de sécurité éventuels parce que, vous le savez, c'est du logiciel. En d'autres termes… montrer du doigt un croque-mitaine invisible dont l'existence est mise en doute par tout le monde. Et aussi, s'il y avait une faille dans ces systèmes de fichiers critiques, elle serait sans doute corrigée à une vitesse étonnante. • L'idée que la compatibilité avec ext2/3/4 est une fonctionnalité qui a été ajouté à ChromeOS « pour une raison historique ». Peut-être que la raison historique est que, juste peut-être, vous l'avez obtenue gratuitement. Vous savez bien… parce que c'est Linux.

Source : http://www.networkworld.com/article/2824764/opensource-subnet/chromeos-disses-linux-users-drops-ext2-3-4.html Proposé par : Arnfried Walbrecht.

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Machine vision COM and cameras go Linux Vision Components has launched two Linux-based, smart machine vision cameras, and a COM built around a Xilinx Zynq SoC, each supporting up to 4.2MP video. Over the last decade, smart cameras for machine vision have been transitioning from DSPs to systems that combine DSPs or FPGAs with ARM or x86 processors running Linux. The latest to join the Linux camp is Ettlingen, Germany based machine vision manufacturer Vision Components, which, with its latest “VC Z” cameras, has switched from a DSP-based system to a tuxified ARM/FPGA combo. Thanks to the Xilinx Zynq, the company was able to accomplish this with a single system-on-chip. The VC Z is available in a VCSBC nano Z computer-on-module, which also appears to act as the foundation for the new VC nano Z and VC pro Z cameras. The company’s VC cameras, which are still available, incorporate freely programmable DSPs combined with the proprietary VCRT operating system. The new VC Z devices switch to the Zynq running Linux, thereby using less board space while becoming more easily programmable, says Vision Components. Source: http://linuxgizmos.com/machine-vision-com-and-cameras-go-linux/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Des COM et des caméras pour la vision machine passent à Linux

Vision Components a lancé deux caméras de vision intelligente pour les machines, tournant sous Linux, et un COM construit autour d'un SoC (System On Chip - Système embarqué) Xilinx Zynq, permettant à chacun d'entre eux de prendre des vidéos jusqu'à 4,2 MP.

Au cours de la dernière décennie, des caméras intelligentes pour la vision des machines sont passées du DSP à des systèmes qui combinent le DSP ou le FPGA avec des processeurs ARM ou x86 sous Linux. Le dernier venu rejoindre le camp Linux est un fabricant de vision pour les machines Vision Components, basé à Ettlingen en Allemagne, qui, avec ses derniers appareils photo « VC Z », est passé d'un système basé sur des DSP à un duo tuxifié ARM/FPGA. Grace au Xilinx Zynq, la société a pu réaliser ceci avec une seule puce système. Le VC Z est disponible dans un ordinateur VCSBC nano Z, embarqué sur module, qui semble également constituer la base des nouvelles caméras VC nano Z et VC pro Z.

Les appareils VC de la société, qui sont encore disponibles, intègrent des DSP librement programmables combinés au système d'exploitation propriétaire VCRT. Les nouveaux appareils VC Z passent à Zynq sous Linux, utilisant ainsi moins d'espace sur la carte tout en devenant plus facilement programmables, selon Vision Components.

Source : http://linuxgizmos.com/machine-vision-com-and-cameras-go-linux/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

Canonical Details Plans for Unity 8 Integration in Ubuntu Desktop Ubuntu users now know for certain when Unity 8 officially arrives on the desktop flavor of the distribution. Users might have noticed that Ubuntu developers have been putting much of their efforts into the mobile version of their operating system, and the desktop has received less attention than usual. They had to focus on that version because most of the things that are changed and improved for Ubuntu Touch will eventually land on the desktop as well. Not all users know that the desktop environment that is now on Ubuntu Touch will also power the desktop version in the future, and that future is not very far ahead. In fact, it's a lot closer than users imagine. Source: http://news.softpedia.com/news/Canonical-Details-Plans-for-Unity-8-Integration-in-Ubuntu-Desktop-462117.shtml Submitted by: Silviu Stahie

Canonical dévoile ses projets pour l'intégration d'Unity 8 dans Ubuntu Desktop

Les utilisateurs d'Ubuntu savent maintenant avec certitude quand Unity 8 arrivera officiellement sur la version desktop de la distribution.

Les utilisateurs peuvent avoir remarqué que les développeurs d'Ubuntu ont mis une grande partie de leurs efforts dans la version mobile de leur système d'exploitation et que le desktop a reçu moins d'attention que d'habitude. Ils ont dû se concentrer sur cette version parce que la plupart des choses qui ont été modifiées et améliorées pour Ubuntu Touch finira aussi par atterrir sur le desktop.

Tous les utilisateurs ne savent pas que l'environnement de bureau qui est maintenant sur Ubuntu Touch va également servir de base à la version desktop à l'avenir, ni que cet avenir n'est pas très loin. En fait, il est beaucoup plus proche que les utilisateurs l'imaginent.

Source : http://news.softpedia.com/news/Canonical-Details-Plans-for-Unity-8-Integration-in-Ubuntu-Desktop-462117.shtml Proposé par : Silviu Stahie.

KDE Plasma 5 Now Available for Ubuntu 14.10 (Utopic Unicorn) The new KDE Plasma and KDE Frameworks packages are now out of Beta and users can test them in various systems, including Ubuntu. In fact, installing the latest KDE is quite easy now because there is a PPA available. A lot of users are anxious to use the latest Plasma desktop because it's quite different from the old one. We can call it “the old one”, even if the latest branch, 4.14.x, is still maintained until November. The KDE developers split the project into three major components: Plasma, Frameworks, and Applications. Plasma is actually the desktop and everything that goes with it, Frameworks is made up of all the libraries and other components, and Applications gathers all the regular apps that are usually KDE-specific. Source: http://news.softpedia.com/news/KDE-Plasma-5-Now-Available-for-Ubuntu-14-10-Utopic-Unicorn--462042.shtml Submitted by: Silviu Stahie

KDE Plasma 5 est maintenant disponible pour Ubuntu 14.10 (Utopic Unicorn)

Les nouveaux paquets KDE Plasma et KDE Frameworks sont maintenant sortis de la phase bêta et les utilisateurs peuvent les tester sur différents systèmes, y compris Ubuntu. En fait, l'installation de la dernière version de KDE est très facile maintenant car un PPA est disponible.

Beaucoup d'utilisateurs sont impatients d'utiliser le dernier bureau Plasma, parce qu'il est très différent de l'ancien. Nous pouvons l'appeler « l'ancien », même si la dernière branche, la 4.14.x, est toujours soutenue jusqu'à novembre.

Les développeurs de KDE ont découpé le projet en trois grandes composantes : Plasma, Frameworks et Applications. Plasma est en fait le desktop et tout ce qui va avec, Frameworks est constitué de toutes les bibliothèques et autres composants, et Applications rassemble toutes les applications régulières qui sont généralement spécifiques à KDE.

Source : http://news.softpedia.com/news/KDE-Plasma-5-Now-Available-for-Ubuntu-14-10-Utopic-Unicorn--462042.shtml Proposé par : Silviu Stahie.

VirtualBox 4.3.18 Has Been Released With Lots Of Fixes Virtualbox 4.3.18 has been released, and brings many different fixes for major operating systems such as Ubuntu Linux, Windows, and Mac OS X. The potential misbehavior after restoring the A20 state from a saved state has been fixed, virtualbox does not crash anymore in Linux hosts with old versions of the linux kernel, a few remaining warnings in the kernel log if memory allocation fails have been fixed and the GNOME Shell on Fedora 21 is not prevented anymore from starting when handling video driver display properties. Thanks to this maintenance release, Ubuntu users have now the possibility to use legacy full-screen mode under Unity without experiencing multi-screen issues. Another important issue related to Unity that has been fixed with the release of 4.3.18 version is the quirk in full-screen mode Unity panels caused by mini-toolbar code changes in last release. Source: http://www.unixmen.com/virtualbox-4-3-18-released-lots-fixes/ Submitted by: Oltjano Terpollari

VirtualBox 4.3.18 est sorti avec beaucoup de corrections

VirtualBox 4.3.18 a été publié et apporte de nombreuses corrections différentes pour les principaux systèmes d'exploitation tels qu'Ubuntu Linux, Windows et Mac OS X. Le mauvais comportement potentiel survenant après la restauration de l'état A20 à partir d'un état enregistré a été corrigé, Virtualbox ne plante plus sur les hôtes Linux avec des anciennes versions du noyau Linux, quelques avertissements restants dans le journal du noyau lorsqu'une allocation mémoire échoue ont été corrigés et GNOME Shell sur Fedora 21 n'est plus empêché de démarrer lors de la gestion des propriétés d'affichage de pilotes vidéo.

Grâce à cette version de maintenance, les utilisateurs d'Ubuntu ont la possibilité d'utiliser le vieux mode plein écran sous Unity sans avoir de problèmes multi-écrans. Un autre problème important lié à Unity qui a été corrigé avec la sortie de la version 4.3.18 est la bizarrerie dans les panneaux d'Unity en mode plein écran causée par des changements dans le code des mini-barre d'outils de la dernière version.

Source : http://www.unixmen.com/virtualbox-4-3-18-released-lots-fixes/ Proposé par : Oltjano Terpollari.

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Amazon Web Services Aims for More Open-Source Involvement In 2006, Amazon was an E-commerce site building out its own IT infrastructure in order to sell more books. Now, AWS and EC2 are well-known acronyms to system administrators and developers across the globe looking to the public cloud to build and deploy web-scale applications. But how exactly did a book seller become a large cloud vendor? Amazon's web services business was devised in order to cut data-center costs – a feat accomplished largely through the use of Linux and open-source software, said Chris Schlaeger, director of kernel and operating systems at Amazon Web Services, in his keynote talk at LinuxCon and CloudOpen Europe today in Dusseldorf. Founder Jeff Bezos “quickly realized that […] he needed a sophisticated IT infrastructure,” Schlaeger said. That required expensive proprietary infrastructure with enough capacity to handle peak holiday demand. Meanwhile, most of the time the machines were idle. By building their infrastructure with open-source software, and charging other sellers to use their unused infrastructure, Amazon could cover the up-front cost of data center development. Source: http://www.linux.com/news/featured-blogs/200-libby-clark/791472-amazon-web-services-aims-for-more-open-source-involvement Submitted by: Libby Clark

Amazon Web Services vise plus de participation Open Source

En 2006, Amazon était un site e-commerce construisant sa propre infrastructure informatique afin de vendre plus de livres. Maintenant, AWS et EC2 sont des acronymes bien connus des administrateurs système et des développeurs à travers le monde, qui cherchent un nuage public pour construire et déployer des applications à l'échelle du Web. Mais comment un vendeur de livres devient-il un grand fournisseur d'informatique en nuage ?

Le secteur d'affaires des services Web d'Amazon a été conçu dans le but de réduire les coûts des centres de données ; un exploit accompli en grande partie par l'utilisation de Linux et des logiciels Open Source, a déclaré Chris Schlaeger, directeur des noyaux et des systèmes d'exploitation chez Amazon Web Services, dans son discours vedette lors du LinuxCon et CloudOpen Europe aujourd'hui à Düsseldorf.

Le fondateur Jeff Bezos s'est « vite rendu compte que […] il avait besoin d'une infrastructure informatique sophistiquée », a déclaré Schlaeger. Cela nécessitait une infrastructure propriétaire coûteuse avec une capacité suffisante pour gérer les très nombreuses demandes en période de vacances. En attendant, la plupart du temps les machines étaient au repos. En construisant leur infrastructure avec des logiciels Open Source et en louant à d'autres vendeurs l'utilisation de leur infrastructure inutilisée, Amazon pouvait récupérer le coût initial du développement du centre de données.

Source : http://www.linux.com/news/featured-blogs/200-libby-clark/791472-amazon-web-services-aims-for-more-open-source-involvement Proposé par : Libby Clark.

Systemd Creator Says Linux Community Is Rotten, Points at Linus Torvalds as the Source The creator of systemd, Lennart Poettering, had some very harsh words to say about the Linux community and about one of its role models, Linus Torvalds. It might seem that the Linux community in its entirety is all about rainbows and bunnies, but the truth is that it's made up of regular people and the likes. Most of the other communities are formed in this way and Linux is no exception. The problem is that Linus is pegged as one of the people responsible by Lennart Poettering. There has been some small friction between Linux and systemd, when asked what he thought about systemd, just a couple of weeks ago, Linus Torvalds was actually very tactful about it. Source: http://news.softpedia.com/news/Systemd-Creator-Say-Linux-Community-Is-Rotten-Points-at-Linus-Torvalds-as-the-Source-461219.shtml Submitted by: Silviu Stahie

Le créateur de Systemd dit que la communauté Linux est pourrie et dénonce Linus Torvalds comme étant responsable de cet état de fait

Le créateur de systemd, Lennart Poettering, a eu des mots très durs sur la communauté Linux et sur l'un de ses emblèmes, Linus Torvalds.

Il pourrait sembler que la communauté Linux dans son intégralité est composée entièrement d'arcs-en-ciel et de petits lapins, mais la vérité est qu'elle est composé de gens ordinaires. La plupart des autres communautés sont formées de cette façon et Linux ne fait pas exception. Le problème est que Linus est désigné comme l'une des personnes responsables par Lennart Poettering.

Il y a eu une petite friction entre Linux et systemd : lorsqu'on lui a demandé ce qu'il pensait de systemd il y a tout juste quelques semaines, Linus Torvalds a fait preuve de beaucoup de tact à son sujet.

Source : http://news.softpedia.com/news/Systemd-Creator-Say-Linux-Community-Is-Rotten-Points-at-Linus-Torvalds-as-the-Source-461219.shtml Proposé par : Silviu Stahie.

Ten years of Ubuntu: How Linux’s beloved newcomer became its criticized king In October of 2004, a new Linux distro appeared on the scene with a curious name—Ubuntu. Even then there were hundreds, today if not thousands, of different Linux distros available. A new one wasn't particularly unusual, and for some time after its quiet preview announcement, Ubuntu went largely unnoticed. Today, Canonical, the company behind Ubuntu, estimates that there are 25 million Ubuntu users worldwide. That makes Ubuntu the world's third most popular PC operating system. By Canonical's estimates, Ubuntu has roughly 90 percent of the Linux market. And Ubuntu is poised to launch a mobile version that may well send those numbers skyrocketing again. Source:http://arstechnica.com/information-technology/2014/10/ten-years-of-ubuntu-how-linuxs-beloved-newcomer-became-its-criticized-king/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Dix ans d'Ubuntu : comment le nouveau venu bien-aimé de Linux est devenu son roi critiqué

En octobre 2004, une nouvelle distribution Linux est apparue sur la scène avec un nom curieux : Ubuntu. En ce temps-là, il y avait des centaines (des milliers aujourd'hui) de distributions Linux différentes disponibles. Un nouveau venu, ça n'était pas particulièrement inhabituel, et pendant quelque temps après l'annonce calme de sa sortie, Ubuntu est passé largement inaperçu.

Aujourd'hui, Canonical, la société derrière Ubuntu, estime qu'il y a 25 millions d'utilisateurs dans le monde entier. Cela fait d'Ubuntu le troisième système d'exploitation pour PC le plus populaire au monde. Selon les estimations de Canonical, Ubuntu a à peu près 90 pour cent du marché Linux. Et Ubuntu s'apprête à lancer une version mobile qui peut très bien faire grimper ces chiffres de plus en plus haut une nouvelle fois.

Source :http://arstechnica.com/information-technology/2014/10/ten-years-of-ubuntu-how-linuxs-beloved-newcomer-became-its-criticized-king/ Proposé par : Arnfried Walbrecht.

issue90/actus.txt · Dernière modification : 2015/02/20 17:17 de andre_domenech