Outils pour utilisateurs

Outils du site


issue99:actus

Kali Linux 2.0 to launch at DEF CON 23 A small cadre of hackers has announced the next version of the Kali hacker arsenal, codenamed Sana, will be released on 11 August. The popular penetration testing platform brings hundreds of the best open source hacking tools into a Debian-based distribution that is a staple for hackers and forensic analysts. Kali Linux developers say the first revamp of the platform since it was reborn in 2013 will be showcased at the DEF CON hacking confab. “We’ve been awfully quiet lately, which usually means something is brewing below the surface,” the team says. “In the past few months, we’ve been working feverishly on our next generation of Kali Linux and we’re really happy with how it’s looking so far. “There are a lot of new features and interesting new aspects to this updated version, however we’ll keep our mouths shut until we’re done with the release.” The platform sports a redesigned and streamlined user interface, new menus, and the latest penetration testing tools. Source: http://www.theregister.co.uk/2015/07/08/kali_20/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Kali Linux 2.0 sera lancé à DEF CON 23

Un petit groupe de hackers a annoncé que la prochaine version de l'arsenal de hackeur KALI, nom de code Sana, sera publiée le 11 août.

La plateforme populaire de tests d'infiltration comporte des centaines des meilleurs outils Open Source de piratage dans une distribution basée sur Debian, qui est essentielle pour les hackers et les analystes judiciaires.

Les développeurs de Kali Linux annoncent que la première rénovation de la plateforme depuis sa renaissance en 2013 sera présentée à l'occasion de la conférence de piratage DEF CON.

« Nous avons été affreusement tranquilles dernièrement, ce qui signifie habituellement que quelque chose se prépare », indique l'équipe.

« Dans les quelques derniers mois, nous avons travaillé fiévreusement sur notre nouvelle génération de Kali Linux et nous sommes très contents de ce qu'elle est devenue jusqu'ici.

« Il y a beaucoup de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux aspects intéressants dans cette version mise à jour ; cependant, nous resterons muets jusqu'à la publication. »

La plateforme supporte un nouvel environnement utilisateur redessiné et rationalisé, de nouveaux menus, et les derniers outils de tests d'infiltration.

Source : http://www.theregister.co.uk/2015/07/08/kali_20/ Proposé par Arnfried Walbrecht.

Linux founder: No need to fear AI Linux founder Linus Torvalds doesn’t understand the fear Tesla CEO Elon Musk, Professor Stephen Hawking and Apple co-founder Steve Wozniak share about artificial intelligence. Musk said creating artificial intelligence would be equal to “summoning a demon”, and has even donated millions to protect humans from the impending doom. Torvalds, on the other hand, described such fears as “bad” science fiction, during a Q&A session with Slashdot users. “We’ll get AI, and it will almost certainly be through something very much like recurrent neural networks,” he said in response to one user’s question. “And the thing is, since that kind of AI will need training, it won’t be ‘reliable’ in the traditional computer sense. It’s not the old rule-based prolog days, when people thought they’d understand what the actual decisions were in an AI. Source: http://www.itproportal.com/2015/07/07/linux-founder-thinks-we-shouldnt-fear-ai/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Du fondateur de Linux : il n'y a pas lieu de craindre l'intelligence artificielle

Le fondateur de Linux, Linus Torvalds, ne comprend pas la peur que le patron de Tesla, Elon Musk, le professeur Stephen Hawking et le co-fondateur d'Apple, Steve Wozniak, partagent à propos de l’intelligence artificielle (IA).

Musk a dit que créer de l'IA équivaudrait à « convoquer un démon » et il a même fait don de millions de dollars pour protéger les humains de cette malédiction imminente.

Torvalds, en revanche, décrit ces peurs comme de la mauvaise science-fiction, à l'occasion d'une session de questions-réponses avec les utilisateurs de Slashdot.

« Nous aurons de l'IA et il est à peu près certain que ce sera quelque chose de très proche des réseaux de neurones récurrents », a-t-il dit en réponse à la question d'un utilisateur. « En fait, puisque ce type d'IA aura besoin d'une formation, il ne sera pas « fiable » au sens informatique traditionnel. Ce n'est plus l'époque du Prolog, basé sur des règles, quand les gens pensaient qu'ils comprendraient les vraies décisions prises par une IA. »

Source : http://www.itproportal.com/2015/07/07/linux-founder-thinks-we-shouldnt-fear-ai/ Proposé par Arnfried Walbrecht.

Ubuntu MATE Gets Another Hardware Deal, Will Power the LibreBox Mini-PC Some of the more observant users might notice the word Libre in the name of the company, but that's not a coincidence. There are other companies and projects out there that follow this Libre trend, which is all about incorporating only completely free and open source components. In case you're wondering, the explanation is quite simple. For example, the Linux kernel has some proprietary blobs from various companies, so it's not considered transparent. There is also a Libre Linux kernel out there that just strips all the proprietary blobs and that is considered OK. Also, any kind of proprietary drivers are not accepted, so you can see where this is going. In fact, the new LibreBox from LibreTrend is the first PC from this company, and they decided that Ubuntu MATE will also be provided. Source: http://news.softpedia.com/news/ubuntu-mate-gets-another-hardware-deal-will-power-the-librebox-mini-pc-485967.shtml Submitted by: Arnfried Walbrecht

Ubuntu MATE obtient un nouvel accord matériel, il propulsera le Mini-PC LibreBox

Certains des utilisateurs les plus attentifs ont pu noter le mot Libre dans le nom de la société, et ce n'est pas une coïncidence. Il y a d'autres sociétés et projets qui suivent la tendance du Libre, qui correspond à tout ce qui incorpore uniquement des composants complètement libres et Open Source.

Si vous vous en étonnez, l'explication est fort simple. Par exemple, le noyau Linux comporte quelques verrues propriétaires de diverses sociétés ; aussi il n'est pas complètement transparent. Il y a aussi un noyau Linux Libre qui a juste retiré les verrues propriétaires et c'est considéré comme OK.

Aussi, aucune sorte de pilote propriétaire n'est acceptée ; vous pouvez donc imaginer la suite. En fait, Le nouveau LibreBox de LibreTrend est le premier PC de cette société et ils ont décidé qu'Ubuntu MATE serait aussi fourni.

Source : http://news.softpedia.com/news/ubuntu-mate-gets-another-hardware-deal-will-power-the-librebox-mini-pc-485967.shtml Proposé par Arnfried Walbrecht.

Why Ubuntu plans to replace traditional Linux packages with something better Ubuntu’s Snappy system is currently used for cloud servers and smart devices, and the Snappy Ubuntu Core debuted recently in Ubuntu 15.04 . Snappy works differently. Applications are no longer installed system-wide. The base Ubuntu operating system is kept securely isolated from applications you install later. Both the base system and Snappy packages are kept as read-only images. Those applications are installed to separate directories and isolated from each other via the Linux-kernel-based AppArmor system. Snappy packages can include all the libraries and files they need, so they don’t depend on other packages. Ubuntu is currently working on “deduplication” support, which means duplicate copies of files won’t be kept—if two Snappy packages include the same library, it will only be stored in one place on disk. Source: http://www.pcworld.com/article/2942267/why-ubuntu-plans-to-replace-traditional-linux-packages-with-something-better.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

Pourquoi Ubuntu prévoit de remplacer les paquets traditionnels de Linux par quelque chose de meilleur

Le système Ubuntu Snappy est actuellement utilisé pour les serveurs du Nuage et pour les appareils ; le Snappy Ubuntu Core a récemment fait ses débuts dans Ubuntu 15.04.

Snappy fonctionne différemment. Les applications ne sont plus installées sur tout le système. Le système d'exploitation Ubuntu de base est conservé en sécurité, isolé des applications installées par la suite. Le système de base et les paquets Snappy sont tous les deux conservés comme des images en lecture seule.

Ces applications sont installées dans des répertoires séparés et isolés les uns des autres via le système AppArmor, basé sur le noyau Linux. Les paquets Snappy peuvent inclure toutes les bibliothèques et les fichiers nécessaires ; aussi, il ne dépendent plus d'autres paquets. Ubuntu travaille actuellement à la prise en charge de la « dé-duplication », ce qui signifie que des copies en double des fichiers ne seront pas conservées - si deux paquets Snappy contiennent la même bibliothèque, une seule sera conservée sur le disque.

Source : http://www.pcworld.com/article/2942267/why-ubuntu-plans-to-replace-traditional-linux-packages-with-something-better.html Proposé par Arnfried Walbrecht.

Linux bids for UAV world domination by enslaving future skybot army The Dronecode open-source UAV platform initiative has announced that it has welcomed on board a raft of new members, who'll help drive the project towards becoming a de facto standard for consumer and commercial drones. The non-profit organisation – governed by the Linux Foundation – was formed in late 2014. Founding members 3D Robotics (3DR) and Yuneec International have since been joined by 27 other organisations and sponsored members, keen to participate in the “neutral, transparent initiative for advancing UAV technology”, as the Linux Foundation's marketing big cheese Amanda McPherson described it. The latest recruits to the cause include US autopilot outfit Arsov RC Technology and Chinese UAV manufacturer Walkera. Source: http://www.theregister.co.uk/2015/06/29/dronecode_linux/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Linux tente la domination du monde des drones en asservissant la future armée de robots volants

L'initiative Dronecode pour une plateforme Open Source pour les drones a annoncé qu'elle avait accueilli en son sein de nombreux nouveaux membres, qui vont aider a conduire le projet vers ce qui deviendra un standard de fait pour les drones personnels et professionnels.

L'organisation sans but lucratif - gouvernée par la Linux Foundation - a été créée fin 2014. Les membres fondateurs 3D Robotics (3DR) et Yuneec International ont été rejoints par 27 autres organisations et autres membres sponsorisés, désireux de participer à « une initiative neutre et transparente pour faire avancer la technologie des drones », comme l'a décrit Amanda McPherson, la crème de la crème du marketing de la Linux Foundation.

Les dernières recrues à la cause incluent Arsov RC Technology, spécialiste américain du matériel d'auto-pilotage et Walkera, fabricant chinois de drones.

Source : http://www.theregister.co.uk/2015/06/29/dronecode_linux/ Proposé par Arnfried Walbrecht.

Linux Kernel 4.2 May End Up Being the Biggest Release, Says Linus Torvalds According to Linus Torvalds, it would appear that the wonderful team of kernel developers and contributors are in the middle of the merge window, and they will end up merging more commits for Linux kernel 4.2 than they were during all of the releases of Linux kernel 4.1. “4.0 was pretty small (by our modern standards, which is to say it was still a lot of changes), 4.1 was about average, and it looks like 4.2 may end up being the biggest release (in number of commits, at least) we've ever had,” says Linus Torvalds in the Google+ post. “So much for the summer slowdown.” The development cycle of Linux kernel 4.2 might start this coming weekend with the first Release Candidate version, and it should have about seven or eight RC versions until the final release, which might see the light of day sometime in the fall of 2015. Source: http://linux.softpedia.com/blog/linux-kernel-4-2-may-end-up-being-the-biggest-release-says-linus-torvalds-485451.shtml Submitted by: Arnfried Walbrecht

Le noyau Linux 4.2 pourrait être la plus grosse publication, selon Linus Torvalds

D'après Linus Torvalds, il apparaîtrait que la merveilleuse équipe de développeurs et de contributeurs qui s'occupe du noyau serait en plein dans la fenêtre de fusion, et qu'ils finiront par fusionner plus de « commmits » (transaction validée) pour le noyau Linux 4.2 que pendant toutes les versions du noyau Linux 4.1.

« La 4.0 était plutôt petite (suivant les standards modernes, autrement dit, il comportait encore beaucoup de changements), la 4.1 était moyenne et il semble que la 4.2 pourrait être la plus grosse publication (en termes de commits, au moins) que nous ayions jamais vu », dit Linus Torvalds dans un message sur Google+. « Vous appelez cela l'activité ralentie de l'été. »

Le cycle de développement du noyau Linux 4.2 pourrait démarrer ce prochain week-end avec la publication de la première version RC (release candidate - pré-publication pour tests) et il pourrait y avoir sept ou huit versions RC avant la publication finale, qui pourrait apparaître au grand jour au cours de l'automne 2015.

Source : http://linux.softpedia.com/blog/linux-kernel-4-2-may-end-up-being-the-biggest-release-says-linus-torvalds-485451.shtml Proposé par Arnfried Walbrecht.

Open Source History: Why Didn't BSD Beat Out GNU and Linux? If you use a free and open source operating system, it's almost certainly based on the Linux kernel and GNU software. But these were not the first freely redistributable platforms, nor were they the most professional or widely commercialized. The Berkeley Software Distribution, or BSD, beat GNU/Linux on all of these counts. So why has BSD been consigned to the margins of the open source ecosystem, while GNU/Linux distributions rose to fantastic prominence? Read on for some historical perspective. Understanding BSD requires delving far back into the history of Unix – the operating system first released by AT&T Bell Labs in 1969. BSD began life as a variant of Unix that programmers at the University of California at Berkeley, initially led by Bill Joy, began developing in the late 1970s. Source: http://thevarguy.com/open-source-application-software-companies/062615/open-source-history-why-didnt-bsd-beat-out-gnu-and-linux Submitted by: Arnfried Walbrecht

Histoire de l'Open Source : Pourquoi BSD n'a-t-il pas surclassé GNU et Linux ?

Si vous utilisez un système d'exploitation libre et Open Source, il est très certainement basé sur le noyau Linux et les logiciels GNU. Mais ils n'ont pas été les premières plateformes redistribuables librement, ni les logiciels les plus professionnels ou les plus largement commercialisés. La distribution BSD (Berkeley Software Distribution) bat GNU/Linux sur tous ces points.

Aussi, pourquoi BSD est-il resté consigné aux marges de l'écosystème Open Source, pendant que les distributions GNU/Linux grimpaient vers une prééminence formidable ? Lisez la suite pour avoir un point de vue historique.

La compréhension de BSD nécessite d'aller très loin dans l'histoire d'Unix - le premier système d'exploitation publié par les laboratoires Bell de AT&T en 1969. BSD débuta sa vie comme une variante d'Unix que les programmeurs de l'université de Californie à Berkeley, pilotés au début par Bill Joy, ont commencé à développer fin 1970.

Source : http://thevarguy.com/open-source-application-software-companies/062615/open-source-history-why-didnt-bsd-beat-out-gnu-and-linux Proposé par Arnfried Walbrecht.

Endless: A computer the rest of the world can afford Rural Mexico, the backstreets of Guatemala City, the outskirts of Mumbai; these aren’t places where you find a lot of computers – for one simple reason; most computers are far too expensive. What you do find are lots of TVs, so why not build a cheap, flexible computer without a display? And ship it without a keyboard and mouse because those are items that can usually be sourced locally at low cost. What would computers do for people in these places? They would deliver information, education, and opportunity. Record keeping for farmers, reading lessons for children, tools for creating and communicating … the potential for computers to improve the lot of millions of people – are just waiting on the right gear, and I think the right gear is what a new company, Endless, is about to launch. What sets the Endless apart from other low cost machines is Endless OS, a highly customized version of Ubuntu Linux with Gnome (and lots of other interesting technology such as Xapian and OStree), that not only handles TVs as output devices (it scales and formats video output for readability), but also includes a huge library of applications and educational content. This is important because in emerging markets the Endless system will be useful and well-featured, even if you don’t have any kind of networking services available. Source: http://www.networkworld.com/article/2945802/green-it/endless-a-computer-the-rest-of-the-world-can-afford.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

Endless : Un ordinateur que le reste du monde peut s'offrir

Le Mexique rural, les ruelles de Guatemala City, la banlieue de Mumbai ; ce ne sont pas des endroits où vous trouverez beaucoup d'ordinateurs, pour la simple raison que les ordinateurs sont beaucoup trop chers. Ce que vous y trouvez, ce sont des tonnes de télés ; alors pourquoi ne pas construire un ordinateur pas cher et flexible sans moniteur ? Et le livrer sans clavier ni souris, parce que ces articles peuvent être produits localement à bas prix.

Qu'apporteraient des ordinateurs aux gens de ces endroits ? Ils leur fourniraient des informations, une éducation et des opportunités. L'enregistrement des résultats pour les fermiers, des leçons de lecture pour les enfants, des outils de création et de communication - la possibilité pour ces ordinateurs d'apporter des améliorations à des millions de personnes - sont dans l'attente du bon matériel, et je pense que le bon matériel est ce qu'une nouvelle société, Endless, est sur le point de lancer.

Ce qui diférrencie Endless d'autres machines à bas coût, c'est Endless OS, une version hautement personnalisée d'Ubuntu Linux avec Gnome (et beaucoup d'autres technologies intéressantes comme Xapian et OStree), qui non seulement pilote les télés comme dispositifs de sortie (il met la sortie vidéo à l'échelle et au bon format pour une bonne lisibilité), mais aussi inclut une énorme bibliothèque d'applications et de contenu éducatif. C'est important parce que, sur les marchés émergents, le système Endless sera utile et bien équipé, même si vous n'avez aucune sorte de réseau disponible.

Source : http://www.networkworld.com/article/2945802/green-it/endless-a-computer-the-rest-of-the-world-can-afford.html Proposé par Arnfried Walbrecht.

Richard Stallman 'basically' has no problem with the NSA using GNU/Linux If you have been keeping an eye on what the NSA has been up to while they were busy reading your emails, you might be aware of the XKEYSCORE program run by the agency. According to Edward Snowden, as told to Glenn Greenwald, the program was used to “sweep up countless people’s Internet searches, emails, documents, usernames and passwords, and other private communications.” This is old news, you say. We've all known about it since 2013. So what's the big deal and why am I bringing it up now? The big deal is that the NSA was allegedly running the program on 'Free and Open Source' software. This story generated mixed responses from the Open Source community. Many bashed Red Hat, even though we don't know if the NSA is a Red Hat client. Others bashed the NSA for using Free Software to perform its 'evil' deeds. I was among those who didn't see any problem here. I have been using and advocating Free Software since 2005, and I have met numerous people from different walks of life who use Free Software. Back in 2007, I met Mohammad Khansari, director of the National Linux Project, Iran, who said that when the U.S. closed 'Windows' on them, they moved to 'Open Source'. Source: http://www.itworld.com/article/2946683/linux/richard-stallman-basically-has-no-problem-with-the-nsa-using-gnulinux.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

L'utilisation de GNU/Linux par la NSA ne pose « fondamentalement » aucun problème à Richard Stallman

Si vous avez gardé un œil sur ce que faisait la NSA alors qu'elle était occupée à lire vos mails, vous êtes au courant du programme XKEYSCORE que fait tourner l'agence. D'après Edward Snowden, comme il l'a dit à Glenn Greenwald, le programme était utilisé pour « balayer sans fin les recherches Internet, les mails, les documents, les identifiants et les mots de passe et les autres communications privées des gens ».

C'est vieux, dites-vous. Nous savons tous tout cela depuis 2013. Alors, quel est le problème et pourquoi la remettre au premier plan maintenant ? Le problème est que la NSA faisait prétendument tourner le programme sur des Logiciels « libres et Open Source ».

Cette histoire a généré des réponses variées de la communauté Open Source. Beaucoup ont cogné sur Red Hat, même si nous ne savons pas si la NSA est un client de Red Hat. D'autres blâmaient la NSA pour avoir utilisé des Logiciels libres pour réaliser ses œuvres « démoniaques ».

J'étais parmi ceux qui ne voyaient aucun problème. J'utilise et je me fais l'avocat du Logiciel libre depuis 2005 et j'ai rencontré beaucoup de gens avec des parcours de vie différents qui utilisent des Logiciels libres. En 2007, j'ai rencontré Mohammad Khansari, directeur du National Linux Project (projet Linux national) en Iran, qui disait que, quand les États-Unis leur ont bloqué l'accès à Windows, ils sont passés à l'Open Source.

Source : http://www.itworld.com/article/2946683/linux/richard-stallman-basically-has-no-problem-with-the-nsa-using-gnulinux.html Proposé par Arnfried Walbrecht.

Core Linux tools top list of most at-risk software The CII (Core Infrastructure Initiative), a Linux Foundation effort assembled in the wake of the Heartbleed fiasco to provide development support for key Internet protocols, has opened the doors on its Census Project – an effort to figure out what projects need support now, instead of waiting for them to break. According to the current iteration of the survey, the programs most in need of attention are not previously cited infrastructure projects, but common core Linux system utilities that have network access and little development activity around them. The Census, with both its code and results available on GitHub, assembles metrics about open source projects found in Debian Linux's package list and on openhub.net, then scores them based on the amount of risk each presents. Risk scores are an aggregate of multiple factors: how many people are known to have contributed to the project in the last 12 months, how many CVEs have been filed for it, how widely used it is, and how much exposure it has to the network. Source: http://www.infoworld.com/article/2946566/security/core-linux-tools-top-the-list-of-most-at-risk-software.html Submitted by: Arnfried Walbrecht

Les outils de Linux Core au sommet des logiciels à risque

La CII (Core Infrastructure Initiative - initiative d'insfrastructure Core), un effort de la Linux Foundation bâti dans la foulée du fiasco Heartbleed pour fournir un support au développement pour des protocoles Internet clés, a ouvert les portes de son projet Census - un effort pour découvrir quels projets ont maintenant besoin de support, plutôt que d'attendre qu'ils chutent.

D'après l'état d'avancement actuel de l’enquête, les programmes ayant le plus besoin d'attention ne sont pas des projets d'infrastructure précédemment cités, mais des services système communs au cœur du système Linux qui ont un accès réseau et qui ont peu d'activité de développement.

Census, dont le code et les résultats sont disponibles sur GitHub, construit des indicateurs sur les projets Open Source trouvés dans la liste des paquets de Debian Linux et sur openhub.net, puis les note en fonction du niveau de risque que chacun présente.

Les notations du risque sont un agrégat de multiples facteurs : combien de personnes ont contribué au projet dans les 12 derniers mois, combien de vulnérabilités de sécurité (en anglais, CVE - Common Vulnerabilities and Exposures) ont été remplies à son sujet, quelle est l'étendue de son utilisation, et quelle est son exposition au réseau.

Source : http://www.infoworld.com/article/2946566/security/core-linux-tools-top-the-list-of-most-at-risk-software.html Proposé par Arnfried Walbrecht.

Microsoft adds limited support for Linux on Azure cloud Microsoft has done the previously unthinkable and said it will now provide “limited support for major Linux distributions, third-party and open-source technologies” on its Azure cloud. To get the ball rolling, Microsoft will support what it describes as the most popular Linux distros as of July 15. Microsoft officially says its support will be “limited” and it’s a pretty apt description, given that it consists of “Help with installation and configuration of Supported Linux Distributions on the Azure platform and services” and “Recommendations applicable to the Azure platform and services” that pertain to performance and networking issues. Source: http://siliconangle.com/blog/2015/07/16/microsoft-adds-limited-support-for-linux-on-azure-cloud/ Submitted by: Mike Wheatley

Microsoft ajoute un support limité pour Linux sur le nuage Azure

Microsoft a fait ce qui était impensable avant en annonçant qu'il allait fournir « un support limité aux distributions majeures de Linux et aux technologies Open Source et de tierces-parties » sur son nuage Azure.

Pour lancer l'opération, Microsoft va supporter ce qu'il décrit comme les distributions Linux les plus populaires en date du 15 juillet.

Microsoft dit officiellement que son support sera « limité », ce qui est une description plutôt juste, étant donné que cela consiste à « aider à l'installation et à la configuration des distributions Linux supportées sur la plateforme et les services Azure » et « les recommandations applicables à la plateforme et aux services Azure » qui ont trait à la performance et aux problèmes de réseau.

Source : http://siliconangle.com/blog/2015/07/16/microsoft-adds-limited-support-for-linux-on-azure-cloud/ Proposé par Mike Wheatley.

Canonical and Free Software Foundation come to open-source licensing terms For years, Canonical and Ubuntu have been accused of playing fast and loose with Linux-related licenses. Now, Canonical and the FSF have reached a common understanding over Ubuntu licensing. Canonical, Ubuntu Linux's parent company, has often rubbed other free software groups the wrong way when it came to open-source licenses. On July 15, Canonical, with support from the Free Software Foundation (FSF) and the Software Freedom Conservancy (SFC), have changed Ubuntu's licensing terms. The FSF states that Canonical's new intellectual property (IP) policies “unequivocally comply with the terms of the GNU General Public License (GPL) and other free software licenses.” Source: http://www.zdnet.com/article/canonical-and-free-software-foundation-comes-to-open-source-licensing-terms/ Submitted by: Steven J. Vaughan-Nichols

Canonical et la Free Software Foundation s'accordent sur les termes de la licence Open Source

Pendant des années, Canonical et Ubuntu ont été accusés de prendre à la légère les licences relatives à Linux. Maintenant, Canonical et la FSF sont parvenus à un accord commun sur la licence d'Ubuntu.

Canonical, la société mère d'Ubuntu Linux, a souvent pris à rebrousse-poil les autres groupes du Logiciel libre quand il s'agissait des licences Open Source. Le 15 juillet, Canonical, avec l'appui de la Free Software Foundation (FSF) et de la Software Freedom Conservancy (SFC), a modifié les termes de la licence d'Ubuntu. La FSF a déclaré que la nouvelle politique de Canonical en matière de propriété intellectuelle « est sans équivoque en accord avec les termes de la licence publique générale (GPL - General Public License) GNU et avec les autres licences du Logiciel libre ».

Source : http://www.zdnet.com/article/canonical-and-free-software-foundation-comes-to-open-source-licensing-terms/ Proposé par Steven J. Vaughan-Nichols.

What the Ubuntu IP Announcement means The announcement by the FSF and Software Freedom Conservancy has a lot of jargon in it so to help people better understand I am going to do an analysis. Mind you, back in 2012, I reached out to the FSF on these very licensing concerns which no doubt combined with other developers contacts set in motion these discussions. In a nutshell, the FSF is making it clear while some progress was made that the Ubuntu IP Policy is still not a good example of a policy that protects the freedoms you have to using code under the licenses of software Ubuntu bundles into the distro we use and love. This is concerning because Canonical has essentially made some concessions but put its foot down and not made as much change as it needs to. Source: http://benjaminkerensa.com/2015/07/15/what-the-ubuntu-ip-announcement-means Submitted by: Benjamin Kerensa

Ce que signifie l'annonce d'Ubuntu IP

L'annonce par la FSF et la Software Freedom Conservancy contient beaucoup de jargon ; aussi, pour aider les gens à mieux la comprendre, je vais en faire une analyse. Bien entendu, en 2012, j'avais sollicité la FSF à propos de ces problèmes sensibles de licence qui, sans aucun doute, associés aux contacts d'autres développeurs, avaient lancé ces discussions.

En bref, la FSF dit clairement que, alors que des progrès ont eu lieu, la politique de propriété intellectuelle d'Ubuntu n'est pas encore un bon exemple d'une politique qui protège les libertés que vous devez avoir en utilisant le code sous les licences des paquets du logiciel Ubuntu dans la distrib. que nous utilisons et aimons. C'est un problème parce que Canonical a essentiellement fait quelques concessions mais, d'autorité, n'a pas fait autant de modifications qu'il aurait fallu.

Source : http://benjaminkerensa.com/2015/07/15/what-the-ubuntu-ip-announcement-means Proposé par Benjamin Kerensa.

Kubuntu's Jonathan Riddell Says Ubuntu Policy Is Still Lacking Kubuntu's Jonathan Riddell talked about the recent changes to the licensing procedures on the Ubuntu project, and he said that there are still some important problems that have been left unresolved. Canonical announced a couple of days ago that the company had made some changes to its policies in order to comply with GPL, but voices in the community are saying that it's not enough and that more effort needs to be made. Kubuntu's Jonathan Riddell talked about the remaining issues at length on his blog. Many of you will remember the conflict between Jonathan Riddell and Canonical, which ended with his removal from the Kubuntu Community Council. He's now just a simple member of the community and developer for Kubuntu. He said on numerous occasions that Canonical's policy regarding Ubuntu is not well put together and that it causes problems for other projects as well. In fact, these issues were in a discussion during his conflict with Canonical and the Ubuntu Council. Source: http://news.softpedia.com/news/kubuntu-s-jonathan-riddell-says-ubuntu-policy-is-still-lacking-487186.shtml Submitted by: Silviu Stahie

Jonathan Ridell de Kubuntu dit que la politique d'Ubuntu est toujours insuffisante

Jonathan Ridell de Kubuntu s'est exprimé à propos des récentes modifications des procédures de licence sur le projet Ubuntu et a dit qu'il y a encore d'importants problèmes laissés sans solution.

Canonical a annoncé, il y a quelques jours, que la société avait fait des modifications dans sa politique pour se conformer au GPL, mais des voix dans la communauté se sont élevées pour dire que ce n'est pas suffisant et que des efforts supplémentaires doivent être faits. Sur son blog, Jonathan Ridell de Kubuntu parle en détail des problèmes restants.

Beaucoup d'entre vous se souviennent du conflit entre Jonathan Ridell et Canonical, qui s'était soldé par son retrait du Kubuntu Community Council (Conseil de la communauté Kubuntu). Il n'est plus maintenant qu'un simple membre de la communauté et un développeur de Kubuntu. Il a dit à maintes reprises que la politique de Canonical au sujet d'Ubuntu n'est pas d'une très bonne facture et que ça crée des problèmes aux autres projets aussi. En fait, ces problèmes ont fait l'objet d'un échange pendant son conflit avec Canonical et l'Ubuntu Council (Conseil Ubuntu).

Source : http://news.softpedia.com/news/kubuntu-s-jonathan-riddell-says-ubuntu-policy-is-still-lacking-487186.shtml Proposé par Silviu Stahie.

One Ubuntu PC maker is kicking Adobe Flash off its Linux systems System76, a Denver-based vendor of Ubuntu Linux laptops and desktops, has stopped pre-loading Flash on its machines. The company is also strongly recommending that current customers purge Flash from their systems as well. Amid calls to accelerate the death of Adobe Flash Player, at least once PC vendor is taking matters into its own hands. Citing security and irrelevance, System76 stops bundling Flash with Firefox, and recommends that all customers purge the plug-in from their systems. Source: http://www.pcworld.com/article/2949106/software-web/one-ubuntu-pc-maker-is-kicking-adobe-flash-off-its-linux-systems.html Submitted by: Jared Newman

Un fabricant de PC Ubuntu compte supprimer Adobe Flash de ses systèmes Linux

System76, un revendeur de portables et d'ordinateurs de bureau Ubuntu Linux, basé à Denver, a arrêté de pré-charger Flash sur ses machines. En outre, la société recommande fortement à ses clients actuels de supprimer Flash des leurs systèmes.

Au milieu des appels à accélérer la mort de Flash, au moins une fois un revendeur de PC prend les choses en main.

Citant la sécurité et l'inutilité, System76 a arrêté d'inclure Flash dans Firefox et recommande à ses clients de supprimer le module additionnel de leurs systèmes.

Source : http://www.pcworld.com/article/2949106/software-web/one-ubuntu-pc-maker-is-kicking-adobe-flash-off-its-linux-systems.html Proposé par Jared Newman.

Linux Mint 17.2 offers desktop familiarity and responds to user wants These days, the desktop OSes grabbing headlines have, for the most part, left the traditional desktop behind in favor of what's often referred to as a “shell.” Typically, such an arrangement offers a search-based interface. In the Linux world, the GNOME project and Ubuntu's Unity desktop interfaces both take this approach. This is not a sea change that's limited to Linux, however. For example, the upheaval of the desktop is also happening in Windows land. Windows 8 departed from the traditional desktop UI, and Windows 10 looks like it will continue that rethinking of the desktop, albeit with a few familiar elements retained. Whether it's driven by, in Ubuntu's case, a vision of “convergence” between desktop and mobile or perhaps just the need for something new (which seems to be the case for GNOME 3.x), developers would have you believe that these mobile-friendly, search-based desktops are the future of, well, everything. Source: http://arstechnica.com/gadgets/2015/07/rare-breed-linux-mint-17-2-offers-desktop-familiarity-and-responds-to-user-wants/ Submitted by: Scott Gilbertson

Linux Mint 17.2 offre un bureau familier et répond aux demandes des utilisateurs

Ces temps-ci, les OS des PC de bureau, pour faire les gros titres, ont, pour la plupart, abandonné le bureau traditionnel en faveur de ce qu'il est convenu d'appelé dans le jargon un « shell ». Typiquement, un tel arrangement offre une interface basée sur les recherches (search). Dans le monde de Linux, les interfaces de bureau du projet GNOME et d'Unity d'Ubuntu ont pris tous les deux cette approche.

Cependant, ce n'est pas un changement de fond limité à Linux. Par exemple, ce bouleversement du bureau est aussi arrivé dans le monde Windows. Windows 8 a abandonné l'interface utilisateur traditionnelle de bureau et Windows 10 semble poursuivre dans cette refonte, en dépit du maintien de quelques éléments familiers. Que ce soit conduit par une vision de « convergence » entre le bureau et le mobile (dans le cas d'Ubuntu) ou simplement par un besoin de nouveauté (ce qui semblerait être le cas de GNOME 3.x), les développeurs voudraient vous faire croire que ces bureaux à l'allure de mobile, basés sur les recherches, sont le futur, disons, de tout.

Source : http://arstechnica.com/gadgets/2015/07/rare-breed-linux-mint-17-2-offers-desktop-familiarity-and-responds-to-user-wants/ Proposé par Scott Gilbertson.

Container Competitors Google, CoreOS, Joyent And Docker Join New Linux Club As Kubernetes Turns One Kubernetes, the container management solution originally open sourced by Google GOOGL +0.43%, is deemed ready for mainstream use as it reaches version 1 today. Alongside this software versioning milestone, Google is joining a host of familiar names in a new Cloud Native Computing Foundation, under the auspices of the Linux Foundation. Google is gifting Kubernetes to the new Foundation, which some will see (rightly) as a useful base upon which to build, and which others will see (also, perhaps, rightly) as a way to ensure that the new Foundation’s work is Googley from the outset. Other partners in this new endeavor include container hotshots like Docker, CoreOS, Joyent and others. Will the new Foundation lead to a meeting of minds, or is it just another forum in which they can sling mud? The Linux Foundation, unsurprisingly, is definitely hoping for the meeting of minds. Executive Director Jim Zemlin commented, “The Cloud Native Computing Foundation will help facilitate collaboration among developers and operators on common technologies for deploying cloud native applications and services. By bringing together the open source community’s very best talent and code in a neutral and collaborative forum, the Cloud Native Computing Foundation aims to advance the state of the art of application development at Internet scale.” Source: http://www.forbes.com/sites/paulmiller/2015/07/21/container-competitors-google-coreos-joyent-and-docker-join-new-linux-club-as-kubernetes-turns-one/ Submitted by: Arnfried Walbrecht

Les concurrents du conteneur, Google, CoreOS, Joyent et Docker rejoignent un nouveau club Linux alors que Kubernetes fête son premier anniversaire

Kubernetes, la solution de gestion des conteneurs, créée à l'origine en Open Source par Google, est prête pour un usage généralisé alors qu'elle arrive en version 1 aujourd'hui. À côté de cette étape de version du logiciel, Google rejoint un groupe de noms familiers dans la nouvelle Cloud Native Computing Foundation (Fondation pour l'informatique native en nuage), sous les auspices de la Linux Foundation. Google offre Kubernetes à cette nouvelle fondation, ce que certains verront (à juste titre) comme une base utile sur laquelle construire, pendant que d'autres verront (sans doute à juste titre, aussi) une façon de googliser cette nouvelle fondation dès son lancement. Les autres partenaires de ce nouvel effort comprennent des acteurs majeurs du conteneur comme Docker, CoreOS, Joyent et d'autres. La fondation amènera-t-elle à une entente profonde ou est-ce tout simplement un autre forum où les participants pourront s'invectiver ?

Sans surprise, la Linux Foundation, désire fortement une entente profonde. Son directeur exécutif, Jim Zemlin, fait ce commentaire :

« La Cloud Native Computing Foundation facilitera une collaboration entre les développeurs et les opérateurs sur des technologies communes pour déployer les applications et les services natifs du Nuage. En regroupant le meilleur du talent et du code de la communauté Open Source dans un forum neutre et collaboratif, la Cloud Native Computing Foundation a pour but de faire avancer le développement des applications à l'échelle d'Internet. »

Source : http://www.forbes.com/sites/paulmiller/2015/07/21/container-competitors-google-coreos-joyent-and-docker-join-new-linux-club-as-kubernetes-turns-one/ Proposé par Arnfried Walbrecht.

issue99/actus.txt · Dernière modification : 2015/08/19 15:31 de andre_domenech